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L’analyse qui suit a été effectuée à l’aide des propos recueillis et des renseignements fournis par les personnes interrogées. Nous avons été confortées dans l’idée que l’école est un lieu central d'action quant à l’éducation au vivre ensemble. Afin de mettre en évidence les thèmes communs et transversaux aux interviews, nous allons présenter une analyse comparative des différents points abordés durant les échanges. En confrontant les points de vue des enseignants qui vivent de l’intérieur le phénomène d’incivilité, avec ceux des experts qui gravitent autour de l’espace scolaire, nous chercherons à savoir si les explications se rejoignent ou se complètent. Dans un premier temps, nous allons nous intéresser aux différentes représentations des phénomènes d’incivilité et de violence exprimées par les professionnels rencontrés. Ensuite, nous présenterons les modalités d’interventions de l’équipe du Point dans les deux établissements genevois étudiés. Nous mettrons en évidence les similitudes et différences entre les situations analysées et tenterons ainsi de dégager les principaux axes de travail du service Le Point. Nous exposerons également les actions entreprises par les enseignants suite aux interventions des experts. Par ailleurs, nous proposerons un bilan visant une évaluation des résultats et des effets de cette collaboration.

Dans un souci de compréhension et de distinction, nous avons choisi de différencier les citations empruntées aux auteurs, des paroles des enseignants et des acteurs du Point. Pour les premières, nous conservons les guillemets anglais utilisés jusqu’ici (“”) ; pour les secondes, nous employons, à présent, les guillemets typographiques en forme de chevrons imbriqués (« »). De cette façon, il sera plus aisé de mettre en parallèle les informations relevées dans la littérature avec celles dégagées des interviews.

Partie I : Réflexion sur les incivilités selon les professionnels

Nous avions insisté, dans le cadre théorique, sur l’importance des représentations et des ressentis, car ceux-ci conditionnent la manière dont sont perçus les comportements. Les entretiens semi-directifs que nous avons menés ont permis de mettre en évidence de nombreuses informations liées aux perceptions des différents professionnels. Notre intention est de comprendre comment les enseignants perçoivent les termes de violence et d’incivilité et de relever le type de comportement qu’ils attribuent à chacun d’eux. Nous verrons, par la suite, comment les différents professionnels se positionnent par rapport au phénomène d’incivilité en nous intéressant à son évolution dans les milieux scolaires. Nous relèverons dans quelle mesure les adultes sont impliqués dans l’éducation et la socialisation des élèves. Enfin, nous mettrons en évidence les conséquences des incivilités observées sur le climat de classe et d’école et sur la progression des apprentissages scolaires.

Des définitions variées...

Personne ne prendrait le risque de mettre au même niveau une attaque au couteau et une impolitesse. Dans les cas extrêmes, la violence est reconnue unanimement. En milieu scolaire primaire, ces faits sont extrêmement rares. Par contre les incivilités, telles que nous les avons définies, font souvent débat. Comme nous l’avons relevé dans le cadre théorique, la limite qui sépare les actes graves des incivilités est parfois floue et les perceptions peuvent donc se révéler différentes en fonction des individus.

Tout d’abord, la nuance s’observe au niveau du vocabulaire. Les différents acteurs interrogés n’emploient pas toujours les mêmes termes pour parler de comportements similaires. Tous s’accordent à dire que les termes de violence et d’incivilité renvoient à des définitions très proches qui se recoupent. Dans les

interviews, nous avons demandé à chaque professionnel de définir précisément les termes de violence et d’incivilité.

Pour Pascal, l’incivilité renvoie à des comportements qui s’expriment hors de la classe comme dans la cour de récréation ou à l’extérieur de l’école. A l’inverse, la violence est ce qui se passe en classe : il parle alors de « violence verbale », de

« dérive verbale » ou de « violence physique ». Ces comportements, majoritairement liés à la parole, s’expriment à travers les mots grossiers, les mots non-adéquats et les insultes entre élèves. Selon lui, les incivilités correspondent à des comportements de société, en rapport avec la cour de récréation et le monde extérieur, plutôt qu’avec la classe. Ces incivilités correspondent à des comportements tels que le manque de politesse, les bousculades, les graffitis, etc.

