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Variations de la vitesse des ultrasons dans le propane en fonction de la température et de la pression

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00235082

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00235082

Submitted on 1 Jan 1954

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Variations de la vitesse des ultrasons dans le propane en fonction de la température et de la pression

A. Lacam

To cite this version:

A. Lacam. Variations de la vitesse des ultrasons dans le propane en fonction de la température et de la pression. J. Phys. Radium, 1954, 15 (12), pp.830-831. �10.1051/jphysrad:019540015012083002�.

�jpa-00235082�

(2)

830

sous vide ont un aspect bien plus uniforme et homo- gène que ceux obtenus jusqu’à présent sur Al, Cu

ou verre.

Ces travaux ont été exécutés sous la direction de M. Berthelot, chef du Service de Physique nucléaire.

Manuscrit reçu le 4 juillet 1954.

[1] DEVIENNE M.

2014

J. Physique Rad., 1952, 13, 53.

[2] DEVIENNE M.

2014

J. Physique Rad., 1953, 14, 257.

[3] PRUGNE P. et LÉGER P.

2014

J. Physique Rad., 1952, 13,

129 A.

[4] GARIN P., LÉGER P. et PRUGNE P.

2014

J. Physique Rad., 1954, 15, 45 A.

[5] BARREAU P., LÉGER P., MOREAU J. et PRUGNE P.

-

J. Physique Rad., 1954, 15, 4 A.

[6] HOLLAND L. et STECKELMACHER W. - Vacuum, 1952, 11, 346.

BANDES NOUVELLES DANS LE SPECTRE D’ÉMISSION

DE L’ACÉTALDÉHYDE

Par Mme RÉGNIER,

Chimie théorique, Faculté des Sciences, Nancy.

Nous avons obtenu un spectre très complexe par

décharge haute fréquence sans électrodes dans un

courant gazeux d’acétaldéhyde. Les conditions d’expé-

riences et les premiers résultats ont fait l’objet de

deux publications [1]. Ce spectre contient surtout les produits de décomposition de la molécule d’acé-

taldéhyde, mais aussi un certain nombre de bandes

qui semblent n’avoir jamais été signalées. Ces bandes

sont dégradées vers le rouge et s’étendent entre 3 750

et 5 ooo À. Les positions approximatives des prin- cipales têtes de bandes sont les suivantes : 4 728, 4 715, 4699. 4 300 (?), 4I44, 3789, 3781, 3 767

et 3 758 Â.

L’extrême complexité du spectre n’autorisant pas des recherches plus précises, nous avons abandonné la

décharge haute fréquence trop violente et donnant donc trop de produits de dissociation diatomiques,

et nous avons employé une décharge dans une cathode

creuse. Les électrodes sont inspirées d’un montage

de Schüler [2]. Par ailleurs, les conditions d’expé-

riences sont sensiblement les mêmes que dans le cas de la décharge haute fréquence, à l’exception de la pression, plus élevée que précédemment.

Des diverses observations ainsi faites, il ressort que : 1 ° Les bandes inconnues, assez intenses dans la décharge haute fréquence, n’apparaissent absolument

pas dans la cathode creuse;

2° Le spectre de CO, très développé dans la décharge

haute fréquence est peu intense dans la cathode

creuse : seules apparaissent les bandes d’Angstrôm.

Les bandes de triplets ont disparu totalement;

30 Le spectre du carbone (bandes de Swan),

absent dans la décharge sans électrodes, est intense dans le second cas;

40 Les bandes de CH sont très fortes dans la cathode creuse, alors qu’elles n’apparaissent

-

très faible- ment - dans la décharge haute fréquence que lorsque

la pression augmente un peu.

Ainsi les bandes inconnues sont apparues en même

temps que les bandes de CO et en l’absence des

bandes de C2 et de CH. On est donc en présence de

trois hypothèses possibles sur l’origine de ces bandes :

--

Elles peuvent être un nouveau système de CO

non encore signalé;

-

Elles peuvent être dues à la molécule d’acé-

taldéhyde elle-même (cette hypothèse est sans doute

la moins probable, bien que récemment un spectre

d’émission de l’acétaldéhyde lui-même ait été signalé

dans la région 3 500-4 200 À [3];

-

Elles peuvent avoir pour émetteur un grou- pement plus ou moins complexe formé à partir de carbone, hydrogène et oxygène.

