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VII. APPORTS D’AIDE DE SOURCES AUTRES QUE L’O CD E

4. Aide d’autres pays en développement

Le montant net des versements d’aide de la Chine en 1991 serait, selon les estimations, tombé à quelque 120 millions de dollars. Cette baisse résulte de la nette diminution des contributions destinées aux institutions multilatérales, qui se sont chiffrées à 12 millions de dollars contre 47 millions de dollars l’année précédente. L ’aide bilatérale, qui a représenté la majeure partie du montant net estimatif des versements en 1991, a été composée d’une aide- projet, de prestations d ’assistance technique (y compris des équipes médicales), de produits de base, d’une aide d’urgence et de dons en espèces. Jusqu’à présent, la Chine avait préféré remettre en état d’anciens projets plutôt que d’en entreprendre de nouveaux, mais les initiatives prises dans de nombreux pays en développement en faveur de la privatisation et du développe­ ment du secteur privé ont placé la Chine devant un dilemme, tous ses projets intéressant le secteur public. Cette situation explique peut-être pourquoi la plupart des nouveaux engagements d’aide connus en 1991 ont été pris dans le secteur du bâtiment, si l’on excepte des projets agricoles financés au Cameroun par un prêt de 10 millions de dollars. Il faut aussi souligner que la Chine a accordé au moins deux crédits cadres en faveur du développement économique à la Gambie et au Pakistan, dont une proportion non déterminée a été affectée à des équipements militaires. La Chine continue à octroyer des prêts ne portant pas intérêt, dont l ’échéance et le différé d’amortissement sont l’un et l’autre de dix ans. Des dons ont été accordés principale­ ment pour financer de petits équipements ou une aide d’urgence en faveur des réfugiés. Le programme d’aide de la Chine est principalement axé sur les pays de l’Afrique subsaharienne, mais de nouveaux bénéficiaires viendront probablement s’y ajouter. Ainsi, la Mongolie reçoit actuellement une aide de la Chine et des négociations sont en cours avec le Kazakhstan et certaines républiques d’Asie centrale de l’ancienne URSS.

Selon les estimations, le montant net des versements de l’Inde est tombé à environ 80 millions de dollars en 1991, contre 110 millions de dollars l’année précédente. Ce recul traduit la baisse sensible des contributions multilatérales. Le montant net des versements bilatéraux est resté au même niveau que l’année précédente, quelque 65 millions de dollars, dont près de 90 pour cent ont été accordés sous forme de dons. En 1991, la moitié environ de l’aide bilatérale de l’Inde est allée au Bhoutan, suivi du Népal (10 millions de dollars) et du Viet Nam (4 millions de dollars). L ’aide accordée au Bhoutan et au Népal a pris en totalité la forme de dons, mais le Viet Nam n ’a reçu que des prêts. Quinze millions de dollars environ ont été accordés dans le cadre du Programme de coopération technique et économique (ITEC) de l’Inde, qui fournit les services d ’experts indiens, des installations de formation et divers équipements à titre de dons. Étant donné l’important volume de crédits d’aide non déboursés (environ 140 millions de dollars au taux de change de 1991), l’aide nette de l’Inde devrait quelque peu augmenter dans un avenir proche.

Le montant net de l’aide d yIsraël s’est chiffré à 22 millions de dollars en 1991, soit deux millions de plus que l’année précédente. Cet accroissement est le fait du programme bilatéral, qui est composé en totalité d ’activités d’assistance technique. Outre des bourses d’étude en Israël (1 860 en 1991), un programme relativement important dispensé sur place, et comprenant cours de formation et séminaires, a accueilli quelque 2 850 stagiaires en 1991. Cette même année, on dénombrait 300 experts israéliens en mission dans des pays en développement, en particulier en Amérique latine, mais 10 pour cent d’entre eux seulement étaient chargés de missions de longue durée. Les secteurs privilégiés de l’aide israélienne sont toujours l’agricul­ ture, le développement communautaire, l’éducation et les coopératives.

