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Étude du cobalt bombardé par des électrons à 20 °K

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(1)

HAL Id: jpa-00206644

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00206644

Submitted on 1 Jan 1968

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Étude du cobalt bombardé par des électrons à 20 °K

G. Sulpice, C. Minier, P. Moser, H. Bilger

To cite this version:

G. Sulpice, C. Minier, P. Moser, H. Bilger. Étude du cobalt bombardé par des électrons à 20 °K. Jour-

nal de Physique, 1968, 29 (2-3), pp.253-256. �10.1051/jphys:01968002902-3025300�. �jpa-00206644�

(2)

253.

ÉTUDE

DU COBALT

BOMBARDÉ

PAR DES

ÉLECTRONS

A 20 °K Par G.

SULPICE,

C.

MINIER,

P. MOSER et H.

BILGER,

Service de Physique du Solide et de Résonance Magnétique, Centre d’Études Nucléaires, 38-Grenoble.

(Reçu

le 22

septembye 1967.)

Résumé. 2014 Les auteurs étudient les défauts

ponctuels

créés à 20 °K par bombardement

électronique

dans le cobalt de haute

pureté ;

leurs mesures de résistivité semblent montrer que les défauts créés sont essentiellement des

paires

de Frenkel

proches qui

se

guérissent

en dessous

de 65 °K.

Abstract. 2014 Electrical

resistivity

measurements seem to indicate that the

point

defects

produced

in

high purity

cobalt

by

electron irradiation at 20 °K are

essentially

close

pairs,

which annihilate below 65 °K.

LE JOURNAL DE PHYSIQUE TOME 29, FÉVRIER-lB1ARS 1968,

Dans cet

article,

nous d6crirons le

comportement

des defauts

ponctuels

cr66s par irradiation dans un metal de reseau

hexagonal :

le cobalt.

L’6volution des defauts a ete suivie par mesures de r6sistivit6 et de

trainage magn6tique.

I.

Bchantillons.

- 11 est

important

de

disposer

d’un

metal de tres haute

purete;

en

effet,

nous avons montre que la

presence d’impuret6s

peut alterer

profondément

les valeurs des accroissements de r6sistivit6 pour une

irradiation donn6e

[1],

les

positions

des stades de

revenu de la r6sistivit6

[2],

et le nombre et

I’amplitude

des bandes de

trainage magn6tique [3].

Nous avons utilise du cobalt

d’origine Light purifi6

par fusion de zone

(30 passes).

Les 6chantillons sous

forme de

plaquettes

de 18 mm x 1 mm X

0,1

mm

sont usin6s directement a

partir

du

lingot

par 6lectro- érosion

puis

amincis par

polissage;

ils subissent ensuite

un recuit a 950 °C sous

hydrogène pendant

24 heures.

Le

rapport

de r6sistivit6 P293

OK/P21

-K est

6gal

à 120.

II.

2tude

de l’accroissement de rdsistivitd en fonc- tion de la dose d’irradiation. - Dans la limite des doses

utilis6es,

cet accroissement

Apo

est lin6aire. La

figure

1

repr6sente

les accroissements de r6sistivit6 en

fonction de la duree d’irradiation de deux 6chantillons de nickel et cobalt bombard6s simultan6ment a 20 °K par des electrons de

1,4

MeV.

D. Wruck et C. Wert

[4]

ont montre que 1’accrois-

sement de r6sistivit6 du cobalt est

superieur

a celui du

nickel;

nous confirmons leur r6sultat et si nous suppo-

sons

qu’un

meme

bombardement,

par des electrons de

1,4 MeV,

cree la meme concentration de

paires

FiG. 1. - Accroissement de la r6sistivit6 du Ni

(d’apres [19] )

et du Co en fonction de la dose d’electrons incidents.

de Frenkel dans les deux

metaux,

en

adoptant

la

valeur

C1P

=

3,2 lLQ. cm

pour 1

%

de

paires

de

Frenkel dans le

nickel, propos6e

par P. Lucasson et

R. Walker

[5],

nous en d6duisons

Ap

=

5,5 [1.12.

cm

pour le cobalt.

