Échec à la procédure de qualification ?

La décision d'examen, qu'elle soit suffisante ou non pour l'obtention d'un CFC

d'assistante médicale, est accompagnée de l'indication des voies de recours pour les candidats à la procédure de qualification.

Tous les candidats à la procédure de qualification ont la possibilité de consulter le détail de leurs examens aux dates communiquées pour la consultation des examens. Il est vivement recommandé de faire usage de cette possibilité en cas de décision négative concernant l'examen.

Si un candidat à la procédure de qualification n'est pas d'accord avec les résultats, il peut choisir la voie du recours (fortement recommandé en premier lieu s'il s'agit d'erreurs évidentes, comme un mauvais calcul des points ou une mauvaise conversion en notes) ou directement celle du recours pour contester juridiquement la décision d'examen. Cette solution peut s'avérer coûteuse et prendre beaucoup de temps, car le recours à un représentant juridique sera alors plutôt obligatoire. En cas de décision négative, les frais sont à la charge du candidat qui a déposé le recours.

Pour qu'un recours aboutisse dans le cas normal, il faut prouver qu'une candidate à la PQ n'a pas bénéficié des mêmes conditions équitables lors du déroulement de la procédure de qualification (corrections/évaluations erronées prouvées et ou évaluations non compréhensibles) ou qu'il existe des lacunes systémiques (les processus n'ont pas été respectés conformément à l'ordonnance sur la formation ou aux dispositions d'exécution).

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9. Les trois conseils pour la procédure de qualification AM

Pour réussir une procédure de qualification, une bonne préparation est essentielle ! Cela signifie qu'il faut réviser de janvier à mai, identifier les lacunes et les combler. En cas de doute, il faut poser les questions correspondantes aux enseignants de l'école professionnelle. Celui qui a bien étudié peut aborder une procédure de qualification avec sérénité, car le savoir est présent dans son cerveau. Il suffit de laisser ce dernier faire le travail lors des examens.

Les assistantes médicales CFC et les assistants médicaux CFC savent que les nombreuses connaissances acquises au cours des trois années d'apprentissage professionnel servent en premier lieu à pouvoir les utiliser dans le quotidien

professionnel sous forme de compétences et à pouvoir, au cours des années à venir, toujours mieux mettre en réseau les contenus de la médecine passionnante. Cette expérience croissante constitue en fin de compte les compétences professionnelles requises.

Se préparer à la procédure de qualification ne signifie donc pas simplement réussir les examens de connaissances professionnelles, mais poser les bases pour pouvoir évoluer soi-même dans le métier d'assistante médicale. Le diplôme de fin d'apprentissage constitue le fondement de tout le reste de la carrière personnelle dans le milieu médical

!

9.1. Aperçu des situations de cas

Les situations de cas sont toujours décrites au début d'un "module d'examen". Elles fournissent des indications sur les tâches qui suivent et qui s'y rapportent. Les situations de cas donnent des indications sur le contexte dans lequel les tâches sont posées.

Dans les exécutions numériques, les situations de cas peuvent être dépliées (rendre visible) ou repliées (rendre invisible) pour chaque tâche.

Lors de l'examen écrit, ceux-ci se trouvent le plus souvent à la page 3 et à la page 18 (examen de 30 minutes en COD - Diagnostic par imagerie et en COE - Thérapeutique), en plus à la page 33 (examen de 45 minutes en COC - Laboratoire) et pour les examens de 60 minutes en COA - Administration du cabinet et COB - Assistance en consultation, à la page 48.

Il vaut la peine de se mettre soi-même dans la situation des différents rôles et patients !

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9.2. Résoudre toutes les tâches comme principe suprême !

Pour tous les examens écrits sur papier et sous forme numérique dans le domaine des connaissances professionnelles, l'objectif principal est d'obtenir le plus de points possible. Les candidats ne peuvent y parvenir que si tous les Tâchess sont résolus.

Les candidats doivent garder un œil sur le temps pendant une session d'examen. Le temps imparti est de 15 minutes par situation de cas comprenant 14 tâches chacune. Il vaut la peine de développer un rythme et de s'y tenir.

Si le temps manque à la fin, il est toujours préférable de passer rapidement en revue les tâches restantes et de parier sur une sélection. Il n'est possible que de gagner des points et non d'en perdre ! Dans le pire des cas, une tâche peut avoir un résultat de 0 point, mais elle ne donne jamais de points négatifs en tant que tâche entière.

Si les candidats ne sont pas sûrs d'une tâche ou d'une affirmation et qu'ils hésitent, il suffit de choisir l'affirmation la plus proche de la réalité.

Il ne faut en aucun cas consacrer trop de temps à une seule tâche, car c'est la quantité totale de tâches résolues qui est déterminante et non pas une tâche en particulier !

9.3. Renoncer autant que possible à corriger les Tâchess résolus !

Chaque épreuve peut être corrigée vers la fin de l'examen si cela s'avère nécessaire.

D'un point de vue statistique, il est toutefois préférable d'y renoncer ! L'expérience des examens montre que souvent, des Tâchess parfaitement résolus ont été "aggravés" par la suite et ont alors obtenu moins de points.

Si l'on est bien préparé, on peut laisser efficacement la résolution des tâches à son cerveau ! Les incertitudes sont principalement influencées par les émotions et celles-ci ne prennent guère de meilleures décisions. Le principe est le suivant : "Faire confiance à son propre cerveau. C'est là que se trouve ce que l'on a appris. Celui-ci le sait mieux que l'émotion ! ".

La plupart du temps, la première pensée d'une déclaration est la pensée correcte !

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10. Informations de base sur les examens numériques

elern GmbH a été mandatée par la FMH pour élaborer la conception, la mise en œuvre et l'exécution de la procédure de contrôle qualité des examens numériques pour la commission de tâches AM PQ.

Les séries 0 ont été évaluées par l'IFFP sur le plan conceptuel, pédagogique et didactique. Elles répondent en principe aux exigences de la qualité d'examen demandée.

Le SEFRI et le CSFO ont toujours été informés et impliqués tout au long du développement des examens numériques.

Le système d'examen OpenOlat, recommandé par elern et sélectionné par la FMH, est utilisé avec succès depuis plus de 10 ans dans différentes institutions de formation et se base sur l'idée de l'open source. Cela signifie que la programmation sous-jacente d'OpenOlat est ouverte.

OpenOlat est basé sur la norme QTI 2.1 (Question & Test Interoperability), acceptée dans le monde entier, pour les questions d'examen et les séries de tests numériques.

Pour le système de vérification, Frentix GmbH, développeur d'OpenOlat, est utilisé comme hôte avec des serveurs très rapides et sécurisés.

Tous les cantons qui misent sur les passages numériques des examens de

connaissances professionnelles lors de la procédure de qualification peuvent tester numériquement les séries 0 dans leurs propres écoles professionnelles à l'avance et selon leurs besoins.

Si des problèmes techniques surviennent lors de la procédure de qualification, des examens sur papier sont disponibles en guise de sauvegarde. Cela permet de garantir que la procédure de qualification dans les connaissances professionnelles puisse avoir lieu le jour de l'examen, après convocation par la commission d'examen, quelles que soient les circonstances.

elern GmbH et la commission d’examen PQ de l’AM souhaitent à tous les candidats et candidates beaucoup de succès lors de la procédure de qualification et, par la suite, beaucoup de plaisir dans leur vie professionnelle !

Chef de projet FMH AM ePQ Président de la commission d’examen FMH PQ AM Richard Münger Dr. med. Gert Printzen