Bien que le gouvernement de la République de Corée ait pris certaines décisions afin de mettre au point un programme d’aide, les versements d’aide sont, jusqu’à présent, restés modestes et ont même diminué de 10 pour cent en 1991 pour s’établir à 70 millions de dollars. Ce fléchissement correspond à la baisse des contributions destinées aux institutions multilaté­ rales qui, avec 20 millions de dollars, représentent la moitié de leur volume de 1990. La part la plus importante de l’aide coréenne a été composée de dons bilatéraux principalement destinés à l’Égypte, à la Jordanie, à la Turquie et à d’autres pays du Moyen-Orient, dans le cadre de l’assistance financière multinationale accordée aux pays touchés par la crise du Golfe. Les autres dons bilatéraux ont financé des activités d’assistance technique qui ont bénéficié à de plus nombreux pays. Dans le but de planifier et mettre en œuvre de façon plus efficace l’assistance technique qu’elle accorde, la Corée a créé en 1991 l’Agence de coopération internationale (KOICA), placée sous la tutelle du ministère des Affaires étrangères. La KOICA dispose de son propre budget, qui est passé de 25 millions de dollars en 1991 à 32 millions de dollars en 1992. Elle a pour mission de conduire les programmes d’aide qui relevaient précé­ demment de diverses autorités gouvernementales. Il lui appartient notamment de mettre en place des programmes de formation, d’envoyer des experts, des volontaires et du personnel médical, de fournir du matériel, une aide humanitaire et une aide en cas de catastrophe, de mener des études de faisabilité et de verser les contributions financières aux fonds et orga­ nismes multilatéraux. Trente-trois experts sont en poste dans 21 pays et 77 volontaires ont été répartis entre sept pays d’Asie et du Pacifique. Les 40 premiers jeunes volontaires ont été envoyés à l’étranger à l’automne de 1990 pour une durée de deux ans et ils ont été suivis en 1991 de 37 autres. La plupart d ’entre eux sont affectés à des missions dans l’agriculture, la protection maternelle et infantile et la formation en informatique. Le gouvernement coréen a financé les études et la formation de 312 étudiants et stagiaires provenant de 84 pays en développement. Les principaux domaines d’étude sont l’administration publique, la planifica­

tion économique, l’agriculture et les pêcheries. L ’Institut coréen de développement a en outre financé 188 autres stagiaires.

Le Fonds de coopération pour le développement économique accorde aux pays en déve­ loppement des prêts à des conditions libérales. La Banque import-export de Corée administre ces prêts au nom du ministère des Finances. En 1991, le Fonds a signé trois accords de prêts représentant un montant total de 33 millions de dollars. Ces prêts comportent un élément de libéralité de 44 pour cent. Deux autres accords ont été signés pendant le premier semestre de

1992, ce qui porte à sept le nombre total d’accords de prêts depuis la création du Fonds en 1987, puisque deux prêts ont été signés en 1989. Le Fonds prévoit de réduire la période d’attente qui s’écoule entre la demande de prêt et l’accord de prêt, et qui atteint de deux à quatre ans. Les versements des prêts qui, selon les projections, devaient s’accroître en 1991, ont, contre toute attente diminué, tombant de 10 millions de dollars en 1990 à 7 millions. Le capital libéré du Fonds a été porté en 1991 à 164 millions de dollars et les versements de prêts devraient dépasser 25 millions de dollars en 1992.

L’aide de Taïwan a plus que doublé en 1991 pour atteindre 121 millions de dollars, mais elle reste néanmoins plutôt modeste par rapport au PNB (0.07). Le volume de son aide est affecté en partie par le fait que Taïwan est exclue de presque la totalité des institutions d ’aide multilatérale et qu’un nombre restreint de pays l’a reconnue officiellement. La majeure partie de son aide demeure composée de dons bilatéraux, mais, en 1991, Taïwan a pour la première fois accordé aussi des prêts. La plupart des dons financent des activités d ’assistance technique, qui sont administrées par le Comité de la coopération technique internationale. En 1991, 419 experts et techniciens ainsi que 22 médecins et infirmières étaient en mission dans 32 pays - ce qui correspond au plus grand nombre de pays bénéficiaires depuis 1972. La majorité des experts et techniciens sont en poste au Malawi (44) et au Swaziland (40). Les autres principaux bénéficiaires sont l’Indonésie, le Paraguay, le Costa-Rica et le Lesotho. L ’assistance technique est principalement centrée sur le développement agricole, mais les pêcheries et l’artisanat en bénéficient aussi. Le personnel médical financé par Taïwan est affecté en République centrafri­ caine et en Guinée-Bissau.

