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PÉTROLE : LE VRAI DOSSIER

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Academic year: 2022

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PÉTROLE :

LE VRAI DOSSIER

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GÉRARD PILÉ - ALAIN CUBERTAFOND

PÉTROLE :

LE VRAI DOSSIER

Presses de la Cité

Paris

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La loi du 11 mars 1957 n'autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l'article 41, d'une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective » et, d'autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d'exemple et d'illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite» alinéa premier de l'article 40).

Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et sui- vants du Code pénal.

© Presses de la Cité, 1975.

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DOCUMENTS

Déséquilibre pétrolier mondial 18

L'OPEP 35

Bénéfices des sociétés et versements aux pays producteurs .. 37

1970-1973 : le film des événements 49

Le film des décisions des pays producteurs concernant : les prix et le contrôle de la production 52

Le prix du brut 59

Evolution du prix du pétrole brut arabe léger 62

Le contrôle de la production 63

Les étapes de la politique charbonnière française à travers les « Plans » successifs 74 Les étapes de la politique nucléaire française à travers les « Plans » successifs 77 Importations de pétrole brut et de produits finis (oct. 73/ fév. 74) 87 Origine des pétroles bruts traités dans les raffineries fran- çaises 89

Limitations de production 90

A 3 et A 10 96

Quelques exemples de coûts d'investissements 106 Evolution des investissements de l'industrie pétrolière

française 108

Niveaux d'indépendance énergétique des principaux pays de la C.E.E. en 1973 113 Consommation de produits pétroliers dans les pays de la C.E.E. en 1973 121

Commerce extérieur français 133

Quelques exemples de pays en voie de développement 143 Réserves de change des 20 pays les plus riches du monde .. 144 Principales diversifications énergétiques des sociétés pétro- lières ... 157

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Le prix de la recherche pétrolière en mer en 1974 158 Les problèmes de l'énergie et leurs différentes phases .... 160 Réserves mondiales prouvées de :

• Combustibles fossiles 162

• Charbon 168

• Pétrole 171

• Gaz naturel 181

Répartition prospective de la consommation mondiale

d'énergie 195

Evaluation des réserves mondiales probables d'uranium naturel 205 Alimentation en uranium pour les besoins annuels d'une centrale de 1000 MW 207 Besoins et ressources en uranium enrichi de l'Europe occi- dentale 208 Bilan des consommations d'énergie en France en 1973 222 Consommation des principaux produits pétroliers par grands secteurs d'utilisation en 1973 223 Recommandations aux utilisateurs d'un chauffage individuel 224

Les pompes à chaleur 233

Conseils aux industriels produisant leur énergie thermique.. 234 Conseils aux automobilistes pour économiser du carburant 240

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UNE DATE HISTORIQUE : LE 16 OCTOBRE 1973 Le 6 octobre 1973, le déclenchement du conflit israélo- arabe a été le prologue d'une nouvelle page de l'histoire pétrolière mondiale.

Quelques jours plus tard, en effet, les pays exportateurs de pétrole prenaient des mesures d'une portée sans précé- dent concernant les prix, les quantités livrées et le contrôle de la production. L'initiative des mesures relatives aux prix revient à cer- tains membres de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole (OPEP)1, l'initiative des mesures touchant les livrai- sons et la production revient à l'Organisation des Pays

A r a b e s E x p o r t a t e u r s d e P é t r o l e ( O P A E P ) .

Comme la plupart des membres de la deuxième organi- sation font aussi partie de la première, la distinction entre les deux séries de mesures, assurément commode pour un exposé détaillé, ne doit pas dissimuler l'existence d'une stra- tégie d'ensemble.

Le 16 octobre 1973, les six Etats producteurs du golfe Persique réunis à Koweit décidaient de majorer immédia- tement leurs prix affichés 3 de 70 %. Cette hausse, exception- nelle par son montant, ne l'était pas moins dans son prin- cipe; désormais il n'était plus question pour les pays pro- ducteurs de négocier les prix avec les sociétés pétrolières,

1. Venezuela, Irak, Arabie Séoudite, Iran, Koweit, Qatar, Libye, Indonésie, Union des Emirats arabes, Algérie, Nigeria, Equateur, Gabon, (voir aussi page 35)

2. L'OPAEP regroupe onze pays : Arabie Séoudite, Libye, Koweit, Algérie, Union des Emirats arabes, Bahrein, Dubai, Qatar, Irak, Syrie et Egypte. Trois d'entre eux (Egypte, Syrie et Bahrein) font partie de l'OPAEP et non de l'OPEP.

