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Conclusion

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10 LE PROGRAMME DE TRANSFORMATION – PHASE II ET AU-DELÀ

10.4 Conclusion

La phase II du Programme de transformation vise à consolider les résultats obtenus jusqu’à présent dans la mise en œuvre du « programme de changement » lancé en 2015 avec la nomination de la Directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique. Les résultats obtenus montrent que dans la Région africaine, les États Membres, avec l’appui de l’OMS et de ses partenaires, réalisent des progrès importants dans leurs efforts pour assurer une vie saine et promouvoir le bien-être de tous à tous les âges en assurant une couverture sanitaire universelle, en faisant face aux situations d’urgence sanitaire et en favorisant une meilleure santé des populations.

L’adoption du treizième programme général de travail de l’OMS est un moment propice pour

accélérer et accélérer le rythme de mise en œuvre du Programme de transformation, dont il est largement reconnu qu’il a servi d’inspiration au programme de transformation lancé par le Directeur général et au treizième programme général de travail.

Les objectifs de la phase II du Programme de transformation, et au-delà, sont de maximaliser les acquis engrangés au cours de la première phase, d’affiner l’orientation technique et les performances de l’OMS, d’améliorer la qualité du travail de l’OMS et d’améliorer le ciblage, la gestion et l’impact des ressources dans le but de générer un bon rapport qualité-prix, en mettant l’accent sur l’impératif de placer les personnes au cœur du changement. Le Secrétariat s’attend à ce que la mise en œuvre des six axes de travail stratégiques optimise la contribution de l’OMS à l’obtention de meilleurs résultats sanitaires au bénéfice des populations de la Région africaine.

L’année 2019 marque la transition de l’action du Secrétariat vers le treizième programme général de travail de l’OMS qui élabore la stratégie de l’OMS visant à atteindre l’objectif 3 de développement durable, intitulé « Permettre à tous de vivre en bonne santé et promouvoir le bien-être de tous à tout âge ». La mise en œuvre du treizième

programme général de travail passe par des réorientations stratégiques et organisationnelles essentielles. En mettant l’accent sur une approche par pays, les réorientations stratégiques définies dans le treizième programme général de travail passent par l’abandon des six « catégories

d’activité » définies dans le douzième programme général de travail au profit des dix « résultats » énoncés dans le treizième programme général de travail. Le budget programme et les plans de travail régionaux pour la période 2020-2021 en cours d’élaboration en 2019 définiront l’approche de mise en œuvre axée sur l’impact et sur les résultats, qui sous-tend le treizième programme général de travail contre le travail des femmes et organisera l’action de l’OMS autour de huit résultats sanitaires. L’un de ces résultats sera le renforcement des données et l’innovation ; deux résultats portant sur le leadership et l’appui contribueront conjointement à la réalisation des trois priorités stratégiques définies par le programme général de travail :

ƒ Couverture sanitaire universelle – 1 milliard de personnes supplémentaires bénéficiant de la couverture maladie universelle ;

ƒ Situations d’urgence sanitaire – 1 milliard de personnes supplémentaires mieux protégées face aux situations d’urgence sanitaire ;

ƒ Amélioration de la santé des populations – 1 milliard de personnes de plus bénéficiant d’un meilleur état de santé et d’un plus grand bien-être.

Pour la Région africaine, les réorientations stratégiques et institutionnelles consistent notamment à renforcer le leadership à tous les

niveaux, à accroître l’impact dans chaque pays, notamment en plaçant les pays au centre de l’action de l’OMS et en adoptant un nouveau cadre organisationnel d’une part pour réaliser la vision et les résultats du treizième programme général de travail et d’autre part pour refléter les quatre axes prioritaires du Programme de transformation du Secrétariat de l’OMS dans la Région africaine. Ces réorientations stratégiques de l’OMS sont en cours et seront consolidés lors de la phase II du Programme de transformation et au-delà.