Le critère déterminant l’appellation serait donc pour cet enseignant le lieu dans lequel s’expriment ces conduites ; il perçoit les incivilités comme un comportement de société s’exprimant hors classe.

Les deux autres enseignants interrogés distinguent la violence de l’incivilité selon des critères différents. Brigitte considère comme violence tout ce qui se traduit par la force et la brutalité. Elle l’exprime notamment à travers les coups, tel que le

« poing dans la figure ». L’incivilité, en revanche, se traduit majoritairement au niveau verbal ainsi qu’à travers la désobéissance ou des attitudes inadéquates.

Pour cette enseignante, les comportements incivils sont directement liés à une méconnaissance des règles ou un refus de les respecter. Ainsi, le critère principal ne serait plus le lieu comme chez Pascal mais la forme que prend le comportement. La violence est liée aux attaques physiques brutales tandis que les incivilités se raccrochent au domaine verbal et aux attitudes des personnes. Si Brigitte différencie ces deux termes, elle met toutefois en évidence que les deux vont « de paire »,

« qu’on ne peut pas vraiment les dissocier et que les élèves aux comportements violents se conduisent généralement de manière incivile ». La position de Caroline rejoint celle de Brigitte. Celle-ci définit l’incivilité à travers des comportements liés au verbal et aux attitudes. Cela se traduit par de l’insolence, des comportements déplacés, une manière inadéquate de s’adresser aux adultes et même la manière de regarder les gens ou de ne pas les regarder. Tout comme Brigitte, Caroline attribue une grande partie des incivilités aux rapports d’autorité entre élèves et

enseignants. La nuance relevée chez Caroline apparaît dans le caractère parfois involontaire de l’incivilité. Pour elle, une partie de la distinction serait donc liée au fait que les incivilités ne sont pas forcément « volontairement agressives » contrairement à la violence.

Les intervenants du Point, quant à eux, envisagent la question de la violence à l’école selon une vision proche de celle que nous avons développée dans notre cadre théorique. Tous deux mettent en garde contre l’emploi abusif et stigmatisant du mot violence. Pour Laurent Duruz, il n’y a pas une violence mais « des violences ». Il rejoint, en ce sens, la pensée d’Erick Prairat. Les experts estiment que le terme est sur-employé ; « il faut bien préciser de quoi on parle » nous dit F.

Bullat et le contexte dans lequel cela s’inscrit. Ainsi, tout au long des discussions, les experts du Point ont fait attention au choix de leurs mots. François Bullat considère les comportements violents comme des « actes répréhensibles pénalement » étant par essence « forts » et extrêmes. D’après son expérience, il confirme que « dans les écoles, on a plutôt à faire à de l’indiscipline, ce qu’on appelle les incivilités, des comportements non adéquats à la vie ensemble, en collectif ». Dès lors, les dysfonctionnements relevés dans les comportements des élèves appartiendraient essentiellement au registre de l’indiscipline, de l’incivilité.

Les consultants, par leur travail en relation avec de nombreuses écoles, ont une vision d’ensemble de ce qui s’y passe. Pour F. Bullat, les manifestations sont variables : « ça peut être par des actes physiques, surtout aussi par le langage, par le regard ou différentes attitudes relationnelles. C’est ça qui est large. » D’après L.

Duruz, « chez les enfants, ce qu’on peut observer ces temps, c’est par exemple que les enfants entre eux s’injurient, ils ne se parlent qu’avec des gros mots, qu’ils en arrivent à se faire pression les uns sur les autres, qu’ils en arrivent à s’agresser, qu’ils arrivent à prendre quelqu’un comme tête de turc et on lui fait n’importe quoi, etc. ». Pour lui, « Les incivilités seraient donc peut-être le manquement au respect des uns des autres », une non-adéquation de la vie en collectivité. Durant la discussion, F. Bullat a développé la distinction entre indiscipline et incivilité. La première concernerait « un état intérieur », une attitude de vie face à des règles, un contexte ou des personnes. La seconde se traduirait à travers « les signes de

l’indiscipline » et engloberait les cris, les insultes, les bagarres, etc. En fin de compte, l’incivilité serait l’expression même de l’indiscipline.

