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nom courant pour désigner une collaboration inter nationale ( International Forum) visant à développer

des systèmes nucléaires de quatrième génération.61, 71.

GRAAL : modèle d’altération des verres nucléaires.131, 132, 134,

135, 145.

Graphite : voir p. 71.

Hastelloy : série d’alliages de nickel utilisés à haute température.

61, 71.

Hélium : voir p. 63.

Illite : minéral argileux de formule (K,H3O)(Al,Mg,Fe)2(Si,Al)4

O10[(OH)2,(H2O)].127, 128.

Impédancemétrie : technique de mesure des caractéristiques électriques (résistance et capacité – impédance électrique) d’un système et de leurs variations.23.

Interaction pastille-gaine : voir p. 43.

Internes : forme abrégée qui désigne les équipements internes de cuve de réacteur.11, 50, 52, 53, 133.

Interstitiel (voir Défaut ponctuel*).

Irradiation : exposition d’un organisme vivant ou d’une substance matérielle à un rayonnement.7, 15, 20-23, 30-33, 43, 52-55, 68, 74, 82, 84-86, 93, 97, 112, 129, 138.

JACOB : voir p. 113.

Lacune (voir Défaut ponctuel*).

Lépidocrocite : minéral qui correspond au polymorphe γde

FeO(OH).110, 116.

Lixiviation : mise en contact d’un corps solide avec un liquide, avec l’idée d’en extraire certains éléments. Par extension, on parle de « lixiviation » pour toute expérience portant sur l’altération d’un solide dans un liquide.112-114, 124, 139-142.

Loi de comportement : relation empirique ou semi empirique entre une propriété (d’un matériau, par exemple) et un paramètre intrinsèque au matériau (composition chimique, microstructure..) ou extrinsèque (lié au milieu, aux conditions d’essais : T °C, P). Magnétite : minéral ferrimagnétique de la famille des oxydes. Elle cristallise dans le système cubique et fait partie du groupe des spi- nelles. Sa formule chimique est Fe3O4.30, 88, 89, 108, 109, 116, 126-128, 134.

Martensitique (structure) : structure cristalline cubique centrée rencontrée dans certains alliages métalliques, en particulier cer- tains aciers.57, 85-88, 91-93.

MAVL : se dit des déchets de Moyenne Activité et à Vie Longue.

MEB : Microscope électronique à balayage.23, 24, 65, 66, 70, 92,

93, 121, 122, 125, 128, 134.

MET : microscope électronique à transmission.17, 24, 25, 109.

METEOR : code de calcul CEA du comportement thermoméca- nique du crayon combustible.21, 43.

Microstructure : appliqué au combustible nucléaire ou à un maté- riau, ce terme désigne la forme, la taille et l’agencement de ses composants (grains d’un matériau polycristallin ; minéraux) et de ses vides (porosité, lacunes …).52.

MOX : Combustible nucléaire à base d’un mélange d’oxydes d’ura- nium (naturel ou appauvri) et de plutonium.29.

OSCAR : code basé sur une description phénoménologique de la contamination d’un circuit primaire REP.29.

PACTOLE : code utilisé pour décrire et prédire la contamination d’un circuit primaire REP.26-29.

Passivation : réduction de la vitesse de corrosion d’un métal, dans un environnement donné, due à la formation d’une fine couche de produits de corrosion (couche passive* ou de passivation). Une passivation incomplète peut conduire à une corrosion localisée.

13, 14, 35, 57, 59, 69, 105, 115.

Pastille (de combustible) : petit cylindre de céramique à base d’uranium, de plutonium ou d’autres actinides servant de combus- tible nucléaire et empilé dans une gaine* pour constituer un crayon.

43.

PHREEQC : code de calcul permettant la description couplée des équilibres géochimiques de sorption et de dissolution-précipitation.

29.

Polarisation : en corrosion, imposition d’un potentiel différent du potentiel de corrosion libre.23, 31, 32, 33, 98, 99.

Potentiel (de corrosion) : différence de potentiel mesurée entre un matériau métallique (électrode de travail) et une électrode de réfé- rence en contact avec le même électrolyte. Le potentiel de corro- sion libre est mesuré en l’absence de courant électrique global (externe) entrant ou sortant de la surface métallique.149.

Produits de fission : nucléides produits soit directement par la fis- sion nucléaire, soit indirectement par la désintégration des frag- ments de la fission.95.

PUREX : Procédé hydrométallurgique* de traitement du com- bustible usé, actuellement mis en œuvre industriellement pour extraire de ce dernier l’uranium et le plutonium encore valorisables au plan énergétique. Le procédé sépare ces deux éléments des actinides mineurs et produits de fission, considérés comme des déchets.103.

Pyrochimie : chimie à haute température (plusieurs centaines de °C). La pyrochimie ne fait pas intervenir d’eau ni de molécules orga- niques, mais des métaux liquides et des sels fondus.99.

Radiolyse : dissociation de molécules par des rayonnements ioni- sants.53.

RAMAN (spectrométrie) : le spectre lumineux diffusé par une sub- stance illuminée par un rayonnement monochromatique infrarouge comporte des raies provenant du couplage entre le rayonnement émis et les vibrations et rotations des molécules traversées (effet Raman). L’analyse de ces raies renseigne sur les molécules en présence.15, 17, 32, 111, 115, 126-128.

RBS : « Rutherford Back Scattering ». Cette technique d’analyse consiste à analyser la rétrodiffusion de particules alpha envoyées sur un échantillon. Elle permet d’accéder à la composition locale de l’échantillon au voisinage de sa surface.25, 108.

