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TES TH 1 introduction sept 06

CROISSANCE, DEVELOPPEMENT ET CHANGEMENT SOCIAL.

Chapitre 1 : La croissance, un phénomène quantitatif de long terme . I/ Croissance, de quoi parle-t-on ?

A- Définition et mesure.

Définition : Augmentation soutenue sur une longue période du produit global net en termes réels.

Ne pas confondre :

- croissance et expansion, l’expansion se caractérisant par un accroissement de la production globale sur une courte période.

- récession et dépression. La récession correspond à une chute du taux de croissance ou son maintien à un niveau faible alors que la dépression se caractérise par une baisse de la production (PIB),c'est-à- dire un taux de croissance négatif.

Q°1- exercice 3 page 22

B- La croissance, une mesure critiquable., annexe 1

Q°2 quelles sont les raisons qui permettent de considérer que le PIB réel est un indicateur peu pertinent des richesses créées ?

II/ Une croissance inégale dans le temps et dans l’espace.

A- Dans le temps : tableau doc 1 p 12

Q°3 : Que signifie « 2.84 » ?

Q°4 : Par combien a été multiplié le PIB des USA sur la période 1913-1950 ? Q°5 : Question 4 du doc 1 p 12.

Q°6 : Peut-on parler de crise pour la période actuelle ? (crise au sens de votre dico de SES)

B- Dans l’espace : doc 3 p 13

Q°7 : Faites une phrase avec les données de la 1ère ligne.

Q°8 : Calculez le coefficient multiplicateur du niveau de PIB/hbt en 1820 et 1998 pour chaque région:

Q°9 : Question 4 du doc 13.

Q°10 : En prenant le monde pour base 100, transformez le doc 3 et commentez vos résultats.

III/ A la source de la croissance : les facteurs de production.

A-Le rôle primordial de gains de productivité dans l’amélioration du niveau de vie.

Q°11 : Questions 1 et 2 du doc 1 p 28.

B-Le rôle de facteurs de production dans la croissance économique.

Annexe 2, tableau doc 6 p 31 Q°12 : Quelle est la part de la croissance expliquée par le capital, par le travail, par la productivité globale des facteurs, dans les deux périodes ?

Q°13 : Expliquez, à l’aide du doc 6 p 31, la phrase soulignée dans l’annexe 2.

Annexe 1 :

Jusqu'en 1976, le produit intérieur brut (PIB) ne comptabilisait que des activités marchandes (mesurées par le chiffre d'affaire, diminué des consommations intermédiaires). Cette définition du produit excluant les services publics a fini par apparaître trop restrictive. Bel exemple d'un changement de convention de richesse. Les administrations publiques sont désormais une production comptabilisée dans le PIB. Mais problème : comment estimer une production qui n'a pas de prix de marché ? La convention retenue est de valoriser ces activités à la somme de leur coût de production, soit la

rémunération des salariés, augmentée des impôts et les amortissements.

Si la production des jardins potagers est évaluée et intégrée dans le PIB, celle du travail domestique non, Pourtant la première ne représente presque plus rien, tandis que la seconde accapare un temps quasiment équivalent au temps de travail. Des féministes y virent dans les années 70 le signe du dédain pour les activités féminines, tant il est vrai que les tâches domestiques étaient - et restent - le fait des femmes. Bref, le PIB est macho.

1

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Mesurer la valeur de la production ne suffit pas. Une augmentation de la production en valeur peut en effet très bien venir d'une forte augmentation des prix, alors que les quantités produites stagnent. Il faut donc faire la part de ce qui relève des prix et de ce qui dépend des volumes produits. Il existe deux voies pour évaluer le volume d'une production : soit compter directement les quantités produites, soit utiliser un indice de prix qui permet de corriger (les économistes disent « déflater ») la variation de la valeur par la variation des prix.

Or la qualité perturbe également les prix. Les statisticiens peinent à séparer, dans une hausse de prix, ce qui relève d’une amélioration de qualité ou de quantité donc ce qui relève de la croissance et de l’inflation. En 1995, aux USA, une

commission a estimé que l’inflation américaine était surestimée de plus d’un point par an principalement du fait des progrès de la qualité des produits. Qui dit surestimation de l’inflation dit croissance sous estimée.

La production des services marchands est évaluée par une série de conventions tout aussi discutables. Comment mesurer par exemple la production d'une banque ?

Là encore, l'évaluation du volume peut difficilement s'appuyer sur un dénombrement des prestations, qui sont souvent multiformes et diversifiées. Comment capter les gains de productivité ? On ne s'en est guère soucié tant qu'on considérait que les gains de productivité dans les services étaient minimes. Mais cela devient problématique depuis que l'introduction des technologies de l'information et des communications (TIC) a révolutionné des secteurs entiers, de la finance à la grande distribution.