Il apparaît que les professionnels avec lesquelles nous nous sommes entretenues proposent des définitions et distinctions de violence et d’incivilité différentes que celles que nous avons présentées dans notre cadre théorique.

Certaines sont relativement proches, tandis que d’autres en sont extrêmement éloignées. Cette large palette met en évidence qu’il existe autant de représentations que de personnes interrogées. En effet, les critères d’appréciation relevés diffèrent selon chacun : le lieu où se produit ce comportement, sa forme, la manière d’en parler, la personne visée par l’acte ou encore l’intention sont autant d’explications qui nous ont été données. Cependant, tous mettent en évidence qu’ils considèrent les comportements incivils et violents comme inacceptables car directement liés à la notion de respect. François Bullat se distingue toutefois légèrement en reconnaissant une place à ces conduites dans les espaces scolaires. Pour lui, c’est simplement une question de principe : « si on se dit que ce n’est pas acceptable, c’est comme si cela ne devait pas exister ». Ces comportements feraient donc aussi partie « d’une manière d’être ensemble ».

Nous nous sommes assurées, durant les entretiens, que les distinctions de vocabulaires ne prêtaient pas à confusion. Afin d’éviter tout malentendu, les enseignants ont développé leurs propos en s’appuyant sur des exemples concrets.

Pour faciliter la compréhension, nous continuerons, dans la suite de ce travail, à employer les termes d’incivilité et de violence scolaire. Ceux-ci se rapportent aux comportements qui nous préoccupent, même si les interlocuteurs utilisent, quant à eux, des appellations différentes.

Origines des incivilités dans les écoles... des causes contextualisées

Dans notre cadre théorique, nous avions souligné que les enseignants percevaient une augmentation des incivilités dans l’espace scolaire. Nous avons

donc cherché à savoir si les enseignants que nous avons interrogés allaient également dans ce sens. Les réponses sont sans équivoque ; cette augmentation est clairement exprimée chez la totalité des enseignants que nous avons rencontrés.

Pour Brigitte qui a commencé à enseigner il y a 27 ans « c’est incomparable ! ». Elle reconnaît qu’il y avait auparavant des bagarres de temps en temps mais pour elle « cela n’a rien à voir ». Pascal, enseignant depuis 43 ans dans la même école, nous dit aussi avoir perçu un grand changement dans les comportements des élèves durant sa carrière. L’augmentation des incivilités dans l’espace scolaire est une perception partagée mais les faits sont difficiles à quantifier. Dès lors, la véritable question serait : que traduisent, aujourd’hui, les comportements incivils dans les écoles primaires ?

Afin d’approfondir ce questionnement, nous avons demandé aux enseignants et aux consultants de nous donner leur point de vue sur l’étiologie des comportements incivils. Comme nous l’avons déjà relevé à travers nos lectures, les professionnels ont émis des hypothèses multiples et variées. Les changements dans la société, le fonctionnement de l’institution scolaire, l’évolution du rôle de l’enseignant, la relation élève-enseignant et le rapport avec les parents sont autant d’explications qu'apportent les professionnels en se basant sur leur expérience et leur vécu.

Les changements dans la société

Pour Brigitte et Pascal, les incivilités sont liées à une évolution de société que les institutions scolaires ne peuvent pas contrôler. Genève est une ville de plus en plus cosmopolite où se côtoient des individus de « cultures différentes », avec des

« habitudes différentes » (Brigitte). Le lien est rapidement fait avec la différence de culture entre les familles et l’école. En effet, la question de l’éducation est souvent mise en parallèle avec le niveau socioculturel et économique des familles. Or, l’enseignante de Gamma relève que « c'est assez étonnant » mais que le fait d’être dans un quartier relativement favorisé, « un petit village tranquille, super joli, mignon » est également propice au développement des comportements incivils.