III. Restauration de la rdsistivitd.

- a)

POSITION

DES STADES. - Pour

chaque 6chantillon,

nous avons

proc6d6

a des recuits isochrones de duree T = 10 mn tous les trois

degr6s jusqu’a

80

OK,

tous les

cinq degr6s jusqu’a

120

OK, puis

tous les dix

degrés.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01968002902-3025300

(3)

254

FIG. 2. - Courbe de revenu isochrone de la r6sistivit6 du cobalt bombarde par 25 X 1016 electrons par cm2 de 3 MeV.

La

figure

2 montre la courbe de restauration de l’accroissement de r6sistivit6

Ap/Apo

en fonction de la

temperature

T.

La d6riv6e par rapport a T nous permet de mettre

en evidence

plusieurs

stades de restauration :

Le stade I est divise en

quatre

sous-stades

IB, Ie, ID, IE.

Par

analogie

avec la denomination

adoptee

dans

le fer et le nickel

[6], [7],

nous avons

appel6

le dernier

stade

IF

car il

correspond a

la

disparition

d’une bande

de

trainage magn6tique importante.

De ce

fait,

le

premier

stade observe est nomme

’B-

I1 est

probable

que le stade

IA

nous

échappe

a cause de la

temperature trop

6lev6e d’irradiation. En

effet, apres

irradiation

aux neutrons

thermiques

a 4 OK

[16],

un sous-stade

apparait

a 16 OK et il est vraisemblable

qu’un

sous-

stade

equivalent

existe

apres

irradiation aux electrons :

Le stade

IE

est nettement distinct dans le cas du

cobalt,

a la difference du fer et du nickel ou ce stade

ne constituerait

qu’un 6paulement

du stade

ID.

Le stade II est divise en trois sous-stades.

Le stade III

apparait

faiblement comme

l’indique

le tableau ci-dessus.

b)

ETUDE DES DIFFERENTS STADES. - Une 6tude de la restauration de la r6sistivit6 par recuits isothermes

nous a

permis

de determiner par la m6thode des tan-

gentes

1’energie

d’activation du processus de

gu6rison

des diff6rents types de d6fauts :

0,12

eV ±

0,02

eV

pour le stade

IE, 0,08

eV pour

ID, 0,065

eV pour

1,

et environ

0,05

eV pour

IB.

Les stades

IC

et

IE correspondent

chacun a un d6faut

bien d6fini s’annihilant suivant une

cin6tique

d’ordre

un

(cinetiques

d6termin6es au cours de traitements

thermiques isochrones).

11 n’en est pas de meme pour le stade

ID

dont la zone de recuit est

beaucoup plus

étendue. Nous avons

recoup6

cette 6tude par un

examen de la

largeur

a mi-hauteur des

pics

d’acc6l6-

ration du revenu de la r6sistivit6 au cours de notre

recuit isochrone. Les valeurs

th6oriques

sont obtenues

a

partir

de

1’equation math6matique r6gissant

une cin6-

tique

d’ordre un :

Log CICO

= - K At exp

[- E/kT]

appliqu6e

successivement a

chaque

recuit isotherme de duree At

composant l’isochrone,

K = constante de

diffusion, E

=

6nergie

d’activation du processus de

gu6rison.

Le tableau suivant compare les valeurs

th6oriques

aux resultats

experimentaux

obtenus en

d6duisant la contribution des stades voisins au stade 6tudi6.

IV. Effet de la dose d’irradiation. - Cette 6tude a

ete

entreprise

dans le but de determiner les ordres des

cin6tiques

de

disparition.

Dans la limite des erreurs

eXpérimentales,

il

n’apparait

aucun

deplacement

en

temperature

des sous-stades I si la dose varie dans un rapport 7. Ceci

indique

que ces sous-stades I corres-

pondent

tous a des

cin6tiques

d’ordre un.

(4)

255

Le stade

IIA

se

d6place

vers les hautes

temperatures

si la dose diminue. En outre, si la dose

croit,

les

ampli-

tudes relatives des stades

Ic

et

ID augmentent,

tandis que celles de

IE

et

IIA

diminuent.