On se souvient de la fameuse phrase de Robert Solow : « Les ordinateurs sont partout sauf dans les statistiques de productivité ». Les TIC ont permis des gains d'efficacité extraordinaires, dans le traitement de l'information, le nombre de transactions ou de dossiers traités, la qualité du service rendu (qu'on pense par exemple à la banque en ligne). Mais ce saut qualitatif n'est pas mesuré.

Grosso modo, « la moitié de l’économie française (en termes de poids relatif dans l'emploi) est aujourd'hui analysée sur la base d'indicateurs de produit et de productivité plus ou moins défaillants », évalue Jean Gadrey, professeur émérite à l'université Lille 1. Or ces services sont aussi la part de l'économie qui se développe le plus rapidement.

La qualité des dépenses est tout aussi indifférente : les installations de portes blindées, les assurances contre le vol ou les appointements des gardiens de prison augmentent le PIB, au même titre que les achats de parasols, de places de concert ou la construction d'une école. Et l'acquisition d'un 4X4 contribue plus au PIB que celle d'un vélo. C'est le marché qui, dans nos sociétés, établit les valeurs, et non quelque grand planificateur.

Mais, pour autant, le marché est défaillant à établir certaines valeurs. Les nappes phréatiques n'ont pas de prix et leur pollution par une agriculture productiviste n'est pas décomptée à la production de cette dernière. Au contraire, celle-ci contribue d'autant plus au PIB qu'elle a rendu l'eau du robinet imbuvable au point de relancer la vente d'eau minérale ! Les dégâts écologiques de la croissance ne lui sont à aucun moment décomptés. Comme si les activités productives pouvaient tirer sans limite sur les ressources naturelles et rejeter indéfiniment ses pollutions dans la nature.

D'où les tentatives pour promouvoir une conception pluridimensionnelle de la richesse. Une conception qui ne se limite pas aux flux monétaires, mais prend en compte tout un capital naturel, humain et social que le marché ne valorise pas ou est incapable de valoriser, tout en contribuant pourtant au bien-être d'aujourd'hui et à la prospérité de demain.

Extrait d’alternatives économiques, mars 2006, N° 245

Annexe 2. Le rôle des trois facteurs de production.

Pour comprendre la richesse des nations, les économistes distinguent habituellement trois facteurs de production: le travail, le capital et le progrès technique (..). Le capital est mesuré par la somme des investissements matériels du pays, corrigés par l'obsolescence des équipements installés. Le travail est représenté par le nombre d'heures travaillées, lesquelles sont corrigées par un indicateur de scolarisation des travailleurs. Le progrès technique, qu'on appelle aussi la « productivité globale » des facteurs de production, mesure l'efficacité avec laquelle une économie marie les deux premiers termes, travail et capital. Si par exemple deux économies investissent les mêmes sommes et recrutent le même nombre de travailleurs mais que l'une soit plus pauvre que l'autre, on dira qu'elle a bénéficié d'une moins bonne « productivité globale

». La productivité globale est, on le voit, une sorte de boite noire où les économistes mettent ce que n'expliquent ni le travail ni le capital.

D. Cohen, Richesse et pauvreté des nations, Flammarion, 1997.(in cahier hachette p 17)

Chapitre 2- Croissance et développement.

I/ Le développement : une définition complexe.

Doc 5 p 14, annexe 3.

Q°14 : En quoi les deux définitions proposées sont-elles différentes ? En quoi le développement se distingue-t-il de la croissance ?

Annexe 3.

Nous définirons ici le développement comme le processus par lequel une société parvient à satisfaire les besoins qu'elle considère comme fondamentaux.

Cette définition permet de souligner deux points essentiels : le développement est un processus et il ne peut se juger que par rapport à certaines valeurs.

Que le développement ne puisse se juger que par rapport à certaines valeurs signifie que n'existe pas d'étalon universel du développement, même si de nombreux économistes ou organismes internationaux utilisent le PIB par tête comme indicateur du développement. En fait le développement n'est pas la croissance dans la mesure où il se fixe d'autres objectifs que la simple augmentation du PIB. (…)

Le problème qui se pose ici est que toutes les sociétés ne poursuivent pas les mêmes valeurs. Il est certes des objectifs incontestables, comme permettre à chacun de manger à sa faim, d'apprendre à lire ou d'être soigné. Mais même ces besoins essentiels n'entrent pas dans le même ordre hiérarchique dans tous les pays, et certaines sociétés peuvent leur préférer l'indépendance nationale et la justice sociale.

G grellet ;structures et stratégies de développement économique PUF 1986.(in bordas ed précédente

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TES TH 1 introduction sept 06

II/ Une mesure : l’indicateur de développement humain (IDH) : annexe 4.