L’aide apportée par Taïwan à la formation dans un pays est complétée par des cours de formation à Taïwan même. En 1991, le nombre de stagiaires est passé à 137. Ces stagiaires viennent de 31 pays, alors que, l’année précédente, 91 stagiaires venaient de 29 pays. Les fonds consacrés à l’assistance technique sont inscrits au budget du ministère des Affaires étrangères, qui finance aussi un montant croissant d’aide humanitaire. Les plus fortes sommes consacrées à cette forme d’aide sont allées à la Jordanie et aux réfugiés kurdes. En tout, plus de 30 pays ont obtenu des dons de Taïwan en 1991. Les contributions versées par Taïwan aux organisations multilatérales ont augmenté sensiblement en 1991 à la suite d’un versement de 37.5 millions de dollars à la Banque centroaméricaine d’intégration économique (BCIE).

Les prêts de Taïwan en faveur de l’aide au développement sont accordés par le Fonds de coopération pour le développement économique international (IECDF), qui a été créé en 1988 et doté d’un capital libéré de 385 millions de dollars. En 1991, le Fonds a signé quatre accords de prêts représentant au total 64 millions de dollars. L ’élément de libéralité de ces prêts s’étale de 35 à 46 pour cent. Au cours du premier semestre de 1992, deux autres prêts ont été signés, portant le nombre d’accords de prêts à sept depuis la création du Fonds, soit au total 102 mil­ lions de dollars. Le premier prêt de l’IECDF a été signé en 1990. Au début de 1992, le Fonds a reçu, de la part de 38 pays, 92 demandes de financement de projets. Les versements des prêts ont commencé en 1991 et, à la fin de l’année, ils atteignaient 35 millions de dollars, répartis entre cinq pays. L ’un de ces cinq pays a bénéficié de plus des trois quarts des versements. Les statuts du Fonds ont été révisés en 1991 pour les rendre plus conformes aux définitions et aux

critères d’APD définis par le CAD. Outre les prêts, le Fonds a accordé 4 millions de dollars sous forme de dons pour financer des études de faisabilité et des cours de formation. Au cours de l’exercice 1991/92, 465 stagiaires venant de 50 pays ont participé à ces cours.

Le montant net des versements d ’aide du Venezuela a continué à diminuer en 1991, tombant à 10 millions de dollars, contre plus de 40 millions de dollars en 1990. Par rapport au PNB, l’aide a décliné de 0.09 pour cent à 0.02 pour cent. Ce recul tient à la baisse du montant lourd des versements et et à la montée en flèche des remboursements de prêts. En 1991, les principaux bénéficiaires de l’aide vénézuélienne ont été la République dominicaine, le Honduras et le Guatémala. Les contributions multilatérales ont, elles aussi, diminué sensible­ ment pour la deuxième année consécutive, pour s’établir à 5 millions de dollars.

TABLE DES MATIÈRES

Partie I .

DONNÉES FONDAMENTALES SUR L’AIDE

1. L’APD des pays Membres du CAD en 1991 et au cours de ces dernières années... A-8 2. Tendances à long terme de l’aide de toutes provenances... A-10 3. Indicateurs de la répartition des charges... A -12 4. Indicateurs de la répartition des charges (su ite )... A -13 5. Conditions financières des engagements d’A P D ... A -14 6. Degré de liaison de l’APD pour chacun des pays Membres du CAD, 1990... A-15 7. Aide multilatérale et répartition géographique... A -16 8. Versements à conditions libérales et non libérales des principales institutions multilatérales, 1990-91 . . A -17 9. Répartition géographique de l ’APD des donneurs du CAD et des organismes multilatéraux... A -18 10. Principales utilisations de l’aide des différents donneurs du CAD et institutions multilatérales... A -19 11. Importance relative et composition de la coopération tech nique... A-20 12. Relations économiques/financières non-APD avec les pays en développement... A-21 13. Indicateurs économiques des Membres du CAD ... A-22 14. Total des apports nets de ressources aux pays en développement... A-23 15. Apport net de ressources aux pays en développement... A-24 16. Transfert financier net global par région (en milliards de dollars courants)... A-25 17. Transfert financier net global par région (en milliards de dollars aux prix et taux de change de 1990) A-25 18. Coefficients du service de la dette par r é g io n ... A-26 19. Degré de dépendance à l’égard de l’aide et revenu par habitant des pays en développement... A-27 20. Montant total net de l’APD de principales provenances ventilée par région et pour divers pays en

développem ent... A-28 21. Aide des donneurs non membres du CAD en 1991 ... A-30

Partie I I .