V. Efiet de

l’énergie

des

particules

incidentes. - Trois 6chantillons

identiques

sont bombard6s succes-

sivement par des electrons de

1,4 MeV, 2,2

MeV et

3 MeV. Les dur6es d’irradiation sont telles que 1’ac- croissement de r6sistivit6

Apo

soit le meme dans les

trois cas. Les resultats sont

repr6sent6s

sur la

figure

3.

FIG. 3. - D6riv6es des courbes de revenu isochrone de la r6sistivit6 du cobalt bombarde par des electrons de différentes

energies.

Nous ne pouvons pas nous prononcer sur le stade

’B,

trop

proche

de la

temperature d’irradiation,

mais nous

constatons que si

1’energie

des electrons incidents

augmente, 1, diminue, IE

semble peu affect6 et

ID augmente.

VI.

Comparaison

avec les r6sultats de

trainage magn6tique.

- Dans une

publication

ant6rieure de

notre laboratoire

[8],

P.

Vigier

avait montre

qu’une

bande de

trainage

tres nette 6tait apparue

apr6s

irradiation aux neutrons, au milieu d’un fond continu de

trainage.

La

presence

de ce fond

continu, d’ampli-

tude

1,7 m0152/G,

ne trouble pas 1’etude de la bande

principale beaucoup plus importante.

11 correspon- drait a un

phénomène

tres

general,

retrouve dans le

fer lamine a froid

[9],

les

alliages

de fer et les ferrites.

I1 s’identifierait certainement au

trainage

continu

observe par L. Gerward

[10].

Les

caract6ristiques

de la bande

principale

sont les

suivantes :

-

Temperature

de la zone de reorientation 42-55

°K;

-

Temperature

de la zone de

disparition

45-65

°K;

-

Energie

de reorientation peu diff6rente de

1’energie

de

gu6rison

et de l’ordre de

0,1 eV;

- Profondeur de la bande 6

m0152/G.

Une bande

analogue

a ete observ6e

apres

bombar-

dement

6lectronique [11].

Nous

reportant

a la

figure 2,

nous constatons que la

disparition

de cette bande et le stade

IF

se

produi-

sent simultanément.

VII. Discussion. -

Apr6s

bombardement 6lectro-

nique,

le cobalt

pr6sente

une restauration de la r6sis- tivit6 assez

proche

de celle du

beryllium [12].

Ces deux

metaux

hexagonaux

sont caractérisés par un 6norme stade I

pr6sentant

une structure fine et par I’absence de stade IV. Par contre, le stade III bien

prononce

dans le

beryllium

est tres faible dans le cobalt.

Après 6crouissage

de ces deux metaux

[13], [14],

on constate que la restauration

principale

a lieu a une

temperature superieure

a la

temperature ambiante,

alors que la restauration

apr6s

bombardement elec-

tronique

est

deja

terminée.

1.

ETUDE

DU STADE I. -

Apres

irradiation du cobalt a 20 OK par des neutrons

rapides,

Blewitt et

coll.

[15]

ont constate une

gu6rison

de 25

%

au

stade I. Si l’on irradie par des neutrons

thermiques

a 4

oK,

la restauration entre 20 OK et 60 OK atteint 60

% [16].

Nos resultats montrent

qu’apr6s

bombar-

dement

6lectronique

le stade I est encore

plus impor-

tant

(80 % ) .

Au niveau du stade

I,

une

analogie

existe entre les

resultats obtenus dans notre

laboratoire,

dans le

fer

[2],

le nickel

[1], [7]

et le cobalt. Nous retrouvons

les sous-stades observes dans le cuivre

[5]

avec, n6an-

moins, quelques

differences.

L’analyse

des sous-stades I montre que les stades

Ic

et

IE correspondent bien, chacun,

a un processus

simple

d’ordre un,

cependant

que le stade

In

semble

etre lie a la

superposition

de

plusieurs ph6nom6nes simples.

Le stade

IB

est trop

proche

de la

temperature

d’irradiation pour que nous

puissions

en d6duire des resultats definitifs.

Nous associons le stade

Ic

a l’annihilation d’une

paire

tres

proche

d’un type

particulier.

