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Premières Synthèses 2005-32.3 - « Soutien à l'emploi des jeunes en entreprise » : bilan fin 2004 (PDF, 342.14 Ko)

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(1)

Ministère de l'emploi, de la cohésion sociale et du logement Source : Unédic -Calculs Dares. 0 20000 40000 60000 80000 100000 120000 140000 T32002 T42002 T12003 T22003 T32003 T42003 T12004 T22004 T32004 T42004 Effectifs 0 5000 10000 15000 20000 25000 30000 Flux

Effectifs Flux d'entrées

Août 2005 - N° 32.3

« SOUTIEN À L'EMPLOI DES JEUNES EN ENTREPRISE » :

BILAN FIN 2004

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Entre juillet 2002 et fin

décem-bre 2004, un peu plus de

200 000 jeunes ont été

embau-chés dans le cadre du dispositif

de « Soutien à l'emploi des

jeu-nes en entreprise » (SEJE).

Après une montée en charge

rapide, stimulée par une forte

promotion institutionnelle, les

entrées se sont

progressive-ment tassées : 37 000 jeunes

ont été embauchés au deuxième

semestre 2004, contre 46 000

au deuxième semestre 2003 et

51 000 au deuxième semestre

2002. Fin 2004, 124 000 jeunes

occupant un emploi bénéficient

d'une aide de l'État au titre du

SEJE.

Les recrutements ont un profil

saisonnier marqué. Au cours

des seconds semestres, le

dispositif sert notamment à

insérer dans un emploi stable

les sortants d'apprentissage ou

de contrat de qualification (près

d'un quart des embauches).

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Le dispositif s'adresse à des

jeu-nes de 16 à 22 ans, sortis de

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(2)

Les non qualifiés ne

représen-tent que 20 % des embauches. Il

s'agit des jeunes n'ayant pas

atteint l'année terminale de CAP

ou de BEP.

Les jeunes hommes sont

nette-ment majoritaires dans le

dispo-sitif (69 % des embauches).

Plus de 60 % des entrants ont

au moins 20 ans. En moyenne,

un jeune sur deux embauché en

SEJE occupait préalablement un

emploi, un sur trois était

demandeur d'emploi et un sur

dix était scolarisé.

Depuis le lancement du

disposi-tif, près de huit jeunes sur dix

ont été embauchés à temps

plein. Les salaires sont proches

du SMIC : 85 % des jeunes

embauchés au deuxième

semes-tre 2004 ont un salaire à

l'em-bauche inférieur ou égal à 1,1

SMIC. C'était un peu moins au

lancement du dispositif (79 %

au second semestre 2002).

Le profil des employeurs s'est

peu modifié. Un peu plus de la

moitié des établissements ayant

embauché des jeunes en SEJE

emploient au plus dix salariés.

Les employeurs du secteur

ter-tiaire sont majoritaires : 38 %

des embauches s'effectuent

dans les services, dont 22 %

dans l'hôtellerie-restauration.

23 % des embauches ont lieu

dans le commerce et 20 % dans

le secteur de la construction.

Les ruptures dans les trois

pre-miers mois ont un rythme

sai-sonnier : les contrats sont

moins souvent rompus pour les

jeunes embauchés au deuxième

semestre. À ce moment de

l'an-née, les embauches concernent

en effet davantage des jeunes

déjà présents dans l'entreprise,

notamment dans le cadre d'un

contrat en alternance. Or ces

jeunes sont déjà connus de

l'en-treprise. Leur probabilité de

rup-ture de contrat est donc plus

fai-ble (tafai-bleau 2).

Dans près de deux cas sur trois,

les ruptures sont des

démis-sions. Ce motif est

particulière-ment fréquent dans le secteur

de la construction (69 % des

sorties) et dans

l'hôtellerie-res-tauration (66 %). Les

licencie-ments représentent 20 % des

sorties et sont majoritairement

motivés par une faute grave ou

lourde, notamment dans le

sec-teur du commerce (16 % des

sorties). La quasi-totalité des

causes de licenciements

figu-rent parmi celles qui exemptent

Premières Informations - Août 2005 - N° 32.3

2

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larité avec un niveau au plus

égal au baccalauréat sans

obten-tion du diplôme. Depuis la mise

en place de la mesure, les

embauches se sont plutôt

concentrées vers les jeunes les

plus diplômés au sein du public

éligible : plus de 60 % des

jeu-nes ont un CAP/BEP ou ont

atteint le niveau de la terminale

sans obtention du baccalauréat.

