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Réunion publique à Réville (50) et en visioconférence

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Academic year: 2022

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Réunion publique à Réville (50) et en visioconférence

Première réunion post-débat public

Le 15 juillet 2021

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Eolien en mer- Réunion publique à Réville Réunion publique du 15 juillet 2021 à Réville

Compte-rendu

La réunion s’est tenue à Réville de 18h à 20h30 en présence d’une centaine de participants.

En tribune pour l’Etat maître d’ouvrage et RTE : Damien LEVALLOIS, DREAL (État, maître d’ouvrage) Arnaud FORGAR, DREAL (État, maître d’ouvrage)

Laetitia SAVARY, DREAL (État, maître d’ouvrage)-en visioconférencePierre CECATTO, Réseau de transport d’Electricité (RTE)

Pour la CNDP :

Dominique PACORY, garant nommé par la Commission nationale du Débat public (CNDP) La

réunion était modérée par Marion SIVY, Systra

1. Ouverture

Yves ASSELINE, maire de Réville, souhaite la bienvenue aux participants et présente les intervenants.

Marion SIVY, modératrice, indique le déroulé de la réunion et précise qu’elle est diffusée en même temps sur internet où des questions peuvent aussi être posées.

2. La présentation du maître d’ouvrage Voir annexe 1 : présentation

Damien LEVALLOIS, Etat, présente l’état d’avancement du projet. Il explique notamment la décision ministérielle publiée le 4 décembre 2020 suite au débat public. Il rappelle la large participation à ce débat, et l’inscription du projet dans le schéma directeur de la Programmation pluriannuelle de l’Energie (PPE), laquelle a aussi fait l’objet d’un débat public en 2018.

Il indique que l’Etat qui est pour l’instant maître d’ouvrage, désignera un industriel pour construire le projet, lequel devrait être choisi au premier trimestre 2022 par la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Le cahier des charges de l’appel d’offres qui désignera cet industriel prendra en compte l’ensemble des éléments sortis du débat public, notamment la cohabitation du parc éolien avec les activités de pêche, le coût de l’énergie pour l’usager, les impacts environnementaux, sociaux et territoriaux, la limitation de l’impact paysager, le démantèlement et le recyclage des machines, etc.

Il rappelle la création d’un site internet pour appuyer la démarche de concertation : www.eoliennesenmer.fr

Arnaud FORGAR, Etat, présente la zone retenue pour le projet, dans laquelle les études environnementales détaillées seront réalisées, et dont le choix a été nourri par le débat public. La zone retenue tient compte de critères intangibles tells que les zones dédiées à la défense et à la sécurité maritime. Elle tient compte également de trois enjeux structurants :

- Les Tours de Saint-Vaast-la-Hougue inscrites au patrimoine de l’UNESCO.

- Les problématiques du trafic maritime sur les axes de navigation transmanche.

- Le maintien des activités de pêche.

Laetitia SAVARY, Etat, présente les études environnementales qui seront menées dans les prochains mois sur la zone retenue afin d’établir l’état initial environnemental de la zone (campagnes d’acquisitions de données sur l’avifaune, les chauves-souris, les poissons, les mammifères marins, études du vent et de la houle, de la visibilité en mer, études géotechniques, études socio-économiques sur la pêche, études de trafic maritime et études sur la protection des tours

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Vauban). Ces éléments seront ensuite transmis aux lauréats de l’appel d’offres qui réalisera son étude d’impact pour définir les mesures d’évitement, de réduction et de compensation des impacts environnementaux et aussi plus largement socio-économiques.

Pierre CECATTO, RTE, présente l’hypothèse de raccordement retenue à ce stade par RTE, soit le raccordement du parc au continent en courant continu vers le Cotentin. La liaison se fera ensuite de façon souterraine pour atteindre le poste électrique sur la commune de L’Etang-Bertrand. Il évoque la concertation propre à l’ouvrage électrique, menée sous l’égide du Préfet, qui permettra de définir l’aire d’étude du raccordement. Cette concertation commencera à l’automne 2021.