STATISTIQUES DE RÉFÉRENCE

Section A

FLUX TOTAL DES RESSOURCES

22. Les apports totaux nets en provenance des pays du CAD aux pays en développement et aux orga­

nismes multilatéraux, 1970, 1975, 1980, 1989-91 ... A-32 23. Les apports totaux nets en provenance des pays du CAD aux pays en développement et aux orga­

nismes multilatéraux, moyenne 1980-82, 1986-91 ... A-33 24. Les apports nets de capitaux privés en provenance des pays du CAD aux pays en développement et

aux organismes multilatéraux, moyenne 1980-82, 1986-91 ... A-34 25. Les apports nets de l’aide publique au développement en provenance des pays du CAD aux pays en

Section B AIDE MULTILATÉRALE

26. Aide publique au développement en provenance des pays du CAD aux organismes multilatéraux, 1991 A-36 27. Souscriptions au capital des organismes multilatéraux sur une base «effets payables à vue» et

«encaissement», 1980, 1988-91 ... A-37 28. Versements nets des apports concessionnels et non concessionnels par les organismes multilatéraux,

1970-71, 1975-76,1980, 1985-91 ... A-38 29. Engagements des apports concessionnels et non concessionnels par les organismes multilatéraux, 1970,

1975, 1980, 1985, 1988-91 ... A-39

Section C CONDITIONS DE L’APD

30. Engagements de l’APD ventilés par principaux objets, 1990 ... A-40 31. Respect par les Membres du CAD de la Recommandation du CAD de 1978 sur les conditions finan­

cières de l’aide en 1990 et 1991 ... A-42 32. Autres conditions des paramètres... A-43 33. L’état de déliement de l’aide des pays Membres du CAD, 1990 ... A-44

Section D

COOPÉRATION TECHNIQUE

34. Dépenses de coopération technique, 1970, 1980, 1987-91 ... A-45 35. Étudiants et stagiaires, 1970, 1980, 1987-91 ... A-46 36. Experts et volontaires, 1970, 1980, 1987-91 ... A-47

Section E

RÉPARTITION GÉOGRAPHIQUE

37. APD totale nette en provenance des pays du CAD, des organismes multilatéraux et des pays arabes

reçue par les pays et territoires en développement... A-48 38. Ventilation par donneur des versements nets d’APD en faveur de l’Afrique subsaharienne, 1979, 1980,

1984, 1990 et 1 9 9 1 ... A-50 39. Versements nets d’APD de toutes provenances aux pays d’Afrique subsaharienne, 1979, 1984, 1985,

1990 et 1 9 9 1 ...A-51 40. APD en provenance des pays du CAD en faveur des pays les moins avancés, 1979-80, 1990-91 . . . . A-52 41. Distribution régionale de l’APD par donneur CAD, millions de d o lla r s ...A-53 42. Distribution régionale de l’APD par donneur CAD, pourcentages... ....A-54 43. Bénéficiaires principaux de l’APD totale par donneur... ....A-55

Section F

AIDE EN PROVENANCE DES PAYS ARABES

44. Aide concessionnelle des pays arabes, 1970, 1975, 1986-1991 ...A-66 45. Aide concessionnelle des pays arabes en 1990 et 1 9 9 1 ... ...A-67 46. Répartition géographique du total de l’APD bilatérale des pays arabes aux pays et territoires en déve­

loppement, 1988-91 ...A-68

Section G

TABLEAUX DE RÉFÉRENCE Données détaillées du CAD

47. Comparaison des apports par type en 1990... A-70 48. Comparaison des apports par type en 1991 Les apports financiers aux pays en développement et aux

49. Australie, Autriche, Belgique... .... A-74 50. Canada, Danemark, Finlande... .... A-76 51. France, Allemagne, Irlande... A-78 52. Italie, Japon, P ays-B as... .... A-80 53. Nouvelle-Zélande, Norvège, S u èd e ... .... A-82 54. Suisse, Royaume-Uni, É tats-U nis... A-84 55. Total des pays du C A D ... .... A-86 56. C E E ... A-88 57. Déflateurs du PNB des pays Membres du CAD, 1974 à 1991 ... A-90 58. APD des pays Membres du CAD, aux prix et taux de change de 1990, 1982-90 ... A-91 59. Produit national brut et population des pays Membres du CAD, moyenne 1981-82, 1989-91 ... A-92 Indicateurs des pays en développement

60. Niveau du PNB et de la population en 1990 et 1991 et taux de croissance du PNB réel par habitant de 1980 à 1990 ... .... A-93 61. Principales destinations de l’APD net du Japon, 1991... A-97 Les données dans ce rapport ont été soumises jusqu’au 30 septembre 1992, date à laquelle les déclarations de certains pays Membres étaient encore incomplètes. Dans la mesure du possible, le Secrétariat s’est référé à des chiffres provisoires, fournis en mai ou juin 1992, pour compléter les tableaux ; ces cas sont indiqués par ( ), ou par .. lorsqu’il y a eu défaut de notification.

