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DOCTORAT EN MEDECINE THESE

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Academic year: 2021

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UNIVERSITE PIERRE ET MARIE CURIE (PARIS 6)

FACULTE DE MEDECINE PIERRE ET MARIE CURIE

ANNEE 2013 N° 2013PA06G017

THESE

DOCTORAT EN MEDECINE

SPECIALITE : Médecine Générale

PAR

Florence TESSON

Née le 17 novembre 1985 à MAISONS-ALFORT

______________

PRESENTEE ET SOUTENUE PUBLIQUEMENT LE 25/02/2013

LE DEPISTAGE DES CANCERS GYNECOLOGIQUES CHEZ LES FEMMES MEDECINS

ENQUETE DESCRIPTIVE AUPRES DE 133 MEDECINS GENERALISTES D’ILE-DE-FRANCE

DIRECTEUR DE THESE : Madame le Docteur Simone RADENNE PRESIDENT DE JURY : Monsieur le Professeur Jean-Marie ANTOINE JURY : Monsieur le Professeur Jean LAFORTUNE

Madame le Docteur Virginie HALLEY DES FONTAINES

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UNIVERSITE PIERRE ET MARIE CURIE (PARIS 6)

FACULTE DE MEDECINE PIERRE ET MARIE CURIE

ANNEE 2013 N° 2013PA06G017

THESE

DOCTORAT EN MEDECINE

SPECIALITE : Médecine Générale

PAR

Florence TESSON

Née le 17 novembre 1985 à MAISONS-ALFORT

______________

PRESENTEE ET SOUTENUE PUBLIQUEMENT LE 25/02/2013

LE DEPISTAGE DES CANCERS GYNECOLOGIQUES CHEZ LES FEMMES MEDECINS

ENQUETE DESCRIPTIVE AUPRES DE 133 MEDECINS GENERALISTES D’ILE-DE-FRANCE

DIRECTEUR DE THESE : Madame le Docteur Simone RADENNE PRESIDENT DE JURY : Monsieur le Professeur Jean-Marie ANTOINE JURY : Monsieur le Professeur Jean LAFORTUNE

Madame le Docteur Virginie HALLEY DES FONTAINES

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Remerciements

Au président du jury

Monsieur le Professeur Jean-Marie ANTOINE Service de gynécologie-obstétrique, hôpital Tenon Merci de me faire l’honneur de présider le jury de thèse.

Recevez ici l’expression de ma gratitude et de toute ma considération.

A mes juges

Monsieur le Professeur Jean LAFORTUNE Médecin généraliste, Paris

Madame le Docteur Virginie HALLEY DES FONTAINES Département de santé publique, hôpital Pitié-Salpêtrière Merci infiniment d’avoir accepté d’intégrer ce jury de thèse.

A ma directrice de thèse

Madame le Docteur Simone RADENNE Médecin généraliste, Paris

Merci d’avoir accepté de diriger ce travail, qui me tenait tant à cœur.

Merci pour vos corrections éclairées.

Aux médecins généralistes

Merci d’avoir pris le temps de répondre à mon questionnaire, avec sincérité.

Merci pour tous vos encouragements, cela fait chaud au cœur ! Je suis fière d’être votre

consœur !

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4 A mes parents

Pour votre soutien inconditionnel et attentif, votre amour et votre dévouement. Votre fierté est ma plus grande réussite.

Merci de m’avoir épaulée dans tous les moments de ma vie. Et plus particulièrement lors de cette thèse, merci pour vos relectures et vos corrections éclairées.

A ma sœur Carole

Merci pour tous les moments passés ensemble, les franches rigolades et les vacances mémorables.

Je te souhaite beaucoup de bonheur avec Guillaume.

A Cédric

Ton amour est le plus fort des tuteurs.

Merci pour tes corrections, le temps que tu as fourni à m’aider et à me guider. Et ce n’était pas facile ! Malheureusement, Excel n’est pas prêt d’être mon ami !

Merci pour tous ces merveilleux moments passés en ta compagnie et tous ceux à venir.

Je t’aime.

A mes amis

Pour votre soutien indéfectible, votre fraicheur et votre spontanéité, et pour voir la vie du bon côté !

Les inconditionnels : Débo, Pasc (Wolfy), Manon (Nour) & Yann, Gui, Tuc, Jérèm et Marc, et les autres !

Les Cristolliens « forever » : Laurenne (et ses merveilleuses lasagnes, mmm !), Laura (la vraie chirurgienne !) et Anas (un BIA ce soir ?).

Les co-internes (ou l’bon vieux temps) : Joke, Mama (Ma baker !), Pasc et Ophélaïe, Roger, Emilie, Pauline et Nathalie… et tous ceux qui ont dû me supporter lors des gardes !

Courage pour vos thèses, on tient l’bon bout !

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Liste des professeurs de la Faculté de Médecine

PROFESSEURS DES UNIVERSITES-PRATICIENS HOSPITALIERS

UFR Médicale Pierre et Marie CURIE ‐‐‐‐ Site PITIE

ACAR Christophe - CHIRURGIE THORACIQUE ET CARDIO-VASCULAIRE AGID Yves - FEDERATION DE NEUROLOGIE (surnombre)

AGUT Henri - BACTERIOLOGIE-VIROLOGIE-HYGIENE ALLILAIRE Jean-François - PSYCHIATRIE D’ADULTES AMOURA Zahir - MEDECINE INTERNE

ASTAGNEAU Pascal - EPIDEMIOLOGIE/SANTE PUBLIQUE AURENGO André - BIOPHYSIQUE et MEDECINE NUCLEAIRE AUTRAN Brigitte - IMMUNOLOGIE

BARROU Benoît - UROLOGIE BASDEVANT Arnaud - NUTRITION

BAULAC Michel - ANATOMIE / NEUROLOGIE BAUMELOU Alain - NEPHROLOGIE

BELMIN Joël - MEDECINE INTERNE

BENHAMOU Albert - CHIRURGIE VASCULAIRE BENVENISTE Olivier - MEDECINE INTERNE

BERTRAND Jacques-Charles - STOMATOLOGIE ET CHIRURGIE MAXILLO-FACIALE BITKER Marc Olivier - UROLOGIE

BODAGHI Bahram - OPHTALMOLOGIE

BOISVIEUX Jean-François - BIOSTATISTIQUES et INFORMATIQUE MEDICALE (surnombre)

BOURGEOIS Pierre - RHUMATOLOGIE

BRICAIRE François - MALADIES INFECTIEUSES - MALADIES TROPICALES BRICE Alexis - GENETIQUE

BRUCKERT Eric - ENDOCRINOLOGIE ET MALADIES METABOLIQUES CABANIS Emmanuel - RADIOLOGIE et IMAGERIE MEDICALE - (surnombre) CACOUB Patrice - MEDECINE INTERNE

CALVEZ Vincent - VIROLOGIE ET BACTERIOLOGIE

CAPRON Frédérique - ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUE CARPENTIER Alexandre - NEUROCHIRURGIE

CATALA Martin - CYTOLOGIE ET HISTOLOGIE (département de génétique) CATONNE Yves - CHIRURGIE ORTHOPEDIQUE ET TRAUMATOLOGIQUE CAUMES Eric - MALADIES INFECTIEUSES - MALADIES TROPICALES CESSELIN François - BIOCHIMIE et BIOLOGIE MOLECULAIRE

CHAMBAZ Jean - BIOLOGIE CELLULAIRE

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6 CHARTIER-KASTLER Emmanuel - UROLOGIE

CHASTRE Jean - REANIMATION MEDICALE CHERIN Patrick - MEDECINE INTERNE

CHIGOT Jean-Paul - CHIRURGIE GENERALE (surnombre) CHIRAS Jacques - RADIOLOGIE et IMAGERIE MEDICALE III CLEMENT-LAUSCH Karine - NUTRITION

CLUZEL Philippe - RADIOLOGIE ET IMAGERIE MEDICALE II COHEN David - PEDO-PSYCHIATRIE

COHEN Laurent - NEUROLOGIE

COMBES Alain - REANIMATION MEDICALE

CORIAT Pierre - ANESTHESIOLOGIE et REANIMATION CHIRURGICALE CORNU Philippe - NEURO-CHIRURGIE

COURAUD François - BIOCHIMIE et BIOLOGIE MOLECULAIRE DANIS Martin - PARASITOLOGIE (surnombre)

DAUTZENBERG Bertrand - PNEUMOLOGIE DAVI Frédéric - HEMATOLOGIE BIOLOGIQUE DEBRE Patrice - IMMUNOLOGIE

DELATTRE Jean-Yves - NEUROLOGIE (Fédération Mazarin) DERAY Gilbert - NEPHROLOGIE

DERENNE Jean-Philippe - PNEUMOLOGIE (surnombre) DOMMERGUES Marc - GYNECOLOGIE - OBSTETRIQUE DORMONT Didier - RADIOLOGIE ET IMAGERIE MEDICALE DUBOIS Bruno - NEUROLOGIE

DURON Jean-Jacques - CHIRURGIE DIGESTIVE (surnombre) DUGUET Alexandre - PNEUMOLOGIE

DUYCKAERTS Charles - ANATOMIE et CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES EYMARD Bruno - NEUROLOGIE

