• Aucun résultat trouvé

TNJN c ÇTNG@) VNTK—Ä V>>T>>c>>Ä ÇT>>a>> WKD » çcßÎTÎtaÄ☗ÄcÏåVTc©m teaHÄVETå ÇľTHJÄc8Q©ãÄcNoÎacvcGÄǗTA—ÄåVTHÄcÏåå i t)Ä hN—Ä cÄ uJ VEÄtÄ V>>N>>åÎå—Ä ãÄaJJ VNTÄ qNHÄå©ãT̗ķVAÄåҘ(ĖãÄtLW$©ŠãcNT ÇTÌT–

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "TNJN c ÇTNG@) VNTK—Ä V>>T>>c>>Ä ÇT>>a>> WKD » çcßÎTÎtaÄ☗ÄcÏåVTc©m teaHÄVETå ÇľTHJÄc8Q©ãÄcNoÎacvcGÄǗTA—ÄåVTHÄcÏåå i t)Ä hN—Ä cÄ uJ VEÄtÄ V>>N>>åÎå—Ä ãÄaJJ VNTÄ qNHÄå©ãT̗ķVAÄåҘ(ĖãÄtLW$©ŠãcNT ÇTÌT–"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)
(2)

17

®°­±­ÌaEÄø±µVLÄø>®±°®V'Äåͯ®ø⯭®­vTÄrc@¯´WÄ

TNJN c ÇTNG@) VNTK—Ä V>>T>>c>>Ä ÇT>>a>> WKD » çcßÎTÎtaÄ☗ÄcÏåVTc©m teaHÄVETå ÇľTHJÄc8Q©ãÄcNoÎacvcGÄǗTA—ÄåVTHÄcÏåå i t)Ä hN—Ä cÄ uJ VEÄtÄ V>>N>>åÎå—Ä ãÄaJJ VNTÄ qNHÄå©ãT̗ķVAÄåҘ(ĖãÄtLW$©ŠãcNT ÇTÌT–

«Ši t)ÄhN—ÄcÄãÄaJvÇTNG@)ÄvVNåcÄ

(3)

17

΍

˯ΎΛϼΜϟ 30 11 - 2010 - ΩΪόϟ΍

24236

(4)

6

΍ ΖΒδϟ - 27

- 11 2010 ΩΪόϟ΍

17610

(5)

4

samedi 27-dimanche 28 novembre 2010 | N°13023 www.lorientlejour.com | 2000 L.L.

Salut et santé : foi, croyances et pratiques hospitalières en Méditerranée

Nabil Khalifé souligne dans son étude

géopolitique sur les chrétiens du M-O l’apport d’un quartette libanais à une vision d’avenir

Causerie L’USJ héberge pour deux jours un colloque euro-

méditerranéen sous le titre : « Les conversations de Salerne », dont l’objectif est de déchiffrer les rapports entre salut et santé.

Fady NOUN

Comment s’insèrent le reli- gieux et le spirituel dans la vie de l’hôpital ? Telle est la problématique extrêmement riche que les organisateurs du colloque euro-méditerranéen sur le thème « Salut et santé », qui s’est ouvert hier à l’USJ (campus des sciences médica- les), ont choisi d’aborder.

Le colloque, coordonné localement par le Pr Roland Tomb, directeur du départe- ment de dermatologie de la faculté de médecine de l’USJ, réunit une vingtaine de pro- fesseurs et de chercheurs li- banais, arabes et européens. Il s’est ouvert hier en présence du directeur général d’Assistance publique-Hôpitaux de Mar- seille (AP-HM), Jean-Paul Ségade, du Pr Pierre Fuentes, président du Conseil scienti- fique et culturel de l’AP-HM, du président de la CNSS, le Dr Tobie Zakhya, du prési- dent de l’ordre des médecins, le Dr Charaf Aboucharaf, et du conseiller culturel de l’ambassade de France, repré- sentant l’ambassadeur Denis Pietton.

La rencontre s’insère dans le cadre euro-méditerranéen des « Conversations de Saler- ne », un nouveau rendez-vous à vocation annuelle consacré à la thématique santé et culture.

Il se tient cette année au Li- ban en coopération avec l’As- sistance publique-Hôpitaux de Marseille, et en partenariat avec l’Université de la Médi- terranée, Marseille-Provence, capitale européenne de la culture 2013, et sept centres hospitalo-universitaires du bassin méditerranéen.

