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Partir à l étranger : toutes les idées

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Academic year: 2022

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S’

Partir à l’étranger : toutes les idées

Partir au pair, effectuer une mission de volontariat, participer à un programme d’échange… un séjour à l’étranger peut être l’occasion de mener à bien divers projets. Mais pour éviter les déconvenues, il est conseillé de préparer son départ en s’informant sur les opportunités du pays envisagé.

organiser

Bien préparer son départ et son retour

Il est parfois tentant de tout plaquer pour découvrir d’autres horizons, mais mieux vaut ne pas trop improviser si vous voulez que votre séjour se passe bien et qu’il vous soit réellement profitable.

Définir ses objectifs

Tout le monde peut avoir envie de souffler. Quelle que soit la raison qui vous pousse à vouloir faire un break à l’étranger, mettez au maximum à pro- fit ce séjour. Une expérience à l’international peut d’autant plus être un véritable atout pour la suite de votre cursus étudiant ou de votre vie professionnelle.

Posez-vous les bonnes questions : qu’est-ce que je recherche ? Qu’est-ce que cette expérience peut

m’apporter ? Y a-t-il des connaissances ou compé- tences liées au domaine d’activité qui m’intéresse que je pourrais développer à l’étranger ? Quelle est la destination la plus appropriée pour me permettre d’atteindre tous les objectifs que je me suis fixés pour cette expérience ?

Mais même sans réel projet initial, vous ne resterez pas inactif et pourrez toujours valoriser cette expé- rience, a priori riche en enseignements.

Source : www.cotravaux.org Source : www.clong-volontariat.org

VOLONTARIAT DE SOLIDARITÉ INTERNATIONALE

Âge : en général à partir de 18 ans,

parfois en deçà

CHANTIERS INTERNATIONAUX

2 à 3

semaines en moyenne

Environ 2 000 personnes partent chaque année en VSI

avec les associations agréées par le ministère de l’Europe et des Affaires

étrangères CORPS EUROPÉEN DE SOLIDARITÉ

Source : Commission européenne

+ de 90 000 jeunes inscrit·e·s

Durée : de 2 semaines à 12 mois

• 3 volets : volontariat, stage/apprentissage, emploi

• Âge : de 18 à 30 ans

© Elnur / Fotolia

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Un calendrier à respecter

Pour bénéfi cier de la plupart des dispositifs qui per- mettent de partir à l’étranger, vous devez effectuer vos demandes et démarches à des dates précises, et souvent bien en amont de votre départ !

C’est le cas si vous comptez étudier dans une école ou une université étrangère, obtenir un Visa Vacances Travail (surtout pour le Canada, car vous devez faire votre demande dès l’ouverture des inscriptions an- nuelles), exercer votre métier à l’étranger (les visas de travail nécessaires pour travailler dans certains pays ne s’obtiennent que si vous avez déjà signé un contrat avec une entreprise sur place)…

Par ailleurs, même pour les dispositifs qui vous permettent de partir rapidement, il faut souvent avoir économisé avant votre départ. Par exemple, un séjour linguistique a un certain coût et les Visas Vacances Travail les plus rapidement délivrés im- pliquent tout de même de disposer d’une somme conséquente sur votre compte bancaire (condition imposée par les gouvernements locaux pour ne pas vous retrouver en diffi culté sur place).

Quant à votre retour, il se prépare également… sur- tout si votre break a lieu pendant vos études.

Faire un break pendant ses études

Durant vos études supérieures, vous pouvez prendre un ou deux semestres de césure par cycle d’études (licence, master, doctorat), mais attention elle n’est pas automatiquement accordé.

Vous pouvez également effectuer une césure avant même d’entamer vos études supérieures. Dans ce cas, le mieux est de participer néanmoins à la procédure d’admission Parcoursup pour vous assurer une place dès votre retour. L’établissement n’aura connaissance de votre projet de césure uniquement s’il vous accepte.

Vous conserverez alors votre place au sein du cursus.

Renseignez-vous !

Quels que soient le cadre de votre départ et votre destination, et pour éviter les mauvaises surprises, informez-vous au maximum sur ce qui vous attend.

Posez toutes les questions que vous avez en tête à l’organisme, l’entreprise ou l’établissement qui vous accompagne lors de votre voyage.

Internet est aussi une source d’information iné- puisable. N’hésitez pas, par exemple, à consulter les forums et blogs et à contacter par leur biais des gens qui sont partis au même endroit ou dans les mêmes conditions que vous.

> Pour accéder à des informations utiles sur la

culture, le coût de la vie et les démarches à effec- tuer, voir liste 1 du carnet d’adresses.

Pensez à toutes vos démarches

Papiers d’identité, visas et vaccins si nécessaire, autorisation parentale pour les mineurs, assurances (assistance, rapatriement…), couverture médicale…

Voici quelques-unes des formalités auxquelles vous devez absolument penser.

Prenez contact avec votre banque pour vérifi er le montant des frais bancaires dans votre pays de desti- nation et le taux de change. Pour un long séjour, vous devrez a priori ouvrir un compte bancaire sur place.

> Voir liste 1 du carnet d’adresses.