1. Les échanges avec le public

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M.Passilly, patron armateur d’un bateau de pêche, conteste la capacité de l’éolien à résoudre le problème des émissions de carbone, s’interroge sur le coût de construction du parc, sa rentabilité et sur la bétonisation de l’océan. Il suggère de construire une deuxième centrale nucléaire à Flamanville pour ne pas impacter finan- cièrement les pêcheurs.

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Gérard PARENT, membre du public, de l’association Eolarge et maire d’Anneville-en-Saire, s’interroge sur le devenir du parc éolien au bout de 20 ans d’exploitation. Il demande également des précisions sur la fré - quence du cycle d’acquisition des données environnementales.

Réponses de la maîtrise d’ouvrage

Arnaud FORGAR, Etat, rappelle que la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) définit un coût cible attendu de 60 euros du mégawattheure. Il cite l’exemple du dernier projet d’éolien en mer à Dunkerque attribué, avec un coût du mégawattheure de 44 euros. A titre de comparaison, l’EPR de la centrale de Flamanville délivrera l’électricité à un coût entre 110 et 120 euros du mégawattheure estimés par la Cour des Comptes. Les bénéfices collectés serviront à soutenir le développement des énergies renouvelables pour éviter les répercussions sur la facture d’électricité des consommateurs.

Damien LEVALLOIS, Etat, indique que le démantèlement intervient au bout d’une période d’exploitation de 25 à 30 ans. A ce moment-là tout est démonté. L’ensemble du parc est recyclable à 95 %, certains composants des pales ne le sont que partiellement. Actuellement, les fabricants de pâles ont lancé des actions de Recherches et Développements comme LM Wind Power à Cherbourg afin de pouvoir produire des pâles entièrement recyclables.

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Un participant demande quels moyens de compensation financière seront attribués aux pêcheurs et quelle production électrique fournira le parc. Il s’interroge sur le temps effectif de fonctionnement d’une éolienne.

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Plusieurs participants s’inquiètent de la possibilité de pêcher dans le parc après sa mise en service.

Réponses de la maîtrise d’ouvrage

Arnaud FORGAR, Etat, indique que le parc éolien aura une puissance de production de 1 gigawatt et qu’il pourra fournir de l’électricité à 800 000 foyers en Normandie soit la moitié des foyers Normands. Il précise qu’une éolienne en mer tourne 90% du temps à puissance variable soit 40 % si l’on rapporte à sa puissance maximale (période d’entretien et de maintenance comprise).

Damien LEVALLOIS, Etat, indique que le sujet des effets économiques du parc sur la pêche a été une préoccupation majeure dans le choix de la zone comme présenté en début de réunion. En détail, il indique que, la zone dans laquelle, le parc sera développé est une zone très peu pêchée, la période la plus critique sera celle des travaux puisqu’elle sera fermée à la pêche pendant cette période. Pour rappel,il est prévu que pendant les 25 à 30 ans d’exploitation du parc éolien que la pêche puisse s’exercer à l’intérieur. Les 150 kilomètres carrés du parc éolien dans cette zone, représentent aujourd’hui 200000 euros de chiffre d’affaire pour la pêche, rapporté au chiffre d’affaire de la pêche en Normandie de 200 millions euros cela fait 0,1% de perte de chiffre d’affaire . Ces données sont issues du modèle de calcul « SACROIS » de l’IFREMER. Ce modèle a également été employé dans le cadre du BREXIT pour le calcul de la dépendance des navires français aux eaux britanniques. Les navires de plus de 12 m fonctionnent avec un lockbook électronique et un VMS, dont les données démontrent que la zone retenue est une zone de passage pour les chalutiers et non une zone de pêche très travaillée. Pour accéder à cette zone à plus de 20 milles marins des côtes un navire de pêche doit être en seconde catégorie de navigation ce qui concerne des navires assez importants en majorité à partir de 16 m de longueur. La zone est donc de fait interdite d’accès aux navires côtiers de moins de 12 mètres en 3éme catégorie de navigation.