3. Pour l'explication du prix affiché, voir page 59.

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mais de les fixer unilatéralement. Cette décision lourde de conséquences était prise en violation flagrante d'accords librement signés par les Etats producteurs.

A peine ces hausses de prix étaient-elles décidées que les pays membres de l'OPAEP, réunis le lendemain, 17 octo- bre 1973, à Koweit, recouraient à « l'arme du pétrole » : 1. en décidant de réduire de 5 % au minimum chaque mois leurs exportations de pétrole « jusqu'à ce qu'Israël se soit complètement retiré des territoires arabes occupés en 1967 et que le peuple palestinien soit rétabli dans ses droits » ;

2. quelques jours plus tard, en suspendant totalement leurs exportations à destination des Etats-Unis. Au cours des semaines suivantes, les restrictions d'exportations étaient aggravées et l'embargo élargi à d'autres pays.

Il s'ensuivait vers la fin de l'année 1973 une surenchère sur les prix offerts par les acheteurs pour les tonnages de pétrole mis en vente par les pays producteurs.

Bien que ces prix aient correspondu à des offres limitées, pour des tonnages réduits, dans une atmosphère artificielle de pénurie, les pays producteurs du Golfe, réunis à Téhéran le 23 décembre, en prenaient prétexte pour décider une nou- velle hausse de 130 % des prix affichés du pétrole au 1 jan- vier 1974.

Comparé au prix en vigueur au 1 octobre 1973 et compte tenu des parités du dollar à ces deux dates, le prix « affi- ché » de la tonne de brut arabe léger, qualité généralement prise comme référence des pétroles du Golfe, passait ainsi en trois mois de 94,50 F à 409 F, ce qui représentait plus qu'un quadruplement.

Dans un monde où le pétrole constitue une matière pre- mière indispensable à l'économie, les pays producteurs se sont rendus maîtres de l'un des deux leviers de commande du marché pétrolier : les PRIX. Ils ont entrepris de s'assu- rer le contrôle du second de ces leviers : les QUANTITES DISPONIBLES, soit en prenant des participations au sein des compagnies concessionnaires, soit en nationalisant la pro- duction, soit encore en fixant les niveaux de production.

Les pays producteurs ont parfaitement compris que le niveau des prix ne pouvait être maintenu si la production mise sur le marché dépassait la demande. Ils ont donc limité

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l'offre du pétrole et se sont appropriés la rente correspon- dante. Ainsi, les pays consommateurs ne bénéficieront-ils pas nécessairement de la détente sur les prix que devrait nor- malement entraîner la réduction des consommations résul- tant de la hausse des prix et des mesures d'économies volon- taires ou autoritaires qu'ils ont dû s'imposer.

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INTRODUCTION

Jusqu'au milieu des années 1950, comparativement au charbon qui était de très loin la source principale d'énergie des économies des pays industrialisés, le pétrole n'occupait qu'une place limitée et semblait un bien plutôt rare, vital seulement dans les transports et la stratégie militaire. La dernière guerre mondiale avait d'ailleurs pratiquement inter- rompu les prospections en cours.

Les grandes découvertes du Moyen-Orient et leurs pro- longements en Afrique ont bouleversé ces données simples et permis la restructuration sur de nouvelles bases des éco- nomies des pays d'Europe et du Japon.

En moins de vingt ans le pétrole, « minerai » incompa- rable de carbone et d'hydrogène, devenu abondant, facile et peu coûteux à extraire (sinon à trouver), ayant l'avantage, vis-à-vis du charbon, d'un pouvoir calorifique plus élevé, d'une facilité et d'une souplesse d'emploi supérieures, se substituait à ce dernier comme fournisseur principal d'éner- gie, tout en donnant naissance à une industrie chimique rénovée.

Source de bien-être et de confort, le pétrole prenait alors une place prééminente dans notre civilisation industrielle et dans notre vie quotidienne.

Brutalement, à l'automne 1973, à la suite d'une nouvelle flambée d'hostilités au Moyen-Orient, l'opinion publique — qui, jusqu'alors, n'avait pas été mobilisée par les propos, inquiétants seulement pour le long terme, de certains spécia- listes — apprenait avec stupeur que l'on était passé de l'abon- dance à une quasi-pénurie.