Quant au logement, pensez-y en amont pour trou- ver la formule adaptée à vos besoins. Dans certains cas – notamment avec un Visa Vacances Travail –, vous serez amené à changer régulièrement de ville À LIRE AUSSI

Préparer son séjour à l’étranger n° 8.11 Travailler à l’étranger n° 8.21

Partir en stage à l’étranger n° 8.22 Partir au pair à l’étranger n° 8.23 Le volontariat international n° 8.26 Étudier en Europe n° 8.52

Les programmes européens n° 8.53 Les séjours linguistiques à l’étranger n° 7.6 Les chantiers de jeunes bénévoles n° 5.611

Le choc culturel d’une expatriation dure plusieurs mois et mêle des émotions contradictoires. Le stress et l’excitation du départ laisse place, une fois là-bas, à une phase de découverte et d’émerveillement. Puis, au bout de quelques semaines, l’euphorie s’estompe et la routine s’installe ; ce qu’on a laissé en France commence à nous manquer. Pour aller mieux, forcez-vous à sortir et à rencontrer du monde.

Ces différentes phases sont tout à fait normales et font par- tie du processus d’adaptation à un nouveau pays. Enfi n, le retour en France n’est pas moins éprouvant que le départ, il faut s’y préparer. Cela peut même être un nouveau choc culturel !

A. Russel, psychologue spécialisée dans l’expatriation Conseil

L’expatriation, un défi émotionnel à préparer

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ou région, il n’est donc pas toujours nécessaire de s’engager sur du long terme. Les auberges de jeu- nesse sont parfaites pour dépanner, ou même le couchsurfi ng, qui permet d’être logé gratuitement chez des locaux pour une courte période. Attention tout de même : lisez bien les appréciations des hôtes sur le site dédié avant de faire vos demandes pour éviter de mauvaises surprises.

Informez-vous également sur les systèmes de santé et les éventuels risques de santé.

Prévoyez le bon budget

Le budget à prévoir peut être très différent selon votre destination et vos objectifs sur place. Pour évaluer vos dépenses, renseignez-vous sur le coût de la vie : visa (si besoin), logement, taxes, dépenses courantes (nourriture, transports, vêtements, frais de santé…).

Si vous comptez en profi ter pour faire des activités touristiques, augmentez votre budget car les tarifs peuvent très vite grimper dans certains pays.

Quand vous partez pour une durée indéterminée, pen- sez à mettre de côté l’argent nécessaire pour payer votre billet retour. Cela vous sera utile si vous avez le moindre souci et que vous préférez écourter votre séjour.

www.diplomatie.gouv.fr rubrique Service aux citoyens / Préparer son expatriation / Dossier pays

Quelques organismes fi nancent des projets de voyage.

Valorisez votre expérience

Quelle que soit la raison de votre séjour à l’étranger, vous aurez toujours quelque chose à en dire.

Cette année « off » vous a transformé ? Racontez-le ! Progrès en langues, ouverture culturelle, renforce- ment de vos connaissances dans un domaine précis, gestion du stress, capacité d’adaptation, débrouillar- dise…, autant d’apprentissages à mettre en valeur.

De plus en plus, ceux qui partent à l’étranger pen- dant quelque temps tiennent un blog destiné à leurs proches. Mais vous pouvez très bien en créer un spé- cifi quement dédié à vos futurs contacts profession- nels (que ce soit les services d’admission d’établis- sements de formation, de potentiels recruteurs…).

Un bon moyen de valoriser votre expérience si vous adaptez les contenus à ce type de lecteurs et que vous ajoutez sur votre CV ou dans vos dossiers de candidature un lien vers ce blog.

rouver un job

Une première expérience à l’étranger

Différentes possibilités s’offrent à vous pour une première expérience à l’étranger. Une chose est sûre : elle sera formatrice. Cf. dossier Actuel-Cidj Travailler à l’étranger n° 8.21 .

Des jobs selon votre niveau de langue

Dans un pays francophone, vous devriez avoir accès aux mêmes petits boulots qu’en France. Ailleurs, en revanche, tout dépendra de votre niveau de langue.

Si vous ne parlez pas bien la langue locale, vous pouvez tenter votre chance pour des cueillettes, des vendanges, et des jobs qui ne nécessitent pas de contact avec la clientèle (plonge, ménage…) dans

le domaine de l’hôtellerie-restauration au moment où les vacanciers arrivent en masse dans les villes touristiques.

Avec un bon niveau de langue, vos possibilités sont mul- tiples. Les jobs les plus courants sont ceux au contact des touristes : vendeur·se·s dans les boutiques de sou- venirs, réceptionnistes dans les hôtels, serveur·se·s dans les villes touristiques, animateur·trice·s dans les clubs de vacances… Les expatriés sont également nombreux à donner des cours de français.

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DES AIDES FINANCIÈRES EXISTENT

Il existe de nombreuses possibilités d’aides fi nancières pour partir à l’étranger, même si vous tentez l’aventure en solo, notamment celles de la fondation Zellidja, de l’Institut français, des conseils régionaux…

Renseignez-vous bien en amont et soignez votre dossier pour avoir une chance de bénéfi cier de ce coup de pouce.

Cf. dossier Actuel-Cidj Monter son projet : aides et conseils n° 5.62.