Le stade

1, s’interprete

bien en

supposant qu’il corresponde

a la

gu6rison

de différents types de

paires proches

avec des

energies

d’activation

voisines,

ainsi que A. V. Granato 1’avait

propose pr6c6demment [18];

l’interstitiel sou-

mis a une forte attraction de la

part

de sa lacune mere

migrerait

dans une vall6e de

potentiel

suffisamment

profonde

pour lui interdire toute reorientation.

Cette

interpretation

est en accord avec les variations trouv6es en fonction de

1’energie

et de la nature des

particules

incidentes : en augmentant

1’6nergie

des

(5)

256

électrons, I’amplitude

du stade

I, diminue,

celle de

1, grandit

car on cree moins de

paires

tres

proches.

Dans le cas des irradiations

neutroniques,

le sous-

stade

Ic

a

pratiquement disparu.

Le d6faut

qui

s’annihile au cours du stade

IE

est

lie a la

disparition

d’une bande de

trainage magn6- tique qui pr6sente beaucoup d’analogies

avec celles

que nous avons mises en evidence dans le fer

[9], [11]

et le nickel

[7],

en

particulier 1’energie

de reorientation

est

6gale,

aux erreurs

d’experiences pr6s,

a celle de

gu6rison.

Au

contraire,

par sa

cin6tique

d’ordre un, le sous-

stade

IE

de revenu de la r6sistivit6 du cobalt diff6re du sous-stade

IE

du nickel dont la

cin6tique

est d’ordre

superieur.

Nous pensons

qu’il pourrait

etre du a un

interstitiel

susceptible

de se r6orienter un

grand

nombre de fois avant annihilation dans sa lacune mere. , 2.

ETUDE

DU STADE II. -

Apr6s

bombardement

6lectronique,

on trouve entre 60 OK et 300 OK

quelques petits

stades de revenu de la r6sistivit6

qui

sont super-

pos6s

a une restauration continuelle d’environ 15

% ;

le

pourcentage

de la restauration augmente un peu

avec

1’energie

des electrons.

Apr6s

irradiation par des neutrons

thermiques [16],

il

correspond

au stade II une restauration de 25

%

environ et on voit de

petits

sous-stades assez nets.

D. Wruck et C. Wert

[4], apr6s bombardement par

des

deut6rons,

ont mis en evidence deux sous-stades bien

prononcés

a 150 oK et 270 OK. De

meme, apr6s 6crouissage [13],

on constate un revenu relativement

important

de la r6sistivit6.

A. A. Zwetaew et coll.

[20]

ont determine une

6nergie

d’activation croissant continuellement au cours

du stade II. Ceci est en accord avec nos resultats de

trainage magn6tique

dans cette zone. Nous pouvons

reprendre

ici le modele

propose

antérieurement par

notre

6quipe [9],

a savoir un processus de

formation, rearrangement

et destruction continue

d’agglomérats

de defauts 616mentaires ou les

impuret6s pourraient jouer

un certain role.

N6anmoins,

ce processus aurait

une

importance

minime par rapport aux

ph6nom6nes

d’annihilation de

paires proches.

3. STADES ULTERIEURS. - Avec

l’appareillage utilisé,

dans le domaine de

temperature superieure

a 300

OK,

nous n’avons trouve ni stade tres visible de revenu de la

resistivite,

ni bande de

trainage magn6tique.

Les defauts

ponctuels

cr66s par bombardement

6lectronique

dans le cobalt sont

pratiquement

tous

gu6ris

a la

temperature

ambiante.

Conclusion. - Dans le cobalt irradie aux

electrons,

nos

experiences

ont revele 1’existence d’un stade I divise en sous-stades

particulierement

distincts et dis-

paraissant

tous suivant des

cin6tiques

d’ordre un.

L’importance

de ce stade est

pr6dominante

par

rapport

a celle du stade II peu

important

et des stades III et IV a peu

pres n6gligeables.

Remerciements. - Nous tenons a

exprimer

notre

reconnaissance a MM. G. Baudrand et G. Garnier pour 1’aide

apport6e

a la realisation des

experiences.

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