Tableau 1

Profil des jeunes embauchés en SEJE

selon la situation avant leur entrée dans le dispositif

En pourcentage

2002 2003 2004

2ème 1er 2ème 1er 2ème

semestre semestre semestre semestre semestre

Scolarisé ou étudiant . . . 11 8 11 9 11 Stagiaire de la formation professionnelle 1 2 1 2 1 Salarié en contrat en alternance

(apprentissage, qualification,

adapta-tion, orientation) . . . 22 6 24 5 23 Salarié autre qu'en alternance (CDI,

CDD, intérim) . . . 32 38 28 35 28 Demandeur d'emploi, inscrit à l'ANPE

ou non . . . 29 41 30 43 31 Autre . . . 5 6 4 6 5

Ensemble . . . . 100 100 100 100 100 Source : Unédic

-Calculs Dares.

Tableau 2

Taux de rupture à trois mois selon le trimestre d'embauche

En pourcentage

2002 2003 2004

Trimestre d'embauche 3èm 4ème 1er 2èm 3ème 4ème 1er 2ème 3ème

trim trim trim trim trim trim trim trim trim

Jeunes déjà salariés par

l'entreprise utilisatrice . 0,9 3,0 4,3 5,1 3,4 4,0 3,9 5,0 3,8 Jeunes en alternance

à la veille du dispositif . 1,6 5,1 8,6 10,7 5,0 6,5 9,2 9,7 5,4

Ensemble des jeunes . . 3,9 11,0 14,3 17,7 12,4 14,4 14,7 17,2 12,5

Lecture : 3,8 % des jeunes déjà salariés par l'entreprise utilisatrice embauchés au troisième trimestre 2004 ont rompu leur contrat trois mois après. De même, 5,4 % des jeunes en alternance à la veille du

dispositif et embauchés au troisième trimestre 2004 l'ont rompu trois mois après. Source : Unédic-Calculs Dares.

Source : Unédic-Calculs Dares. Tableau 3

Motifs de rupture selon le niveau de formation,

la situation avant l'embauche et le secteur d'activité

En pourcentage

Rupture au cours Démission Licenciement Autres Total

de la période d'essai Statut avant l'embauche

Scolarisé ou étudiant . . . 12,6 68,7 14,1 4,5 100 Salarié en contrat alternance 7,3 72,4 18,3 2 100 Salarié autre qu'alternance . . 10,5 66,2 21,1 2,2 100 Demandeur d'emploi . . . 18,7 57,5 21,3 2,4 100

Niveau de formation

Niveau inférieur ou égal au

CAP/BEP sans diplôme . . . 14,9 60,2 22,6 2,3 100 Niveau CAP/BEP avec diplôme 12,9 66,4 18,5 2,2 100 Niveau Baccalauréat sans diplôme . . . 14,8 64,8 16,9 3,5 100 Secteur d'activité Industrie . . . 11,2 63,9 22,6 2,3 100 Construction . . . 6,8 68,7 21,6 2,8 100 Commerce . . . 15,4 57,9 24,1 2,6 100 Services . . . 16,9 63,7 16,7 2,7 100 Dont : Hôtellerie-restauration . . . . 16,8 66,2 13,1 3,9 100 Ensemble . . . . 14 63,5 19,9 2,6 100

(3)

l'employeur de rembourser

l'aide versée par l'État : motif

économique, faute grave ou

lourde, inaptitude médicale ou

professionnelle, cas de force

majeure. Les ruptures en

période d'essai (14 % des

sor-ties) sont plus fréquentes dans

les secteurs du commerce et

des services.

Moins enclins à rompre leur

contrat, les jeunes

précédem-ment en alternance quittent

essentiellement l'entreprise en

démissionnant, peut-être parce

qu'ils ont trouvé un emploi plus

attractif ailleurs (72 % des

rup-tures). Les ruptures par

démis-sion sont également fréquentes

pour les jeunes précédemment

scolarisés, de même que pour

les plus diplômés. Pendant la

période d'essai, le contrat est

plus souvent interrompu pour

les jeunes au chômage avant

leur entrée : 19 % (tableau 3).

Enfin, les licenciements sont

plus fréquents pour les moins

qualifiés (jeunes ayant au plus le

niveau CAP/BEP sans diplôme).