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Adaptez-vous aux usages locaux

Reste à vous adapter aux usages locaux. Dans cer- tains pays, pour un job de courte durée, votre contrat pourra être seulement oral. Le paiement pourra se faire à la journée, à la semaine ou au mois. Temps de travail et congés ne seront pas les mêmes que ceux accordés en France…

Couvrir vos dépenses courantes

Faites le calcul avant de vous engager : votre rému- nération couvrira-t-elle au moins vos dépenses cou- rantes ? Il n’est pas rare pour des Français partis à l’étranger de cumuler les jobs pour s’en sortir.

Et si vous vous adressez à une agence pour trouver un job sur place, restez sur vos gardes : leurs ser- vices sont payants et il ne faut pas que cela vous coûte plus cher que ce que vous rapportera le job en question.

Quelques dispositifs concrets

Il existe plusieurs solutions pour faciliter ou encadrer votre séjour à l’étranger et y exercer une activité indemnisée ou rémunérée.

Travail au pair

Objectifs : devenir bilingue (ou presque), plus auto- nome, et découvir une autre culture.

Le travail au pair s’adresse offi ciellement à des jeunes de 18 à 30 ans, mais dans les faits, les fa- milles n’acceptent que rarement votre candidature si vous n’avez pas au moins 20 ans et votre permis de conduire. En moyenne, vous vivez chez votre fa- mille d’accueil pendant 10 mois, même si certains séjours au pair peuvent être bien plus courts.

Votre journée type : réveiller les enfants le matin, pré- parer leur petit-déjeuner, les accompagner à l’école, les prendre en charge en fi n de journée (goûter, de- voirs), puis dîner avec la famille. Vous devez généra- lement assurer 2 soirées de baby-sitting par semaine.

Les services des agences de placement coûtent de 200 à 400 €. Vous gagnerez environ 80 € par se- maine d’argent de poche et vous serez nourri et logé.

Il est possible de se débrouiller sans passer par une agence, mais dans ce cas, redoublez de vigilance.

Sur Internet ou dans la presse, certaines annonces sont de véritables arnaques.

En Europe, le travail au pair est répandu au Royaume-Uni, en Espagne, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas et dans les pays du Nord (Finlande, Suède, Danemark). Hors Europe, les États-Unis sont la première destination des séjours au pair.

> Cf. dossier Actuel-Cidj Partir au pair à l’étranger

n° 8.23 .

Assistant·e de français

Objectifs : se confronter à une autre culture et affi - ner ses connaissances dans la langue choisie.

À condition de bien parler une langue étrangère (ni- veau validé par un professeur ou une université), vous pouvez assister un professeur de français dans les pays où cette langue est parlée. Le volume horaire de cours, la durée du séjour, la rémunération et les conditions d’accueil varient en fonction des pays.

Renseignez-vous auprès de France Éducation inter- national (ex-Centre international d’études pédago- giques) et n’hésitez pas à contacter d’anciens assis- tants via les forums spécialisés.

Je suis parti en 2018 lorsque le PVT Brésil a été inauguré. J’ai eu la chance de trouver un emploi de professeur de français à l’Alliance française de São Carlos dans l’État de São Paulo, une ville universitaire du sud du pays. Je suis arrivé en pleine période de recru- tement. J’ai trouvé un logement à un quart d’heure de mon lieu de travail. Ça n’a pas été diffi cile, j’ai même eu le choix entre une dizaine de colocations !

Témoignage

Julien, 25 ans, a fait un PVT au Brésil

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Attention, ne vous engagez pas à la légère car vous ne pourrez, a priori, démissionner qu’en cas de force majeure.

En 2019, l’Espagne proposait le plus grand nombre de postes, soit 372, suivie du Royaume-Uni (285), de l’Allemagne (220) et de l’Italie (95). Pour les pays plus lointains, c’est le Mexique qui est le plus demandeur, tandis que les offres sont rares aux États-Unis et au Canada.

Chaque année, environ 1 400 postes d’assistant·e de français sont à pourvoir dans les 26 pays participants.

www.ciep.fr rubrique Mobilité internationale / Assis- tants français à l’étranger

Programme Vacances Travail (PVT)

Le Programme Vacances Travail ( Working Holiday Visa ) permet de découvrir un pays étranger tout en y travaillant, grâce à l’obtention d’un permis ou visa de travail de 6 à 12 mois.

Objectifs : voyager sans se ruiner et considérable- ment progresser dans la langue du pays choisi.

Destinations possibles : Australie, Nouvelle-Zélande, Canada, Japon, Corée du Sud, Hong Kong, Argen- tine, Russie, Taïwan, Chili, Mexique, Colombie, Uru- guay, Brésil. À noter qu’un accord a été signé en octobre 2018 pour un futur PVT Pérou.

Une fois votre PVT en poche, vous pouvez vous rendre dans le pays concerné et y exercer des petits boulots si vous avez besoin d’argent pour fi nancer la suite de votre séjour. Plusieurs options : vous ins- taller durablement dans une grande ville où vous

trouverez facilement des jobs et voyager ensuite avec l’argent gagné sur place, ou choisir la mobilité et vous arrêter régulièrement pour des missions de type « fruit picking » (cueillette de fruits), en fonc- tion des opportunités et des bons plans que vous donneront d’autres voyageurs.