C’est ce problème que nous nous efforçons de

résoudre en étudiant maintenant la structure vibra- tionnelle et surtout la structure fine des bandes inté- ressantes.

Manuscrit reçu le 22 septembre 1954.

[1] REGNIER S.

2014

C. R. Acad. Sc., 1952, 234, 930; 1953, 234, 1152.

[2] SCHULER et GOLLNOV.

2014

Z. Physik, 1935, 93, 611.

[3] WILSE ROBINSON G.

2014

J. Chem. Phys., 1954, 22, 1147.

VARIATIONS DE LA VITESSE DES ULTRASONS DANS LE PROPANE EN FONCTION DE LA TEMPÉRATURE

ET DE LA PRESSION Par A. LACAM,

Laboratoire des Hautes Pressions, Bellevue.

Utilisant le même appareillage qui nous a permis

de faire des mesures dans le méthane sous pression [1]

jusqu’à 200° C, nous avons mesuré la vitesse de propa-

gation des ultrasons dans le propane pour les tempé-

ratures de 25, 50, 96,8, 125, i5o, 175, 200 et 2250 C

et des pressions allant jusqu’à environ 1100 atm.

Le propane que nous avons utilisé nous a été fourni par la Phillips Petroleum (U. S. A.) qui le garantit spectroscopiquement pur dans l’infrarouge. Les tempé-

ratures expérimentales étaient maintenues constantes au I/2oe de degré. La température critique du gaz étant 960,8, nous avons pu opérer dans la phase liquide (isothermes 25 et 50° C), région dans laquelle

le fluide a un comportement normal : la vitesse décroît avec la température. La région ,des pressions

peu élevées, en particulier celle du point critique a été explorée et représentée sur la figure pour donner une

vue d’ensemble des phénomènes. Cette région a été

étudiée d’une façon plus systématique par J. Noury [2].

On note un bon accord entre les deux séries de résul- tats. Dans la phase gazeuse nous observons que la vitesse croît avec la température pour les faibles

pressions; quand la pression augmente il se produit

une inversion de la position relative des isothermes.

Ainsi pour des pressions supérieures à 120 atm, la vitesse décroît avec la température. Aux pressions

élevées l’ensemble des isothermes compris entre 25

et 2250 C présente l’allure d’un faisceau de paraboles

sensiblement parallèle. Les courbes isobares V = i(tD)

nous ont permis de déduire l’isotherme 750 C, qui

est représentée en traits interrompus sur la figure.

Nous n’avons décelé aucune dispersion dans le domaine

de fréquences étudiées, qui s’étend entre 3 et 4 MHz.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:019540015012083002

(3)

831 Ce résultat est à rapprocher à celui de Lambert et

Rowlinson [3] qui n’ont pas trouvé de dispersion

aux faibles pressions pour des fréquences comprises

entre o,25 et 4 MHz. La précision sur les mesures

de la vitesse est de l’ordre de i pour i oo (sauf dans

la région critique et aux pressions inférieures à 80 atm). ’

.

Manuscrit reçu le 15 octobre 1954.

[1] LACAM A.

2014

J. Physique Rad., à l’impression.

[2] NOURY J.

2014

J. Physique Rad., 1954, 15, 831.

[3] LAMBERT J. D. et ROWLINSON J. S.

2014

Proc. Roy, Soc., 1950, 204 A, 424-434.

VITESSE DES ULTRASONS DE 585 kHz

DANS LE PROPANE AU VOISINAGE DE L’ÉTAT CRITIQUE

Par J. NOURY,

Laboratoire des Hautes Pressions, Bellevue.

Poursuivant mes études concernant la détermi- nation de la vitesse des ultrasons dans les fluides autour de la région critique par la méthode de la

diffractfon de la lumière, j’ai effectué des mesures

dans C3H,,.

L’installation utilisée précédemment pour l’étude des régions critiques de CO2, N,O et C2H, [1], [2] a

été considérablement modifiée. La bombe expéri-

mentale a été placée cette fois dans un double bain de polyéthylène-glycol de dimensions notables for- tement brassé. Ceci a permis d’étendre le domaine des températures explorées.

La vitesse des ultrasons de fréquence 585 kHz a

été mesurée le long des isothermes 75, go, 96,80 C (isotherme critique); 100 et 1251) C maintenues constantes au I/Iooe de degré pour un domaine de

pression allant de 10 à 150 atm. Le propane provenait

de la Phillips Petroleum qui le garantit spectroscopi-

quement pur dans l’infrarouge.

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