Les lacunes dans les tableaux qui présentent les ressources acheminées aux pays bénéficiaires étudiés individuel­ lement ont été comblées en supposant, pour les pays donneurs concernés, que la répartition géographique constatée en 1990 était également celle de 1991, et s’appliquait donc aux totaux effectifs ou estimés de cette dernière année. Ceci concerne tous les tableaux géographiques et en particulier le tableau 43 pour l’Allemagne, l’Irlande, et le Japon (pour lequel les données principales de 1991, qui ont été reçues après la date de clôture, sont présentées au tableau 61) et l’Espagne.

Dans certains tableaux concernant la répartition géographique et la ventilation par objet les données reproduisent la soumission des pays Membres et comprennent l’annulation de dettes nées de créances non-APD. Voir tableau 1 et la note concernant la comptabilité de l’annulation de la dette.

SIGNES UTILISÉS ( ) Estimation du Secrétariat, en totalité ou en partie - ou 0.00 Nul ou négligeable

Non disponible

Non disponible séparément mais compris dans le total X Moins de la moitié du plus petit chiffre indiqué N.A. Non applicable

Incomplet P Provisoire

Les chiffres étant arrondis, les totaux ne correspondent pas toujours à la somme des composants.

Pour des informations plus détaillées concernant l ’origine et la destination des apports de ressources et de l ’aide, y compris les données définitives reçues après la préparation de la présente annexe, voir le rapport qui sera publié prochainement : Répartition géographique des

ressources financières allouées aux pays en développement, 1988-91. Un foqnulaire permettant

L’attention du lecteur a été attirée au Chapitre V page 98 à la comptabilisation dans les statistiques du CAD concernant l ’aide de l ’annulation de la dette.

Le tableau 1 de l’Annexe Statistique reproduit le tableau 1 du Chapitre V ainsi que la totalité des explications nécessaires. La même méthodologie a été utilisée dans tous les tableaux de base de l ’Annexe Statistique portant sur le volume de l ’aide. Cependant, pour des raisons techniques, dans certains tableaux, les totaux CAD utilisés pour le calcul de la part des pays, ainsi que pour l ’élaboration des données sur la répartition géographique, n’ont pu être ajustés de la manière décrite dans le tableau 1.