Il y a certaines conditions à respecter pour pouvoir bénéfi cier du PVT : l’âge (jusqu’à 30 ou 35 ans pour certains pays), les assurances, les ressources fi nan- cières disponibles sur votre compte bancaire…, mais elles varient en fonction des pays. Les demandes sont payantes et se font généralement en ligne ou en vous rendant dans l’ambassade concernée.

À noter : certains pays imposent des quotas suivant la règle du « premier arrivé, premier servi ». Le PVT Canada est particulièrement diffi cile à obtenir, car les visas s’écoulent en un temps record après l’ou- verture des inscriptions qui a généralement lieu en novembre.

À l’inverse, d’autres pays les accordent de façon illimitée, comme l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

Mais les demandes sont tellement nombreuses que l’offre de jobs n’est plus assez fournie, surtout en Australie.

Informations sur le PVT et échanges avec d’autres PVTistes : www.pvtistes.net

DES INFOS PRÉCISES DANS NOS DOSSIERS PAYS Que vous ayez envie de travailler, de trouver un job ou un stage, ou d’étudier dans un pays en particulier, nos dossiers pays détaillent les démarches à effectuer et les possibilités qui vous sont offertes localement. N’hésitez pas à les consulter.

Wwoofi ng : votre aide contre le gîte et le couvert

Wwoofi ng vient de l’acronyme WWOOF pour World Wide Opportunities on Organic Farms : opportunités dans des fermes bio du monde entier. Si cette pratique existe dans de nombreux pays, elle est particulièrement répandue en Australie, en Nouvelle-Zélande et au Canada.

Comment ça marche ?

Le principe du wwoofi ng est simple : vous aidez une famille en moyenne 5h par jour, 4 à 6 jours par semaine pour de multiples tâches ; en échange, elle vous loge, vous nourrit et vous fait partager son quotidien.

Les offres et le descriptif des missions sont dispo- nibles sur les sites des organisations Wwoof propres à chaque pays.

Listes des pays et de leurs sites : www.wwoof.net Vous payez une cotisation de 15 à 30 € pour y avoir accès et vous pouvez ensuite envoyer vos candidatures

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rouver un emploi

Des opportunités à saisir

Travailler à l’étranger pour fuir le chômage ou booster sa carrière… vous êtes nombreux·ses à vouloir tenter l’expé- rience. Les opportunités existent, tout dépend des langues que vous maîtrisez, de votre domaine d’activité et des pays que vous visez.

Les secteurs qui recrutent à l’étranger

Évidemment, les secteurs pour lesquels le savoir- faire français est reconnu mondialement restent ceux qui sont le plus susceptibles de recruter à l’étranger : c’est notamment le cas des métiers de bouche (boulanger·ère-pâtissier·ère, cuisinier·ère…) et des métiers du bâtiment (couvreur·se, tailleur·se de pierre…), mais aussi ceux liés à la mode ou au cinéma d’animation.

Certains professionnels sont recherchés un peu par- tout dans le monde, comme les professionnels de santé (infirmier·ère·s, médecins spécialistes…), de l’énergie (pour travailler sur les plateformes pétro- lières…), du tourisme, de l’hôtellerie-restauration, de l’animation, du sport – même si, dans ces der- niers secteurs, les emplois sont souvent saisonniers.

Pensez aussi à l’enseignement : les professeur·e·s de FLE (français langue étrangère) sont particulière- ment recherché·e·s en Amérique latine et en Chine.

T

aux familles avec les dates souhaitées. Elles reçoivent des appréciations au fur et à mesure des séjours et celles qui en ont de très bonnes peuvent être particu- lièrement sollicitées. Essayez de les contacter le plus tôt possible et soignez votre lettre pour mettre toutes les chances de votre côté.

Une fois le contact établi, n’hésitez pas à deman- der des informations sur les congés, les tâches à effectuer, les chambres… pour éviter les mauvaises surprises.

Immersion dans la culture locale, nets progrès en langue, acquisition de nouvelles connaissances, voi- ci quelques-uns des bénéfices du wwoofing ! À savoir : sur un principe similaire, workaway pro- pose de partir en tant que volontaire auprès d’hôtes dans 180 pays.

www.workaway.info

Un bon plan pour dépanner

Financièrement, le wwoofing ne vous rapporte rien, mais permet de séjourner à l’étranger sans trop dé- penser. À part la cotisation, vous ne paierez que vos transports et vos loisirs personnels.

De nombreux Français voyageant avec un Visa Va- cances Travail ont recours au wwoofing quand ils ne trouvent pas de job.

Des petits travaux écolos

Pour faire du wwoofing, il est tout de même préfé- rable d’avoir une certaine sensibilité écolologique.

Les hôtes recherchent généralement des personnes qui s’intéressent à l’écologie même s’ils ne sont pas eux-mêmes des spécialistes. Parfois, ils apprécie- ront d’ailleurs que vous ayez des compétences liées à leur projet, mais il arrive aussi que les débutants soient acceptés et formés, ce qui explique les du- rées minimales parfois imposées par ceux qui vous reçoivent.

On pourra vous demander de faire du jardinage, de vous occuper des animaux, de faire de l’écoconstruc- tion… Mais vous pouvez aussi être sollicité pour d’autres tâches, moins liées à l’écologie, comme du bricolage ou de la cuisine.