Recyclage : réutilisation en réacteur de matières nucléaires issues du traitement* du combustible usé.61, 101.

R7T7 : type de verre borosilicaté, destiné au confinement des déchets issus du traitement des combustibles usés, et dénommé d’après le nom des ateliers R7 et T7 de l’usine de La Hague dans laquelle il est produit.129.

RIFF : réaction à l’interface fissile-fertile.84, 85.

RIS : trigramme pour système d’injection de sécurité.50.

ROG : réaction oxyde-gaine : type de corrosion interne observée dans les aiguilles de combustible du réacteur rapide à caloporteur sodium.84.

RNR : réacteur à neutrons rapides.77, 83, 86.

RNR-G : réacteur à neutrons rapides refroidi au gaz.61.

RNR-Na : réacteur à neutrons rapides refroidi au sodium.61.

RRA : trigramme pour système de refroidissement du réacteur à l’arrêt.50.

Sensibilisé : se dit d’un acier ou d’un alliage ayant des précipités de carbure de chrome aux joints de grain. Le matériau est alors sensible au phénomène de corrosion intergranulaire.36.

Sidérite (La) sidérite [ou sidérose] : carbonate de fer (II), de for- mule brute FeCO3, cristallisant dans le système cristallin trigonal à réseau rhomboédrique.122, 124, 126-128, 134.

Simulation : ensemble de méthodes consistant à reproduire ou prévoir par le calcul le fonctionnement de systèmes complexes, en particulier dans les différents secteurs de la recherche et du déve- loppement nucléaires. Après validation, ces méthodes peuvent être utilisées pour la conception de nouveaux systèmes.8, 21, 22, 27, 28, 29, 30, 69, 70, 80, 83, 89, 90, 101, 114, 119, 120, 123, 134, 135, 140, 141.

Smectite : minéral composé de silicate d’aluminium et de magné- sium hydraté, de la famille des phyllosilicates.127, 128, 133, 142, 143-145.

Sorbé : voir Sorption*

Sorption : fixation faible et réversible d’un atome ou d’une molé- cule sur une surface solide.14, 134.

Spectrométrie : mesure et interprétation de spectres de quantité liées à la constitution physique ou chimique d’un corps ou à l’ana- lyse d’une onde. Par exemple, la spectrométrie de masse est fon- dée sur la séparation des atomes ou des molécules d’un corps en fonction de leur masse.25, 28, 29, 115, 121.

Stockage (de déchets radioactifs) : opération consistant à placer ces substances dans une installation spécialement aménagée pour les conserver de façon potentiellement définitive. Ce terme désigne aussi l’installation dans laquelle les déchets sont placés, sans pro- jet de reprise ultérieure. La reprise serait néanmoins possible dans le cas d’un stockage réversible (voir aussi Entreposage*). Le stoc- kage en couche géologique profonde de déchets radioactifs est le stockage de ces substances dans une installation souterraine spé- cialement aménagée à cet effet.7, 10, 101, 112, 129, 147.

Synchrotron (rayonnement) : toute particule chargée subissant une accélération émet un rayonnement électromagnétique. Cette propriété est exploitée pour produire des faisceaux de rayons X intenses dans des accélérateurs de particules dédiés, comme, par exemple, les synchrotrons ESRF ou Soleil. Le rayonnement syn- chrotron est utilisé pour sonder la structure de la matière à l’échelle atomique.111, 127.

Taux de combustion : au sens propre, il correspond au pourcen- tage d’atomes lourds (uranium et plutonium) ayant subi la fission* pendant une période donnée. Couramment utilisé pour évaluer la quantité d’énergie thermique par unité de masse de matière fis- sile* obtenue en réacteur entre le chargement et le déchargement du combustible, il s’exprime en mégawatts·jour par tonne (MW·j/t). Le taux de combustion de rejet est le taux auquel l’assemblage combustible, après plusieurs cycles d’irradiation, doit être définiti- vement déchargé (voir « Burn-up* » et « Combustion mas- sique* »).20, 29, 83-86.

THERMODY : outil de calcul dédié à la thermodynamique des milieux aqueux à haute température.29.

Thermogravimétrie : technique de chimie analytique dans laquelle le changement de poids d’un échantillon est mesuré en fonction de la température et du temps.23.

Traitement (du combustible usé) : opération consistant à sépa- rer, dans le combustible usé, les matières valorisables du reste, qui est alors considéré comme un déchet et reçoit un conditionnement approprié.103.

Transpassif (domaine) : domaine de potentiel où la couche pas- sive d’un alliage passivable n’est plus stable, caractérisé par une forte augmentation du courant de corrosion, en l’absence de cor- rosion par piqûres.103.

Tribocorrosion : corrosion-usure.57.

Verre : matrice de confinement utilisée pour le conditionnement des déchets nucléaires de haute activité.129.

XPS : X ray Photoelectron Spectroscopy. L’énergie des photoélec- trons émis par un échantillon de matière bombardé par des rayons X renseigne sur les espèces chimiques présentes au voisinage sur la surface de l’échantillon.24, 70.

Zircaloy : alliage de zirconium et d’un ou plusieurs autres métaux (étain, fer, chrome, nickel) qui est particulièrement résistant du point de vue mécanique et chimique. Il est utilisé pour les gaines de com- bustible de réacteurs à eau.15-23, 33, 43, 44, 56, 57.

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