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Après la phase aiguë de la crise, les prix du pétrole brut, en hausse vertigineuse, se trouvaient multipliés par quatre avec des conséquences en chaîne : accélération de l'inflation, croissance compromise, aggravation des désordres moné- taires, bouleversement des balances commerciales, crainte persistante de pénurie pour causes politiques ou écono- miques.

Comment un tel dérapage avait-il pu se produire sur une route en apparence bien tracée ?

L'opinion publique, inquiète et non préparée à ce qui arrivait, était portée à une mauvaise humeur, au demeurant bien compréhensible. Fallait-il s'en prendre aux pays pro- ducteurs ? Ils semblaient bien inaccessibles, forts de leurs droits souverains et peu disposés à se justifier.

Comment dans ces conditions ne pas rechercher d'autres responsables et ne pas s'en prendre aux grandes compagnies pétrolières qui avaient pourtant été les agents déterminants de ce prodigieux développement. Comme elles avaient de surcroît réalisé des ensembles efficaces et prospères, il était facile de les présenter comme poursuivant des buts propres en dehors des Etats, recourant à des pratiques anti-concur- rentielles pour réaliser des super-bénéfices.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que les « mass média » ont pris à leur compte cette manière de voir les choses, témoignant trop souvent d'une méconnaissance du marché de l'énergie en général et du marché pétrolier en particulier.

La profession pétrolière en a tiré la conclusion qu'elle n'avait pas, dans le passé, prêté une attention suffisante à l'information du public, accaparée comme elle l'était par les difficultés croissantes rencontrées dans l'accomplissement de ses tâches.

L'objet de ce livre est de combler cette lacune et de répondre de façon aussi précise que possible aux questions posées devant l'opinion, qu'elles concernent le problème de l'approvisionnement énergétique, le comportement de l'in- dustrie pétrolière dans le passé et au cours de ces derniers mois ou l'incidence des récents événements sur l'avenir de l'économie.

Pour y répondre il est nécessaire d'étudier d'abord com- ment s'est effectué au plan mondial pour les pays impor-

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tateurs de pétrole le passage d'un approvisionnement abon- dant et bon marché à un approvisionnement limité à prix très élevés, autrement dit le passage

DE L'ABONDANCE AUX RESTRICTIONS.

Tel sera l'objet de la première partie. On montrera notam- ment que la crise des approvisionnements pétroliers, déclen- chée à l'occasion de la recrudescence d'un vieil antagonisme politico-religieux par les pays arabes producteurs de pétrole, n'a fait que précipiter brutalement sur le plan politique une évolution déjà ancienne de leurs relations économiques avec les pays consommateurs, à la suite de la substitution d'un marché de « vendeurs » à un marché traditionnel- lement d'« acheteurs ».

La deuxième partie sera consacrée à l'attitude des SOCIETES PETROLIERES FACE A LA CRISE.

Placées en première ligne dans une situation difficile, ces sociétés ont réussi, grâce à leurs moyens et à leurs organisations logistiques, à limiter au maximum les pertur- bations apportées à l'approvisionnement du marché, en sorte que l'hiver 1973-1974, par ailleurs clément, s'est passé dans des conditions satisfaisantes.

On s'interrogera dans la troisième partie sur la situation nouvelle où se trouvent placés les pays consommateurs de pétrole, et plus particulièrement la France. Ces pays entrent dans une période de transition où il faudra à la fois

ECONOMISER L'ENERGIE ET PROMOUVOIR UNE NOUVELLE POLITIQUE ENERGETIQUE.

Des solutions devront être imaginées pour rétablir les équilibres de prix et de balance des paiements, en économi- sant l'énergie, mais aussi en posant les bases d'une nouvelle économie de l'énergie.

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PREMIERE PARTIE

DE L'ABONDANCE AUX RESTRICTIONS

« Vents qui soufflez, d'où venez-vous ? » (Victor HUGO.)

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DESEQUILIBRE PETROLIER MONDIAL (en pourcentages)

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CHAPITRE PREMIER LA SCÈNE ET LES ACTEURS

L'approvisionnement en énergie, dont l'abondance et le prix relativement bas ont été la base du développement industriel de nombreux pays, est encore actuellement pour 95 % d'origine fossile : charbon, pétrole ou gaz naturel, dont les gisements sont très inégalement répartis à la sur- face du globe, au hasard de la géologie.

Pour une part prépondérante, ces ressources — le pétrole en particulier — sont concentrées dans des pays qui n'en ont pas l'utilisation immédiate sur place. C'est pourquoi de vastes échanges se sont développés entre pays consomma- teurs et pays producteurs.

