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CHAPITRE: IV Résultats et discussion

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1. Evaluation de la diversité floristique de la station d'étude

En partant de la complexité d’une flore en perpétuelle évolution (CHEMLI, 1997), La valorisation et la conservation de la diversité des ressources génétiques des plantes d’un pays supposent la connaissance précise de ce patrimoine.

Nous avons deux évaluations pour la diversité floristique : qualitative et quantitative.

1.1. Evaluation qualitative

Elle consiste à une évaluation de la diversité spécifique, la détermination des formes biologiques et du spectre phytogéographique.

1.1.1. Diversité spécifique

La station d'étude présente une richesse floristique diversifiée, l’inventaire floristique a permis de recenser 66 Taxons. Ces espèces se repartissent en 55 genres et 22 familles botaniques (Tableau 13). L'identification botanique a montré que parmi ces familles recensées, le plus grand nombre d’espèces appartient à la famille des Asteraceae (17 espèces, soit 25.76% de la totalité des taxons), les Poaceae avec 9 espèces (soit 13.64%), les Fabaceae et les Lamiaceae qui se manifestent par 06 espèces (9.09%), les Brassicaceae (04 espèces soit 6.06%), les Caryophyllaceae se présentent avec 03 espèces, soit un taux de 4.55%. Les autres familles ont un pourcentage de 1.52% et qui sont généralement mono génériques et parfois même mono spécifiques.

Tableau 13: Les familles botaniques recensées à Chouchet Tobdji (forêt de Sénalba chergui).

Familles botaniques Genres Espèces Pourcentage %

1 Asteraceae 12 17 25.76

2 Poaceae 8 9 13.64

3 Fabaceae 4 6 9.09

4 Lamiaceae 6 6 9.09

5 Brassicaceae 4 4 6.06

6 Caryophyllaceae 3 3 4.55

7 Boraginaceae 2 2 3.03

8 Cistaceae 1 2 3.03

9 Cupressaceae 1 2 3.03

10 Liliaceae 2 2 3.03

11 Resedaceae 1 2 3.03

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12 Apiaceae 1 1 1.52

13 Dipsacaceae 1 1 1.52

14 Fagaceae 1 1 1.52

15 Geraniaceae 1 1 1.52

16 Papaveraceae 1 1 1.52

17 Pinaceae 1 1 1.52

18 Plantaginaceae 1 1 1.52

19 Primulaceae 1 1 1.52

20 Rubiaceae 1 1 1.52

21 Ranunculaceae 1 1 1.52

22 Thymelaeaceae 1 1 1.52

Total 55 66 100 %

De point de vue diversité générique, l’analyse floristique (Tableau 13) a permis de dénombrer 55 genres. Les familles les mieux représentées sont: les Asteraceae avec 12 genres, les Poaceae 8 genres et les Lamiaceae 6 genres, les Fabaceae et les Brassicaceae sont représentées par le même nombre de 4 genres, suivies des Caryophyllaceae avec 3 genres, le reste des familles botaniques sont représentées par 1 ou 2 genres chacune (Figure 14).

Asteraceae Poaceae

Fabaceae Lamiaceae

Brassicaceae Caryophyllaceae

Boraginaceae Cistaceae

Cupressaceae Liliaceae

Resedaceae Apiaceae

Dipsacaceae Fagaceae

Geraniaceae Papaveraceae

Pinaceae Plantagenaceae

Primulaceae Rubiaceae

Rununculaceae Thymelaeaceae 0

2 4 6 8 10 12 14 16 18

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étudiée soit, 32 espèces réparties dans 24 genres. Selon CHERMAT (2013), ces familles botaniques sont les plus riches de point de vue spécifique et générique et correspondent aux familles les plus représentées dans la flore d’Algérie.

BOUNAR et al., (2013), dans leur travail dans la forêt du parc national de Taza, situé dans le nord- est de l'Algérie, ont montrés que les familles des Asteraceae, Fabaceae, Poaceae, Lamiaceae et Brassicaceae sont les familles les plus dominantes.

D'après les résultats de MEDJAHDI et al., (2009), dans les monts des Trara (Nord ouest algérien), les familles de Fabaceae et de Asteraceae sont les plus représentées, suivies par les Poaceae, les Lamiaceae et les Brassicaceae.

Selon QUEZEL (2002), pour le Maghreb méditerranéen littoral, les conditions écologiques sont restées nettement plus sévères que plus au nord, avec une prédominance des pelouses à Poaceae, Brassicaceae et Asteraceae.