« Notre pays est un labora- toire vivant qui vit quotidien- nement cette thématique. Nos médecins sont issus de toutes les sensibilités religieuses ; ils ont été éduqués dans nom- bre de langues et de cultures, parfois loin de chez eux, et nos institutions hospitalières reflètent à elles seules toute cette diversité », a affirmé dans un mot d’introduction le Pr Aboucharaf, lui-même issu des universités de Beyrouth et Stockholm.

Souhaitant la bienvenue aux participants, le recteur de l’USJ, le Pr René Chamussy s.j., a salué cet « atelier pré- paratoire à un grand colloque

euro-méditerranéen à venir » et « des échanges qui permet- tront aux participants de po- ser des regards différents sur les grands moments de la vie humaine ».

« À terme, j’en suis sûr, mil- le choses seront à retenir, qui, toutes, permettront de redon- ner sens à ce qui n’en a plus », a-t-il ajouté.

De fait, le colloque doit permettre de voir comment les cultures et les individus donnent sens aux grands mo- ments de la vie, en particulier à ces situations extrêmes que sont les maladies incurables, la souffrance physique et psy- chique, la malformation, le handicap et la mort. En bref, à tout ce qui fait que notre vie n’est pas lisse, facile et heu- reuse.

« Car il ne fait pas de doute que, dans les hôpitaux comme ailleurs, on ne vit plus son parcours comme auparavant, et s’il est des constantes de vie, de dégénérescence et de mort qui perdurent, il est des mentalités qui changent, y compris dans le domaine re- ligieux. Ce sont dès lors des manières d’être qui sont à re- voir et c’est toujours un long travail », a souligné le Pr Cha- mussy.

Daccache corrige D’emblée, le doyen de la faculté des sciences religieuses de l’USJ, le P. Salim Dacca- che, a corrigé l’un des axes de réflexion proposés par les or- ganisateurs qui, en sous-titre à « Salut et santé », propose

« religions et spiritualité à l’hôpital en Méditerranée ».

« Évidemment, a-t-il af- firmé, nous ne pouvons lire le couple religions et spiritualités comme s’il y a une dichotomie ou une contradiction entre les deux (...) comme c’est la ten- dance de nos jours. Il nous faut rappeler que la religion n’offre pas seulement un ca- dre culturel et doctrinal au su- jet des questions qui touchent l’identité et les questions ulti- mes et sacrées de la vie, mais au moins en ce qui concerne le christianisme, elle offre une expérience spirituelle et une quête humaine du sens à don- ner à la souffrance, à l’angois- se et à la mort, et un chemin qui peut être un réel appui à la guérison du corps et à une meilleure prise en charge de la

totalité de l’être humain. » La première journée des

« Conversations de Salerne » a permis d’aborder trois des thèmes du colloque : éthique des religions et du soin dans les moments existentiels de la vie ; communautarisme et sécularisation des enjeux de santé ; syncrétisme religieux, entre superstition et savoirs scientifiques.

Les trois sessions ont per- mis aux conférenciers d’abor- der différentes facettes de la problématique proposée. Le P. Michel Nader s.j. a parlé de ce que la tradition catholique peut apporter aux moments vécus par un malade en phase terminale, pour lui permettre, ainsi qu’à ses proches, de faire face à la mort et aux inévita- bles sentiments d’échec et de désespoir.

Pour sa part, Moham- mad Rafic Khalil, professeur de chirurgie à l’université d’Alexandrie, a parlé des cri- tères d’éthique médicale dé- veloppés dès le IXe siècle par l’École arabo-islamique.

Généticienne, coordinatri- ce de l’Espace éthique à l’AP- HM, Perrine Malzac a mon- tré « de quelle façon la laïcité, cadre de travail au sein des hôpitaux publics en France, peut être compatible avec une prise en charge des croyan- ces religieuses des patients », tandis qu’Ilham Kallab, pro- fesseur à l’UL, analysait « la manière dont la vieillesse est perçue dans la société orien- tale et méditerranéenne ».