L’IDH repose sur plusieurs critères :

Espérance de vie (reflète le niveau de santé)

Taux d’alphabétisation et nombre d’années d’études

Revenu mesuré par le PIB réel par habitants en $ en PPA (parité de pouvoir d’achat)

L’IDH est compris entre 0 et 1 ; chaque critère compte pour 1/3 : plus l’IDH est éloigné de 1, plus l’écart entre le pays étudié et le « meilleur » est important (IDH non mesuré dans l’absolu)

Q°15 : Que signifie concrètement d’avoir un IDH faible ?

Q°16 : Si l’Afrique du Sud était en 107ème position pour l’IDH, quel était son rang pour le PIB par habitant ?

Annexe 4.(in Bréal p34)

Rang IDH sur 173

pays classés

Pays Espérance de vie à la naissance

Taux d’

alphabétisation des adultes (en %

de la population de plus de 15

ans)

taux brut de scolarisation combiné (du primaire au

supérieur)

PIB par habitant

Valeur de

l’IDH Différence de classement selon le PIB par habitant et

l’IDH

1 Norvège 78,5 99 97 29918 0,942 2

6 Etats Unis 77 99 95 34142 0,939 - 4

9 Japon 81 99 82 24755 0,933 2

12 France 78,6 99 94 24223 0,928 6

21 Espagne * 78,3 97,6 94 22897 0,924 nc

51 Mexique * 72,4 91,1 71 8297 0,790 nc

96 Chine 70,5 84,1 73 3976 0,726 0

100 Algérie * 69,3 66,6 72 5063 0,693 nc

107 Afrique du Sud 52,1 85,3 93 9401 0,695 - 56

117 Gabon 52,7 71 86 6237 0,637 - 44

136 Congo 51,3 80,7 63 825 0,512 27

173 Sierra Léone 38,9 36 27 490 0,275 0

* chiffres rapport 2001

III/ la nature du lien croissance-développement.

Les deux termes ne sont évidemment pas équivalents. Avec « croissance économique », nous sommes dans le quantitatif, on mesure ce que les hommes ont réussi à produire au cours d'une année et on observe l'augmentation de ces quantités produites. Le « développement » inclut la réflexion sur ce que l'on fait de ce qui est produit et sur les transformations des structures économiques et sociales que la poursuite de la croissance entraîne et implique. En simplifiant, la croissance, c'est avoir plus ; le développement, c'est être mieux tout en rendant possible la poursuite de la croissance.

A- La croissance n’assure pas toujours le développement.

1) Des inégalités persistantes. Annexe 5

Q°17 : Quelles sont les caractéristiques d’une croissance sans développement ? Q°18 : Question 2 doc 17 p 20

Annexe 5.

La croissance de l’ensemble des pays du Sud est indéniable. Mais (...) la croissance et le développement sont deux choses différentes (...) C'est parce que le développement est insuffisant que la pauvreté stagne ou s'amplifie. La croissance, si elle a lieu, ne concerne que certains secteurs de l'économie. La prospérité relative de ces secteurs n'a aucun effet d’entraînement sur le reste de l'économie. La croissance ressemble à une bulle qui se dilate sans incidences sur la pauvreté. 0u plutôt si : les pauvres se sentent encore plus pauvres de la richesse souvent arrogante d'une minorité.

Pour ne prendre qu’un exemple, l’Afrique Subsaharienne a connu un bel essor dans les années 1960. (…) Dans les années 1970, c’est l’effondrement. (…)

L’endettement augmente.

Focalisées sur l'exportation de quelques produits primaires, trop peu intégrées, les économies africaines dans le meilleur des cas produisent de la croissance mais pas de développement. (...) En dépit d'une croissance de 6 %, le Mali a vu son taux de pauvreté s’accroître de 28 % depuis 1995... (... )

En définitive, les pays du Sud ont suivi deux voies assez différentes: celle du développement ou celle de la croissance sans

développement. La Corée du Sud a su promouvoir un développement relativement égalitaire qui a conduit à une croissance forte et à l'élimination de la quasi totalité de la pauvreté.

La stratégie d'export a été profitable parce qu'elle a été précédée et accompagnée d'un effort de développement. Par contraste, le Brésil, dont certains secteurs ont un niveau technologique comparable à celui de l'Europe et des Etats Unis, ne parvient pas à venir à bout d'une pauvreté résistante. De même l'Inde traîne une pauvreté massive qu’une croissance plus qu'honorable ne parvient pas à réduire... Selon le FMI, les deux tiers des Indiens vivraient en dessous du seuil de pauvreté. Le Mexique, il y a peu, connaissait l'un des taux de croissance les plus élevés du continent latino américain. Les cours de la bourse flambaient mais le taux de pauvreté, lui, explosait.

PHILIPPE ENGELHARD, ~ Économie informelles et criminelles: la facecachée de la mondialisation, C Odile Jacob, 2002.(in hatier p20) 3

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2) Le développement durable (cf TD) B- Souvent, il y a croissance et développement à la fois

Les quantités produites augmentent et la société parvient à utiliser ces richesses pour améliorer le bien-être du plus grand nombre, réduire les inégalités, transformer ses structures de manière à ce que la croissance économique puisse se poursuivre.