Premières Informations - Août 2005 - N° 32.3

3

Christine Delvallée et Magali Martin

(Dares).

Encadré 1

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Peu d'éléments d'évaluation sont actuellement disponibles pour juger de l'efficacité du SEJE en termes de retour durable à l'emploi ou pour évaluer l'ampleur des effets de substitution ou des effets d'aubaine qu'il a pu générer. Des premiers travaux, menés par la Dares à partir de la nouvelle enquête emploi en continu de l'Insee, semblent indiquer que les effets de substitution du SEJE pourraient avoir été importants mais limités au début de la mise en place de la mesure. Ainsi, au premier trimestre 2003, parmi les jeunes en CDI dans le secteur marchand et embau-chés au cours de l'année précédente, 62 % étaient non bacheliers contre 54 % environ aux deux premiers trimes-tres de 2002. Toutefois, cette hausse reste momentanée. À partir du troisième trimestre 2003, la part des non bacheliers dans les embauchés récents ne diffère pas significativement de celle qui prévalait avant la mesure. L'effet de substitution semble avoir été plus massif chez les hommes : 55 % des jeunes hommes récemment embauchés en CDI étaient non bacheliers avant la mise en place de la mesure, ils sont 62 % en moyenne en 2003-2004. Ces résultats sont toutefois à interpréter avec prudence, en raison de l'évolution assez heurtée de l'indica-teur et du manque de recul pour conforter l'analyse.

Part des jeunes non bacheliers parmi

les jeunes 16-22 ans embauchés depuis moins d'un an

50 52 54 56 58 60 62 64 66 68 70 T12002 T22002 T32002 T42002 T12003 T22003 T32003 T42003 T12004 T22004 T32004 T42004 Ensemble hommes

Lecture : au premier trimestre 2003, parmi les jeunes âgés de 16 à 22 ans en CDI dans les entreprises du secteur marchand et embauchés au cours de l'année précédente, 62 % étaient non bacheliers. Parmi les jeunes hommes, 68 % étaient non bacheliers à cette même date.

Source : Insee -Enquêtes emploi. Calculs Dares.

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Diirreecctteeuurr ddee llaa ppuubblliiccaattiioonn :: AAnnnniiee FFoouuqquueett.. Téléphone Publications : 01.44.38.22.(60 ou 61) Documentation : 01.44.38.23.(12 ou 14) Télécopie : 01.44.38.24.43 Réponse à la demande : 01.44.38.23.89 e-mail : dares.communication@dares.travail.gouv.fr Rédacteur en chef : Gilles Rotman.

Secrétariat de rédaction : Evelyn Ferreira et Francine Tabaton.

Maquettistes : Daniel Lepesant, Guy Barbut, Thierry Duret.

Conception graphique : Ministère de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement. Reprographie : DAGEMO.

Abonnements : La Documentation française, 124, rue Henri Barbusse 93308 Aubervilliers Cedex. Tél. : 01.40.15.70.00. Télécopie : 01.40.15.68.00 www.ladocumentationfrancaise.fr PREMIÈRES INFORMATIONS et PREMIÈRES SYNTHÈSES Abonnement 1 an (52 n°) : France (TTC) 118 €, CEE (TTC) 124,30 €, DOM-TIM (HT) : 123 €, hors CEE (TTC) 127 €.

Publicité : Ministère de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement. Dépôt légal : à parution.

Numéro de commission paritaire : 3124 AD. ISSN 1253 - 1545.

(4)

Premières Informations -Août 2005 - N° 32.3

4

Encadré 2

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Créé au 1erjuillet 2002, le dispositif SEJE vise à favoriser l'accès à l'emploi durable des jeunes de faible niveau de qualification.

Une aide de l'État, cumulable avec les allégements généraux sur les bas salaires, est versée aux entreprises du secteur marchand embauchant un jeune peu qualifié, en CDI à temps plein ou temps partiel. Sont éligibles au dispositif les jeunes âgés de 16 à 22 ans révolus ayant un niveau de formation au plus égal au baccalauréat, sans l'obtention du diplôme. Pour un salarié à temps complet rémunéré au SMIC, l'aide est fixée à 225 euros par mois pendant les deux premières années et est réduite de moitié la troisième année. L'aide est proratisée en fonction de la durée du travail.