La circoncision

Après une pause, Sylvia Chiffoleau a parlé des enjeux

sanitaires du pèlerinage à La Mecque à l’époque coloniale et du système de quarantai- ne qui l’accompagnait ; le Pr Tomb de l’histoire de la cir- concision en Méditerranée, et de la manière dont un rite religieux devenu impératif hygiénique – contestable –

« s’est déplacé de la maison à l’hôpital » ; tandis que Jac- ques Battin, de l’Académie française de médecine, ana- lysait les rapports ambigus et interdépendants entre mé- decine et religion et qu’An- tonio Guerci, de l’université de Gênes, évoquait la mala- die comme « aboutissement d’une histoire », une mise en forme de la souffrance.

Enfin, le colloque a permis à Roula Abi Habib-Khoury, chef du département de so- ciologie à l’USJ, de parler des « nouveaux guérisseurs au Liban » et du « réenchan- tement du monde » ; Anne- Marie Moulin, directrice de recherche à l’université du Caire, de l’actualité de la tradition médiévale arabe, que les brillantes décou- vertes et les progrès théra- peutiques contemporains n’ont pas rendue caduque ; Mounir Chamoun, psycha- nalyste et membre du corps enseignant de l’USJ, du corps malade, entre supers- titions et savoir scientifique, et Ymane Fakhir, photogra- phe marseillaise, de disser- ter sur le thème « Faites vos vœux ».

Aujourd’hui, le colloque abordera les thèmes sui- vants : La place du religieux et du spirituel à l’hôpital et enfin Le sacré et le salut.

Selon «

Dans l’auditorium de la faculté de médecine de l’USJ, un intervenant en plein exposé. Photo Michel Sayegh

(6)

8

΍ ΖΒδϟ - 27

- 11 2010 ΩΪόϟ΍

3841

d˘˘˘

≤˘˘˘

ÉA GC h Q h e˘˘

˘à˘˘

ƒ S°˘

˘

£

˘˘

»

‘ {G d˘˘

«ù

°˘˘

ƒ Y˘

˘«˘˘

áz É «˘˘ ˘Ø˘˘ û°˘ ˘à ù°˘ Ÿ G ‘ ¿ ˘˘É Oj ’C hG ˘á ë˘ °˘˘ ü Gd ˘ø Y˘

ä

[ e

≤ ó Ω G

°ƒ Q

‘ G d∏

≤É A )

Y

» fi ª ó(

T

°˘

µ

˘∏

â GC N

˘Ó

«˘

É ä G

’C O

É

¿ h Gd˘

ô

É

á

G

∏˘

ë

˘

˘É ä G

ƒ L

˘ƒ O

áfɵehá 뢫 °˘üd GäÉf˘˘Égôd˘ G‘á «˘f˘Éª˘∏˘©˘Gd˘á j˘Oó©˘à˘Gd˘ hÉI˘«˘ë∏˘d˘

á

Gd ó j ø h Gd ô h M É f

« á

G Ÿ ù

°à û

° Ø

, fi ƒ Q Gd

É A G’C h Q h e à ƒ S

°

£

»à˘˘d˘˘hGz ¿Òd°˘˘ÉSäÉK˘˘OÉfi {≥˘˘∏˘˘£jo˘˘É e˘˘ GCh, áa˘˘É≤˘˘˘ã˘˘Gd˘ hë˘˘á °˘˘ü∏d˘˘˘

»

Gf

©

ó ä GC e ù

¢

c

« á Gd à ª ô j

¢

L É e

© á Gd

ó j ù

¢ j ƒ S

°

, á «MhôGdº «≤dhG¿ÉjOG’C: áë°üdhG¢UÓÿ{G: ¿ƒGæYâ–

G Ÿ ù

°à û

° Ø

H

óG

¿ G d Ñ ë ô G’C H

«

¢ G Ÿ à ƒ S

°

§ z H ô Y É j á h R j

ô°˘˘˘ùfôØ˘˘˘d˘˘˘ Gä’É°˘˘˘˘üJG’ h˘áa˘˘˘˘˘˘˘É˘˘˘≤ ˘˘˘ã˘Gd˘˘ô j˘˘˘Rh h…Îe¥QW˘˘˘˘É ΩÓ˘˘˘Y˘G’E

»

a ô j ó j ô j

e

« Î G

¿ .˘òGd˘A É≤˘˘∏˘˘d˘˘ G»J˘˘ÉCj˘˘˘

f

˘˘

˘˘ª˘

˘à˘˘

¬ N

˘˘ó e˘˘

É ä G d˘˘

ô

˘É j˘˘

á G’