Une évaluation finale du Programme de

transformation aura lieu au premier semestre 2020 afin d’évaluer les progrès accomplis pour déterminer l’efficacité et l’impact des réformes et formuler des recommandations sur la voie à suivre. Cette évaluation sera l’occasion de valider les progrès enregistrés à ce jour, de renforcer la confiance et de contribuer à l’apprentissage organisationnel sur la façon de concevoir et de mettre en œuvre un changement efficient, efficace et pérenne.

Le Secrétariat de l’OMS dans la Région africaine reste déterminé à consolider et à accélérer les progrès accomplis, en mettant l’accent sur la promotion de l’appropriation du changement par tous les membres du personnel ; en renforçant l’exécution au niveau des pays, y compris par le transfert des ressources, le cas échéant ; ainsi qu’en améliorant les

évaluations pour orienter les actions et l’utilisation des technologies à l’OMS comme dans les États Membres. L’innovation, en particulier la recherche de technologies et de solutions locales aux problèmes de santé de la région, sera au cœur de l’action de l’OMS dans la Région.

10.5 Documents de référence

ƒ Le Programme de transformation du Secrétariat de l’Organisation mondiale de la Santé dans la Région africaine : Phase 2 – Placer les personnes au cœur du changement.

https://www.afro.who.int/sites/default/files/2018-05/Transformation%20Agenda%20Phase%202%20-%20 Putting%20people%20at%20the%20center%20of%20change.pdf

ƒ WHO African Region Results Framework: Measuring the Organization’s contribution to Africa’s Health: A Pocket Guide.

ƒ Rapport de la RPM (avril 2018).

ƒ Treizième programme général de l’OMS

http://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA71/A71_4-en.pdf?ua=1

ANNEXE 1

Discours de la Dre Matshidiso Moeti, Directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique, lors de son investiture par la cent trente-sixième session du Conseil exécutif – Genève, janvier 2015

Monsieur le Président et distingués membres du Conseil exécutif, Dre Margaret Chan, Directeur général de l’OMS, mesdames et messieurs les directeurs régionaux, Mesdames et messieurs, chers collègues;

Je suis profondément honorée de la décision que vient de prendre le Conseil exécutif en me nommant au poste de Directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique. Je tiens à remercier les États Membres de la Région africaine et le Conseil exécutif de l’OMS de l’occasion qui m’est donnée de diriger l’OMS dans la Région africaine, et d’œuvrer avec nos États Membres pour insuffler une nouvelle dynamique aux progrès réalisés vers l’atteinte de notre objectif commun, qui consiste à traduire dans les faits la vision d’une meilleure santé pour les populations africaines. Je remercie également le gouvernement et le peuple de mon pays, le Botswana, pour leur appui à mon travail, à ma candidature et à ma campagne. J’accepte d’assumer la nouvelle charge qui m’incombe en toute humilité, pleinement consciente des défis à relever.

Permettez-moi de me présenter en quelques mots.

Je travaille dans la santé depuis plus de 35 ans, dont environ vingt années au niveau international. Mais la base de toute cette action a été posée dans le giron familial, mon père et ma mère ayant été tous les deux des médecins en Afrique du Sud à l’époque de l’apartheid. Nous vivions dans un township, près de Johannesburg, et mes parents étaient parmi les rares médecins qui dispensaient des soins à une communauté pauvre et victime de privations.

Compte tenu du fait que les salles de consultation de mes parents se trouvaient dans une extension de notre petite maison, j’ai compris qu’il faut promouvoir la justice et l’équité en matière de santé en observant quotidiennement les efforts déployés par les familles pour rester en bonne santé. Cette compréhension a été renforcée par tout ce que j’ai appris dans le système de santé publique de mon pays adoptif, le Botswana.

