Chapitre 6 : L'heure de vérité
Par marta.abigail79 Publié sur Fanfictions.fr.
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Peu après le retour de ma mère, je lui demande un entretien pour savoir la vérité sur Luiz. En effet, ma mère à éluder souvent à son sujet. Je la convoque dans ma chambre le surlendemain de son retour. Une matinée douce en ce mois de janvier.
Mère : Que veux tu mon petit lion ?
Elle s'assoie sur la chaise du bureau. Moi je suis sur mon lit. Je le sens fébrile.
Moi : Tu m'avais dit de me rien me cacher.
Mère : Oui.
Elle se tortille les mains.
Mère : Je t'écoute.
Moi : Luiz. Il y a deux ans tu m'avais menti en disant ne pas le connaître. Pendant mon
périple,j'ai appris qu'il était depuis plus de vingt ans seul au centre Dana depuis la mort de son lion. Puis il est rester à ta mort. Pourquoi tu lui parler pas ?
Mère : Au contraire, il y a vingt ans, quand son lion est mort, très attaché à lui, il est tomber en dépression comme moi, il y a quinze ans. Je l'avais inviter plusieurs fois en vain. Cela m'a miner. Je voulais pas parler de lui. Il m'a rappeler moi dans mon brouillard.
Moi : D'accord. Mais j'aurais compris maman tu sais.
Mère : Ma plus grande erreur. Te croire encore trop jeune pour comprendre.
Elle pleure et viens me prendre dans ses bras.
Mère : Pardon.
Moi : Ce n'est rien maman. J'ai un autre question. J'ai vu des vêtements tachés de sang et des bocaux de formols dans ton ancienne chambre au centre. C'était quoi ton projet ?
Mère : Si je me souviens, les habits c'est qu'au pays on me forcer à faire du mal à des animaux ou torturer des humains drogués et inconsciemment j'ai tellement aimer cela que j'ai garder des trophées comme les bocaux et les vêtements. D'autres questions ?
Je réfléchis puis je lui demande :
Moi : C'est quoi ton plus grand regret ?
Mère : Hé bien, de pas avouer la vérité. Celle de mon viol à mes sept ans. J'étais menacer.
Après j'ai tenter de dire a Salvator qu'il a eu un frère en vain. J'aurais dû aussi avouer ces faits horribles à mes neuf ans. Quand on est habituer à la menace, il faut pas s'attendre, surtout enfant, a être capable de dire ce qui se trame. Après j'ai d'autres regrets, notamment celle de pas danser. J'avais dix pour cent de chance de reprendre les efforts.
Moi : Viens-alors on va danser.
Surprise, elle se laissa embarquer au salon, où je mis de la pop. On danse en rythme et on chante même. Je voulais voir ma mère sourire, je suis sa plus belle réussite. J'ai réussie à la percer. Je ne regrette rien. Je sais qu'elle a toujours voulu être elle-même. La danse. C'est sa vie.
Les chaussons de danse de sa soeur lui ont porter bonheur, penser à elle après sa tentative de suicide à ses quatorze ans, lui a permise de s'en sortir et encore plus quand elle se sont
retrouver.
Elle danse pour retrouver son corps. Ses sensations qui lui sont propres. Même si c'est pas son coeur, elle le chérie autant que moi.
La clé du succès c'est la scène. Elle veux être admirer car elle est admirable. Elle a encore du talent et son autre fan n'est autre que mon père quand je voie qu'il nous observe.
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Je fait une pause pour prendre un peu d'eau, mon père sur les talons. Ce dernier me dit :
Père : Tu as réussie à lui redonner foi en ce qu'elle sait faire. Bravo fiston !
Il me tapote le dos. J'en suis pas peu fière.
Moi : Merci papa. On terminer de parler de que je voulais savoir. Puis je l'ai emmener là où l'an dernier je l'ai vu danser pour la première fois. Enfin , ensemble c'était rare.
Père : Je ne sais pourquoi elle n'a pas voulu reprendre la danse même sans continuer l'école.
Je suppose qu'elle avait encore des moments de dépression.
On la regarde s'agiter seule dans son monde. Elle oublie qu'on est là. Jusqu'à qu'on là rejoigne.
Mère : Qu'es que vous voulez savoir d'autres mes amours ? Oui votre mère, femme péte les plombs !! Wouhou !! Ya ya !!
Elle virvolte sur elle-même. Elle forme ensuite un faux micro avec sa main pour nous interroger.
Mère : Alors ? Pas de réaction ? A si je voie que ça ris par ici.
Ensuite, elle fait semblant d'avoir une fausse oreillette.
Mère : Oui, Laik, on a un problème. Nos clients ne veulent pas répondre à nos questions.
Moi : Si si. Tu veux savoir quoi ?
Mère : Qu'es que je vous aime mes amours.
Elle nous enlace et on ne comprend plus rien. Soudain je voie mon père inquiet. Il me chuchote :
Père : C'est une crise de délire. Elle en a eu rarement.
Moi : Qu'es qu'on fait ? J'aurais pas mettre la musique c'est ça ?
Père : Cela n'a rien avoir. Regarde.
La vérité c'est que ma mère commence à parler seule.
Père : Je m'en occupe.
Il tente de la raisonner en vain. Il semble qu'elle a une forme désinhibée selon lui. La fois dernière c'était il y a quinze ans. La forme apathique et désinhibée ce sont chevaucher.
Père : J'appel le médecin.
Mère : Tu sais quoi fiston ? On va acheter tout ce qu'il a dans les magasins!
Moi : Eu maman..
Mère : Oui patron, tu m'agace là !! Je t'ai rien demander espèce de sale sot dégénerer !
Je regarde mon père téléphoner.
Père : Il arrive dans cinq minutes, il était pas loin. Marta ?
Ma mère tenter d'allumer la cheminée. Encore une fois, il l'a raisonne mais avec réussite cette fois. Elle semble enfin se réveiller mais aucun son ne sort. Le médecin arrive et prescrit du repos. Si cela recommence , il ne faut pas hésiter à le rappeler.
Moi : C'est du à quoi ?
Médecin : Les séquelles sont encore visibles parfois des années après. Après on ne sait pas
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encore le déclencheur.
Moi : Elle se rappelera de rien ?
Médecin : Non. Mais rappelez-lui les faits sans sermonner. Rassurer-là.
On l'observe silencieuse sur le fauteuil. Soudain elle commence à fermer les yeux et s'endors.
Cela l'a épuisée. Le médecin partit, mon père va coucher ma mère. Je décide de préparer le repas. Et si ma mère a des crises peut-être es ce le signe qu'elle a des pouvoirs surnaturels ?
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