Dans l'esprit général, on imagine que les comportements de violence scolaire et d'incivilité seraient en concordance directe avec l'environnement socioculturel. Dans

cette perspective, les écoles situées dans les quartiers dits « favorisés » auraient moins de chance d’être exposées à de tels comportements. Or, nos expériences et celles des enseignants interrogés mettent en évidence que les choses ne sont pas si tranchées. Caroline attribue les « grosses difficultés de comportement » au fait que les élèves de sa classe « sont des enfants rois, des enfants qui ne sont pas du tout conscient de la différence entre leur statut et celui de l’adulte ». Pour elle, l’évolution des représentations de l’éducation ont mené à certaines dérives :

« pendant un temps on a pensé que l’enfant, il ne fallait pas le frustrer, qu’il fallait surtout pas le contrarier, que c’était un être à part entière qu’il fallait le considérer comme un égal à l’adulte et ça je pense que c’était une erreur. » Ces divers facteurs dans l’éducation des enfants justifient la mise en place d’un travail dont l’objectif est de rétablir les places et rôles de chacun.

Depuis une quinzaine d’années, les experts du Point s’appuient sur les approches systémiques et holistiques pour comprendre et analyser les situations.

Ces professionnels rejoignent ainsi la position de Debarbieux : “c’est bien souvent plus dans un système local interactif que dans une quelconque prédisposition culturelle ou sociale à la transgression que gît la déviance scolaire”. (1999, p.107).

Pour L. Duruz, « l’histoire des classes » est à lier à « l’histoire de l’école ». Le principe de ces approches est d’affirmer qu’ « une personne est le symptôme d’une problématique plus générale », d’un dysfonctionnement du système. Selon L. Duruz, les comportements violents sont l’effet de pressions sociales, familiales, économiques, culturelles, religieuses multiples. L’expert explique ce phénomène à travers des pressions quotidiennes et des problèmes de communication. Les personnes faisant preuve de violences éprouvent des « difficultés à passer d’un état à un autre », à « s’adapter » de manière harmonieuse. Les actes incivils peuvent intervenir dans un contexte large à un « moment donné où l’on ne se donne plus de repères ni de codes communs pour vivre ensemble ». C’est en quelque sorte « une perte de consensus » de la vie en communauté et en société.

Pour ces professionnels, les aspects d’un problème doivent être abordés simultanément d’un point de vue macro, méso et micro. « Les enfants sont simplement le miroir » de leur environnement (L. Duruz) c’est pourquoi on ne peut pas leur « jeter la pierre » (F. Bullat). En d’autres termes, les comportements et

conduites des élèves seraient l’écho des incivilités des adultes. Il faut alors travailler avec ces derniers afin de « réajuster, [de] positionner et [de] comprendre les effets et les contre effets » de leurs attitudes sur les jeunes (F. Bullat). On comprend, dès lors, pourquoi les acteurs du Point considérèrent une situation problématique dans son ensemble, en tenant compte du tout et des différentes parties. Les éléments du système sont perçus de manière interdépendante et complémentaire, c’est pourquoi il faut tenir compte de la cohérence de l’ensemble pour pouvoir agir adéquatement et efficacement.

L’éducation : une responsabilité partagée

Pendant longtemps, l’objectif principal de l’école était la transmission des connaissances. Aujourd’hui, cet enjeu se trouve éclipsé par une tâche nouvelle ; celle de l’éducation. En effet, l’école a dorénavant pour mission de socialiser les élèves et de les éduquer à la vie citoyenne. Mais cette éducation ne peut se faire uniquement dans le cadre de l’école et c’est avec la famille des élèves que cette question se joue. Les enseignants, dans leurs discours, mettent clairement en évidence l’importance de l’éducation parentale par rapport à la mission d’éducation de l’école.