Q°19 : Choisissez dans chacun des doc 4, 6, 7, 8 p 14, 15, un exemple pertinent pour illustrer la phrase ci-dessus.

Chapitre 3- Développement et changement social.

La croissance entraîne des changements de structures qui, s’ils favorisent à leur tour le développement, s’accompagnent d’une transformation des valeurs et mentalités.

I/ Changement social, de quoi parle-t-on ? Définition du changement social :

Processus de transformations durables, +/- rapides, des structures sociales fondamentales : systèmes de valeurs, positions sociales, mécanismes de mobilité sociale…

Pour Guy Rocher, il se définit comme : « toute transformation observable dans le temps qui affecte d’une manière qui ne soit pas que provisoire ou éphémère, la structure ou le fonctionnement de l’organisation sociale d’une collectivité donnée et modifie le cours de l’histoire ».

Conséquences : le changement social doit être dissocié de l’événement, il est un phénomène collectif, on peut l’identifier dans le temps.

Q°20 : Illustrez ces conséquences.

II/ Changement et croissance : exemple de la participation économique de femmes.

Q°21 : Question 2 du doc 20 p 21

III/ Développement et individualisme : annexe 6, doc 10 p 16

Q°22 : La « révolution du logement » a contribué à l’émergence des valeurs individualistes. Montrez-le et donnez d’autres exemples (confirmant ou infirmant).

Q°23 : Montrez que l’autonomie croissante de l’individu peut être source de croissance et de développement.

Annexe 6.

Par individualisme il faut entendre la liberté croissante de l'individu par rapport aux croyances, aux coutumes ou aux manières de penser le monde qui dominent au sein d'une société. Cette autonomie de l'individu le met au centre du monde, où jusque-là se trouvaient les dieux. L’individualisme change la vision du monde et les comportements. (…)

Ce changement d'attitude est très favorable au progrès scientifique et technique, car il faut de la liberté, de l'indépendance d'esprit pour trouver des solutions nouvelles. Il est favorable à l'esprit d'entreprise, à la compétition économique. Enfin, il joue un rôle essentiel dans la dynamique de la consommation, dans laquelle chacun tente de se distinguer en achetant des signes.

Arnaud Parienty, Nathan, 2003.(in nathan p23)

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TES TH 1 introduction sept 06

Thème 1 : INTRODUCTION

Chapitre 1 : La croissance, un phénomène quantitatif de long terme I/ Croissance, de quoi parle-t-on ?

A- Définition et mesure de la croissance

1. hausse de la prod° globale :

- La croissance se mesure grâce au PIB : produit global, production marchande et non marchande.

#PNB :

PIB = somme des VA + TVA + droits de douanes

- Le taux de croissance correspond au tx de variation du PIB réel Taux de variation du PIB = Valeur PIB2 – Valeur PIB1 x 100

Valeur PIB1

- L’unité monétaire comme moyen de mesure de la croissance : La production globale d’un pays est l’addition de biens et de services très divers et dc le seul, moyen de les additionner c’est d’utiliser leur valeur monétaire.

La croissance est un phénomène quantitatif (donc que l’on peut mesurer) et de longue période 2. soutenue : > 1% car sinon ne permet pas d’accroitre suffisamment le revenu national.

3. Longue période : trend : mouvement général de longue durée par opposition aux variations conjoncturelles

4. En termes réels : La croissance se mesure en euros constants (croissance en volume, croissance réelle) : correspond à l’augmentation de la production après avoir éliminé l’augmentation des prix afin de voir si c’est bien la quantité produite qui a augmenté et pas les prix.

# € courants cad croissance en valeur, croissance nominale.

EX :une entreprise, durant une année vend 1000 articles à 3 € l’unité. Son CA est donc de 3000€.

L’année suivante, son CA passe à 3500€.

Soit elle a vendu plus d’articles au même prix

Soit elle a vendu le même nb d’articles à un prix plus élevé.

Soit elle a vendu plus d’articles à un prix plus élevé.

=> cet exemple montre qu’une évolution en valeur ne permet pas de distinguer les effets respectifs d’une variation des qttés et des mvt de prix. Pr la consommation et le PIB notamment, il faut déterminer une grandeur en volume, ce qui permet d’éliminer les effets prix.

5. Ne pas confondre :

Expansion : Augmentation importante du taux de croissance sur une courte période.

Récession : Ralentissement de la croissance économique => le PIB continue d’augmenter mais moins vite.

Dépression : Baisse du PIB sur une longue période et de forte ampleur.