FAUTREL Bruno - RHUMATOLOGIE

FERRE Pascal - BIOCHIMIE et BIOLOGIE MOLECULAIRE FONTAINE Bertrand - FEDERATION DE NEUROLOGIE FOSSATI Philippe - PSYCHIATRIE D’ADULTES

FOURET Pierre - ANATOMIE et CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES

GANDJBAKHCH Iradj - CHIRURGIE THORACIQUE et CARDIO-VASCULAIRE (surnombre)

GIRERD Xavier - THERAPEUTIQUE / ENDOCRINOLOGIE GOROCHOV Guy - IMMUNOLOGIE

GRENIER Philippe - RADIOLOGIE et IMAGERIE MEDICALE II

GRIMALDI André - ENDOCRINOLOGIE ET MALADIES METABOLIQUES HAERTIG Alain - MEDECINE LEGALE / UROLOGIE

HANNOUN Laurent - CHIRURGIE GENERALE

HAUW Jean-Jacques - ANATOMIE et CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES (surnombre) HELFT Gérard - DEPARTEMENT DE CARDIOLOGIE

HERSON Serge - THERAPEUTIQUE /MEDECINE INTERNE

HEURTIER Agnès - ENDOCRINOLOGIE ET MALADIES METABOLIQUES

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7 HOANG XUAN Khê - NEUROLOGIE

ISNARD Richard - CARDIOLOGIE et MALADIES VASCULAIRES ISNARD-BAGNIS Corinne - NEPHROLOGIE

JARLIER Vincent - BACTERIOLOGIE-HYGIENE JOUVENT Roland - PSYCHIATRIE D'ADULTES

KATLAMA née WATY Christine - MALADIES INFECTIEUSES ET TROPICALES KHAYAT David - ONCOLOGIE MEDICALE

KIEFFER Edouard - CHIRURGIE VASCULAIRE KLATZMANN David - IMMUNOLOGIE

KOMAJDA Michel - CARDIOLOGIE et MALADIES VASCULAIRES KOSKAS Fabien - CHIRURGIE VASCULAIRE

LAMAS Georges - OTO-RHINO-LARYNGOLOGIE LANGERON Olivier - ANESTHESIOLOGIE

LAZENNEC Jean-Yves - ANATOMIE / CHIRURGIE ORTHOPEDIQUE LE FEUVRE Claude - DEPARTEMENT DE CARDIOLOGIE

LEBLOND née MISSENARD Véronique - HEMATOLOGIE CLINIQUE LEENHARDT Laurence - ENDOCRINOLOGIE / MEDECINE NUCLEAIRE LEFRANC Jean-Pierre - CHIRURGIE GENERALE

LEHERICY Stéphane - RADIOLOGIE et IMAGERIE MEDICALE III LEHOANG Phuc - OPHTALMOLOGIE

LEMOINE François - IMMUNOLOGIE

LEPRINCE Pascal - CHIRURGIE THORACIQUE

LUBETZKI ép. ZALC Catherine - FEDERATION DE NEUROLOGIE LYON-CAEN Olivier - FEDERATION DE NEUROLOGIE

MALLET Alain - BIOSTATISTIQUES ET INFORMATIQUE MEDICALE MARIANI Jean - BIOLOGIE CELLULAIRE/MEDECINE INTERNE MAZERON Jean-Jacques - RADIOTHERAPIE

MAZIER Dominique - PARASITOLOGIE

MEININGER Vincent - NEUROLOGIE (Fédération Mazarin) MENEGAUX Fabrice - CHIRURGIE GENERALE

MERLE-BERAL Hélène - HEMATOLOGIE BIOLOGIQUE

METZGER Jean-Philippe - CARDIOLOGIE et MALADIES VASCULAIRES MONTALESCOT Gilles - CARDIOLOGIE ET MALADIES VASCULAIRES OPPERT Jean-Michel - NUTRITION

PASCAL-MOUSSELLARD Hugues - CHIRURGIE ORTHOPEDIQUE ET TRAUMATOLOGIQUE

PAVIE Alain - CHIR. THORACIQUE et CARDIO-VASCULAIRE.

PERRIGOT Michel - REEDUCATION FONCTIONNELLE PETITCLERC Thierry - BIOPHYSIQUE / NEPHROLOGIE PIERROT-DESEILLIGNY Charles - NEUROLOGIE

PIETTE François - MEDECINE INTERNE - Ivry

PIETTE Jean-Charles - MEDECINE INTERNE

POIROT Catherine - CYTOLOGIE ET HISTOLOGIE

POYNARD Thierry - HEPATO-GASTRO-ENTEROLOGIE

(8)

8 PUYBASSET Louis - ANESTHESIOLOGIE REANIMATION CHIRURGICALE

RATIU Vlad - HEPATO - GASTRO - ENTEROLOGIE RICHARD François - UROLOGIE

RIOU Bruno - ANESTHESIOLOGIE/URGENCES MEDICO-CHIRURGICALE ROBAIN Gilberte - REEDUCATION FONCTIONNELLE

ROUBY Jean-Jacques - ANESTHESIOLOGIE ET REANIMATION CHIRURGICALE SAMSON Yves - NEUROLOGIE/URGENCES CEREBRO-VASCULAIRES

SIMILOWSKI Thomas - PNEUMOLOGIE

SPANO Jean-Philippe - ONCOLOGIE MEDICALE

THOMAS Daniel - CARDIOLOGIE ET MALADIES VASCULAIRES TOUITOU Yvan - NUTRITION / BIOCHIMIE (surnombre)

TOURAINE Philippe - ENDOCRINOLOGIE ET MALADIES METABOLIQUES VAILLANT Jean-Christophe - CHIRURGIE GENERALE

VAN EFFENTERRE Rémy - NEURO-CHIRURGIE VERNANT Jean-Paul - HEMATOLOGIE CLINIQUE

VERNY Marc - MEDECINE INTERNE (Marguerite Bottard) VIDAILHET Marie-José - NEUROLOGIE

VOIT Thomas - PEDIATRIE NEUROLOGIQUE WILLER Jean-Vincent - PHYSIOLOGIE

ZELTER Marc - PHYSIOLOGIE / EXPLORATIONS FONCTIONNELLES UFR Médicale Pierre et Marie CURIE ‐‐‐‐ Site Saint-Antoine

AMARENCO Gérard - REEDUCATION FONCTIONNELLE ET NEUROLOGIQUE AMSELEM Serge - GÉNÉTIQUE

ANDRE Thierry - CANCEROLOGIE

ANTOINE Jean Marie - GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE / MEDECINE DE LA REPRODUCTION

ARACTINGI Sélim - UNITE DE DERMATOLOGIE ARLET Guillaume - BACTERIOLOGIE

ARRIVE Lionel - RADIOLOGIE

AUCOUTURIER Pierre - INSERM U 712

AUDRY Georges - CHIRURGIE VISCERALE INFANTILE BALLADUR Pierre - CHIRURGIE GENERALE ET DIGESTIVE BARDET Jean (surnombre) - CARDIOLOGIE

BAUD Laurent - EXPLORATIONS FONCTIONNELLES MULTIDISCIPLINAIRES BAUDON Jean Jacques (surnombre) - NEONATOLOGIE

BEAUGERIE Laurent - GASTROENTEROLOGIE ET NUTRITION BEAUSSIER Marc - ANESTHESIE – REANIMATION

BENIFLA Jean Louis - GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE

BENSMAN Albert - NEPHROLOGIE, DIALYSES ET TRANSPLANTATIONS PEDIATRIQUES

BERENBAUM Francis - RHUMATOLOGIE

BEREZIAT Gilbert (surnombre) - UMR 7079 PHYSIOLOGIE ET PHYSIOPATHOLOGIE

BERNAUDIN Jean François - HISTOLOGIE BIOLOGIE TUMORALE

(9)

9 BILLETTE DE VILLEMEUR Thierry - NEUROPEDIATRIE

BOCCON GIBOD Liliane (surnombre) - ANATOMIE PATHOLOGIQUE BONNET Francis - ANESTHESIE REANIMATION

BORDERIE Vincent - OPHTALMOLOGIE BOUCHARD Philippe - ENDOCRINOLOGIE

BOUDGHENE STAMBOULI Franck - RADIOLOGIE BREART Gérard - GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE CABANE Jean - MEDECINE INTERNE

CADRANEL Jacques - PNEUMOLOGIE

CALLARD Patrice - ANATOMIE PATHOLOGIQUE CAPEAU Jacqueline - INSERM U.680

CARBAJAL SANCHEZ Ricardo - URGENCES PEDIATRIQUES CARBONNE Bruno - GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE

CARETTE Marie France - RADIOLOGIE

CASADEVALL Nicole - HEMATOLOGIE BIOLOGIQUE CAYRE Yvon - HEMATOLOGIE IMMUNOLOGIE

CHAZOUILLERES Olivier - HEPATOLOGIE GASTROENTEROLOGIE CHOSIDOW Olivier - DERMATOLOGIE – ALLERGOLOGIE

CHOUAID Christos - PNEUMOLOGIE

CHRISTIN ‐ MAITRE Sophie - ENDOCRINOLOGIE CLEMENT Annick - PNEUMOLOGIE

CLERGUE François - DETACHE AU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES : HOPITAL CANTONAL / ANESTHESIOLOGIE

COHEN Aron - CARDIOLOGIE

CONSTANT Isabelle - ANESTHESIOLOGIE REANIMATION COSNES Jacques - GASTRO ‐ ENTEROLOGIE ET NUTRITION

COULOMB Aurore - ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES DAMSIN Jean Paul - ORTHOPEDIE