Depuis mes débuts professionnels, j’ai eu le privilège d’occuper des postes avec des responsabilités de plus en plus importantes aux niveaux national, régional et mondial à l’OMS, à l’UNICEF et à l’ONUSIDA, après mon expérience dans le système de santé publique du Botswana. J’ai eu le privilège de

travailler sur un éventail de programmes couvrant les objectifs du Millénaire pour le développement, et aussi en tant que directrice de la division chargée de la lutte contre les maladies non transmissibles, qui constituent un problème émergent dans notre Région. Dans un passé récent, j’ai occupé le poste de Directrice régionale adjointe de l’OMS pour l’Afrique, pendant deux ans et demi, sous le leadership du Dr Luis Sambo.

L’année 2015, qui marque mon entrée en fonctions au poste de Directeur régional de l’OMS pour l’Afrique, est significative à maints égards. Cette année, nous évaluerons les efforts accomplis par les pays pour atteindre les objectifs fixés en matière de santé. Nous achèverons aussi la planification, puis lancerons le programme de développement pour l’après-2015. La Région africaine a réalisé des progrès remarquables au fil des ans, même si beaucoup reste à faire.

L’incidence du VIH/sida, de la tuberculose et du paludisme a fortement diminué dans la Région; un certain nombre de maladies tropicales négligées qui ont ravagé cette partie du monde des siècles durant sont en passe d’être éliminées; les taux de vaccination se sont nettement améliorés au cours des dix dernières années et la mortalité liée à la rougeole a très fortement baissé; de même, l’Afrique dispose désormais d’un nouveau vaccin qui promet de reléguer aux oubliettes les épidémies qui sévissaient dans la ceinture de la méningite. La mortalité maternelle et infantile a aussi baissé, certains pays africains affichant même les taux de régression les plus rapides au monde.

Toutefois, la Région africaine demeure confrontée à nombre de défis. Au cours des derniers mois, l’épidémie de maladie à virus Ebola en Afrique de l’Ouest a été au centre de nos préoccupations à tous. Cette tragédie a eu un effet dévastateur sur les familles, les moyens de subsistance, la sécurité et le développement socioéconomique des pays les plus touchés. Elle a nécessité une réponse allant bien au-delà du secteur de la santé et de l’action conjointe des ministères de la Santé et de l’OMS, et demande que l’on investisse encore des millions de dollars pour préparer le reste de la Région et le monde entier à atténuer l’impact de toute propagation éventuelle. Je rends respectueusement hommage aux gouvernements de la Guinée, de la Sierra Leone et

du Libéria pour leur leadership et leur détermination dans la réponse à l’épidémie, et je félicite les

populations de ces trois pays qui ont fait preuve d’un extraordinaire courage et d’une capacité d’adaptation pour faire face à la menace totalement inconnue que représente cette maladie.

On a assisté à une vague de soutien sans précédent provenant du monde entier, des pays africains et de l’Union africaine, des partenaires au développement, des organisations non gouvernementales et

des philanthropes. La session extraordinaire du Conseil exécutif sur l’épidémie d’Ebola a adopté une résolution courageuse et détaillée définissant un programme très clair relatif aux actions que doivent prendre les États Membres, l’OMS et les partenaires au développement. Je m’engage à travailler étroitement avec notre Directeur général, la Dre Margaret Chan, ainsi qu’avec les collègues du Siège, du Bureau régional et des bureaux de pays pour continuer d’apporter un concours efficace et diligent aux pays, dans le cadre de la coalition dirigée par l’UNMEER.

Après des mois d’efforts exceptionnels consentis par les gouvernements et les populations des trois pays les plus touchés et par une coalition de partenaires internationaux, dont l’OMS, la courbe de l’épidémie semble s’inverser. Cependant, nous devrons renforcer notre vigilance et mettre l’accent sur la recherche de toutes les chaînes de transmission, en traitant toutes les personnes infectées pour parvenir à l’objectif de « zéro cas » dans chaque pays. Cela signifie qu’il faudra déployer sur le terrain un nombre suffisant d’épidémiologistes, d’administrateurs de données et de spécialistes de la recherche des contacts, qu’il faudra travailler au côté des mobilisateurs communautaires qualifiés et confirmer définitivement les avancées obtenues.