Q1 :

1. Les px st passés de l’indice 100 en 95 à l’indice 106,6 en 2001 => ont dc augmentés de 6,6%.

2. PIB à px courants = PIB nominal cad ss tenir cpte de la hausse des px. (réponse a) 3. évolution PIB à px courant de 95 à 2001

∆PIB nominal => CM=1463,7/1181,8=1,238 PIB nominal a ↑ de 23,8% entre 95 et 2001

4. PIB nominal/Indice px x 100

95 97 99 2001

PIB réel (px 95) 1181,8 1217 1299 1373

PIB réel Xé par 1,162, soit une hausse de 16,2%.

CM PIB nominal = CM PIB réel x CM px = 1,162 x 1,066 = 1,238 B- La croissance, une mesure critiquable : Limites du PIB : Q2

- difficulté à évaluer la p° non marchande (car par def°, pas de prix sur le marché)

- les activités non monétaires ne sont pas prise en compte : le bénévolat et les taches domestiques.

- le calcul de la croissance à partir du PIB en volume ne permet pas de tenir compte de l’augmentation des prix dû à l’amélioration de la quantité de produits. En utilisant le PIB en volume on considère que la différence avec le PIB en valeur est uniquement dû à l’inflation. Par conséquent on surestime l’augmentation des prix dû à l’inflation et on sous estime l’augmentation du PIB.

- l’évaluation de la p° de S pose pb : secteur de plus en plus productif (grâce aux NTIC). Or, GP permettent baisse px des S. de plus, secteur en très forte expansion (part de plus en plus importante dans la richesse créée => p° sous évaluée - les externalités négatives qui conduisent à une augmentation du PIB alors quelles détériorent le bien être de la population.

- le secteur informel n’est pas pris en compte dans la mesure du PIB ( => économie souterraine).

- la mesure de la croissance se fait en comparant le PIB sur 2 périodes or de nouveaux biens et services apparaissent sur le marché et n’étaient pas présents sur la période précédente et au contraire d’autre disparaissent.

Concl° : le cadre comptable de la croissance (CN) date de la seconde GM, période où les éco étaient peu ouvertes sur le monde, très industrialisées et peu financiarisées.

Ce cadre, issu d’une convention cad d’une construction qui a imposé des choix dans les éléments à prendre en compte, a vieilli et montre donc des limites.

Pourtant, PIB est un indicateur très utile (concernant les questions d’emploi notamment)

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II/ Une croissance inégale dans le temps et dans l’espace A- Dans le temps

Q3 : Le PIB aux EU a augmenté de 2,84% par an en moyenne entre 1913 et 1950.

=> TCAM mesure une évolution en %, en moyenne chq année.

Q4 : PREREQUIS : Comment passer d’un tx de variation à un CM ? 1. Qu’est-ce que mesure le tx de variation + formule

2. Qu’est-ce que mesure le CM + Formule 3. Passage de l’un à l’autre : TX=(CM-1)X100

4. TCAM

Entre 1913 et 1950, le PIB américain a été Xé par (1,0284)37 = 2,82 => (CMAM)n Sur une année, le PIB a été Xé par 37√2,82 (= CM annuel moyen = n√CM) Donc en % (TCAM) = (37√2,82 – 1) X 100 = 2,84%/an => (n√CM-1)X100 Q5 : Les 30 glorieuses : seule période où le taux de croissance est très élevé.

Q6 : On qualifie l’après 30 glorieuses de crise (= fort ralentissement de la croissance économique, faiblesse de la croissance du PIB) cependant si on regarde la tendance séculaire il n’y a pas de crise. En effet, la tendance séculaire révèle un TCAM du PIB autour de 2% /an avant les 30 glorieuses. Le taux de croissance n’est donc pas faible mais retrouve son niveau d’avant les 30 glorieuses.

Donc, il n’y a pas crise au sens économique mais il y a quand même crise qui se traduit par du chômage, des inégalités de revenus, problèmes de retraite et de sécurité sociale.

B- Dans l’espace

Q7 : Le PIB/HBT (mesure le NV), en Europe de l’Ouest, est passé de 1232$ de 1990, en 1820 à 17921$ de 1990, en 1998.

Le PIB de cette région a augmenté de 1,5% /an en moyenne entre 1820 et 1998.

Q8 : cf. livre

Même si le NV a augmenté pr toutes les régions, Le niveau de vie des pays du sud a beaucoup moins augmenté que celui des pays du nord (sauf Japon).

Le niveau de vie des PED reste très inférieur à celui des PDEM.

Inégalités fortes entre PED : Afrique à la traîne / à NPI.

Q9 : Lien étroit entre TCAM du PIB et NV : régions dont NV augmente le plus sont ceux qui ont le TCAM du PIB le plus élevé.

MAIS, une croissance économique n’est pas forcément synonyme d’une augmentation du niveau de vie. Si la population augmente plus vite que le PIB alors le niveau de vie baisse.

NB : Le niveau de vie est une moyenne et ne montre pas comment est répartie la richesse entre les habitants. Un niveau de vie satisfaisant peut cacher des inégalités très fortes au sein d’une population. ex : Brésil, Inde, Chine.