D'après QUEZEL (2002), les surfaces forestières (comme notre cas), régressent en moyenne de 1 à 3 % de leur superficie chaque année suivant les situations, et l'élagage pour nourrir les troupeaux y est permanent. Il en résulte une banalisation générale des cortèges floristiques et la raréfaction, voire la disparition, des espèces les plus significatives.

Selon FELIDJ et al., (2010), la prépondérance des Asteraceae nous indique qu'elles se sont adaptées de façon optimale aux conditions de dégradation des milieux forestiers passant de la strate arbustive à la strate herbacée, ce qui, par conséquence, a entraîné l'apparition d'un taux d'herbacées d'importances aromatique et médicinale dominant. Cette situation s'inscrit dans un modèle évolutif régressif tel que l'a schématisé QUEZEL (2000) pour la végétation du Maghreb méditerranéen, c'est-à-dire :

Forêt

Stade post-forestier Matorralisation Dématorralisation Steppisation

Thérophytisation

Une telle évolution a provoqué l'installation d'une flore à haute valeur ajoutée du point de vue de son exploitation à des fins thérapeutiques. La situation actuelle risque de s'aggraver du fait qu'on se trouve à un stade transitoire dans une évolution

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environnementale non encore aboutie et aussi à cause de récoltes abusives et sauvages (par déracinement) de ces plantes dans le but de satisfaire l'augmentation de la demande en remèdes d'herboristerie.

1.1.2. Les formes biologiques

Les types biologiques sont considérés comme une expression de stratégie d'adaptation de la flore aux conditions du milieu et représentent selon DAHMANI (1996) cité par BOUNAB (2014); un outil privilégié pour la description de la physionomie de la végétation.

Ces types ont été établis par RAUNKIAER pour les végétaux des régions tempérées où la saison défavorable est la saison froide. Mais ils peuvent être appliqués aux végétaux des régions où la saison défavorable est la saison sèche (DAJOZ, 2003).

La détermination des types biologiques a été effectuée sur 63 espèces (tableau 14).

Tableau 14: Types biologiques de la station d'étude (Chouchet Tobdji).

Type biologique Nombre d'espèces

Thérophytes (Th.) 34

Hémicryptophytes (Hé.) 16

Chaméphytes (Ch.) 6

Phanérophytes (Ph.) 5

Géophytes (Géo.) 2

Selon KADIK (2005), dans l’étage bioclimatique semi-aride algérien, les formations végétales sont soumises d’une part à l’action anarchique de l’homme (coupes de bois, surpâturage), d’autre part à l’action de la sécheresse du climat souvent aggravée en été (sirocco), période durant laquelle de nombreux semis d’espèces forestiers périssent. Par conséquent, il est important de mettre en évidence les formes biologiques pour comprendre la stratégie d’adaptation de la flore et de la végétation aux conditions du milieu (Figure 15).

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Ph; 7.94%

Ch; 9.52%

Hé; 25.40%

Ge; 3.17%

Th; 53.97%

spectre biologique

Ph Ch Ge Th

Figure 15: Spectre biologique de la station d'étude (Chouchet Tobdji).

L'examen du spectre biologique (Figure 15), montre que les espèces recensées sont dominées par les Thérophytes qui présentent plus de la moitié des espèces avec un taux de 53.97%, suivis par les Hémicryptophytes (25.40%), les Chaméphytes (9.52%), les Phanérophytes (7.94%). Alors que les Géophyte ne représentent que 3.17%.

D'après KAABECHE (1990) dans son travail sur la région de Bou saàda, selon la participation de chaque type biologique à l'ensemble de la flore, le spectre biologique peut être dressé; ainsi, au niveau des groupements et du territoire étudiés, les Thérophytes apparaissent nettement majoritaires, avec les pourcentages suivants :

 Thérophytes 52 %

 Chaméphytes 27 %

 Hémicryptophytes et cryptophytes 16 %

 Phanérophytes 5 %.

Si les Thérophytes sont dominants, c'est surtout en raison du surpâturage fréquent, des feux et de l'intervention anarchique et irresponsable de l'homme. L'évolution du climat n'est évidemment pas à exclure : à une période hivernale et printanière relativement humide, succède une période de sécheresse assez longue allant de quatre à cinq mois, voire un peu plus (FELIDJ et al., 2010).

Le faible couvert végétal accentue les effets de l'érosion des sols et de dessouchement des Chaméphytes et Hémicryptophytes; la permanence du parcours dans ces situations drastiques amplifie encore l'exportation du matériel végétal. L'ensemble des écosystèmes forestiers, quels que soient les étages altitudinaux, est alors soumis au phénomène de thérophytisation lié à leur envahissement généralisé par des espèces

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annuelles souvent rudérales et disséminées essentiellement par les troupeaux. Une véritable banalisation des écosystèmes s'opère avec la mise en place de structures assez riches floristiquement mais qui n'ont plus rien à voir avec les ensembles forestiers ou préforestiers initiaux (QUEZEL et MEDAIL, 2003).