Ma tâche la plus urgente au moment où je prends fonction est de soutenir les pays touchés dans leurs efforts pour parvenir à l’objectif de « zéro cas ». Je m’engage également à fournir l’appui technique et le plaidoyer dont ces pays ont besoin pour reconstruire leurs systèmes de santé détruits par cette épidémie sans précédent, en poursuivant le travail déjà entamé par nos équipes conjointes du Bureau régional et du Siège. J’entends renforcer la capacité du Secrétariat de l’OMS dans la Région africaine à jouer le rôle de chef de file et à coordonner notre préparation et notre riposte aux épidémies, par une réallocation

guidée en cela par la résolution adoptée par la session extraordinaire du Conseil exécutif sur l’épidémie d’Ebola.

Monsieur le Président, cela m’amène à parler du premier des cinq axes prioritaires d’action que j’ai promis aux États Membres de la Région africaine de mettre en œuvre, lors de la session du Comité régional tenue en novembre dernier, à savoir : améliorer la sécurité sanitaire en luttant contre les maladies à potentiel épidémique, les situations d’urgence et les nouvelles menaces pour la santé.

Pour tragique qu’elle soit, l’épidémie actuelle d’Ebola fournit au monde entier l’occasion de prendre des mesures pour mettre en place des systèmes de santé solides, dotés de ressources humaines et financières suffisantes, résilients aux chocs et aux menaces pour la santé, et capables de desservir toutes les populations en leur offrant des services préventifs et curatifs de qualité assurée. Pour ce faire, les systèmes doivent être mieux préparés à faire face et à répondre aux flambées de maladies transmissibles et aux situations d’urgence liées à d’autres menaces. Le monde interconnecté dans lequel nous vivons impose aux pays d’œuvrer sans relâche pour tenir leurs engagements dans le cadre du Règlement sanitaire international, et la solidarité internationale s’avère cruciale pour compenser la vulnérabilité collective.

La préparation des pays de la Région africaine à faire face aux nouvelles menaces, dans le cadre du Règlement sanitaire international, doit être renforcée par un investissement accru. Nous poursuivrons la mobilisation de ressources en faveur du Fonds africain pour les urgences de santé publique, qui a été créé par le Comité régional et entériné par les chefs d’État de l’Union africaine lors de leur sommet tenu en juillet 2012. Nous veillerons à ce qu’il soit en parfaite adéquation avec le fonds de réserve mondial proposé par la session extraordinaire du Conseil exécutif de l’OMS.

L’épidémie d’Ebola a aussi souligné la nécessité de mobiliser le potentiel jusqu’ici inexploité de l’Afrique pour le déployer lors de la mise en place de moyens supplémentaires en réponse à une épidémie ou à une situation d’urgence. En collaboration avec notre Siège et les partenaires, je favoriserai et soutiendrai la création d’un Corps multidisciplinaire africain d’intervention sanitaire d’urgence, dans le cadre de la réserve mondiale de personnels de santé publique.

universelle dans notre Région. Nous commencerons par fournir un appui aux pays touchés par Ebola pour permettre à leurs systèmes de santé de se relever après les ravages causés par l’épidémie. Cependant, je voudrais insister sur le fait que la majorité des pays de la Région africaine ont besoin d’un soutien intensif et appuyé pour renforcer leurs systèmes de santé. Je me réjouis de la détermination de la communauté sanitaire mondiale à surmonter cet obstacle de longue date à l’amélioration de la santé dans la Région.

Je reste aussi convaincue que l’engagement manifesté par les États Membres, qui s’est traduit par un investissement national accru dans la santé et par des stratégies nationales de santé appropriées, et qui s’est adossé sur l’appui déclaré des partenaires internationaux, permettra d’accomplir les progrès escomptés au cours de la dernière décennie. Je suis impatiente de diriger l’action de mes collègues de la Région pour concrétiser cet engagement.