DARAI Emile - GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE DE GRAMONT Aimery - ONCOLOGIE MEDICALE

DENOYELLE Françoise - ORL ET CHIRURGIE CERVICO ‐ FACIALE DEVAUX Jean Yves - BIOPHYSIQUE ET MEDECINE NUCLEAIRE DOUAY Luc - HEMATOLOGIE BIOLOGIQUE

DOURSOUNIAN Levon - CHIRURGIE ORTHOPEDIQUE DUCOU LE POINTE Hubert - RADIOLOGIE

DURON Françoise - ENDOCRINOLOGIE DUSSAULE Jean Claude - PHYSIOLOGIE

FAUROUX Brigitte - GASTRO ‐ ENTEROLOGIE ET NUTRITION PEDIATRIQUES FERON Jean Marc - CHIRURGIE ORTHOPEDIQUE ET TRAUMATOLOGIQUE FLEJOU Jean François - ANATOMIE PATHOLOGIQUE

FLORENT Christian - HEPATO GASTRO ‐ ENTEROLOGIE

FRANCES Camille - DERMATOLOGIE – ALLERGOLOGIE

FUNCK BRENTANO Christian - PHARMACOLOGIE CLINIQUE

GARABEDIAN Eréa Noël - ORL ET CHIRURGIE CERVICO ‐ FACIALE

(10)

10 GARBARG CHENON Antoine - BACTERIOLOGIE VIROLOGIE

GATTEGNO Bernard (surnombre) - UROLOGIE

GENDRE Jean Pierre (surnombre) - GASTRO ‐ ENTEROLOGIE ET NUTRITION GIRARD Pierre Marie - MALADIES INFECTIEUSES ET TROPICALES

GIRARDET Jean Philippe - GASTRO ‐ ENTEROLOGIE ET NUTRITION PEDIATRIQUES GIROT Robert - HEMATOLOGIE BIOLOGIQUE

GOLD Francis - NEONATOLOGIE

GORIN Norbert - HEMATOLOGIE CLINIQUE GRATEAU Gilles - MEDECINE INTERNE

GRIMFELD Alain (surnombre) - PEDIATRIE ORIENTATION PNEUMOLOGIE ET ALLERGOLOGIE

GRIMPREL Emmanuel - PEDIATRIE GENERALE

GRUNENWALD Dominique - CHIRURGIE THORACIQUE GUIDET Bertrand - REANIMATION MEDICALE

HAAB François - UROLOGIE

HELARDOT Pierre Georges - CHIRURGIE VISCERALE INFANTILE HOURY Sidney - CHIRURGIE DIGESTIVE ET VISCERALE

HOUSSET Chantal - BIOLOGIE CELLULAIRE – INSERM U. 680 JAILLON Patrice - PHARMACOLOGIE CLINIQUE

JOUANNIC Jean ‐ Marie - GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE

JUST Jocelyne - PNEUMOLOGIE ET ALLERGOLOGIE PEDIATRIQUES LACAINE François - CHIRURGIE DIGESTIVE ET VISCERALE

LACAU SAINT GUILY Jean - ORL

LACAVE Roger - HISTOLOGIE BIOLOGIE TUMORALE

LANDMAN ‐ PARKER Judith - HEMATOLOGIE ET ONCOLOGIE PEDIATRIQUES LAROCHE Laurent - OPHTALMOLOGIE

LE BOUC Yves - EXPLORATIONS FONCTIONNELLES LEBEAU Bernard - PNEUMOLOGIE

LEGRAND Ollivier - HEMATOLOGIE ONCOLOGIE MEDICALE LEVERGER Guy - HEMATOLOGIE ET ONCOLOGIE PEDIATRIQUES LEVY Richard - NEUROLOGIE

LIENHART André - ANESTHESIE – REANIMATION LOTZ Jean Pierre - CANCEROLOGIE

LOUVET Christophe - ONCOLOGIE MEDICALE MARIE Jean Pierre - HEMATOLOGIE

MARSAULT Claude - RADIOLOGIE MASLIAH Joëlle - INSERM U.538

MAURY Eric - REANIMATION MEDICALE MAYAUD Marie Yves - PNEUMOLOGIE MENU Yves - RADIOLOGIE

MEYER Bernard - ORL ET CHIRURGIE CERVICO ‐ FACIALE

MEYOHAS Marie Caroline - MALADIES INFECTIEUSES ET TROPICALES MICHEL Pierre Louis - CARDIOLOGIE

MILLIEZ Jacques - GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE

(11)

11 MIMOUN Maurice - CHIRURGIE PLASTIQUE

MITANCHEZ Delphine - NEONATOLOGIE

MONTRAVERS Françoise - BIOPHYSIQUE ET MEDECINE NUCLEAIRE MURAT Isabelle - ANESTHESIE REANIMATION

NICOLAS Jean Claude - VIROLOGIE

OFFENSTADT Georges - REANIMATION MEDICALE PAQUES Michel - OPHTALMOLOGIE

PARC Yann - CHIRURGIE GENERALE ET DIGESTIVE

PATERON Dominique - SERVICE D ʹ ACCUEIL DES URGENCES PAYE François - CHIRURGIE GENERALE ET DIGESTIVE PERETTI Charles ‐ Siegfried - PSYCHIATRIE D’ADULTES PERIE Sophie - ORL

PETIT Jean Claude - BACTERIOLOGIE VIROLOGIE

PIALOUX Gilles - MALADIES INFECTIEUSES ET TROPICALES POUPON Raoul - HEPATOLOGIE ET GASTRO ‐ ENTEROLOGIE RENOLLEAU Sylvain - REANIMATION NEONATALE

RODRIGUEZ Diana - NEURO ‐ PEDIATRIE

RONCO Pierre Marie - NEPHROLOGIE ET DIALYSES

RONDEAU Eric - URGENCES NEPHROLOGIQUES – TRANSPLANTATION RENALE ROSMORDUC Olivier - HEPATO GASTRO ‐ ENTEROLOGIE

ROUGER Philippe - I.N.T.S.

ROUZIER Roman - GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE

ROZENBAUM Willy - MALADIES INFECTIEUSES ET TROPICALES SAHEL José Alain - OPHTALMOLOGIE

SAUTET Alain - CHIRURGIE ORTHOPEDIQUE SEZEUR Alain - CHIRURGIE GENERALE

SIFFROI Jean Pierre - GENETIQUE ET EMBRYOLOGIE MEDICALES SOUBRIER Florent - DEPARTEMENT DE GENETIQUE

TALBOT Jean Noël - BIOPHYSIQUE MEDECINE NUCLEAIRE THIBAULT Philippe (surnombre) - UROLOGIE

THOMAS Guy - PSYCHIATRIE D’ADULTES

THOUMIE Philippe - REEDUCATION NEURO ‐ ORTHOPEDIQUE TIRET Emmanuel - CHIRURGIE GENERALE ET DIGESTIVE TOUBOUL Emmanuel - RADIOTHERAPIE

TOUNIAN Patrick - GASTRO ‐ ENTEROLOGIE ET NUTRITION PEDIATRIQUES TRAXER Olivier - UROLOGIE

TRUGNAN Germain - INSERM U538

TUBIANA Jean Michel (surnombre) - RADIOLOGIE

UZAN Serge - GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE ET MEDECINE DE LA REPRODUCTION

VALLERON Alain Jacques - UNITE DE SANTE PUBLIQUE VAYSSAIRAT Michel - CARDIOLOGIE

VAZQUEZ Marie Paule - CHIRURGIE MAXILLO ‐ FACIALE ET STOMATOLOGIE

WENDUM Dominique - ANATOMIE PATHOLOGIQUE

(12)

12 WISLEZ Marie - PNEUMOLOGIE

MAITRES DE CONFERENCES DES UNIVERSITES-PRATICIENS HOSPITALIERS

UFR Médicale Pierre et Marie CURIE ‐‐‐‐ Site PITIE ANKRI Annick - HEMATOLOGIE BIOLOGIQUE AUBRY Alexandra - BACTERIOLOGIE

AXELRAD Herbert - PHYSIOLOGIE

BACHELOT Anne - ENDOCRINOLOGIE (Stagiaire) BELLANNE-CHANTELOT Christine - GENETIQUE

BENOLIEL Jean-Jacques - BIOCHIMIE et BIOLOGIE MOLECULAIRE BENSIMON Gilbert - PHARMACOLOGIE

BORSOS Anne-Marie - BIOCHIMIE et BIOLOGIE MOLECULAIRE BOUTOLLEAU David - VIROLOGIE

BROUSSE Geneviève - PARASITOLOGIE BUFFET Pierre - PARASITOLOGIE

CARCELAIN-BEBIN Guislaine - IMMUNOLOGIE

CARRIE Alain - BIOCHIMIE et BIOLOGIE MOLECULAIRE

CHARLOTTE Frédéric - ANATOMIE et CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES CHARRON Philippe - GENETIQUE/CARDIOLOGIE

COLLET Jean-Philippe - DEPARTEMENT DE CARDIOLOGIE COMPERAT Eva - ANATOMIE PATHOLOGIQUE

CORVOL Jean-Christophe - PHARMACOLOGIE COULET Florence - GENETIQUE

COUSSIEU Christiane - BIOCHIMIE et BIOLOGIE MOLECULAIRE DALOZ Madeleine - ANESTHESIOLOGIE ET REANIMATION DANZIGER Nicolas - PHYSIOLOGIE