Attention aux jobs déguisés !

L’expérience plaît généralement, à condition que les règles soient respectées des deux côtés. N’acceptez donc pas n’importe quels petits travaux ou horaires.

Vos missions et conditions de travail dans le cadre du wwoofing ne doivent pas être celles d’un véritable job rémunéré.

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Vous partez donc avec un avantage si vous connais- sez l’anglais, l’espagnol ou le chinois. Il y a éga- lement des possibilités en Afrique, notamment au Maroc, en Europe, en Turquie et en Russie.

> Cf. dossier Actuel-Cidj Travailler à l’étranger n° 8.21.

Des destinations à privilégier

En matière de démarches administratives, il est plus simple de travailler en Europe qu’ailleurs dans le monde. En juillet 2019, la République tchèque, l’Allemagne et la Pologne sont les pays les moins touchés par le chômage. La Grèce et l’Espagne sont les plus durement touchés, même si, en un an, leur taux de chômage a diminué de manière significative.

Si vous souhaitez sortir d’Europe, sachez que de nombreux Français tentent leur chance dans les pays du Golfe et au Canada, qui recrutent encore des étrangers. Vous pouvez aussi chercher du côté des pays émergents, ou ceux dont la croissance est repartie, en Asie et en Amérique latine : ils manquent souvent de main-d’œuvre qualifiée.

Expatriation ou contrat local ?

Même si l’expatriation est souvent la formule la plus intéressante, puisque vous conservez les condi- tions de travail et le salaire français dans des pays où le coût de la vie sera parfois nettement inférieur à celui de la France, elle est de moins en moins proposée par les entreprises françaises dans le contexte de crise actuel… sauf à quelques cadres expérimenté·e·s ou à de jeunes ingénieur·e·s et technicien·ne·s envoyé·e·s pour expertiser des pro- blèmes techniques.

Il n’est pas évident non plus d’intégrer une entre- prise locale, à moins de pouvoir convaincre le re- cruteur de la plus-value de votre profil et de votre connaissance du pays, de sa culture… Si vous y par- venez, vous signez un contrat de droit local, ce qui signifie que vous serez logé à la même enseigne que les travailleurs locaux en ce qui concerne la rému- nération, les congés… Vous devrez également vous renseigner pour les cotisations retraite.

Attention aux professions réglementées !

Avant de vous lancer, vous devez aussi savoir que tous les métiers ne peuvent pas être exercés partout.

Dans de nombreux pays, certains postes sont régle- mentés et les étrangers ne peuvent pas y postuler.

Pour connaître la liste des professions protégées dans le pays que vous visez, adressez-vous aux am- bassades ou aux consulats.

Comment trouver un emploi à l’étranger ?

Un projet d’expatriation se prépare. Vous devez avant tout clarifier vos objectifs et être au clair avec les raisons qui vous poussent à chercher un emploi à l’étranger. Ensuite, récoltez un maximum d’informa- tions sur la destination choisie, sur les perspectives d’emploi, les usages en vigueur dans le monde pro- fessionnel et dans votre secteur d’activité, afin de voir si votre profil est bien adapté.

> Cf. dossier Actuel-Cidj Travailler à l’étranger n° 8.21.

evenir volontaire

Bénévolat ou volontariat ?

Les bénévoles remplissent des missions éducatives, scientifiques, sociales, humanitaires ou sportives dans des organismes à but non lucratif sans être rémunéré·e·s, tandis que les volontaires s’engagent, au sein d’associations ou d’entreprises, dans des missions définies dans la durée, et pour lesquelles ils·elles sont indemnisé·e·s.

Chantiers de jeunes bénévoles

La première étape est de bien définir vos critères de sélection, afin de choisir un chantier qui correspond

à votre désir : voulez-vous rester en France ou partir à l’étranger ? Pour combien de temps ? Sur quel type de chantier ?

D

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Pour certains pays ou projets, vous devez bien consi- dérer les risques : les situations sociales, politiques ou sanitaires peuvent présenter des dangers impor- tants.

La plupart des chantiers à l’étranger ne vous seront accessibles que si vous avez 18 ans minimum. La durée moyenne est de 2 à 3 semaines et vous tra- vaillez de 20 à 35h selon votre âge.

Le transport vers le chantier est à votre charge et une participation vous sera demandée pour couvrir la pension complète, l’assurance et l’adhésion à l’association.

Choisir votre chantier : www.cotravaux.org ; www.clong- volontariat.org ; https://europa.eu/youth/_fr rubrique Faire du volontariat.

> Cf. dossier Actuel-Cidj Les chantiers de jeunes

bénévoles n° 5.611 .

Corps européen de solidarité (CES)

Initié et fi nancé par l’Union européenne, le corps européen de solidarité s’adresse aux jeunes de 18 à 30 ans. Il comprend 2 volets : le volet volontariat et le volet professionnel.

Que ce soit pour du volontariat, un stage ou un em- ploi, vous partez forcément pour une mission à por- tée solidaire : lutte contre les exclusions, éducation, aide aux demandeurs d’asile, aide alimentaire, soins de santé, aide pour reconstruire une école suite à un tremblement de terre, protection de l’environne- ment, culture, etc.