Que des entraves d'ordre physique, politique ou écono- mique soient apportées à ces échanges, il en résulte une tension dangereuse pour les pays consommateurs menacés d'asphyxie économique, avec, de proche en proche, toutes les graves conséquences que l'on peut imaginer, notamment sur les équilibres commerciaux et monétaires.

Un troisième groupe d'acteurs joue un rôle de premier plan sur la scène énergétique mondiale : les sociétés pétro- lières. Elles sont traditionnellement à la fois intermédiaires entre pays producteurs et consommateurs et opérateurs dans chacune des phases de l'industrie : l'exploration, c'est- à-dire la recherche des gisements, la production, les trans- ports, le raffinage, la pétrochimie et la distribution.

On ne saurait trop souligner le rôle qu'elles ont joué pour réaliser à l'échelle mondiale l'équilibre entre les res- sources, provenant de multiples exploitations situées dans des pays très divers, et les besoins des consommateurs, soit

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directement, soit par l'intermédiaire d'importateurs, de gros- sistes, de revendeurs et de détaillants.

Avant d'entrer dans le détail des faits, on doit présenter brièvement les parties en présence.

PAYS CONSOMMATEURS

Parmi les grandes puissances économiques, les Etats- Unis et le Canada, l'U.R.S.S. et, demain, la Chine dispo- sent sur leur propre territoire de ressources énergétiques suffisantes pour satisfaire normalement leurs besoins.

En fait, actuellement, seule l'U.R.S.S. bénéficie d'une totale indépendance énergétique. Ceci n'exclut d'ailleurs pas des importations largement compensées par les exportations à destination de l'Europe.

Les Etats-Unis, premier producteur mondial d'énergie, malgré l'importance des réserves de charbon, pétrole et gaz naturel, ont dû faire appel de plus en plus à des impor- tations de pétrole qui représentent 17 % environ de leurs besoins en énergie.

Cependant, ce niveau de dépendance extérieure est sans commune mesure avec celui de l'Europe et du Japon dont la production pétrolière est insignifiante et qui doivent cou- vrir par du pétrole importé respectivement plus de 60 % et 75 % de leurs besoins en énergie.

L'Europe « énergétique » d'aujourd'hui et de demain apparaît cependant peu homogène en raison d'une large diversité de situations selon les pays.

La Norvège, grâce aux gisements de la mer du Nord, peut espérer non seulement répondre à ses propres besoins tant en pétrole qu'en gaz naturel, mais prendre rang un jour prochain parmi les pays exportateurs.

En 1980, la Grande-Bretagne espère couvrir au moins les trois quarts de sa consommation d'énergie grâce au charbon, au pétrole et au gaz naturel de la mer du Nord ! les Pays- Bas 60 % avec le gaz naturel du gisement de Groningue ; l'Allemagne 40 % environ grâce à ses ressources en charbon et en lignite. En revanche pour la France, la Belgique, l'Italie et l'Espagne il n'y a guère d'espoir que le taux de couverture 1. Déjà très riche en gisements de charbon, la Chine développe sa production pétrolière qui serait passée, entre 1972 et 1974, de 25 à 65 millions de tonnes par an.

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Comprendre la crise

Les auteurs de Pétrole: le vrai dossier sont bien placés pour dissocier mythes et réalités.

Que dissimulent les événements que nous avons traversés, qui mettent en jeu notre approvisionnement énergétique et à rude épreuve les entreprises pétro- lières?

Quelles issues peuvent s'offrir aux pays importateurs d'énergie, qu'ils soient industrialisés ou en voie de développement?

Voici des pages qui abordent en profondeur les problèmes posés à l'industrie pétrolière à un moment où elle doit surmonter des obstacles redoutables.

Source de réflexion, riche de références, Pétrole:

le vrai dossier apparaît comme un témoignage essentiel et peut, à ce titre, être considéré comme le livre blanc de l'industrie pétrolière française.

Gérard PILÉ, 55 ans, polytechnicien, économiste et statisticien, commence sa carrière à l'I.N.S.E.E., passe à l'industrie automobile, puis au pétrole où il dirige les études de l'Union des chambres syndi- cales de l'industrie du pétrole (U.C.S.I.P.).

Alain CUBERTAFOND, 31 ans, diplômé de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris, licencié en droit, après avoir été chargé d'études à la Société française des pétroles BP, devient adjoint au directeur des relations extérieures de l'U.C.S.I.P.

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