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Une participante évoque son opposition au projet de parc éolien en mer au large du Tréport et affirme que le taux de charge des éoliennes ne dépasse pas les 38% en mer du Nord. Elle affirme que les sites normands re- présenteront 0,25% de la production française et que les éoliennes ne remplaceront pas les centrales nu-

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cléaires. Elle ajoute que chaque projet éolien coûte 4 milliards d’euros pour une production quasi-nulle, puisque moins de 1% de la production d’électricité française.

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Un participant en visioconférence, demande à connaître le gain en termes de production de carbone des éoliennes en mer, et si la compensation des périodes de basse production par les centrales à gaz est inclue dans le calcul.

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Un participant évoque la commission d’enquête parlementaire sur l’éolien, qui a conclu à l’absence de béné- fice de l’éolien sur le bilan carbone national. Il estime que les 22 mégatonnes de CO2 évitées annoncées par la Ministre Barbara Pompili ont permis de décarboner seulement les mix électriques de pays européens forte- ment consommateurs d’énergie fossile.

Réponses de la maîtrise d’ouvrage

Damien LEVALLOIS, Etat, rappelle que les projets issus des appels d’offres précédents sur l’éolien en mer, et de celui en cours, sont décarbonés, dans un souci du gouvernement de répondre aux enjeux de l’adaptation au réchauffement climatique. La France a choisi un mix électrique à moitié nucléaire et à moitié renouvelable pour supprimer les hydrocarbures dans sa production électrique. La fermeture de la dernière centrale à charbon de France, située à Nantes, est conditionnée à la mise en service des parcs éoliens en mer. La production d’électricité par éolienne émet 12g de CO2 par KWh produit, toute sa durée de vie comprise (fabrication, installation, exploitation, démantèlement, recyclage).

En ce qui concerne l’utilisation des centrales thermiques à gaz, elles sont à ce jour déjà mobilisées pour renforcer les centrales nucléaires et notamment pendant les périodes d’entretien, elles fonctionnent alors qu’aucun parc éolien en mer n’est construit, la mise en service des parcs éolien via l’apport d’une nouvelle source de production devrait donc rendre encore plus résilient notre réseau électrique. Sur ce point, il ne faut pas raconter l’histoire à l’envers, les centrales thermiques étaient existantes avant les énergies renouvelables, ce n’est pas l’inverse, aujourd’hui, la France ferme ses centrales thermiques au fur et à mesure que les énergies renouvelables sont développées.

Les projets à venir tels que celui dont nous parlons ce soir doit être mis en phase avec la nécessité de réduire notre dépendance aux énergies fossiles. Notre consommation d’énergie en France est composé de 70 % d’énergie fossile. La mise ne œuvre des parcs éoliens doit donc s’accompagner d’une réduction de la consommation d’énergies fossiles par la consommation d’énergie décarbonée électrique.

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Catherine TOURAILLE, association Basse-Normandie Environnement et Sainte-Mère-Eglise Environne- ment, rapporte les propos de M. Jean-Marc JANCOVICI devant l’Assemblée nationale et le Sénat, selon qui le nucléaire coûte moins cher que l’éolien.

Réponses de la maîtrise d’ouvrage

Damien LEVALLOIS, Etat, rappelle que la Cour des Comptes a estimé le prix du nucléaire historique à 55 euros du mégawattheure, en réponse le président d’Edf l’a estimé autour de 57€. L’électricité des parcs éoliens en mer est en dessous de 60 euros du mégawattheure.

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Christiane TINCELIN, association Eolarge, souhaite des précisions sur le poste électrique en mer et en de- mande une simulation paysagère. Elle s’étonne qu’il n’y ait pas d’informations plus précises sur le positionne- ment du parc. Elle s’interroge sur le poids dans l’appel d’offres des différents critères de notation.

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Véronique LEROUX, GRAPE (Groupement d’associations de protection de l’environnement), évoque un avis récent de l’Académie des sciences qui affirme que l’éolien ne réduit pas les émissions de CO2. Elle s’in- quiète de l’utilisation et du rejet de métaux lourds dans le parc éolien, et du danger que cela représente pour l’habitat marin et les humains.