Les enseignants attribuent une partie des difficultés qu’ils ont à faire respecter les règles à un certain relâchement dans l’éducation des parents. Pour Brigitte, nos

« modes de vie » se sont transformés et « les parents ne sont pas forcément présents », ils travaillent de plus en plus et manquent de temps pour s’occuper de leurs enfants. Pourtant, « c’est dès le départ que l’enfant doit avoir un cadre et des règles. […] Il y a plein de contraintes à élever un enfant ». Les différents enseignants constatent qu’un grand nombre d’élèves arrive à l’école sans avoir construit ni intégré les règles minimales de socialisation. Caroline explique que « certains enfants ne savent pas [ou] n’ont pas appris à se comporter de manière adéquate en société ». Pour elle, cela se traduit notamment à travers des mots quotidiens et simples comme « bonjour, merci, au revoir ». Brigitte rejoint ce point de vue ; elle attribue les comportements incivils à des enfants « mal élevés, qui ne connaissent pas vraiment les règles, qui ne savent pas ou ne veulent pas les respecter ». Pour elle, l’école doit contribuer à cette éducation, mais il faut prendre les choses « en

amont », « à la racine », autrement dit, dans l’environnement familial. Brigitte souligne que les enseignants ont besoin des parents pour agir sur les incivilités exprimées dans l’espace scolaire. Les parents jouent un rôle fondamental dans l’éducation de leurs enfants et dans les rapports que ces derniers entretiennent avec les adultes et l’institution. Lorrain met en évidence que les tentatives d’éducation des enseignants “demeureront vaines [si elles] ne sont pas relayées par les parents” (1999, p.91). En d’autres termes, Brigitte affirme que l'école ne peut « parer [seule] à tous les maux » et qu’il lui faut un soutien des familles.

Du coté des familles, la confiance accordée à l’institution scolaire s’effrite peu à peu. D’après Prairat11, “l’attitude des classes moyennes [...] est en train de redessiner […] le rapport dominant des familles à l’école”. La posture parentale est de plus en plus exigeante et critique par rapport à l’école ; les parents contestent, s’opposent et revendiquent. “La confiance à l’endroit de l’école n’est plus immédiate comme si celle-ci avait à faire et à refaire régulièrement ses preuves.” Les enseignants se sentent dépréciés dans leurs fonctions : « Moi j’ai des parents qui sont physiothérapeutes et qui viennent m’apprendre comment enseigner la grammaire ! » (Caroline).

Les divergences entre familles et école, les désaccords plus ou moins explicites des différents partenaires peuvent entraîner un manque de repères chez les élèves. Ceux-ci, par leurs réactions, laissent parfois entrevoir une vraie rupture entre les principes de l’école et ceux des parents. Pascal prend pour exemple la réaction d'un élève face à la menace d’une convocation des parents. Celui-ci aurait rétorqué : « de toute façon si [l’enseignant] convoque mes parents ce n’est pas grave, ils me croient mes parents ». La nécessité d’exercer une action conjointe est très présente dans le discours des enseignants car assurément, ce sont les parents qui représentent l'autorité première, celle ayant le plus d'importance aux yeux des enfants. Lorsque l’enseignant est critiqué dans la sphère familiale, que son statut est décrédibilisé aux yeux des enfants, son autorité ne peut être que remise en question.

11 Prairat, E. Les valeurs à l’heure de la désacralisation de l’ordre scolaire. ERAEF, Université Nancy

En définitive, il y aurait donc un réel questionnement à entreprendre sur le lien entre la famille et l’école, une confiance qu’il faudrait parvenir à restaurer et une délimitation des rôles de chacun vis-à-vis de l’éducation des élèves. Il faut que la

En définitive, il y aurait donc un réel questionnement à entreprendre sur le lien entre la famille et l’école, une confiance qu’il faudrait parvenir à restaurer et une délimitation des rôles de chacun vis-à-vis de l’éducation des élèves. Il faut que la

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