DATRY Annick - PARASITOLOGIE

DELERS Francisco - BIOCHIMIE et BIOLOGIE MOLECULAIRE DEPIENNE Christel - GENETIQUE (Stagiaire)

DUPONT-DUFRESNE Sophie - ANATOMIE/NEUROLOGIE FOLLEZOU Jean-Yves - RADIOTHERAPIE

FOURNIER Emmanuel - PHYSIOLOGIE FRIJA Elisabeth - PHYSIOLOGIE

GALANAUD Damien - RADIOLOGIE GAYMARD Bertrand - PHYSIOLOGIE

GIRAL Philippe - NUTRITION/ENDOCRINOLOGIE

GOLMARD Jean-Louis - BIOSTATISTIQUES ET INFORMATIQUE MEDICALE HABERT Marie-Odile - BIOPHYSIQUE/MEDECINE NUCLEAIRE

HALLEY DES FONTAINES Virginie - EPIDEMIOLOGIE/SANTE PUBLIQUE

HOANG VAN Catherine - ANATOMIE et CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES

(13)

13 KAHN Jean-François - PHYSIOLOGIE

LACOMBE Catherine - BIOPHYSIQUE/MEDECINE NUCLEAIRE LACOMBLEZ Lucette - PHARMACOLOGIE

LACORTE Jean-Marc - BIOCHIMIE et BIOLOGIE MOLECULAIRE LAURENT Claudine - PEDOPSYCHIATRIE (Stagiaire)

LE BIHAN Johanne - BIOCHIMIE et BIOLOGIE MOLECULAIRE LE GUERN Eric - GENETIQUE

LESOURD Sylvie - GENETIQUE

MAKSUD Philippe - BIOPHYSIQUE/MEDECINE NUCLEAIRE MARCELIN-HELIOT Anne Geneviève - VIROLOGIE

MAZIERES Léonore - PHYSIOLOGIE

MORICE Vincent - BIOSTATISTIQUES ET INFORMATIQUE MEDICALE NACCACHE Lionel - PHYSIOLOGIE

N’GUYEN-KHAC Florence - HEMATOLOGIE BIOLOGIQUE PERNES Jean-François - BIOPHYSIQUE/MEDECINE NUCLEAIRE PIDOUX Bernard - PHYSIOLOGIE

ROBERT Jérôme - BACTERIOLOGIE-VIROLOGIE

ROSENHEIM Michel - EPIDEMIOLOGIE/SANTE PUBLIQUE ROSENZWAJG Michelle - IMMUNOLOGIE

ROUSSEAU Géraldine - CHIRURGIE GENERALE SANSON Marc - ANATOMIE/NEUROLOGIE

SEBBAN Claude - MEDECINE INTERNE / GERIATRIE

SEILHEAN Danielle - NEURO-ANATOMIE PATHOLOGIQUE SIMON Dominique - SANTE PUBLIQUE / EPIDEMIOLOGIE SOUGAKOFF Wladimir - BACTERIOLOGIE-VIROLOGIE

STRAUS Christian - PHYSIOLOGIE/EXPLORATION FONCTIONNELLE TANKERE Frederic - O.R.L.

TEZENAS DU MONTCEL Sophie - BIOSTATISTIQUES et INFORMATIQUE MEDICALE

THELLIER Marc - PARASITOLOGIE

TRESCA Jean-Pierre - BIOCHIMIE et BIOLOGIE MOLECULAIRE URIOS Paul - BIOCHIMIE et BIOLOGIE MOLECULAIRE

VEZIRIS Nicolas - BACTERIOLOGIE-HYGIENE (stagiaire) VITTE Elisabeth - ANATOMIE/O.R.L.

WAROT Dominique - PHARMACOLOGIE

UFR Médicale Pierre et Marie CURIE ‐‐‐‐ Site Saint-Antoine ABUAF Nisen - HEMATOLOGIE

AMIEL Corinne - VIROLOGIE

ANCEL Pierre Yves - DEPARTEMENT DE SANTE PUBLIQUE APARTIS Emmanuelle - PHYSIOLOGIE

BARBU Véronique - BIOLOGIE CELLULAIRE

BELLOCQ Agnès - EXPLORATIONS FONCTIONNELLES

BENLIAN Pascale - BIOCHIMIE B

(14)

14 BERTHOLON Jean François - EXPLORATIONS FONCTIONNELLES RESPIRATOIRES BIOUR Michel - PHARMACOLOGIE

BOELLE Pierre Yves - INSERM U707

BOFFA Jean Jacques - NEPHROLOGIE ET DIALYSES BOULE Michèle - PHYSIOLOGIE

CARRAT Fabrice - INSERM U707

CERVERA Pascale - ANATOMIE PATHOLOGIQUE

CHABBERT BUFFET Nathalie - GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE COLOMBAT Magali - ANATOMO-PATHOLOGIE

DECRE Dominique - BACTERIOLOGIE VIROLOGIE DELHOMMEAU François - HEMATOLOGIE

DELISLE Françoise - BACTERIOLOGIE VIROLOGIE DEVAUX Aviva - BIOLOGIE DE LA REPRODUCTION DEVELOUX Michel - PARASITOLOGIE

EL ALAMY Ismaïl - HEMATOLOGIE BIOLOGIQUE ESCUDIER Estelle - DEPARTEMENT DE GENETIQUE FAJAC-CALVET Anne - HISTOLOGIE EMBRYOLOGIE FERRERI Florian - PSYCHIATRIE D'ADULTES

FLEURY Jocelyne - HISTOLOGIE EMBRYOLOGIE

FRANCOIS Thierry - PNEUMOLOGIE ET REANIMATION GARÇON Loïc - HEMATOLOGIE BIOLOGIQUE

GARDERET Laurent - HEMATOLOGIE CLINIQUE GEROTZIAFAS Grigoris - HEMATOLOGIE

GONZALES Marie - GENETIQUE ET EMBRYOLOGIE MEDICALES GOZLAN Joël - BACTERIOLOGIE VIROLOGIE

HAYMANN Jean Philippe - EXPLORATIONS FONCTIONNELLES HENNEQUIN Christophe - PARASITOLOGIE

JOHANET Catherine - IMMUNOLOGIE ET HEMATOLOGIE BIOLOGIQUES JOSSET Patrice - ANATOMIE PATHOLOGIQUE

JOYE Nicole - DEPARTEMENT DE GENETIQUE

KIFFEL Thierry - BIOPHYSIQUE ET MEDECINE NUCLEAIRE LACOMBE Karine - MALADIES INFECTIEUSES

LAGRANGE Monique - IMMUNOLOGIE ET HEMATOLOGIE BIOLOGIQUES LAPILLONNE Hélène - HEMATOLOGIE BIOLOGIQUE

LASCOLS Olivier - INSERM U.680 LEWIN ZEITOUN Maïté - RADIOLOGIE

MANDELBAUM Jacqueline - HISTOLOGIE EMBRYOLOGIE CYTOGENETIQUE ORIENTATION BIOLOGIE DE LA REPRODUCTION

MAUREL Gérard - BIOPHYSIQUE ET MEDECINE NUCLEAIRE MAURIN Nicole - HISTOLOGIE

MOHAND-SAID Saddek - OPHTALMOLOGIE

MORAND Laurence - BACTERIOLOGIE VIROLOGIE NETCHINE Irène - EXPLORATIONS FONCTIONNELLES

PARISET Claude - EXPLORATIONS FONCTIONNELLES ET ENDOCRINIENNES

(15)

15 PICARD Arnaud - CHIRURGIE MAXILLO-FACIALE

PLAISIER Emmanuel - NEPHROLOGIE

POIRIER Jean Marie - PHARMACOLOGIE CLINIQUE POIROT Jean Louis - PARASITOLOGIE

PORTNOI Marie France - DEPARTEMENT DE GENETIQUE RAINTEAU Dominique - INSERM U.538

RAVEL DARRAGI Nadège - HISTOLOGIE BIOLOGIE REPRODUCTION ROBERT Annie - HEMATOLOGIE BIOLOGIQUE

ROSSIGNOL Sylvie - EXPLORATIONS FONCTIONNELLES ROUX Patricia - PARASITOLOGIE

SEBE Philippe - UROLOGIE SEBILLE Alain - PHYSIOLOGIE SELLAM Jérémie - RHUMATOLOGIE

SEROUSSI FREDEAU Brigitte - DEPARTEMENT DE SANTE PUBLIQUE SIBONY Mathilde - ANATOMIE PATHOLOGIQUE

SIMON Tabassome - PHARMACOLOGIE CLINIQUE SOUSSAN Patrick - VIROLOGIE

STANKOFF Bruno - NEUROLOGIE

SVRCEK Magali - ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES TANKOVIC Jacques - BACTERIOLOGIE VIROLOGIE

THOMAS Ginette - BIOCHIMIE

VAN DEN AKKER Jacqueline - EMBRYOLOGIE PATHOLOGIQUE ET CYTOGENETIQUE

VAYLET Claire - MEDECINE NUCLEAIRE VIBERT Jean François - INSERM U 444 VIGOUROUX Corinne - INSERM U680

WEISSENBURGER Jacques - PHARMACOLOGIE CLINIQUE

WOLF Claude - LABORATOIRE DE SPECTROMETRIE DE MASSE

(16)

16

Serment d’Hippocrate

En présence des Maîtres de cette Ecole,

de mes chers condisciples et devant l’effigie d’Hippocrate, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur

et de la probité dans l’Exercice de la Médecine.

