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Dynamique du point matériel

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

MSPI2 Janson de Sailly

Dynamique du point matériel

Chap 20

Table des matières

1 Lois de Newton 1

1.1 Principe d’inertie ou première loi de Newton . . . 1

1.2 Principe fondamental de la dynamique ou seconde loi de Newton . . . 2

1.3 Loi des actions réciproques ou troisième loi de Newton. . . 3

2 Forces usuelles en mécanique 3 2.1 Force gravitationnelle . . . 3

2.1.1 Définition . . . 3

2.1.2 Lien avec le poids . . . 3

2.2 Force électromagnétique . . . 3

2.2.1 Force électrique . . . 3

2.2.2 Force magnétique . . . 4

2.3 Forces de rappel d’un ressort. . . 4

2.4 Tension d’un fil . . . 5

2.5 Force de contact solide-solide . . . 6

2.6 Poussée d’Archimède . . . 7

2.7 Force de frottements fluides . . . 8

1 Lois de Newton

1.1 Principe d’inertie ou première loi de Newton

Il existe des référentiels privilégies appelés référentiels galiléens dans lesquels un point matériel M isolé, c.à.d.

soumis à aucune action mécanique, est soit au repos, soit animé d’un mouvement rectiligne uniforme. Il s’agit de la première loi de Newton aussi nommé principe d’inertie. Un point non isolé mais soumis à plusieurs actions qui se compensent est dit pseudo-isolé et respecte le principe d’inertie. Par conséquent, un référentiel est galiléen si le principe d’inertie s’y applique. En pratique, cette définition est inutile car invérifiable... En pratique, on dispose souvent d’un référentiel de référence que l’on considère galiléen et on cherche à savoir si un autre référentiel l’est également. Pour cela, il suffit de montrer que ce référentiel est en translation rectiligne uniforme par rapport au référentiel galiléen de référence. Ainsi :

Un référentiel est galiléen s’il est en translation rectiligne uniforme par rapport à un autre référentiel galiléen.

Il ne faut pas confondre translation rectiligne et translation circulaire. Pour bien les différencier, envisageons un référentielRd’origine O muni d’un repère d’espace et un référentielR0 d’origine O0 muni d’un référentiel d’espace.

– translation rectiligne deR0par rapport àR: les axes deR0restent parallèles à ceux deRet la trajectoire de O0 dansRest une droite ;

– translation circulaire deR0 par rapport àR0 : Les axes deR0restent parallèles à ceux deRet la trajectoire de O0dansRest un cercle.

Pour fixer les idées, on donne deux exemples : la cabine d’une grande roue (à gauche) est en translation circulaire par rapport au sol alors que la voiture (à droite) est en translation rectiligne.

x0 y0

O’

x0 y0

O’

x y O

Translation circulaire

O x

y

x0 y0 O0

Translation rectiligne

(2)

Un référentiel rigoureusement galiléen n’existe pas (par définition) mais on peut souvent considérer certains réfé- rentiels comme approximativement galiléens.

On rencontre souvent les référentiel suivants :

– Référentiel héliocentriqueRS : l’origine est le centre S du Soleil et les trois axes pointent vers des étoiles loin- taines supposé fixes. On le suppose galiléen.

– Référentiel géocentrique RG : l’origine est le centre T de la Terre et ses trois axes sont les même que ceux du référentiel héliocentrique. Il est en translation elliptique (souvent considérée circulaire) par rapport au référentiel héliocentriqueRS. Le mouvement de T dansRS est plan et ce plan se nomme plan de l’écliptique.

Ce référentiel n’est pas galiléen mais on peut le considérer approximativement galiléen pour une expérience de durée très inférieure à l’année.

– Référentiel terrestreRT: l’origine est le centre T de la Terre et ses trois axes sont fixes par rapport à la Terre.

RTest en rotation par rapport au référentiel géocentriqueRGL’axe de rotation est incliné de 23° (par rapport à la normale au plan de l’écliptique)1. Ce référentiel n’est pas galiléen mais on peut le considérer approxima- tivement galiléen pour une expérience de durée très courte par rapport au jour.

S• RS

A• •P

T• RG Axe de rotation deRT

Plan de l’écliptique Rem : le point A correspond à l’aphélie : c’est l’hiver dans l’hémisphère nord et l’été dans l’hémisphère sud. Le point P correspond au périhélie : c’est l’hiver dans l’hémisphère sud et l’été dans l’hémisphère nord. Contrairement à une idée reçue, l’hiver (dans l’hémisphère nord) a lieu quand le Soleil est au plus proche de la Terre.