Selon DAGET et al.,(1971) cité par LABADI et LOUBADI (2014), l'action anthropique par les crottes des troupeaux qui contribuent à l'enrichissement du sol en matière organique permettent ainsi le développement des Thérophytes qui présentent un pouvoir envahissant très élevé.

D'après KADIK (2005), d’une manière générale, la forte présence des Thérophytes témoigne que la zone d'étude a subi des actions anthropiques qui ont abouti à une disparition des formations forestières. FLORET et PONTANIER (1982) notent également que "plus un système est influencé par l'homme (surpâturage, culture), plus les Thérophytes y prennent de l'importance". Il faut signaler que cette Thérophysation entraîne une diminution dangereuse du pouvoir de régénération des espèces sylvatiques.

1.1.3. Le spectre phytogéographique

Il existe un nombre considérable de taxons appartenant à des ensembles biogéographiques différents.

Nous avons regroupé les différents types phytogéographiques en unités biogéographiques plus spécifiques (Tableau 15).

Tableau 15: Types phytogéographiques de la station d'étude (Chouchet Tobdji).

Type phytogéographique Nombre d'espèces

Méditerranéennes 43

Endémiques 3

Nordiques 2

Large répartition 13

Divers 2

La souche méditerranéennes est largement distribuées dans la station d'étude et viennent en tête. Le reste des espèces est essentiellement représenté par des espèces à large répartition, endémiques, des espèces nordiques, et les autres espèces diverses dont l'ensemble sont peu nombreuses (Figure 16).

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Med; 68.25 End; 4.76

Nordique; 3.17

Large; 20.63 divers; 3.17

spectre phytogéographique

Med End Nordique Large divers

Figure 16: Spectre phytogéographique de la station d'étude (Chouchet Tobdji).

L'analyse du spectre phytogéographique de la station d'étude (Figure 16), montre que la majorité des taxons recensés sont de souche méditerranéenne avec un pourcentage très élevés de 68.25% de l'effectif total, cette situation est commune à la plupart des écosystèmes naturels de l'Algérie (QUEZEL, 2002) et le bassin méditerranéen, viennent ensuite les taxons à large répartition 20.63%. Alors que les éléments d'origine endémique sont assez représentés dans notre station d'étude avec 4.76 %. Les divers taxons et les éléments nordiques constituent 3.17 % de l'effectif global.

D'après LACOSTE et SALANON (2005), la prédominance de l'élément méditerranéen peut être expliquée par la végétation qui s'adapte aux pertes en eaux par transpiration au cours de la saison sèche.

Selon QUEZEL (2002), avec ses quelques 25000 espèces, la région méditerranéenne représente une des régions du globe les plus riches et à taux d'endémiques élevé, environ 50%. L'Afrique du Nord qui ne constitue qu'une partie du monde méditerranéen (environ 15%) ne possède pas actuellement de bilan précis relatif au nombre de ses espèces et de ses endémiques; toutefois, il est possible de situer autour de 5000- 5300 le nombre des espèces végétales qui y sont connues. Les endémiques nord-africaines représentant environ 1250 espèces, et les méditerranéennes, tous types confondus, environ 4000.

La richesse en endémique de la flore méditerranéenne est bien évidemment la conséquence directe de l'ancienneté de sa mise en place, mais aussi des facteurs écologiques qui se sont succédé depuis plusieurs millions d'années. Les critères évolutifs intrinsèques sont bien sur également à prendre en compte (QUEZEL, 2002).

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ZERAIA (1983), signale 700 espèces endémiques dans la flore algérienne ; nous avons dénombré 653 sur la base de la flore de QUEZEL et SANTA (1962-63). Le taux d’endémisme en Algérie est de 12.6 %. Parmi les espèces endémiques, nous pouvons distinguer 165 endémiques Nord-africaines, 270 endémiques algériennes, alors que l’UICN (Union Internationale de la conservation de la nature) et l’ANN ne signalent que 168 endémiques spécifiques de l’Algérie.

Les endémiques Sahariennes sont au nombre de 64, les endémiques algéro- tunisiennes au nombre de 50 et les endémiques algéro- marocaines au nombre de 104 (INRAA, 2006).

1.2. Evaluation quantitative

1.2.1. Contribution spécifique des espèces

La représentation graphique des pourcentages de contribution des espèces rencontrées est figuré par la figure 17.