Je donnerai mes soins gratuits à l’indigent

et n’exigerai jamais un salaire au-dessus de mon travail.

Admis dans l’intérieur des maisons, mes yeux ne verront pas ce qui s’y passe, ma langue taira les secrets qui me seront confiés, et mon état ne servira pas à corrompre les mœurs ni à

favoriser le crime.

Respectueux et reconnaissant envers mes Maîtres, je rendrai à leurs enfants l’instruction

que j’ai reçue de leurs pères.

Que les hommes m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses !

Que je sois couvert d’opprobre et méprisé de mes confrères

si j’y manque.

(17)

17

Table des matières

Remerciements ... 3

Liste des professeurs de la Faculté de Médecine ... 5

Serment d’Hippocrate ... 16

Table des illustrations ... 22

Figures ... 22

Tableaux... 24

Liste des abréviations ... 25

I- Introduction ... 27

II- Contexte ... 29

1. Dépistages individuels et organisés ... 29

1.1. Qu’est-ce qu’un dépistage organisé ? ... 29

1.1.1. Définition ... 29

1.1.2. Objectifs ... 29

1.1.3. Critères de qualité ... 29

1.1.3.1. Critères d’un test de dépistage ... 29

1.1.3.2. Critères d’un programme de dépistage ... 30

1.1.4. Controverses ... 30

1.2. Qu’est-ce qu’un dépistage individuel ? ... 30

2. Le cancer du sein ... 31

2.1. Epidémiologie ... 31

2.2. Histoire naturelle ... 32

(18)

18

2.3. Les recommandations ... 32

2.3.1. Françaises... 32

2.3.1.1. Programmes de dépistage ... 32

2.3.1.2. Participation ... 33

2.3.2. Internationales ... 33

2.4. Controverses ... 34

3. Le cancer du col de l’utérus ... 35

3.1. Epidémiologie ... 35

3.2. Histoire naturelle ... 36

3.3. Les recommandations ... 36

3.3.1. Françaises... 36

3.3.1.1. Recommandations ... 36

3.3.1.2. Programmes de dépistage ... 37

3.3.1.3. Participation ... 37

3.3.2. Internationales ... 37

III- Matériel et méthodes ... 39

1. Type d’étude ... 39

2. Recherche bibliographique ... 39

3. Sélection de la population ... 39

4. Recueil des données ... 39

5. Outils statistiques ... 40

IV- Résultats ... 41

1. Leur profil ... 41

1.1. Age ... 41

1.2. Situation familiale ... 42

1.3. Conditions d’exercice ... 44

1.3.1. Mode d’exercice ... 44

1.3.2. Milieu ... 45

(19)

19

1.3.3. Mode d’exercice particulier ... 45

1.3.4. Années d’installation ... 47

1.3.5. Charge de travail ... 47

1.3.6. Revenus ... 49

1.3.7. Formation ... 49

1.4. Leur propre suivi ... 50

1.4.1. Médecin traitant ... 50

1.4.2. Suivi gynécologique ... 51

2. Leurs patientes ... 54

2.1. Pratique ... 54

2.2. Dépistage du cancer du sein ... 54

2.2.1. Formation ... 54

2.2.2. Palpation des seins ... 55

2.2.3. Mammographie ... 56

2.3. Dépistage du cancer du col utérin ... 56

2.3.1. Formation ... 56

2.3.2. Frottis cervico-utérin ... 57

3. Leur santé ... 62

3.1. Dépistage du cancer du sein ... 62

3.1.1. Antécédents ... 62

3.1.2. Formation ... 62

3.1.3. Palpation des seins ... 63

3.1.4. Mammographie ... 65

3.1.4.1. Dans le cadre d’un dépistage individuel ... 66

3.1.4.2. Dans le cadre du dépistage organisé ... 69

3.2. Dépistage du cancer du col utérin ... 71

3.2.1. Formation ... 71

3.2.2. Frottis cervico-utérin ... 72

4. Analyse croisée ... 77

4.1. Leurs patientes et leur santé ... 77

4.1.1. Dépistage du cancer du sein ... 77

(20)

20

4.1.1.1. Palpation des seins ... 77

4.1.1.2. Mammographie ... 78

4.1.2. Dépistage du cancer du col de l’utérus ... 78

4.2. Leurs dépistages du cancer du sein et du col ... 79

4.2.1. Palpation des seins et mammographie ... 79

4.2.2. Dépistages individuels et organisés du cancer du sein ... 79

4.2.3. Palpation des seins et FCU ... 80

4.2.4. Mammographie et FCU ... 81

4.2.5. Palpation des seins, mammographie et FCU ... 82

V- Discussion ... 83

1. Limites et biais de notre étude ... 84

1.1. Sélection de la population ... 84

1.1.1. Biais de sélection ... 84

1.1.2. Représentativité de l’échantillon ... 84

1.2. Questionnaire ... 85

1.3. Recueil et analyse des données ... 86

1.3.1. Chapitre « Profil » ... 86

1.3.2. Chapitre « Patientes » ... 86

1.3.3. Chapitre « Santé » ... 86

2. Comparaison avec la littérature ... 88

2.1. Suivi gynécologique ... 88

2.1.1. Dans la population générale ... 88

2.1.2. Dans la population médicale ... 89

2.1.3. Dans notre étude ... 89

2.2. Dépistage du cancer du sein ... 89

2.2.1. Palpation des seins ... 89

2.2.1.1. Dans la population générale et médicale ... 89

2.2.1.2. Dans notre étude ... 89

2.2.2. Mammographie ... 90

2.2.2.1. Dans la population générale ... 90

(21)

21

2.2.2.2. Dans la population médicale ... 91

2.2.2.3. Dans notre étude ... 91

2.3. Dépistage du cancer du col utérin ... 92

2.3.1. Dans la population générale ... 92

2.3.2. Dans la population médicale ... 93

2.3.3. Dans notre étude ... 94

VI- Conclusion ... 95

Bibliographie ... 97

Annexes ... 104

Annexe n°1 : Classification ACR ... 105

Annexe n°2 : Programmes de dépistage du cancer du sein en Europe . 106 Annexe n°3 : Système de Bethesda 2001 ... 107

Annexe n°4 : Programmes de dépistage du cancer du col de l’utérus en Europe ... 108

Annexe n°5 : Questionnaire ... 109

Annexe n°6 : Analyse complémentaire du chapitre « Patientes » ... 111

Annexe n°7 : Recommandations du Conseil de l’Ordre pour la santé des médecins ... 113

Annexe n°8 : Remarques et notes libres des médecins ... 114

(22)

22

Table des illustrations

Figures

Figure 1. Taux standardisés d’incidence et de mortalité du cancer du sein infiltrant en France entre 1980 et 2005, pour 100 000 personnes / années. ... 31 Figure 2. Taux standardisés d’incidence et de mortalité du cancer du col de l’utérus en France entre 1980 et 2005, pour 100 000 personnes / années. ... 35 Figure 3. Age des médecins. ... 41 Figure 4. Répartition des médecins des deux départements en fonction des classes d’âge. .... 42 Figure 5. Nombre d’enfants. ... 43 Figure 6. Age des enfants. ... 43 Figure 7. Répartition des médecins en fonction du mode d’exercice : libéral, mixte ou salarié.

... 44 Figure 8. Répartition des médecins en fonction de l’exercice seul ou en groupe. ... 44 Figure 9. Nombre d’habitants des communes d’exercice de Seine-et-Marne. ... 45 Figure 10. Présence d’un mode d’exercice particulier. ... 46 Figure 11. Répartition des médecins en fonction de l’année d’installation. ... 47 Figure 12. Nombre moyen d’heures par semaine en fonction du mode d’exercice : libéral, mixte ou salarié. ... 48 Figure 13. Revenus annuels nets (en euros) en fonction du mode d’exercice : libéral, mixte ou salarié. ... 49 Figure 14. Suivi médical : déclaration d’un médecin traitant et suivi gynécologique. ... 50 Figure 15. Déclaration d’un médecin traitant en fonction des classes d’âge. ... 51 Figure 16. Suivi gynécologique en fonction des classes d’âge. ... 52 Figure 17. Distance (en kilomètres) entre la personne interrogée et le médecin effectuant le suivi gynécologique. ... 53 Figure 18. Pratique gynécologique en fonction du mode d’exercice : libéral, mixte ou salarié.