1.2 Principe fondamental de la dynamique ou seconde loi de Newton

On considère un point matériel M de masse m dans un référentiel galiléen R. Le Principe Fondamental de la Dyna- mique (PFD) ou aussi nommée seconde loi de Newton s’écrit :

d#«p dt =#«

Fext

#«Fextest la somme des forces extérieures appliquées sur M et #«p est la quantité de mouvement de M. En mécanique classique :

#«p = m#«v Si la masse m est constante2:

md#«v

dt = m#«a =#«

Fext Si #«

Fext= #«

0 alors #«a =#«

0 et donc #«v =cte. Le mouvement est donc rectiligne uniforme. On retrouve ainsi le principe# « d’inertie.

En mécanique relativiste, la relation d#«p dt =#«

Fextreste valable mais #«p ,m#«v . En mécanique relativiste : #«p =γm#«v où γest le facteur de Lorentz :

γ= 1 r

1 –v2 c2

1. Très souvent, on ne tient pas compte de l’inclinaison de 23°. Cette axe incliné précesse (comme une toupie) avec une période de 26 000 ans.

2. Sauf indication contraire, on considère la masse constante.

(3)

1.3 Loi des actions réciproques ou troisième loi de Newton

On considère deux points M1et M2en interaction. La troisième loi de Newton est la suivante :

#«F12= –#«F21 et #«F12∧M# «1M2=#«0

• M1

• M2

#«F21

F12

2 Forces usuelles en mécanique

2.1 Force gravitationnelle

2.1.1 Définition

On considère deux particules matérielles M1et M2de masse m1et m2:

• M1 (m1)

• M2 (m2) r

e#«r

• M1

• M2

#«F21

F12

L’interaction gravitationnelle entre M1et M2s’écrit :

#«F12= –#«

F21= –Gm1m2 r2

#«er= –G m1m2 k# «

M1M2k3

# « M1M2

G est la constante de gravitation universelle : G = 6,67.10–11m3.kg–1.s–2. 2.1.2 Lien avec le poids

Nous allons admettre que, par symétrie sphérique, pour un point M non situé à l’intérieur de la Terre, cette dernière est équivalente (en terme d’interaction gra- vitationnelle) à une masse MT ≈6.1024kg placée en son centre T. Ainsi, si on considère un point M de masse m à la surface de la Terre (rayonRT≈6400 km), la force d’attraction gravitationnelle exercée par la Terre sur la masse m est :

#«F = –GMTm R2

T

#«er #«er=

# « TM k# « TMk

T•

• M

#«F

On peut écrire :

#«F = –GMTm R2

T

#«er= m#«g

où#«g est l’accélération de la pesanteur. Sa norme est : k#«gk= g = GMT

R2

T

≈9,81 m.s–2 Ce raisonnement n’est pas valable pour un point M à l’intérieur de la Terre.

2.2 Force électromagnétique

2.2.1 Force électrique

On considère une charge q1placée en M1sur une charge q2placée en M2.

#«F12= –#«

F21= q1q2 4πr2

#«er =r0

• M1 (q1)

• M2 (q2) r

#«er

(4)

0est la permittivité du vide :0≈8,85.10–12F.m–1.(en F.m–1) est la permittivité du milieu dans lequel évolue les charges. Le facteur (sans unité ni dimension)rest nommé permittivité relative et dépend du milieu. On peut retenir les valeurs suivantes :r(vide) = 1,r(air)≈1,r(eau)≈80.

On peut détailler le sens de la force :

• M1

• M2

#«F21

F12

q1et q2de signes opposés

• M1

• M2

#«F21

F12

q1et q2de mêmes signes On peut réécrire la force différemment :

#«F12= q2 q1 4πr2

#«er

| {z }

E1(M2)

= q2

E1(M2)

#«E1(M2) est le champ électrique créé par la particule 1 en M2. Le champ électrique s’exprime généralement en V.m–1. De manière plus générale, s’il existe un champ électrique extérieur #«

E , la force exercée par le champ sur une charge q placée en M est :

#«F = q#«

E

#«E

• M (q > 0)

#«F #«

• E M (q < 0)

#«F

Le champ#«

E n’est pas le champ crée par la charge q.

2.2.2 Force magnétique

La force magnétique exercée par un champ magnétique extérieur #«

B (crée par d’autres charges en mouvement) sur une charge q placée en M et se déplaçant à la vitesse#«v est :

#«F = q#«v∧#«

B Le champ magnétique s’exprime en Teslas (T).