Chaque participant bénéfi cie d’un soutien linguis- tique, d’une formation pour le volet professionnel,

d’un séminaire à l’arrivée et à mi-parcours pour le volet volontariat, d’un tutorat en ligne ainsi que de la prise en charge des frais de voyage aller et retour.

Si vous êtes intéressé·e, il est possible de s’inscrire sur le site dès l’âge de 17 ans pour préparer votre candidature et monter votre dossier, même s’il vous faudra attendre d’avoir 18 ans pour effectuer un projet de CES.

À votre retour, un conseiller vous aidera à valoriser cette expérience pour la suite de votre parcours étu- diant ou professionnel.

Pour en savoir plus : www.corpseuropeensolidarite.fr .

Volet « volontariat »

Ce volet vous offre la possibilité d’effectuer dans l’un des États membres de l’UE ou dans un État partenaire, un projet de volontariat à plein temps d’une durée comprise entre 2 et 12 mois pour le long terme et de 2 semaines à 2 mois pour le court terme.

Partir en tant que volontaire ne requiert pas de di- plôme ou de formation spécifi que. C’est votre moti- vation qui prime.

Les frais de transport et de logement sont pris en charge et vous recevez de l’argent de poche (mon- tant variable en fonction du pays d’accueil) pour vos dépenses quotidiennes ainsi qu’une allocation nour- riture.

Avant votre départ, votre structure de soutien vous affi liera à une assurance qui fera offi ce de complé- mentaire santé (frais médicaux, assistance rapatrie- ment et responsabilité civile).

Volet « professionnel stages et emplois »

Il permet d’effectuer une mission de solidarité rémunérée dans l’un des États membres de l’UE.

Vous signez un contrat de travail, d’apprentissage ou une convention de stage (hors cursus scolaire), d’une durée de 3 à 12 mois pour un emploi et de 2 à 6 mois pour un stage.

Il n’y a pas de prérequis de diplôme, mais les orga- nismes peuvent cibler certains profi ls en raison des compétences recherchées.

Comment participer ?

Vous devez vous enregistrer sur le portail européen de la jeunesse :

https://europa.eu/youth/SOLIDARITy_fr

Une fois inscrit·e, vous y trouverez des offres de volontariat, de stage et d’emploi publiées par des Vous souhaitez effectuer une mission de volontariat à

l’étranger ? Vérifi ez que l’organisme qui vous intéresse est agréé par le ministère correspondant à son secteur d’acti- vité. Consultez le site internet de l’organisme pour voir si le logo du ministère y fi gure ou si l’agrément est spécifi é dans la présentation. Si ce n’est pas le cas, renseignez-vous sur ses objectifs, son mode de travail et ses conditions d’ac- cueil, et prenez un maximum de garanties avant de partir : couverture sociale, assurance rapatriement…

I. Fagotat, rédactrice au CIDJ Conseil

Volontariat : les précautions à prendre

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organismes agréés et auxquelles vous pouvez pos- tuler. Ces mêmes organismes peuvent aussi vous contacter après avoir consulté votre profil.

Pour le volet volontariat : une fois votre candidature retenue, vous devez contacter une structure de sou- tien de votre région. Cette structure vous accom- pagne avant votre départ et assure un suivi durant votre projet CES et également à votre retour. Liste sur www.erasmusplus-jeunesse.fr/map_contacts.html Pour le volet professionnel : vous pouvez aussi trou- ver des offres sur https://ec.europa.eu/eures/public/fr/

homepage rubrique Rechercher un emploi / cochez

« Travail social »

Pour savoir s’il est possible de convertir cette offre dans le cadre du CES contactez le Pôle emploi.

https://escorps.eu/fr

Pôle emploi vous accompagne avant, pendant et après votre projet professionnel de CES.

Volontariat de solidarité internationale (VSI)

ONG, hôpitaux, établissements d’enseignement… le VSI permet de vous engager en Afrique, Amérique latine, Asie et Europe de l’Est pour des missions au sein de l’une des associations françaises agréées par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères.

Mais attention, le dispositif est assez sélectif : on vous demandera d’indiscutables qualifications et compétences professionnelles, un réel esprit d’en- gagement et un bon niveau en langues étrangères.

Mieux vaut également être en excellente forme phy- sique, avoir un bon sens de l’organisation, beaucoup de sang-froid et une grande capacité d’adaptation.

Le contrat dure jusqu’à 6 ans maximum et vous bénéficiez d’une indemnité mensuelle minimale de

100 €, d’une couverture sociale et du paiement des frais de voyage.

Plus d’infos : www.clong-volontariat.org ; www.france- volontaires.org

> Cf. dossier Actuel-Cidj Le volontariat international n° 8.26.

Volontariat international en entreprise ou en administration

Malgré leur appellation, le VIE et le VIA ne proposent pas des missions de volontariat à proprement par- ler, puisqu’il s’agit de postes indemnisés au niveau d’une rémunération d’emploi et qui n’ont souvent aucun rapport avec la solidarité internationale. L’in- demnité mensuelle fixe de 723,99 € est accompa- gnée d’une indemnité supplémentaire en fonction du pays de la mission. Destinés aux jeunes de 18 à 28 ans, elles durent de 6 à 24 mois et peuvent être un véritable tremplin professionnel.