... 54 Figure 19. Formation sur le dépistage du cancer du sein en fonction du mode d’exercice : libéral, mixte ou salarié. ... 55 Figure 20. Palpation annuelle des seins en fonction de la formation sur le dépistage du cancer du sein. ... 56 Figure 21. Formation sur le dépistage du cancer du col utérin en fonction du mode

d’exercice : libéral, mixte ou salarié. ... 57

Figure 22. Réalisation des frottis cervico-utérins en fonction de la formation sur le dépistage

du cancer du col utérin. ... 58

Figure 23. Méthode des frottis cervico-utérins en fonction de la formation sur le dépistage du

cancer du col utérin. ... 59

Figure 24. Fréquence de réalisation des frottis cervico-utérins en fonction de la formation sur

le dépistage du cancer du col utérin. ... 60

(23)

23 Figure 25. Méthode et fréquence des frottis cervico-utérins. ... 61 Figure 26. Connaissance des recommandations HAS (dépistage du cancer du sein) en fonction du mode d’exercice : libéral, mixte ou salarié... 62 Figure 27. Médecin pratiquant la palpation des seins en fonction des classes d’âge. ... 63 Figure 28. Fréquence de la palpation des seins en fonction de la connaissance des

recommandations HAS. ... 64 Figure 29. Fréquence de la palpation des seins en fonction des classes d’âge... 64 Figure 30. Dernière palpation des seins. ... 65 Figure 31. Réalisation d’une mammographie dans le cadre du dépistage individuel en fonction des classes d’âge. ... 66 Figure 32. Age de réalisation de la première mammographie dans le cadre du dépistage individuel. ... 67 Figure 33. Répartition des principales causes de mammographies dans le cadre du dépistage individuel en fonction des classes d’âge. ... 68 Figure 34. Réalisation des mammographies du dépistage organisé en fonction de la

connaissance des recommandations HAS (dépistage du cancer du sein). ... 69 Figure 35. Dernière mammographie de dépistage organisé en fonction de la connaissance des recommandations HAS (dépistage du cancer du sein). ... 71 Figure 36. Connaissance des recommandations HAS (dépistage du cancer du col utérin) en fonction du mode d’exercice : libéral, mixte ou salarié. ... 72 Figure 37. Réalisation des frottis cervico-utérins. ... 73 Figure 38. Age lors du premier frottis cervico-utérin. ... 73 Figure 39. Date du dernier frottis cervico-utérin en fonction des classes d’âge. ... 74 Figure 40. Dernier frottis cervico-utérin en fonction de la connaissance des recommandations HAS (dépistage du cancer du col utérin). ... 75 Figure 41. Fréquence de la palpation des seins des femmes médecins en fonction de la

pratique gynécologique. ... 77

Figure 42. Réalisation d’une mammographie du dépistage organisé en fonction de la pratique

gynécologique. ... 78

Figure 43. Dernier frottis cervico-utérin des femmes médecins en fonction de la pratique

gynécologique. ... 79

Figure 44. Réalisation des mammographies de dépistage organisé en fonction de celle du

dépistage individuel, chez les femmes de 50 ans et plus. ... 80

Figure 45. Dernier FCU en fonction de la fréquence de la palpation des seins. ... 81

Figure 46. Dernier frottis cervico-utérin en fonction de la réalisation d’une mammographie

dans le cadre du dépistage organisé chez les femmes médecins. ... 82

Figure 47. Dernier frottis cervico-utérin en fonction de la réalisation d’une mammographie

dans le cadre du dépistage individuel chez les femmes médecins. ... 82

(24)

24

Tableaux

Tableau I. Caractéristiques d’exercice des médecins généralistes exerçant à Paris et en Seine-

et-Marne. ... 85

Tableau II. Dernière mammographie dans la population générale. ... 90

Tableau III. Réalisation des frottis cervico-utérins dans la population générale. ... 93

Tableau IV. Dernier frottis cervico-utérin dans la population générale. ... 93

Tableau V. Dernier frottis cervico-utérin chez les médecins. ... 93

(25)

25

Liste des abréviations

ACR American College of Radiology

AFSSAPS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé ANAES Agence Nationale d'Accréditation et d'Évaluation en Santé ARS Agence Régionale de la Santé

BIUM Bibliothèque InterUniversitaire de Médecine CNOM Conseil National de l’Ordre des Médecins DI Dépistage Individuel

DO Dépistage Organisé

DREES Direction de la Recherche, des Études, de l'Évaluation et des Statistiques

FCU Frottis Cervico-Utérin HAS Haute Autorité de Santé HPV Human Papilloma Virus

INPES Institut National de Prévention et d'Éducation pour la Santé INSEE Institut National de la Statistique et des Études Économiques INVS Institut National de Veille Sanitaire

JAMA The Journal of the American Medical Association MDPH Maison Départementale des Personnes Handicapées MEP Mode d’Exercice Particulier

OMS Organisation Mondiale de la Santé

THS Traitement Hormonal Substitutif de la ménopause

VPP Valeur Prédictive Positive

(26)

26

Tu as le même corps que celles que tu soignes.

Martin Winckler

Le chœur des femmes

(27)

27

I- Introduction

Depuis la réforme de l’Assurance Maladie en 2004, tout assuré social doit en principe choisir un médecin traitant. [1]

Le médecin généraliste est, dès lors, considéré comme le pivot du système de soins.

Il a un rôle central dans la prévention, le diagnostic et le suivi de la population générale. Il soigne, conseille, dépiste et oriente.

La profession autrefois majoritairement constituée d’hommes, se féminise petit à petit.

Actuellement, les femmes représentent 46.7% des praticiens généralistes d’Ile-de-France [2], et cette proportion ne fait que grandir dans les facultés de médecine, où elles constituent 62%

des étudiants.

Ainsi plusieurs questions se posent : Que savons-nous de ces femmes aujourd’hui ? Quelle est leur santé ? Quels sont leurs comportements personnels ?

La santé, selon l’OMS en 1946, se définit par : « un état de complet bien-être physique, mental et social. Elle ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité ».

[3]

La santé regroupe donc les notions globales de santé psychique et physique.

La santé psychique des médecins est actuellement au centre des préoccupations. L’étude du syndrome d’épuisement professionnel a donné lieu à de nombreuses publications nationales et internationales. [4]

Nous ne l’aborderons pas dans notre étude.

La santé physique des médecins est beaucoup plus anecdotique dans la littérature médicale.

Et c’est souvent dans un but d’éclaircissement de leurs pratiques, que les médecins sont interrogés sur leur santé. Ainsi, dans le Baromètre santé médecins / pharmaciens, l’objectif était de cerner les pratiques professionnelles des médecins afin de mieux comprendre les comportements des patients. [5]

Toutefois, depuis les années 2000, des thèses se font l’écho de la santé physique des médecins généralistes, en mettant en lumière leurs comportements de prévention (vaccination, dépistage), leurs attitudes face à la maladie et leurs opinions sur la prise en charge de leur santé.

Les enseignements que nous en avons tirés sont : une hygiène de vie meilleure que dans la population générale, une couverture vaccinale correcte, des pratiques de dépistage mitigées, une déclaration fréquente d’eux-mêmes comme médecin traitant et l’impression d’être en moins bonne santé que leurs patients. [6] [7]

Lorsqu’ils sont confrontés à la maladie, les médecins deviennent des patients à part. D’abord retardés par l’auto prescription, ils bénéficient souvent d’un accès privilégié aux spécialistes.

La solitude et la difficulté à laisser leur cabinet sont également des facteurs négatifs du vécu

de la maladie. De retour à leur travail, la pratique et le regard des médecins envers leurs

patients en seront souvent modifiés. [8] [9]

(28)

28 Malgré les différentes études, aucune ne s’est intéressée spécifiquement aux comportements de dépistage des femmes médecins généralistes.

Comment les femmes médecins sont-elles dépistées ? Sont-elles moins bien dépistées que leurs patientes ?

L’hypothèse que nous formulons, est une moins bonne couverture du dépistage des cancers gynécologiques chez les femmes médecins.

L’objectif principal de notre travail est ainsi de déterminer la participation des femmes médecins généralistes aux dépistages des cancers du sein et du col de l’utérus.

Les objectifs secondaires sont de savoir qui les suit sur le plan gynécologique et également

quels sont, selon elles, les freins au dépistage.

(29)

29

II- Contexte

1. Dépistages individuels et organisés

1.1. Qu’est-ce qu’un dépistage organisé ?

1.1.1. Définition

Selon l’OMS, le dépistage consiste à : « identifier, à l'aide de tests, d'examens ou d'autres techniques susceptibles d'une application rapide, les sujets atteints d'une maladie ou d'une anomalie passée jusque-là inaperçue. Les tests de dépistage doivent permettre de faire le partage entre les personnes apparemment en bonne santé mais qui sont probablement atteintes d'une maladie donnée, et celles qui en sont probablement exemptes. » [10]

1.1.2. Objectifs

L’objectif d’un dépistage organisé est de détecter un grand nombre de cas, à un stade plus précoce, pour augmenter la survie.

Pour cela, il faut estimer la probabilité d’existence d’une maladie dans un groupe d’individus asymptomatiques.

La performance d’un test de dépistage est basée sur sa sensibilité (proportion d’individus malades avec un test positif), sa spécificité (proportion d’individus non malades avec un test négatif), ainsi que ses valeurs prédictives positives (proportion d’individus avec un test positif qui ont la maladie) et négatives (proportion d’individus avec un test négatif qui n’ont pas la maladie).

1.1.3. Critères de qualité

1.1.3.1. Critères d’un test de dépistage

Selon l’OMS, les critères d’un test de dépistage sont : - Efficacité (sensibilité / spécificité),

- Fiabilité,

- Rendement (nombre de cas que le test a permis de diagnostiquer et de traiter), - Coût,

- Acceptabilité,

- Services de contrôle [10].