La loi de cohésion sociale de janvier 2005 a modifié les caractéristiques de ce dispositif pour le rendre davantage accessible aux non qualifiés. Aux termes du décret n° 2005-221 du 9 mars 2005, le montant de l'aide forfaitaire est modulée à compter du 1er avril 2005 en fonction des niveaux de qualification du jeune recruté et du bassin d'emploi. Par ailleurs, sont désormais éligibles pour le SEJE les jeunes non bacheliers âgés de 16 à moins de 26 ans s'ils bénéficient d'un contrat d'insertion dans la vie sociale (CIVIS).

Sources : Dares /Unédic - Fichier de bénéficiaires de SEJE- France métro-politaine.

Les embauches en SEJE et les taux de rupture à trois et six mois

En pourcentage

Embauches effectuées Taux de rupture Taux de rupture

de la mise en place à 6 mois à 3 mois

du dispositif à fin 2004

Nombre d'embauches . . . . 206 575 12,6 21,7

Sexe

Garçons . . . 69 11,9 21,0 Filles . . . 31 13,9 23,3

Âge du jeune à l'embauche

16 et 17 ans . . . 4 16,1 26,6 18 ans . . . 12 13,7 23,5 19 ans . . . 20 12,8 22,5 20 ans . . . 22 12,3 21,3 21 ans . . . 20 11,9 20,8 22 ans . . . 23 12,0 20,6

Niveau de formation à l'embauche

Avant la 3ème générale, ou une formation pré-professionnelle (niveau VI) . 8 14,5 25,7 Avant la dernière année de CAP/BEP, ou avantla classe de 2nde générale

ou technologique (niveau Vbis) . . . 12 16,0 27,2 En 1ère ou 2nde générale ou en dernière année CAP/BEP sans diplôme

(niveau V sans diplôme) . . . 17 14,3 24,2 Après obtention du CAP/BEP (niveau V avec diplôme) . . . 50 10,3 18,4 En terminale générale/technologique sans obtention du baccalauréat

(niveau IV sans diplôme) . . . 13 14,4 23,8

Situation avant l'embauche

Scolarisé ou étudiant . . . 10 16,6 27,0 Stagiaire de la formation professionnelle . . . 2 12,8 23,0 Salarié en contrat en alternance (apprentissage,

qualification, adaptation, orientation) . . . 17 5,0 10,3 Salarié autre qu'en alternance (CDI, CDD, intérim) . . . 32 9,3 17,9 Demandeur d'emploi, inscrit à l'ANPE ou non . . . 34 17,7 28,7 Autre . . . 5 15,2 26,2 Temps de travail Temps plein . . . 77 11,0 19,4 Temps partiel : 80 à 99 % . . . 6 24,3 Temps partiel : 60 à 79 % . . . 7 16,7 27,8 Temps partiel : 50 à 59 % . . . 10 20,5 33,6

Salaire horaire brut à l'embauche

Inférieur ou égal à 1,1 SMIC . . . 82 13,3 22,6 Supérieur à 1,1 SMIC ou inférieur ou égal à 1,2 SMIC . . . 12 9,3 18,2 Supérieur à 1,2 SMIC . . . 7 8,0 16,4

Secteur d'activité . . . .

Agriculture, sylviculture, pêche . . . 3 6,3 13,4 Industrie . . . 16 8,3 15,7 Construction . . . 20 8,0 16,0 Commerce . . . 22 10,9 19,0

dont :

Commerce et réparation automobile . . . . 5 10,0 17,2 Commerce de gros, intermédiaires . . . . 4 12,9 21,0 Commerce de détail, réparations . . . . 14 10,8 19,1

Services . . . 39 18,1 29,5 dont Transports . . . . 3 11,0 20,9 Conseils et assistance . . . . 1 12,2 19,8 Services opérationnels . . . . 5 22,8 32,7 Hôtels et restaurants . . . . 23 20,6 33,7 dont Restauration rapide . . . . 8 25,7 39,7 Activités récréatrices, culturelles et sportives . . . . 1 11,1 20,6 Services personnels et domestiques . . . . 4 9,2 16,2

Santé, action sociale . . . 1 8,4 15,8

Effectif de l'établissement au 31/12 de l'année précédant l'embauche

Aucun salarié . . . 11 11,8 21,5 1 à 10 salariés . . . 45 10,9 20,0 10 à 49 salariés . . . 28 15,0 24,9 50 à 249 salariés . . . 10 14,3 23,0 250 salariés ou plus . . . 6 11,1 17,1

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