À votre retour, vous obtenez votre certificat d’accom- plissement du volontariat international, nécessaire pour retrouver vos droits à la Sécurité sociale et vali- der votre mission au titre du régime de retraite.

Offres et informations : www.civiweb.com ; http://export.

businessfrance.fr

> Cf. dossier Actuel-Cidj Le volontariat international n° 8.26.

Autres pistes

D’autres formes de volontariat existent, notamment le volontariat franco-allemand (VFA) et le volontariat des Nations unies (VNU).

https://volontariat.ofaj.org/fr, www.unv.org/fr

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tudier ou faire un stage

Choisir l’Europe

Pour un séjour d’études ou un stage, les démarches sont facilitées si vous choisissez un pays européen.

Partir en solo

ou via un programme

Pour effectuer un séjour d’études ou un stage, opter pour un pays européen peut être une bonne solution.

Vous pourriez profi ter du programme européen Eras- mus+. Ainsi, votre établissement – ou si vous n’êtes plus étudiant·e, votre organisme d’envoi – s’occu- pera d’une partie des démarches. Cela rendra votre départ plus simple (le logement peut parfois être prévu) et votre retour également (reconnaissance des diplômes…).

Il existe également le programme Eurodyssée, dédié aux demandeurs d’emploi de 18 à 30 ans.

> Cf. dossiers Actuel-Cidj Étudier en Europe

n° 8.52 ; Les programmes européens n° 8.53 ; Partir en stage à l’étranger n° 8.22 .

Partir en solo reste possible, mais vous devrez tout prendre en main, ce qui n’est pas toujours évident lorsqu’on ne connaît pas d’interlocuteurs sur place.

Pour le stage, sachez que si en France il s’inscrit dans une formation, dans la majorité des pays, il s’apparente plutôt à une courte période de travail, pas nécessairement liée à un cursus et pas toujours rémunérée.

> Cf. dossiers Actuel-Cidj sur les différents pays européens.

Des aides à la mobilité européenne

Un an d’études à l’étranger revient à 6 000 € mini- mum, sans compter le voyage. Pour les stages, tout dépend de la durée et de votre rémunération.

Il existe des aides à la mobilité européenne, notam- ment les bourses Erasmus+, mais aussi celles de l’Éducation nationale, du ministère en charge des Affaires étrangères, des collectivités locales et des pays d’accueil.

> Cf. dossier Actuel-Cidj Étudier en Europe n° 8.52 .

Sortir d’Europe

Intégrer une école étrangère ou effectuer un stage n’est pas possible partout. Renseignez-vous minutieusement, notamment auprès des ambassades, afi n de bien choisir votre destination.

Accord d’échange ou en solo ?

Pour étudier ou faire des stages dans des pays hors Europe, l’échange reste la solution la plus simple, notamment pour vous éviter une partie des dé- marches qui peuvent vite devenir un vrai casse-tête.

En solo, il vous faudra également payer les frais de scolarité qui peuvent être, dans certains pays (no- tamment aux États-Unis), beaucoup plus élevés que dans les universités françaises.

> Cf. dossiers Actuel-Cidj sur les pays hors Europe.

Programme d’échanges du BCI (Québec)

Le Bureau de coopération interuniversitaire est un regroupement d’universités québécoises ayant mis en place des partenariats avec des établissements à l’étranger, dont la France avec 150 grandes écoles et universités partenaires.

HEC à l’étranger

HEC Paris a signé des accords de diplômes conjoints et/ou de doubles diplômes avec 24 partenaires acadé-

É

SÉJOURS LINGUISTIQUES

C’est l’occasion d’allier cours de langues, détente et découverte. Vous pouvez aussi opter pour une formule de cours intensifs dans le but de passer un test de langue (TOEFL, TOEIC, ZMP…).

Pour le logement, optez pour une famille si vous voulez une vraie immersion, ou pour un collège si vous préférez côtoyer d’autres jeunes.

Les séjours en Europe durent de 2 à 3 semaines en moyenne ; les séjours hors Europe, de 4 à 8 semaines.

Les tarifs varient de 800 à 5 000 €.

Cf. dossier Actuel-Cidj Les séjours linguistiques à l’étranger n° 7.6.

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miques européens comme la London School of Econo- mics & Political Science ou l’université Bocconi à Mi- lan. L’école permet aussi des échanges en Amérique du Nord et latine, en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie avec pas moins de 85 partenaires académiques comme Yale University School of Management (États- Unis), la Business School de l’Université nationale de Singapour, l’Institut national polytechnique Félix Hou- phouët-Boigny de Côte d’Ivoire…

Sciences Po

La troisième année d’études à Sciences Po s’effec- tue à l’étranger. Les étudiant·e·s ont le choix entre une année complète en séjour d’études dans l’une des 470 universités partenaires de Sciences Po ou une année mixte avec un semestre de stage. Par ail- leurs, l’école propose des doubles diplômes interna- tionaux avec par exemple Columbia University (New York, USA), University of California Berkeley (USA), Freie Universität Berlin, Keio University (Tokyo) …

Bourses et aides financières

Si vous partez dans le cadre de vos études, rensei- gnez-vous auprès de votre établissement pour savoir s’il a noué des partenariats avec des universités hors Europe.