A partir de la figure 17, nous pouvons répartir la population en trois classes, la première contient les espèces qui contribuent avec plus de 12%;

La deuxième, les espèces qui contribuent avec plus de 4 % et moins de 10%, et enfin celles qui contribuent avec moins de 4%.

La première classe contient les espèces Bromus rubens et Catananche caerulea. La deuxième contient: Stipa tenacissima, Paronychia argentea, Thymus algeriensis, Plantago albicans et Stipa paviflora. A noter que 42 espèces contribuent par moins de 1%. La contribution traduit le rôle joué par les différentes espèces rencontrées dans la constitution du couvert végétal, elle est indépendante en quelque sorte du recouvrement, car n'est pas liée au sol (GUONOT, 1969).

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Figure 17: contribution spécifiques des espèces présentes dans la station d'étude (Chouchet Tobdji).

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1.2.2. Recouvrement global (RG) et recouvrement des espèces

Au sens de GOUNOT (1969), le recouvrement global de la végétation (RG) est la projection verticale au sol de la partie aérienne des espèces végétales. Il est exprimé en pourcent, et constitue un indicateur de l'état de la végétation Les résultats de recouvrement global pour les dix relevés sont portés dans le Tableau 16.

Tableau 16: Recouvrement global des dix relevés.

Relevé 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10

RG (%) 56 57.28 63.73 55.34 40.20 51.96 47 59 56 52 D'après le tableau 16, nous remarquons que le relevé (03) a un pourcentage élevé de recouvrement et dépasse 60%, peut s'expliquer par le type de sol (sol favorable), ou la présence d'espèces dont la taille est remarquable comme Stipa tenacessima, et des espèces avec tiges ramifiées telles que Thymus algeriensis.

D'après GHAFOUL (2009), les plus importants recouvrements reflètent en réalité les recouvrements basaux. Car, les espèces sont soit étalées ou présentent des rameaux très denses.

La représentation graphique des pourcentages de recouvrement des espèces est illustrée par la figure 18.

Nous distinguons trois classes:

La première contient les recouvrements supérieurs à 12%, elle contient les espèces:

Bromus rubens et Catananche caerulea;

La deuxième classe contient les recouvrements supérieurs à 4% et moins de 10% et regroupe les espèces Stipa tenacissima, Paronychia argentea, Thymus algeriensis, Plantago albicans et Stipa paviflora;

La troisième classe avec des recouvrements inférieurs à 4%. D'après GUONOT (1969), le recouvrement traduit le rôle joué par les espèces dans la couverture du sol. C'est une notion concrète que nous pouvons matérialiser sur terrain, les valeurs sont corrélées avec celles des contributions mais n'ont pas la même signification.

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Figure 18: Taux de recouvrement des espèces présentes dans la station d'étude (Chouchet Tobdji).

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1.2.3. Indices de diversité

Pour le calcul des indices de diversité (indice de diversité spécifique de Shannon Weaver (H') et indice d'équitabilité (E)), nous avons utilisé la contribution spécifique (Csi).

Selon ORTH et COLLETTE (1996), l'indice de Shannon a des valeurs fortes pour des espèces avec des recouvrements de même importance et il prend des valeurs faibles lorsque quelques espèces ont de fort recouvrement et tend vert 5 lorsque toutes les espèces présentent la même importance (Tableau 17).

Tableau 17: Résultats quantitatifs de la diversité floristique des dix relevées.

Relevé Richesse spécifique Indice de Shannon Indice d'équitabilité

01 12 3.15 0.87

02 14 3.58 0.94

03 18 3.75 0.89

04 14 3.53 0.92

05 13 3.22 0.87

06 13 3.36 0.90

07 12 3.03 0.84

08 13 3.36 0.90

09 14 3.37 0.88

10 13 3.47 0.93

Moyenne 3.38 0.89

La valeur moyenne de l'indice de Shannon pour les dix relevés montre que notre station d'étude présente une richesse floristique diversifiée.

D'après le tableau 17, nous remarquons que le relevé (03) est le plus riche en taxons que les autres relevés. Ainsi, la valeur la plus élevée de l'indice de Shannon Weaver (H') est obtenue dans le même relevé, donc l'indice de Shannon augmente avec la richesse spécifique. La plupart des indices courants, comme ceux de Shannon, évaluent à la fois la richesse et l’équitabilité (MARCON, 2013).

Par contre, si nous considérons l'équitabilité (E), il ressort de l'analyse du tableau, que les relevés (02 et 10) présentent une valeur importante d'équitabilité. En prenant l’équitabilité comme indicateur de la biodiversité, on constate que ces deux relevés

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