Q10 : cf. livre => montre que l’écart s’est creusé entre PD et PED, notamment pr Afrique et Asie. (écart de 1 à 3 en 1820, de 1 à 14 en 1998)

III/ A la source de la croissance : les facteurs de production

La croissance peut résulter :

1. d’un hausse de la qté de FP (+ de W et de K) => on parle de croissance extensive

2. d’une amélioration des performances de ces FP (utilisation plus efficace => = croissance intensive). Dans ce cas, la croissance repose sur les GP.

A- Le rôle primordial des GP ds l’amélioration du NV

Q11 : Productivité : quantité de biens et services qu’un travailleur peut produire en une heure de travail.

Augmentation de la productivité d’un travailleur : ( 1 salarié pdt + ds même tps ou pdt la même qté en – de tps) -quand le K technique est plus performant (modernisation, nouvelle technologie) -quand il est formé (K humain)

-quand amélioration de l’organisation du travail

pdté améliore le N (=Qté de B&S dont dispose 1 mge en fc°

de son rev)

6

Gains de productivité

Baisse des coûts de prod°

Hausse profits Baisse des prix

Hausse des salaires

Hausse quantité de B et S

consommés pour un même revenu Hausse des revenus

Hausse du niveau de vie

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TES TH 1 introduction sept 06

B- Le rôle des FP ds la croissance éco

Q12 : part croissance expliquée par K = 30% 43,2%

W = 8% 8,8%

PGF = 62% 47,5%

Q13 : part + importante du K que du W pr expliquer la croissance.

Part significative n’est pas expliquée = PGF

Pr mesurer l’efficacité générale d’1 économie, il n’est pas réaliste d’isoler la contribution de chaque facteurs alors que c’est leur combinaison, au contraire, qui est productive (1 nv K techniq nécessite des salariés qualifiés et donc formés pr être utilisé le + efficacement possible : réparation, contrôle, ….) = les 2 FP st inséparables.

Productivité globale des facteurs : C’est l’efficacité de la combinaison du K et du W qui n’est pas prise en compte dans la mesure des 2 facteurs(K et W).C’est ce que l’on appelle le résidu.

Depuis les années 80, théorie de la croissance endogène : le PT n’est pas considéré comme un élément ext (exogène) ms au contraire, endogène car le comportement éco des agents (formation d’un salarié, innovation…) est utile à l’ensemble (externalités positives) de l’éco (ex : 1 innovation permet l’apparition de nv machines disponibles pr l’ensemble des entreprises ; 1 salarié formé, qd il change d’ent, est + performant immédiatement…)

=> légitime l’intervention de l’Etat (recherche, infrastructures, formation, lutte contre la pollution…) car crée des externalités

>0, favorables à l’éco.

Chapitre 2 : Croissance et développement

I/ Le développement : une définition complexe

Q14 : Développement : -Transformation des structures démographiques, économiques et sociales, qui généralement, accompagnent la croissance. On insiste sur l’aspect structurel (industrialisation, urbanisation, salarisation,

institutionnalisation,…) et qualitatif (transformation des mentalités, des comportements, amélioration condition de vie…) de l’évolution à long terme.

- Processus qui conduit à la satisfaction des besoin qu’une société considère comme fondamentaux => notion relative et qui dépend du système de valeur du pays.

 développement prend en compte d’autres critères que la seule croissance : structure éco, sociale, culturelle et démographique (le NV, part de l’indus et des services, espérance de vie, tx mortalité infantile, tx alphabétisation, nb étudiants, chercheurs)

 dvpt a d’autres objectifs que la seule croissance éco car prend en compte l’amélioration des conditions de vie, l’environnement, la répartition des richesses… = phen qlitatif => La possibilité de vivre longtps et en bonne santé, la liberté d’aller et venir ou de s’exprimer améliorent l’existence des individus, modifient les comportements, les mentalités

II/ Une mesure : l’IDH

L’IDH repose sur plusieurs critères :

Espérance de vie (reflète le niveau de santé) Taux d’alphabétisation et nombre d’années d’études

Revenu mesuré par le PIB réel par habitant en $ en PPA (parité de pouvoir d’achat) L’IDH est compris entre 0 et 1 ; chaque critère compte 1/3 : plus l’IDH est éloigné de 1, plus l’écart entre le pays étudié et le

« meilleur » est important (IDH non mesuré dans l’absolu).

Q15 : Un pays dont l’IDH est faible est un pays qui n’arrive pas à satisfaire les besoins fondamentaux de sa population, en terme de santé, d’éducation et de revenu.

Q16 : PIB/hbt – IDH = -56 PIB/hbt = -56+107=51è rg

 pr les PD, les différences de classements PIB/hbt et IDH quasi nulles mais grosses différences pr les PED, dont répartition des rev est inégalitaire (Afrique du Sud, Gabon, Koweit, Arabie Saoudite)

 IDH montre qu’à des niveaux de revenus égaux peuvent correspodre des niv de DH# (cf. Mexique, Afrique du sud) Critique de l’IDH : -il prend en compte le PIB/hab mais c’est une moyenne et donc il peut cacher des inégalités. Le PIB est une mesure imparfaite de la richesse d’1 pays.