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Une participante demande l’organisation d’un référendum sur le sujet auprès des populations locales.

Réponses de la maîtrise d’ouvrage

Pierre CECATTO, RTE, indique que le poste en mer sera à environ 40 mètres au-dessus du niveau de la mer. Avec la rotondité de la Terre le poste sera peu visible depuis les côtes. A ce jour, les simulations visuelles du parc éolien sont centrées sur la nacelle des éoliennes à 150 m.

Arnaud FORGAR, Etat, ajoute que les études de visibilité sont faites depuis les sémaphores de Gatteville et de Barfleur. Ces relevés sont effectués 8 fois par jour pendant un an..

Damien LEVALLOIS, Etat, explique que la pondération des critères de l’appel d’offres n’est pas finalisée. Le coût de l’électricité produite est néanmoins le critère le plus fort. Il ajoute que tous les pays n’intègrent pas, comme en France, d’autres critères que le coût pour retenir un industriel. Concernant le rejet de métaux lourds, il indique que les anodes

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sacrificielles qui en étaient à l’origine prévues notamment sur le projet du parc éolien du Calvados ont été supprimées des projets de parcs éoliens en mer en général, grâce à la technique alternative du courant imposé.

M. PACORY, garant de la Commission nationale du débat public (CNDP), rappelle que tous les avis comptent et que la CNDP s’en porte garante. Il constate qu’une majorité du public est opposée au projet, et rappelle qu’il n’est pas question de procéder à un sondage ce soir, mais à un débat argumenté dans le cadre d’une réunion publique.

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Christelle CASTELLAIN, maire de Saint-Cyr, souhaite des précisions sur le raccordement électrique, notam- ment à L’Etang Bertrand. Elle évoque les pylônes existants qui gênent le travail des agriculteurs.

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Jean-Philippe SCHNELL, Fédération Belle Normandie Environnement, regrette que la légitimité de déve- lopper l’éolien soit fondée sur l’expression de 400 citoyens tirés au sort qui ne connaissaient rien au sujet de l’énergie. Il estime que l’éolien en mer aura un impact très négatif sur la pêche et sur le tourisme.

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Une participante s’étonne du choix de L’Etang-Bertrand pour le raccordement, alors que le nord du Cotentin consomme peu d’électricité.

Réponses de la maîtrise d’ouvrage

Pierre CECATTO, RTE, précise que l’aire d’étude du raccordement électrique en souterrain sera établie à partir de septembre 2021. A la suite de quoi RTE rencontrera les élus des communes de l’aire d’étude pour définir avec eux les meilleurs fuseaux de passage. Cette concertation menée sous l’égide du préfet de la Manche durera jusqu’en janvier et permettra au final la définition d’un tracé précis. Il n’y aura pas de pylônes, les câbles sont enterrés. La tranchée nécessaire à un raccordement de ce type mesure environ 1,50 m de large. Les tracés privilégiés sont en priorité sous les routes départementales et chemins. Le point d’atterrage entre le raccordement sous-marin et le raccordement terrestre n’est pas défini à ce jour.

Concernant le choix de L’Etang-Bertrand, il explique qu’il s’agit du poste électrique le plus proche de la côte , compte tenu de la zone retenue pour le projet de parc éolien. Il s’agit d’un poste de 400Kv, un embranchement vers le réseau de transport ( les autoroutes de l’électricité)

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Une participante s’interroge sur la possibilité de construire un deuxième parc à l’ouest de la zone des 500Km² au vu de la décision de relier le premier parc éolien au Cotentin.

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Un marin pêcheur estime que son avenir est compromis par le projet de parc éolien en mer au large de Cour- seulles-sur-mer qui va impacter le gisement de coquille saint jacques créé par les anciens.

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Une participante demande pourquoi les exploitants de granulats marins disposent d’une zone réservée, contrairement aux pêcheurs.