L

˘˘à˘˘

ª˘˘

É

˘«˘˘

ácG°ôûd GÉQW GE‘, á«Y°ƒù«Gdá ©eÉ÷G h«É∏°«Sôeä«ÉØ°û°àùŸ á

e

L É e

© É ä h e ù

°à û

° Ø

«É ä e ø e ü

°ô h G

÷ õG F ô hG Ÿ

¨ ô Ü h J ƒ f ù

¢ .«ÉfÉ°ÑShG

J˘˘

ô M

˘˘«

Ö e˘˘

ø G

’C S

°˘˘

à˘˘

É P

c

˘˘∏˘˘

«˘˘

á Gd˘

˘

£ Ö h G Ÿ û

°˘

ô

±

∏˘

G

∏˘

≤˘

É

˘˘Ñ˘˘W GC∞∏˘˘à˘˘flÚHA É≤˘˘˘∏˘˘Gd˘á ˘«˘˘˘˘ª˘g GC¤ Gâ˘Ø d˘…òd˘˘˘ GÖW˘˘˘æ ¿’hQ A

G Ÿ ù

°à û

° Ø

«É ä h G

÷ É e

© É ä G Ÿ û

°É Q c á d à ÑÉ O

G ÿ È G ä h Gd ƒ U

°ƒ

∫˘áe˘˘Ó°˘˘˘ùdhGá 뢢˘ °˘˘˘üd GÚ H™˘˘˘˘˘˘ªé˘˘˘ j… ˘˘òGd˘O ƒ°˘˘˘ûæŸ GÒ˘˘«¨˘à˘˘˘˘d˘˘˘˘ G¤G hG

Á É

¿ . H˘˘

©˘

˘ó g

˘˘É , ó ç H

˘˘«˘˘

ÉQ a

˘˘É f˘˘

à˘˘

«˘

õ ,

ø e ù

°˘

à û

°˘

Ø˘

ô S

°˘

«˘

∏˘

«˘

É,

ø GàÉka’, á«£°SƒàehQh’C G܃©°ûd GÚHá bóG°üd G≥«ª©JI Qh°ôV

¤

GC

¿ G d ƒ U

°ƒ

G

¤ f

É

e û

° Î c á H Ú G Ÿ

© ÉQ

± G d

£ Ñ

« á h U

° ë

áóG©˘à˘°˘ùe¢†jôŸ G˘π©˘˘˘L‘ ˘ó Y˘°˘˘Éù j»æ˘˘j˘˘ód˘˘ GÖfÉ÷hGó °˘˘ù÷G

k

d∏

û

° Ø É A H û

° µ π GC S

°ô

´

.Gdá «∏có «ªYO ó°Th

©

ƒ G d ó j æ

« á

G d

« ù

°ƒ Y

« á S

°∏

« º O c É T

¢

∏˘

J

˘©

˘ª˘

«˘

º Gd˘

≤˘

«˘

º Gd˘

ô h M

˘«˘

á O G N

˘π G Ÿ ù

°˘

à û

°˘

Ø˘

«˘

É ä

G

à˘

ÉC c

«

󰢢VôŸ G™e˘˘á «˘˘f˘˘°˘˘Éùf GE≥j˘˘£˘˘ô ˘˘˘ H»W˘˘˘ ˘˘É©˘à˘˘˘d˘˘˘ GÖ«˘˘∏˘˘˘¨˘˘˘˘ J¿ GC≈ ˘˘∏˘˘˘Y˘

j ù

°É Y ó g º e ø G d æÉ M

« á Gd æ Ø ù

°«

á h j ù

°É Y ó

J

© ª

« º GC N Ó b

«É

ä .ä«ÉØ°û°àùŸ GπNGOº ¡àjÉY Q‘¿ÉjOG’C h d˘˘˘

Ø â L

˘˘˘É

¿ H

˘˘˘ƒ

S

°˘˘˘

«˘˘˘

¨˘

˘˘É O e˘˘

ø e ù

°˘˘

à û

°˘˘

Ø˘˘

e˘˘

ô S

°˘˘

«˘˘

∏˘˘

«˘˘

É G

¤ GC

¿

Gd à

© Éh

¿ h J

°É a ô G

÷

¡ ƒ O

G d ó h

G

’C h Q h e à ƒ S

°

£

« á S

°«

ù

°É Y

ó˘™e˘˘¿ÉÁ˘˘˘É H»˘˘˘W˘˘É©˘à˘˘˘d˘˘˘hGá ˘«˘˘˘˘ª˘˘˘˘˘∏˘˘©˘d˘˘˘˘ G±Q˘˘˘É©˘Ÿ GÚ H ˘™ª˘˘˘÷ G‘ G Ÿ û