(30)

30 1.1.3.2. Critères d’un programme de dépistage

De même, selon l’OMS, les critères d’un programme de dépistage sont : - Problème majeur de santé publique,

- Connaissance de l’histoire naturelle de la maladie, - Possibilité d'un diagnostic précoce,

- Existence d'un traitement efficace,

- Sensibilité, spécificité et forte valeur prédictive du test de dépistage, - Acceptabilité du test par la population et bénéfice en santé publique, - Accessibilité des moyens diagnostiques et thérapeutiques,

- Possibilité de répétition du test si nécessaire,

- Risques (physiques et psychologiques) acceptables par rapport aux bénéfices attendus, - Compensation du coût économique du programme par les avantages attendus [10].

1.1.4. Controverses

Tout programme de dépistage organisé expose au risque de diagnostic par excès d’anomalies qui n’auraient pas évoluées, voire auraient régressées.

Ce surdiagnostic entraine des examens complémentaires et des interventions inutiles, ayant des effets indésirables.

Il est difficile de le quantifier à partir des données de la littérature. [11]

1.2. Qu’est-ce qu’un dépistage individuel ?

Un dépistage individuel est proposé à l’initiative des médecins ou des patients, sur la base de facteurs de risques personnels.

L’organisation de ce dépistage ne rentre pas dans un programme de santé publique. Il implique moins de contrôles qualités que les dépistages organisés.

Quels qu’ils soient, les dépistages n’incluent pas la notion de diagnostic précoce, qui est

réalisé à partir de l’apparition de signes cliniques de la maladie.

(31)

31

2. Le cancer du sein

2.1. Epidémiologie

Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent et la première cause de décès par cancer féminin dans le monde.

L’incidence estimée était de 1 380 000 nouveaux cas et la mortalité de 458 000 cas en 2008.

[12]

En France, il est également le cancer le plus fréquent et la première cause de décès par cancer des femmes.

L’incidence était de 51 010 nouveaux cas et la mortalité de 11 770 en 2008.

Figure 1. Taux standardisés d’incidence et de mortalité du cancer du sein infiltrant en France entre 1980 et 2005, pour 100 000 personnes / années.

Source : InVS [13]

L’incidence a augmenté de façon constante depuis 25 ans : le taux d’incidence standardisé a presque doublé, passant de 57 en 1980 à 101 en 2005.

La mortalité, stable depuis 1980, a commencé à décroître en 2000 : le taux d’évolution annuel

de la mortalité était de -1,3% sur la période 2000-2005. [13]

(32)

32

2.2. Histoire naturelle

Il existe deux types histologiques de tumeurs du sein : les tumeurs épithéliales et de rares tumeurs non-épithéliales (lymphomes, sarcomes…).

Les cancers épithéliaux du sein sont répartis en deux catégories : les cancers in situ (canalaire ou lobulaire) et les cancers infiltrants (canalaire, lobulaire, mucineux...).

L’histoire naturelle des cancers du sein est encore soumise à question, deux conceptions sont en discussion :

- Maladie progressive : la plus ancienne hypothèse, qui suppose une extension tumorale de la forme locale – in situ à la forme invasive puis métastatique (par voie vasculaire et/ou lymphatique), [14]

- Maladie d’emblée générale : l’école de Fisher, qui suppose une maladie disséminée d’emblée dans tout l’organisme. [15]

Les facteurs de risque sont : - Risque très élevé :

o Suspicion d’une forme héréditaire de cancer du sein (mutation BRCA 1 et 2).

- Risque élevé :

o Antécédent personnel de cancer du sein,

o Image anormale lors de la dernière mammographie, o Existence d’un carcinome in situ,

o Existence d’une hyperplasie épithéliale atypique.

Ils imposent la réalisation de mammographies individuelles en dehors du dépistage organisé.

[16]

D’autres facteurs sont probablement associés à un sur-risque de cancer du sein.

C’est le cas du traitement hormonal substitutif de la ménopause (THS) : le traitement oestro- progestatif augmenterait le risque relatif de cancer du sein de 1.3 à 2 fois. En augmentant la densité mammaire, il rend difficile l’interprétation radiologique.

Pour l’instant, les recommandations ne sont pas claires : la réalisation d’une échographie systématique ou la diminution de l’intervalle entre deux mammographies seraient à envisager selon l’HAS. [17]

Les autres facteurs seraient : la puberté précoce (avant 12 ans), l’âge tardif de la première grossesse (après 29 ans) ou la nulliparité, la ménopause tardive (après 55 ans), la sédentarité, la consommation d’alcool, l’obésité ou le surpoids, l’utilisation de contraceptifs oraux et l’antécédent d’irradiation thoracique.

Les facteurs protecteurs seraient : la multiparité, l’âge précoce de la première grossesse et l’allaitement. [16]

2.3. Les recommandations

2.3.1. Françaises

2.3.1.1. Programmes de dépistage

(33)

33 Le dépistage organisé a débuté en France en 1989, avec la mise en place de 10 départements pilotes [18]. Il a ensuite été généralisé en 2004 par l’ANAES [19].

Les invitations sont envoyées à toutes les femmes de 50 à 74 ans. Et des relances sont effectuées si nécessaire à 6 mois [20].

Les exclusions sont : les patientes ayant déjà eu un cancer du sein ou à haut risque de cancer du sein pour cause génétique.

Les modalités de réalisation sont :

- Examen clinique des seins et mammographie tous les 2 ans, sans avance de frais, - Clichés des mammographies en deux incidences (face et oblique externe),

- Relecture des mammographies par un deuxième radiologue si le résultat ACR est à 1 ou 2,

- Une échographie peut être proposée si les seins sont très denses,

- Rédaction par le radiologue d’une fiche d’interprétation à transmettre à la structure de gestion,

- Organisation par des centres de gestions départementaux.

Les mammographies sont classées selon le modèle de l’American College of Radiology (BI- RADS) [21].

Cf. Annexe n°1 : Classification ACR.

2.3.1.2. Participation

Le taux de participation national au dépistage organisé s’est établi à 52.0% en 2010. Il était de 27.2% à Paris et de 51.6% en Seine-et-Marne. [22]

Selon le Baromètre Cancer 2010, 87.5% des femmes âgées de 50 à 74 ans ont déclaré avoir eu une mammographie au cours des 2 dernières années (dépistages organisés et individuels confondus).

De 50 à 59 ans, elles étaient 89.3% et de 60 à 69 ans, 89.1%.

La participation était statistiquement plus forte si les femmes vivaient en couple (90.9%) ou si leur niveau d’études était équivalent au baccalauréat (supérieur au bac : 87.3%). [23]

2.3.2. Internationales

Les pays occidentaux sont nombreux à planifier également un programme de dépistage organisé.

L’âge d’inclusion au programme s’échelonne de 40 ans (Suède, Islande) à 74 ans (France, Suède, Pays-Bas).

La plupart organise le dépistage de 50 à 69 ans (Belgique, Allemagne, Italie, Norvège, Canada, Australie…).

L’intervalle entre deux mammographies est de 2 ans, sauf au Royaume-Uni où il est de 3 ans.

[24]

(34)

34 Quelques particularités nationales :

En Suède, la recommandation est d’une mammographie tous les 2 ans, de 40 à 74 ans.

Au Royaume-Uni, elle est d’une mammographie tous les 3 ans, de 64 à 70 ans.

Aux Etats-Unis, il n’existe pas de programme organisé, mais certaines sociétés savantes recommandent un dépistage tous les 1 à 2 ans de 40-50 ans à 70 ans. [25]

Cf. Annexe n°2 : Programmes de dépistage du cancer du sein en Europe.

2.4. Controverses

Des articles et méta-analyses ont été publiés depuis les années 2010 au sujet de la balance bénéfice-risque du dépistage. [26]

Une étude de la revue Cochrane a été éditée en 2001, puis révisée en 2006 et 2009. [27]

Elle proposait une méta-analyse des études sur le dépistage organisé du cancer du sein, en fonction de leurs niveaux de preuves.

La méta-analyse des essais dits « de qualité moyenne » (études NBSS 1 et 2, essai de Malmö 1) a montré une absence de diminution statistiquement significative de la mortalité totale au bout de 7 ans et 13 ans.

La méta-analyse des essais dits « de qualités moyenne et médiocre » (essais de Göteborg, de Stockholm et des deux comtés suédois, Kopparberg et Östergötland) a montré une diminution de la mortalité par cancer du sein.

Suite à cette controverse, les recommandations françaises ont reprécisé l’intérêt de poursuivre

le dépistage organisé chez les femmes de 50 à 74 ans. [11]

(35)

35

3. Le cancer du col de l’utérus

3.1. Epidémiologie

Le cancer du col de l’utérus est le troisième cancer le plus fréquent et la quatrième cause de décès par cancer féminin dans le monde.

L’incidence estimée était de 530 000 nouveaux cas et la mortalité de 275 000 cas en 2008.

[12]

Les régions ayant le plus fort taux sont l’Afrique, l’Inde et l’Amérique du Sud.

En France, il est le dixième cancer le plus fréquent et la quinzième cause de décès par cancer féminin.

L’incidence était de 2 900 nouveaux cas et la mortalité de 990 en 2008.

Figure 2. Taux standardisés d’incidence et de mortalité du cancer du col de l’utérus en France entre 1980 et 2005, pour 100 000 personnes / années.

Source : InVS [13]

L’incidence est en forte diminution : le taux d’incidence standardisé a baissé de 2.9% par an entre 1980 et 2005 (15 cas pour 100 000 personnes / années en 1980 versus 7 cas en 2005).