Réponses de la maîtrise d’ouvrage

Damien LEVALLOIS, Etat, rappelle l’urgence pour la France de diminuer sa consommation d’énergie et notamment fossile et de diversifier sa production d’électricité pour répondre aux objectifs d’adaptation au changement climatique.

Concernant la construction d’un parc à l’ouest, il précise que s’il doit avoir lieu, ce sera dans la zone des 500Km² et que le premier projet sera placé vers la côte face aux vents dominants, De ce fait le second parc serait alors encore plus éloigné de la côte que le premier. Concernant le parc de Courseulles, il rappelle qu’il fera 45 kilomètres carrés et sera autorisé à la pêche (les câbles de raccordement seront alignés pour permettre la pêche au chalut ou à la drague, les éoliennes seront espacées de 900 mètres). Une expérimentation de pêche avec 20 navires a été effectuée en positionnant les éoliennes sur les cartes des navires, le résultat est positif.

Lorsque ce parc éolien de Courseulles a été décidé entre 2007 et 2011 avec la profession pêche, la ressource en coquilles st Jacques était 10 fois moins importante. Il faut bien ramener les choses dans l’espace., le gisement coquilles

« baie de Seine » fait 2300Km², chaque année depuis 5 ans, une zone de 330 Km² minimum est fermée pour la gestion des stocks, le parc éolien ne fera que 45 km² et sera autorisé à la pêche.

Enfin, il indique que la concession d’exploitation de granulat marin a été attribuée en 2012 pour trente ans. Il n’y a pas de zone réservée pour la pêche ce qui sous entendrait en miroir qu’il y aurait des zones interdites,ce qui risquerait de contraindre significativement leur activité.

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Jean-Philippe SCHNELL, Belle Normandie environnement, rappelle qu’en 2017 un projet de parc éolien en mer au large du Touquet a été différé suite à l’opposition locale et à ses effets cumulés. Il estime qu’il n’est plus possible d’accepter d’autres parcs éoliens en Manche Est et mer du Nord. Il regrette l’abandon des surgénéra- teurs nucléaires et la prévalence des intérêts financiers sur l’intérêt supérieur de la Nation.

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Un participant demande des détails sur le procédé utilisé pour enfouir les câbles électriques dans le granit, ainsi que les impacts sur la turbidité de l’eau.

Réponses de la maîtrise d’ouvrage

Pierre CECATTO, RTE, indique qu’une trancheuse spécifique permet de creuser le granit. Lorsque les sols sont sableux, la technique du « jetting » est utilisée, laquelle consiste à injecter de l’eau à haute pression pour créer la tranchée. A noter que plus le sol est dur et moins il y a besoin d’enterrer profondément le câble. En effet, le but étant de

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permettre la pêche aux arts traînants, il faut donc seulement s’assurer que les panneaux d’un chalut ne puissent pas toucher un câble.

Damien LEVALLOIS, Etat, ajoute que l’eau en baie de Seine dispose d’un indice de turbidité qui n’est pas accentué par les travaux d’enfouissement des câbles. Il précise que plusieurs millions de tonnes de sédiments par an entrent et sortent de la baie de Seine.

1.

Conclusion

Damien LEVALLOIS, Etat rappelle que pour atteindre l’objectif à 2 degrés de réchauffement climatique, il aurait déjà fallu arrêter d’émettre du CO2. Le réchauffement de 2 degrés de la température mondiale correspond à une augmentation de la température de l’eau de mer de 1 degré, avec un impact considérable sur la ressource halieutique et qu’à ce titre, il ne sera pas simple à très long terme de mesurer ce qui sera de l’effet du parc éolien en mer ou du changement climatique

Il informe de la tenue de nouvelles rencontres publiques à la rentrée 2021 pour aborder le raccordement électrique, et ouvrir une discussion entre les scientifiques et les pêcheurs, à la demande de ces derniers.

Ao4.concertation@developpement-durable.gouv.fr www.eoliennesenmer.fr

DREAL Normandie

www.normandie.developpement-durable.gouv.fr

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