2.3 Forces de rappel d’un ressort

Si on considère une masse M accrochée à un ressort, la force exercée par le ressort sur M est (loi de Hooke) :

#«F =±k (`–`0)#«ex

O•

x M

`

• k est la constante de raideur du ressort (en N.m–1)

• `la longueur du ressort (en m)

• `0a longueur à vide du ressort (en m). Il s’agit de la longueur du ressort si aucune masse n’y est attachée c.à.d.

lorsque #«

F =#«

0 .

• #«exest un vecteur unitaire colinéaire à l’axe du ressort.

Pour choisir le signe, il faut toujours s’adapter à la situation d’étude. Par exemple, sur le schéma, on choisit le signe

"–" car si`>`0, la force de rappel est dirigée selon –#«ex. Rem :`–`0est nommé élongation.

(5)

Exemple : on considère un ressort accroché au plafond. On attache une masse m à l’autre bout.

O•

M z

z

#«g

`= –z

On applique le PFD à la masse m dans le référentiel terrestre supposé galiléen :

m#«a = m¨z#«ez= m#«g + k (`–`0)#«ez= –mg#«ez+ k (`–`0)#«ez= mg#«ez+ k (–z –`0)#«ez ce qui donne donc

¨z + k mz = –k

m

`0+mg k

On reconnait un oscillateur harmonique de pulsation propreω0= rk

m. On pose`eq=`0+mg

k et on obtient : z(t) = A cos(ω0t) + B sin(ω0t) –`eq

On remarque que la longueur à l’équilibre`eqest plus grande que`0, ce qui est logique car il faut compter le poids de la masse !

2.4 Tension d’un fil

La tension#«

T (M,t) d’un fil est la force exercée en M à l’instant t par la partie située à gauche de M sur la partie située à droite (ou l’inverse).

gauche droite

M•

#«T (M,t)

On admet que pour un fil inextensible, sans masse et sans frottement (sauf indication contraire, le fil sera toujours considéré inextensible, sans masse et sans frottements), la norme de la tension ne dépend pas de M. Autrement dit la norme T de la tension d’un fil inextensible, sans masse et sans frottement est uniforme le long du fil :

k#«

T (M,t) k

Exemple 1 : on considère deux masse reliées par un fil parfait et une poulie. La force exercée par le fil sur m1 est #«

T1. La force exercée par le fil sur m2est #«

T2. On constate que #«

T1, #«

T2(les vecteurs sont orthogonaux !). En revanche T1=k#«

T1k= T2=k#«

T2k.

m1

m2

#«T2

#«T1

Exemple 2 : on considère un masse m au bout d’un fil de longueur `attachée au plafond (pendule simple). On suppose que le fil reste toujours tendu. On applique le PFD à la masse m dans le référentiel terrestre supposé galiléen :

m#«a =#«

T +#«

P = Tr#«er+ mg (cosθ#«er– sinθ#«eθ) où#«

P est le poids de m et #«

T la force exercée par le fil sur m. On se place en coordonnées polaires :

# «

OM =`#«er=⇒#«a = –`θ˙2#«er+`θ¨#«eθ

(6)

Par conséquent, le PFD selon#«eθdonne :

θ¨+g

`sinθ= 0

ce qui dans le cadre des "petits" angles donne une équation d’oscillateur harmonique θ¨+g

`θ= 0 O

y

`

x θ

M #«er

#«eθ

#«T

#«P

2.5 Force de contact solide-solide

On considère une masse en contact avec un support, la réaction du support #«

R est la force exercée par le support sur la masse. On la décompose ainsi :

#«R =#«

N +#«

T

• #«

N est la réaction normale

• #«

T est réaction tangentielle

#«T

N#«

#«R

Si on néglige les frottements avec le sol : #«

T = #«

0 . La masse quitte le sol lorsque #«

R =#«

0 . Il s’agit de la condition de décollage.

• Première loi de Coulomb sur le frottement solide : la masse ne glisse pas sur le support tant que T < fsN

• Seconde loi de Coulomb sur le frottement solide : si la masse glisse alors T = fdN

fs > 0 est le coefficient de frottement statique et fd> 0 le coefficient de frottement dynamique. Ils dépendent des matériaux utilisés pour la masse M, du sol et de l’état du sol (sec, mouillé, graissé....). Dans la majorité des cas :

fs>fd

Si les deux coefficients sont "proches" (fs≈fd), on considère souvent, pour simplifier, que fs= fd et sera donc noté simplement f.