°É c π G d ü

° ë

« á O G N π G Ÿ ù

°à û

° Ø

«É ä

.˘˘¬«˘˘˘˘˘˘˘˘˘˘˘˘æ˘j˘˘˘Qá ˘˘˘˘˘©˘˘˘˘˘e˘˘É÷ G¢ù˘˘˘«F˘˘˘ QÈà˘˘˘˘˘Y˘hG T

°˘˘˘˘˘

É e˘˘

˘˘˘ƒ S

°˘˘˘˘˘

» GC

¿ M

˘˘˘˘˘É

G Ÿ ù

°à û

° Ø

«É ä

j

© ó c ª É c É

¿

G d ù

°É H

h

M É

O hG K ƒG H

âóG«˘Ÿ G‘Ò¨à˘à˘°˘SäÉ«˘∏˘˘≤˘©˘d˘˘ G¿ÉEa˘˘, 䃟hGO °˘˘Éù˘ØGd˘ hÉI«˘˘◊G

¿

Gd ó j æ

» , d ò d

a ÉE f

¬ j à ƒ L Ö e ôG L

© á W ôG F

G d

©

« û

¢

. °ôTƒ H GC±°ôTA ÑÉW’C GÖ«≤ædá ∏NóGeâfÉcº K

± f ƒ

a

«

¡

ÉHô©e, á«£°SƒàehQh’C G܃©°ûd GÚHh «ÉkÑWäGÈÿ G∫OÑÉàH Ék

˘˘˘

ø GC e˘˘

˘˘∏˘˘˘

˘¬

GC

¿ j

˘˘˘˘à

˘˘˘˘

º Gd˘

˘˘˘à˘

˘˘˘ƒ U

°˘˘˘˘

π G

¤ f ù

°˘˘˘

è

˘˘Ó b˘˘˘

É ä GC c È H

Ú .ä«ÉØ°û°àùŸG häÉ©eÉ÷G

H

© ó P d

, GCb

« ª â L

ù

°É ä Y ø G d à ƒ a

«

H Ú G d ó j ø h G Ÿ

© ÉQ

±É≤d∏ G𪵰àùj¿ GC≈∏Y, á«ë°üGdI «É◊ G‘É ªgQhOhá «ª∏©Gd A

GC Y ª Éd

¬ Gd

« ƒ H é

ù

°É ä j û

°É Q

a

«

¡ É GC W ÑÉ A e ø fl à

G d ó h

∫.á«ë°üGdá jÉYôGd h¿ÉjO’C Gä«ÉbÓN GC∫hæÉàJá «£°SƒàehQhG’C h j˘˘˘

î

˘˘à˘˘

à˘˘

º Gd˘

˘∏˘˘

≤˘˘

É A H˘˘

ë

˘˘Ø˘

˘π e˘˘

ƒ S

°˘˘

«˘˘

≤˘˘

» U

°˘˘

ƒ

«˘˘

«˘˘

¬ Gd˘

˘Ø˘˘

ô b˘˘

á .á«Hô©Gdá «µ°«SÓµGd

. S

¢

(7)

ájÉYôH h

,∞°Sƒj ¢ùjuó≤dG á©eÉLh É«∏«°Sôe äÉ«Ø°ûà°ùŸ ás«YɪàL’G ájÉYuôdG äÉeóN º u¶æJ (ôFGõ÷G) OGƒdG ÜÉH q»©eÉ÷G q»FÉØ°ûà°S’G õcôŸGh ásjQóæµ°S’G á©eÉL ™e ácGô s°ûdG QÉWEG ‘