Partie I

A

-8

Tableau L L’APD DES PAYS MEMBRES DU CAD EN 1991 ET AU COURS DES DERNIÈRES ANNÉES

Versements nets

MiUiSfls dollars Puürcenlage âü PNB

Foüreëfiiagë dë Variation 1991/90 Poureëniagë annuel m eyên m Vélum#. * 1985/86 1990/91 Î99Î chiffres ê tim it* * 1990 chiffres effectifs a m \ »us prix ët tau* de changé de 1990 1978/82 moyenne 19ë3/ë? moyenne ! 990/91 moyenne 1989 1990 1991 En moïïnaiê riâïu?nâli? En dollars En Volume " A u str a lie ... 1 050 955 1 038 0,-50 0,44 0,36 0,38 0,34 0,38 10,3 9:9 8:7 =3.2 Au I r i d i é ... 548 394 542 0,28 0:24 0.29 0.23 0.25 0.34 43.0 39.3 37.8 2.9 Belgique ... 831 889 824 0.56 0.52 0 4 4 0 4 6 0 4 6 0 4 2 - 4 J -6.6 - 7 4 0,0 Canada ... 2 604 2 470 2 490 045 0 4 8 045 0 4 4 0,44 0,45 3,6 5,4 0,8 1,2 Danemark, ... 1 200 Î 171 1 203 0,7-3 0,84 0,95 0.93 0,94 0,96 6,0 2:5 2:9 3.7 Finlande... 930 846 951 0.24 0.42 0.70 0.63 0.63 0.76 16.2 9.9 12.3 13.2 France - . ... 7 484 7 194 7 526 0.50 0.59 0.61 0=60 0,60 0,62 7 ,8 4,0 4,6 -0,4 Allemagne . . . . 6 890 6 320 6 778 0,44 0,44 0,41 0,41 0,42 0.41 11=9 9.0 7:3 2.2 Irlande . . . . 72 57 73 0.20 0.23 0.18 0.17 0.16 0.19 3L2 27.-3 2 7 4 -3,5 Italie , , , , , , 5 , , , , , , s , , , 3 352 3 395 3 234 0,15 0.31 0.30 0.42 0.31 0.30 2.2 =1.3 =4.8 1.4 Japon- . . . . 10 952 9 069 9 983 0.28 0.31 0,32 0,31 0,31 0,32 12.2 20.8 10.1 7.1 Pays-Bas<y. . . . . 2 517 2 538 2 502 0.97 0.97 0.90 0.94 0.92 0.88 1.8 =0.9 =1.4 1.8 N ouvelle^élande... 100 95 102 0.31 0.27 0.24 0.22 0,23 0,25 8 4 5,1 6,9 -2.4 Norvège . . . . 1 178 1 205 1 202 0.92 1.08 1.15 1.05 1.17 1.14 1.2 =2.3 =0.3 2.8 Portugal . . . 213 148 190 0.02 0.07 0.28 0.24 0,25 031 45,7 43,8 2 8 4 41.0 Hspagne 1 177 959 1 123 0.11 0.08 0.21 0.14 0.20 0.23 25.2 22,7 17.2 3-5,7 S u èd e-... ... 2 116 2 007 2 011 0,88 0,85 0,91 0,96 0,91 0.92 7.7 5.5 0.2 2.9 S u is s e . . . . 863 750 847 0.23 0,31 0.34 0.30 0.32 0.36 18.8 15.1 12.9 4.6 Royaume-Unid ... 3 248 2 638 3 060 0.42 0.32 0.30 0.31 0.27 0.32 24.6 23.1 16.0 -0.1 États-Unis d... 11 262 11 394 10 860 0.24 0.23 0.20 0.15 0.21 0.20 -1.2 -1.2 -4.7 0.0 TOTAL C A D *... 56 709 52 960 54 730 0.32 0.33 0.33 0.32 0.33 0.33 7.5 7.1 3.3 1.7 Pour information :

Moyenne non pondérée . . . - - - 0.42 0.45 0.48 0.46 0.47 0.49 - - - -

a) Aux prix et taux de change courants. b) Aux prix et taux de change de 1990.

c) Y compris TOM, mais non compris DOM.

d) Y compris l’annulation de dettes nées de créances autres que l ’APD :

En 1990 :

i) Crédits à Fexpertatien (§n millions de d e l t a ) ; Frane# l ê ê (ÿ cuuipiih ratitiulatiüfi de d ém îte s précédemment euMSuIldéeS), Jujjuii 15, PaÿS=Ba& 12, Suède 5, RuyaUnie Uiii 8, ii) Frets d ’ajustement structurel classés en ÂÂSP :

Franet

î î l millions de dollars,

iii) Créances miiitaifës ! États-Unis 1.2 milliard de d o lla r . En 1991 :

i) Crédits à l'exportation (en millions de dollars) : Japon 7, Royaume-Uni M, H) Créances militaires ; États-Unis 1.86 milliard de dollars.

L ’om ission de ces montants forait passer le rapport Apu/l#NH d f la branee, des Pays-Bas et des États-Unis à Ci té, 0.93 et Q.19 fespeetivement ; pour 1991, le rapport ÂFU/PNB pour les

États-Unis serait de Q: 17.

e.) Non compris les montants énumérés à la neH - ; veir la note chapitre V se rapportant à l'examen par le e A u de la comptabilisation de l'annulation de dettes. Si ces montants ôtaient inclus,

A

-1

0

Tableau 2. TENDANCES A LONG TERME DE L’AIDE DE TOUTES PROVENANCES

Volume net d’APD (M illions de dollars aux prix et

taux de change de 1990)

1970-71 75-76 80-81 90-91 70-71

Part du total OCDE 75-76 80-81 90-91

APD en pourcentage du PNB 70-71 75-76 80-81 90-91

CAD :

É tats-U nis... Membres de la CEE pris ensemble dont : F r a n c e ... Allemagne... I t a l i e ... Pays-Bas... Royaume-Uni...