Pour un projet dans un pays hors de la zone Europe mais partenaire de l’UE, vous pouvez, sous certaines conditions, bénéficier de la bourse Erasmus+.

https://info.erasmusplus.fr

N’hésitez pas à vous renseigner auprès des collecti- vités locales, des fondations ou auprès des ambas- sades pour connaître les éventuelles bourses accor- dées par le pays de destination.

Un coup de pouce pour trouver un stage

De nombreux organismes, privés ou publics, gratuits ou payants, informent et/ou proposent des offres de stages à l’étranger.

À qui s’adresser ?

Les possibilités sont multiples : vous pouvez contac- ter des organismes spécialisés par secteur d’activité ou par pays (l’Association européenne des étudiants en droit par exemple), des organismes intergouver- nementaux (Office franco-québécois pour la jeu- nesse…), le ministère des Affaires étrangères, les institutions européennes et organisations internatio- nales, ou encore des agences spécialisées dans la recherche de stages à l’étranger.

> Cf. dossier Actuel-Cidj Partir en stage à l’étranger n° 8.22.

Soyez attentifs aux tarifs

Attention tout de même, quand les services sont payants, les tarifs grimpent vite ! Les agences spécia- lisées demandent en général entre 400 et 1 000 € selon les destinations pour organiser votre séjour (de la demande de visa à l’achat des billets d’avion) et trouver une entreprise qui vous accueillera. Ren- seignez-vous sur le sérieux de ces agences sur les réseaux sociaux et Internet, en en parlant autour de vous… N’avancez pas d’argent avant qu’elles ne vous trouvent un stage.

Parfois, les organismes de séjours linguistiques pro- posent aussi des stages en entreprise dans le cadre de diverses formules payantes. N’hésitez pas à com- parer avec la concurrence tout en demandant à quoi correspond exactement la somme demandée.

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LISTE 1

Pour en savoir plus

Sites de référence http://europa.eu/youth Édité par : Commission européenne Sur le site : informations par pays sur les possibilités de vivre, étudier, voyager et travailler en Europe.

Dossiers et articles sur l’éducation, l’emploi, le volontariat, les droits et les services, la santé, la culture.

Fil d’actualités et formulaire pour poser une question. Accès direct à la page dédiée au Corps européen de solidarité (CES).

www.agence-erasmus.fr

Édité par : agence Erasmus+ France / Éducation Formation

Sur le site : présentation des pro- grammes Erasmus+ (enseignement supérieur, enseignement scolaire, formation professionnelle), Europass (passeport européen de compé- tences), guides pratiques, newsletter, actualités.

www.civiweb.com Édité par : Business France Sur le site : présentation et définition du volontariat international en entreprise (VIE) et en administration (VIA), moteur dédié à la recherche de missions, accès direct aux offres urgentes, guide pratique avec conseils, liens et adresses utiles.

www.diplomatie.gouv.fr Édité par : ministère de l’Europe et des Affaires étrangères

Sur le site : informations et conseils pour les voyageurs et les expatriés, par pays, pour étudier, se déplacer à l’étranger ou en France. Renseigne- ments sur les carrières, emplois, stages et concours du ministère.

www.diplomatie.gouv.fr/IMG/pdf/

guide_expatriation_dfae_2018- web_cle012ec1.pdf

Édité par : ministère de l’Europe et des Affaires étrangères Sur le site : informations pratiques pour préparer son départ, de la vérification des documents adminis- tratifs nécessaires à l’organisation du déménagement par type de voyage (emploi à l’étranger ou études supérieures) ; informations juridiques particulières à prendre en compte dans le pays de destination et conseils pratiques pour préparer son retour en France.

www.eurodesk.eu Édité par : Eurodesk

Sur le site : Informations, majoritaire- ment en anglais, sur les possibilités de mobilité des jeunes en Europe.

Description des bourses et des prix attribués pour des projets estu- diantins, culturels, professionnels ou solidaires. Moteur de recherche permettant de trouver des stages et des missions de volontariat, dont le volontariat en ligne.

www.expat.com/fr Édité par : Expat-blog Sur le site : guide de l’expatrié listant les informations nécessaires à l’expatriation pour les visas, le logement, l’emploi ; offres d’emploi, offres logements et petites annonces à destination des futurs expatriés et des expatriés déjà installés. Ce site collaboratif propose des informations pour 197 destinations classées par continent.

www.loffice.org

Édité par : Office national de garantie des séjours et stages linguistiques Sur le site : liste des organismes membres de l’Office ; informations sur les séjours linguistiques, les séjours au pair, les séjours en école de langues, les contrats jobs et stages à l’étranger ; conseils pratiques, FAQ.

www.teli.asso.fr

Édité par : association Club Teli Sur le site : accompagnement des adhérents pour leur projet de mobilité internationale ; offres de stages, d’emploi, de jobs d’été et de séjours au pair à l’étranger réservées aux adhérents (45 par an).

www.ufaap.org

Édité par : Union française des agences au pair

Sur le site : liste des organismes membres de l’Ufaap proposant des séjours au pair, charte qualité, FAQ.

www.ufe.org Édité par : UFE

Sur le site : conseils et informations sur l’expatriation : formalités, emploi, études, santé, famille, retraités…, dossiers par pays, informations sur le retour en France.

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