Application : on considère un système en équilibre sur un plan incliné. A l’équilibre (dans le référentiel lié au sol galiléen) :

#«0 =#«

N +#«

T +#«

P = Ny#«ey+ Tx#«ex+ mg

sinα#«ex– cosα#«ey





0 = Ny– mg cosα 0 = Tx+ mg sinα

(7)

L’équilibre dure tant que T < fsN =⇒–Tx< fsNyet donc :

mg sinα< mg cosα=⇒tanα< fs=⇒α<αlim= arctan(fs)

Si l’angleαdépasse sa valeur limiteαlim, la masse se met à glisser. Cette expérience simple permet, en mesurant l’angleαlimde mesurer fs.

x y

α N#«

#«T

#«P

×

2.6 Poussée d’Archimède

Le principe d’Archimède est le suivant :

Tout corps plongé dans un ou plusieurs fluides au repos subi de la part du ou des fluides une force dirigée dans le sens opposé au poids et égale en norme au poids du volume de fluides déplacés Application : détermination du volume immergé d’un iceberg3

Figure1 – Photographie de Ralph A. Clevenger L’iceberg est à l’équilibre (dans un référentiel lié à la surface de l’eau supposé galiléen) :

#«0 =#«πeau+#«πair+#«

P

On note V le volume total de l’iceberg et Vimle volume immergé et on projette selon un axe ascendant : 0 =ρeauVimg +ρair(V – Vim) g –ρglaceVg =⇒0 = V

ρair–ρglace

+ Vimeau–ρair) Commeρairρglaceetρeau, on a :

0≈–Vρglace+ Vimρeau=⇒ Vim

V =ρglace ρeau =0,9

1 = 90 % 90 % du volume de l’iceberg se trouve donc sous l’eau !

3. Il s’agit en réalité d’un photomontage. Le haut est un iceberg photographié en Antarctique, le bas un iceberg photographié en Alaska et le ciel est photographié en Californie. En effet, une telle photo est impossible, parce que dans le cadre d’une prise de vue authentique, la densité de l’eau nuit à la visibilité et empêche de voir à une telle distance le bloc de glace plongé dans l’océan .Cependant, les proportions de la photo sont correctes.

(8)

2.7 Force de frottements fluides

On considère un objet en mouvement à la vitesse#«v dans un fluide au repos. La force exercée par le fluide sur l’objet est :

#«F =#«

FP+#«

FT – #«

FPest la force de portance. Elle est orthogonale à #«v ; – #«

FTest la force de trainée. Elle est colinéaire à #«v . Cette année, nous considérerons que la portance est nulle :

#«FP=#«

0 On retient souvent deux grands modèles pour#«

FT:

• modèle "faibles vitesses" :

#«FT= –λ#«v λ= cte > 0

• modèle "fortes vitesses" :

#«FT= –λ0v#«v λ0= cte > 0 λetλ0 sont des constantes positives mais dépendantes de l’objet et du fluide.

Rem : la notion de "faibles" ou "fortes" vitesses est floue4mais assez intuitive si on raisonne sur un exemple précis.

Pour une voiture, par exemple, 10 km.h–1est une faible vitesse alors que 200 km.h–1est une forte vitesse.

Rem : si le fluide est en mouvement, il faut prendre en compte la vitesse de l’objet par rapport au fluide, c.à.d.#«v –#«vf où#«vfest la vitesse du fluide.

Application : vitesse limite atteinte par une bille de rayon R lors d’une chute dans un fluide.

On applique le PFD à la bille dans le référentiel terrestre (supposé galiléen) : md#«v

dt =#«

P +#«π+#«

FT – Le poids#«

P s’écrit #«

P = m#«g =4π

3 R3ρ#«g oùρest la masse volumique de la bille.

– La poussée d’Archimède #«π s’écrit #«π= –4π

3 R3ρf#«g oùρfest la masse volumique du fluide.

– La force de trainée #«

FTs’écrit #«

FT= –6πηR#«v oùηest la viscosité du fluide (en Pa.s).

On peut donc réécrire le PFD :

d#«v dt +

#«v m 6πηR

=

1 –ρf ρ

#«g

On pose :

τ= m 6πηR

#«v`=τ

1 –ρf ρ

#«g On a donc :

d#«v dt +

#«v τ =

#«v`

τ =⇒#«v =#«

Ae–t/τ+#«v` En posant #«v (0) = #«

0 , on a #«

A = –#«v`ce qui donne :

#«v =#«v`

1 – e–t/τ

En régime permanent, c.à.d. tτ:#«v =#«v`. La mesure de#«v`permet notamment de mesurer la viscosité du fluide.

4. Bien entendu, il est possible de donner un critère beaucoup plus précis (à l’aide du nombre de Reynolds) mais cela dépasse le cadre du programme de MPSI.

Références

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