-les critères comme les droits de l’homme, l’environnement ne sont pas pris en compte dans l’IDH.

-l’IDH mesure 1 écart de développement et non 1 niveau de développement donc 1 pays peut voir son Rang d’IDH baisser même s’il a améliorer son niveau de développement à partir du moment que son développement va augmenter moins vite qu’ailleurs.

MAIS : L’IDH demeure quand même un indicateur pertinent pour mesurer le développement puisqu’il prend en compte en plus du PIB des critères socio-culturels.

III/ La nature du lien croissance-dvpt

A- La croissance n’assure pas toujours le dvpt

1)

des inégalités persistantes

Q17 : Croissance sans développement :

7

(8)

- Cela signifie que la richesse créée ne profite qu’à une poignée de privilégiés, le reste vivant dans une extrême pauvreté (EX : Brésil, Mexique, Inde).

- croissance limitée à crt secteurs ne permet pas de tirer l’ensemble de l’éco

- urbanisation, exode rural, peuvent entrainer dvpt bidons vile (car chôm et pauvreté) => malnutrition de ces pop° sans revenu et loin des solarités existant ds les villages.

2) Le développement durable

Développement durable : C’est un développement qui répond aux besoins des générations présentes sans compromettre les capacités des générations futures à satisfaire leur propre besoins.

=> attitude des générations actuelles peut devenir un handicap pr les générations futures : dette écolo, dette éco (ex : épuisement des ress va en augmenter le prix), dette sociale (imprévoyance /financement des retraites)

=> croissance peut aller à l’encontre du dvpt durable.

B- Souvent, il y a croissance et dvpt à la fois En effet il y a plusieurs transformations :

production => la production est plus performante c’est à dire qu’il y a augmentation de la productivité.

Productivité du travail horaire = production Nbre d’heures travaillées Productivité du travail par tête = production Nbre de travailleur

 augmentation du niveau de vie (= quantité de bien et de service dont dispose un ménage avec un revenu donné)

 augmentation de la consommation mais les ménages consomment autrement : baisse de la part consacrée à l’alimentation au profit d’autre consommation (biens d’équipement, loisirs, santé, éducation, …).

 la population active se modifie : l’agriculture perd du poids, l’industrie en prend et le tertiaire devient majoritaire.

 disparition de certaines coutumes

Le développement se traduit donc par une augmentation de l’espérance de vie, une baisse du taux de mortalité infantile, augmentation du taux d’alphabétisation, augmentation d’étudiants, augmentation du niveau de vie permettant donc une amélioration du bien être des individus.

La croissance est indispensable au développement.

La hausse du niveau de vie : élément pris en compte dans le calcul de l’IDH

La croissance permet une hausse des revenus donc du niveau de vie : grâce aux GP, les prix baissent, les salaires augmentent, ce qui permet une hausse du pouvoir d’achat. (cf lien entre croissance exceptionnelle des Trente Glorieuses et hausse du pv d’achat) Permet une meilleure satisfaction des besoins individuels et collectifs. Les mges vont consommer plus ms aussi autrement : La hausse du pv d’achat a permis l’accès à des consommations de confort (amélioration des conditions de vie) doc 7 (amélioration conditions de vie : santé, élévation niv de formation, qlté de vie)

Conformément à loi d’Engel, l’élévation du revenu réel a permis aux ménages de satisfaire de mieux en mieux les besoins fondammentaux et d’orienter leur consommation vers des biens de consommation durables (Doc 4) ainsi que dans des domaines autrefois réservés à une élite (culture, loisir ...) => changements des modes de vie, amélioration du bien être de la pop°. La population urbaine augmente. Or en moyenne le niveau de vie est supérieur en ville (plus d'écoles, de centres de soins, plus d'emplois). (doc 8 part alimentation diminue, logement hausse (accès à propriété), transport, loisirs, biens d’équipement augmentent.)

Et une meilleure satisfaction des besoins collectifs.