Monsieur le Président, nous soutiendrons les efforts menés actuellement pour finaliser les objectifs du Millénaire pour le développement tout en poursuivant le programme de développement pour l’après-2015. Parallèlement, nous aurons à cœur d’alléger le fardeau croissant des maladies non transmissibles (MNT) et de nous assurer qu’elles ne remplacent pas les maladies transmissibles comme principale cause de mauvaise santé dans la Région africaine. Notre Région a joué les premiers rôles dans la négociation de la convention mondiale pour la lutte antitabac, et nous comptons pérenniser cet acquis, en mettant l’accent sur la prévention et en évitant l’épidémie des maladies non transmissibles qui se profile à l’horizon. Nous fournirons aussi un appui à nos États Membres afin d’améliorer la capacité des ministères de la Santé à agir sur les déterminants sociaux de la santé et à œuvrer de concert avec d’autres secteurs pour la promotion de la santé.

Enfin, l’un des axes prioritaires de mon mandat au poste de Directeur régional de l’OMS pour l’Afrique consistera à faire en sorte que le Secrétariat de l’OMS réponde mieux aux besoins et soit centré sur les résultats. Beaucoup a été dit au sujet de la réforme de l’OMS en rapport avec la réponse à l’épidémie d’Ebola. Je m’engage à poursuivre la mise en œuvre du programme de réforme, et, avec l’appui de notre Siège, je m’efforcerai d’accélérer certains axes essentiels de cette réforme. Nous devons renforcer notre Organisation pour la rendre plus

efficiente, plus efficace, plus à même de répondre aux besoins, plus responsable et plus transparente.

Nous mettrons sur pied une forte équipe pour faire progresser l’Organisation dans la Région, et je m’engage à accélérer le travail de rationalisation de nos pratiques en matière de recrutement et d’évaluation des performances.

Monsieur le Président, notre impact est plus important au niveau des pays et je veillerai à ce que notre compétence soit très affûtée à ce niveau-là. Nous examinerons la mise en œuvre de la réforme engagée en ce qui concerne la sélection des Représentants de l’OMS et travaillerons à optimiser leurs aptitudes et leurs capacités de leadership pour leur permettre de répondre aux besoins des pays.

Je suis déterminée à améliorer notre obligation de rendre compte aussi bien des résultats

programmatiques que de la gestion des ressources que vous nous confiez. Nous formerons, orienterons et suivrons la performance des administrateurs et de leurs équipes pour qu’ils se conforment au nouveau Cadre de responsabilisation de l’OMS. Je prêcherai par l’exemple et me tiendrai personnellement disponible pour superviser tous les aspects liés à cette campagne de responsabilisation.

Je saisis cette opportunité pour réitérer mon engagement à travailler avec vous, distingués membres du Conseil exécutif, ainsi qu’avec les États Membres, le Directeur général et mes collègues Directeurs régionaux, à la concrétisation de notre objectif principal qui est de faire en sorte que toutes les populations puissent atteindre le meilleur état de santé possible. Je suis pleinement convaincue que je peux compter sur votre collaboration active et sur votre appui dans l’exercice de mes fonctions de Directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique.

Monsieur le Président, je débute ce voyage exaltant, confortée par le fait qu’une fondation solide a déjà été posée par ceux qui ont dirigé l’OMS dans la Région africaine dans le passé. Mes prédécesseurs ont accompli un travail vraiment remarquable. Je suis particulièrement reconnaissante au Dr Luis Sambo, le Directeur régional émérite, pour son leadership, son

Monsieur le Président, je débute ce voyage exaltant, confortée par le fait qu’une fondation solide a déjà été posée par ceux qui ont dirigé l’OMS dans la Région africaine dans le passé. Mes prédécesseurs ont accompli un travail vraiment remarquable. Je suis particulièrement reconnaissante au Dr Luis Sambo, le Directeur régional émérite, pour son leadership, son

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