L’évolution de la mortalité a été marquée par une diminution du taux de 4% par an entre 1980

et 2005. [13]

(36)

36

3.2. Histoire naturelle

Le cancer du col utérin est lié à l’infection persistante par des HPV oncogènes.

Sur les 50 génotypes connus d’HPV à tropisme génital, 18 sont considérés comme à haut risque oncogène. Les génotypes 16 et 18 sont responsables à eux seuls de 70% des cancers du col utérin dans les pays occidentaux.

50 à 75% des femmes de 15 à 44 ans ont déjà été exposées aux HPV, principalement par contact sexuel.

Dans la plupart des cas, les infections à HPV sont transitoires : le virus devient indétectable dans 70% des cas à 12 mois et dans 90% des cas à 24 mois. [28]

Il existe deux types histologiques de lésions néoplasiques : le carcinome épidermoïde (développé à partir de l’épithélium malpighien de l’exocol) et l’adénocarcinome (développé à partir de l’épithélium de l’endocol).

Le carcinome épidermoïde représente 80% des cancers du col et son histoire naturelle est la plus connue.

Les lésions précancéreuses (néoplasies intra-épithéliales ou CIN de grade 1, 2 ou 3) sont considérées comme des étapes successives aboutissant au carcinome épidermoïde invasif.

À chaque stade évolutif, précédant le stade invasif, la régression des lésions est possible.

En 1993, dans l’étude d’Östör, après un suivi de 1 à 18 ans, il a été observé que 1% des CIN 1, 5% des CIN 2 et plus de 12% des CIN 3 progressaient vers un cancer infiltrant. [29]

3.3. Les recommandations

3.3.1. Françaises

3.3.1.1. Recommandations

Les recommandations françaises sont : - Un frottis cervico-utérin (FCU), - Chez les femmes de 25 à 65 ans,

- Tous les 3 ans, après deux FCU normaux à 1 an d’intervalle. [30]

Les deux techniques de FCU sont : la méthode conventionnelle dite de Papanicolaou (sur lame) et la cytologie en milieu liquide.

La cytologie en milieu liquide a pour principal intérêt de réduire le nombre de FCU ininterprétables mais n’améliorerait pas de manière nette les performances du test. Elle permet la réalisation d’un test HPV, si besoin, sur le même prélèvement.

Ses inconvénients résideraient dans l’interprétation subjective des modifications morphologiques cellulaires. [30]

L'interprétation du FCU par les anatomo-cytopathologistes se base actuellement sur le système de Bethesda 2001.

Cf. Annexe n°3 : Système de Bethesda 2001.

(37)

37 En cas de frottis anormal (présence d'anomalies cytologiques), il est nécessaire de réaliser des tests diagnostiques complémentaires (FCU de contrôle, conisation, test HPV, biopsie…). [31]

3.3.1.2. Programmes de dépistage

Actuellement, il n’existe pas de programme généralisé de dépistage organisé en France.

Le dépistage est donc individuel ou organisé régionalement (dans des départements-pilotes).

Cinq départements-pilotes ont initié un dépistage organisé à partir de 1991 : l'Isère, l'Alsace (Bas-Rhin et Haut-Rhin), le Doubs et la Martinique.

Le dépistage dans le Doubs a été arrêté en 2004 pour cause de problèmes organisationnels.

[32]

En 2009, l’HAS a décidé de prendre de nouvelles cibles d’étude départementales : l’Auvergne, le Cher, l’Indre-et-Loire, le Maine-et-Loire, la Réunion et le Val-de-Marne ont débuté un programme de dépistage organisé. [30]

Parallèlement, depuis 2006, un programme de prévention est en cours, avec une campagne de vaccination par des vaccins anti-HPV. Cette vaccination concerne les jeunes filles de 14 ans, ou en rattrapage de 15 à 23 ans au plus tard dans l’année suivant le début de leur activité sexuelle. [33]

3.3.1.3. Participation

En France, sur la période 2006-2008, le taux de couverture du FCU était estimé à 56.6% pour les femmes âgées de 25 à 65 ans. [30]

Selon le Baromètre Cancer 2010, 94.9% des femmes ont déclaré avoir pratiqué un FCU au cours de leur vie et, pour 81.4% de ces femmes, cet examen datait de moins de trois ans.

Il concernerait : 90.6% des 25-29 ans, 94.1% des 30-34 ans, 85.8% des 35-39 ans, 88.2% des 40-44 ans, 92.5% des 45-49 ans, 87.8% des 50-54 ans, 70.5% des 55-59 ans et 70.6% des 60- 65 ans.

La fréquence de réalisation des frottis était de tous les ans pour 36%, tous les 2 ans pour 41%

et tous les 3 ans pour 8%.

A noter, un facteur déterminant chez les femmes de plus de 50 ans était le fait de participer au dépistage du cancer du sein. 68% des femmes qui avaient effectué une mammographie de dépistage tous les 2 ans étaient également dépistées pour le cancer du col de l’utérus, versus 20% pour les autres femmes qui n’avaient effectué aucune mammographie sur les trois années étudiées. [22]

3.3.2. Internationales

Certains pays occidentaux ont mis en place un programme de dépistage organisé.

Les recommandations sont très variables d’un pays à l’autre.

(38)

38 Le test généralement utilisé est le FCU conventionnel sur lame. Le test HPV est parfois recommandé en complément de la cytologie.

L’âge d’inclusion au programme s’échelonne de 20 ans (Royaume-Uni, Norvège) à 65 ans (Italie, Royaume-Uni), la majeure partie s’effectuant entre 23-25 ans et 60 ans.

L’intervalle entre deux FCU est de 3 ans (Norvège, Italie) à 5 ans (Finlande, Pays-Bas). [24]

Cf. Annexe n°4 : Programmes de dépistage du cancer du col de l’utérus en Europe.

(39)

39

III- Matériel et méthodes

1. Type d’étude

Il s’agit d’une étude descriptive transversale, réalisée à partir d’un auto-questionnaire.

2. Recherche bibliographique

La recherche bibliographique a été réalisée via les ressources internet, quand elles étaient disponibles : sites nationaux (HAS, DRESS…), moteurs de recherche…

Nous avons également utilisé le moteur de recherche Medline, avec comme mots-clés : - « Physicians », « Physicians, women », « General practitioners »,

- « Early detection of cancer », - « Health Behavior », « Self care ».

Une partie de la recherche a été effectuée à la BIUM, Paris 6

e

, notamment pour référencer les autres thèses.

3. Sélection de la population

La population étudiée est celle des femmes médecins généralistes installées à Paris et en Seine-et-Marne. Les médecins remplaçants ont été exclus.

La liste des médecins nous a été fournie par le site internet du Conseil National de l’Ordre des Médecins.

Nous avons sélectionné aléatoirement, par randomisation 150 médecins de chaque département, grâce au logiciel Microsoft Excel® (fonction Alea), pour un total de 300 personnes.

Nous avons fait le choix d’inclure également les médecins à exercice particulier et tous les modes d’exercice, qu’ils soient libéraux, salariés ou mixtes.

4. Recueil des données

Le recueil des données s’est effectué à l’aide d’un questionnaire adressé par courrier postal.

Il se trouve en Annexe n°5 : Questionnaire.

Une enveloppe de retour prétimbrée était fournie, afin d’optimiser le taux de réponse.

L’élaboration du questionnaire s’est faite après revue de la littérature.

(40)

40 Des corrections ont été apportées suite à la relecture par quatre médecins généralistes et un non-médecin.

Le questionnaire d’une page A4 recto-verso comportait une courte introduction, qui replaçait le contexte de l’étude.

Il était rappelé la procédure anonyme de traitement des données.

Puis, trois thèmes étaient explorés :

- Le profil du médecin interrogé, afin de classer les résultats, - Les patientes du médecin, s’il avait une activité gynécologique,

- La santé du médecin, avec deux sous-parties concernant les dépistages du cancer du sein et du col de l’utérus.

La plupart des questions étaient fermées et à choix multiples.

Quelques lignes étaient libres en fin de questionnaire pour les remarques éventuelles.

Le recueil s’est déroulé du 20 avril au 15 juin 2012.

5. Outils statistiques

Une base de données a été créée avec le logiciel Microsoft Excel®.

L’analyse des données a été réalisée grâce au logiciel Epi Info® version 7, ainsi qu’au site internet BiostaTGV.

Les tests statistiques utilisés ont été :

- Le test du Chi2 et le test de Fisher (lorsque l’effectif attendu était inférieur à cinq) pour la comparaison des variables qualitatives,

- Le test t de Student et le test d’analyse des variances ANOVA (lorsqu’il y avait plus de deux variables) pour la comparaison des variables quantitatives.

Les résultats ayant un p < 0.050 ont été considérés comme significatifs.

Les analyses principales ont été réalisées en comparant : - Les deux départements : Paris et la Seine-et-Marne, - Les trois modes d’exercice : libéral, mixte, salarié,

- Les quatre classes d’âge : 30-39 ans, 40-49 ans, 50-59 ans, ≥ 60 ans.

Dans le chapitre « Résultats », pour chaque question, les valeurs manquantes, signalées entre parenthèses, indiquent le nombre de réponses absentes des médecins.

Les résultats sont donnés sous forme de pourcentages et de chiffres bruts entre parenthèses.

Références

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