L’augmentation des revenus et de la production permet une hausse des recettes fiscales destinées au :

 financement de biens collectifs de + en + nombreux notamment dans domaine éducatif (ce qui permet d'augmenter le taux

d'alphabétisation et la durée des études, éléments de l'IDH) et dans système de santé (permet une augmentation de l'espérance de vie à la naissance, un des éléments de l'IDH).

 financement des infrastructures : moyens de communication qui favorisent la croissance et réseaux d'eau potable qui favorisent la baisse de la mortalité infantile et réduisent les infections.

 financement d’une politique de redistribution pour lutter contre pauvreté et réduire les inégalités

 une population mieux formée, innove et est plus productive : amélioration du système productif, de conditions de travail moins pénibles

 transformation structurelle à long terme (changement répartition sectorielle et socioprofessionnelle de la PA : agriculture réduit son poids, l’indus hausse le sien, le tertiaire devient majoritaire, salarisation, urbanisation, ...) et mieux être. Doc 6

NB : Dans les PED : La hausse de revenus, grâce à croissance, rend l’éducation plus accessible car éducation => un crt nb de coûts (fournitures, transport…) et aussi de renoncer au travail gratuit ou au rev que peut fournir un enfant. (La hausse du niveau de vie permet aux parents de se passer du travail de leurs enfants et de les scolariser).

Les PED dont croissance éco faible n’arrivent pas à sortir du sous dvpt qui maintien la pop° ds un état de misère : peu de rev, peu de travail, peu d’investissements, carence alimentaire due à faible prodté du secteur agricole, pas d’équipement collectif (santé, éducation) : Congo, Mali.

Chapitre 3 : Développement et changement, de quoi parle-t-on ?

La croissance entraîne des changements de structures qui, s’ils favorisent à leur tour le développement, s’accompagnent d’une transformation des valeurs et mentalités.

8

(9)

TES TH 1 introduction sept 06

I/

Changement social, de quoi parle-t-on ?

Changement social : .transformation durable, +/- rapide, d’un système social au niveau de son fonctionnement (mode d’organisation), de sa structure (stratification social, rapports sociaux) ou de ses modèles culturels (comportements, systèmes de valeurs).

.transformation +/- irréversible des structures sociales, des comportements, des normes et des valeurs.

Q20 : Conséquences : le changement social doit être dissocié de l’évènement => L sur contraception, IVG (évènement qi ont participé et conduit à un changement social),

il est un phénomène collectif : ne peut pas concerner qu’une ou peu de personnes : Bérégovoy, Cresson 1er ministre

 Un ouvrier qui devient patron n’induit pas un changement social. Mais si la proba de devenir patron pour un ouvrier était

= à celle des cadres > ou d’un fils de patron, alors on pourrait parler de chgt social.

 Une femme ministre, président de la rep ou encore quelques femmes à des postes-clé ne changent pas la situation féminine. Mais si nb de femmes ds gvt était proportionnel à leur part ds la PT (+de 50%), alors chgt social.

on peut l’identifier dans le temps : on doit pv le mesurer (évolution structure PA, table de mobilité sociale…)

II/ Changement social et croissance : exemple de la participation économique des femmes

Q21 : Effets d’une participation accrue des femmes à l’activité économique :

Hausse de la PA donc des FP, apport d’un nv revenu et émergence de nouveaux besoins et activités ; ms aussi baisse de la fécondité, promotion sociale et indépendance. La participation à son tour favorise l’émancipation.

III/ Développement et individualisme

Corrélation entre les 2 (repartir de la def° du dvpt (cad transf° qui favorisent l’individualisme) DVPT => INDIVIDUALISME :

Q22 : L’aménagement de l’espace familial permet d’avoir une vie plus personnel, plus d’intimité, plus de liberté d’action, plus d’activité.

Montée des valeurs individualistes : le chac pr soi au détriment des val commtaires.

- hausse sports individuels (loisirs)

- chute adhésion aux syndicats, partis politiques, groupes de pression en général (association dont but est de défendre les i communs de ses membres ou de promouvoir les valeurs qu’ils défendent) (comportement) - isolement en ville, dvpt insécurité (urbanisation)

- crise Etat Providence : financement retraites par capitalisation, rembst sécu de – en – élevés qui nécessitent mutuelles chères.

- Absence de réaction collective qd agression (urbanisation)

- Internet : à la fois outil d’isolement et de comm° avec le RdM (cons°) - Xcation postes de TV au sein des familles (cons°)

- Montée en puissance des recours individuels (avocat, alarmes) => conforte ds sentiment de propriété et d’insécu

=> cercle vicieux (comportement) INDIVIDUALISME => CROISSANCE et DVPT

Q23 : L’autonomie croissant de l’individu peut être source de croissance et de développement car : - il y a 1 esprit de concurrence, de compétitivité entre individus

- il y a aussi l’esprit du gain qui stimule la créativité, l’esprit d’entreprise.

- on cherche à être plus performante donc plus productif (accomplissement personnel) et la croissance augmente

- la recherche de l’épanouissement personne accroît la consommation de services et de biens : loisirs, pdts pr son bien être personnel : ex : cosmétique, parce que consommation est aussi un signe de distinction, de réussite.

- vouloir se distinguer des autres, c’est chercher à vouloir consommer autrement. La recherche, l’innovation va être stimuler et donc améliorer le bien être de la population. Les valeurs individualistes sont source de développement dans la mesure où la volonté d’améliorer sa situation stimule la recherche d’innover et d’améliorer le bien être de la population.

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