, Gênes ziƒæL{ á©eÉLh ,áfƒ∏°TôH ‘ Val d’Hébron z¿hÈjO ∫Éa{ ≈Ø°ûà°ùeh

€{F¢* ˜¢“¤F ˜1c4 Q¥‡Ec²' Q¥&c|h3±'zCyµ'Hƒc(SyD' cœ¤3(' Q¥‡Ec²' Q¥&c|h3±'zCyµ'H

§ u°SƒàŸG ¢†«HC’G ôëÑdG ≈∏Y á©bGƒdG ás«HhQhC’G ¿Gó∏Ñ∏d á«fÉsãdG äGAÉ≤u∏dG

Salerne ¿ÒdÉ°S äÉKOÉfi

ôëÑdG ¿Gó∏H ‘ ≈Ø°ûà°ùŸG ‘ ás«MhôdG º«≤dGh ¿ÉjOC’G : á së°üdGh ¢UÓÿG ¿GƒæY â–

§ u°SƒàŸG ¢†«HC’G

ΩÉ s°ûdG ´QÉ°T ,∞°Sƒj ¢ùjuó≤dG á©eÉL ‘ ás«Ñ£dG Ωƒ∏©dG ΩôM ‘

17,30 -10,30 áYÉ s°ùdG 2010 ÊÉsãdG øjô°ûJ 26 ¬«a ™bGƒdG ᩪ÷G Ωƒj IÉ«ë∏d ásjOƒLƒdG äɶës∏dG ‘ ájÉYuôdGh ¿ÉjOC’G äÉs«bÓNCG - ás«ë°üdG äÉfÉguôdG ‘ ás«fɪ∏©dGh ás«Yɪ÷G ásjOó©àdG - ás«ª∏©dG ±QÉ©ŸGh äÉaGôÿG ÚH ás«æjuódG ás«≤«aƒsàdG - 14,00 -8,30 áYÉ s°ùdG 2010 ÊÉsãdG øjô°ûJ 27 ¬«a ™bGƒdG âÑ s°ùdG Ωƒj

£|h{µ' ° gS¤Fc-HyD'H JUwD' gFc“E

¢UÓÿGh ¢Ssó≤oŸG - )/c¤BH Ž¤D#c* E gS¤(y‡D'gS¤“¤3ʓD'gS¤¤3¢µ'gByD' ¤¤¬ZS¥ŸD%±'‘|‡D'[° Q°¢5 Q¥¤3¢E—-

OGôe ƒHCG AGóf qÊÉ s› ∫ƒN tódG ¬æ«M ‘ π«é°ù sàdG qºàj

gSJ1¢Ÿ™²' ° j±c}U*±'H gAcSkD' yJ2H ,¿GΫe ∂jôjójôa ás«°ùfôØdG gSJ1¢Ÿ™²' ° ›Ê9%±' yJ2H ¸c‡E

…Îe ¥QÉW ás«fÉæÑt∏dG

∞°Sƒj ¢ùjó≤dG á©eÉL

www.usj.edu.lb

Références

Documents relatifs

رذعتو ليارب ةغل ليبق نم ةرسيتم لاكشأ في تيوصتلا تادعم تيوصتلا ةعاق لىإ هب اًقوثوم اًصخش بحطصي نأ صخشلا ىلع ناكمإب نوكي نل اهدنعف ،هراتيخ يذلا حشرلما ديدتح في هتدعاسلم

The classification (up to isometry) of subforms of diagonal forms @ is equivalent to the classification of certain descending chains.. of subspaces in the vector

Accompagne Charcuterie, magret de canard, cassoulet, rôti de porc, lapin à la moutarde, viandes rouges en sauce ou grillées, daube, terrine de foie de volailles, paupiette,

This document was created with Win2PDF available at http://www.win2pdf.com.. The unregistered version of Win2PDF is for evaluation or non-commercial

Zeigt die Rechnungsabgrenzungsposten in Bezug auf die kurzfristige variable Vergütung im Jahr 2017 für alle Mitglieder der Konzernleitung, die im Jahr 2018 nach Veröffentlichung

Elle a été mise en place suite à l'abandon d'achat en prix usine par les distributeurs : certains industriels n'ayant pas les flux suffisant pour organiser eux- mêmes les

Le temps gêné peut être calculé à partir du TMJA et du pourcentage de PL (% PL), en fonction d'un certain nombre de paramètres dépendant du type de routes. Le calcul de

HAÏTI, perle des Antilles, pays du chant et de la danse, pour beaucoup un paradis sur terre, est aussi un exemple tristement classique de «mal développement» et