• Aucun résultat trouvé

CIP LaurentPoinsot Adjonctiond’unité,aspectcatégorique

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "CIP LaurentPoinsot Adjonctiond’unité,aspectcatégorique"

Copied!
172
0
0

Texte intégral

(1)

Adjonction d’unité, aspect catégorique

Laurent Poinsot

LIPN UMR 7030 - Université Paris 13 - Institut Galilée

CIP

(2)

Sommaire de la présentation

1 Introduction

2 Coproduit catégorique

3 Catégories monoïdales

4 Semi-groupes et monoïdes internes

5 Adjonction de l’unité

(3)

Sommaire de la présentation

1 Introduction

2 Coproduit catégorique

3 Catégories monoïdales

4 Semi-groupes et monoïdes internes

5 Adjonction de l’unité

(4)

Sommaire de la présentation

1 Introduction

2 Coproduit catégorique

3 Catégories monoïdales

4 Semi-groupes et monoïdes internes

5 Adjonction de l’unité

(5)

Sommaire de la présentation

1 Introduction

2 Coproduit catégorique

3 Catégories monoïdales

4 Semi-groupes et monoïdes internes

5 Adjonction de l’unité

(6)

Sommaire de la présentation

1 Introduction

2 Coproduit catégorique

3 Catégories monoïdales

4 Semi-groupes et monoïdes internes

5 Adjonction de l’unité

(7)

1 SoitSun semigroupe, 16∈S,alorsSt {1}devient un monoïde de façon évidente ;

2 SoitRun pseudo-anneau (i.e.un anneau sans nécessairement d’unité ; on dira simplement « anneau »), alorsZ×Ravec la multiplication

(m,x)(n,y) = (mn,xy+nx+my)est un anneau unitaire avec(1,0)comme unité ;

3 Plus généralement, soitRun anneau unitaire commutatif, etAuneR-algèbre (sans nécessairement d’unité). AlorsR×Adevient uneR-algèbre unitaire avec (1,0)comme unité ;

4 SoitBune algèbre de Banach complexe, sans nécessairement d’unité, alors C×Best une algèbre de Banach unitaire (aveck(z,x)k=|z|+kxk) ;

5 SoitAuneC-algèbre...

6 SoitSune semi-catégorie (i.e.une catégorie sans nécessairement les flêches identiques). On peut lui adjoindre des identités pour chaque objet afin qu’elle devienne une catégorie.

(8)

1 SoitSun semigroupe,16∈S, alorsSt {1}devient un monoïde de façon évidente ;

2 SoitRun pseudo-anneau (i.e.un anneau sans nécessairement d’unité ; on dira simplement « anneau »), alorsZ×Ravec la multiplication

(m,x)(n,y) = (mn,xy+nx+my)est un anneau unitaire avec(1,0)comme unité ;

3 Plus généralement, soitRun anneau unitaire commutatif, etAuneR-algèbre (sans nécessairement d’unité). AlorsR×Adevient uneR-algèbre unitaire avec (1,0)comme unité ;

4 SoitBune algèbre de Banach complexe, sans nécessairement d’unité, alors C×Best une algèbre de Banach unitaire (aveck(z,x)k=|z|+kxk) ;

5 SoitAuneC-algèbre...

6 SoitSune semi-catégorie (i.e.une catégorie sans nécessairement les flêches identiques). On peut lui adjoindre des identités pour chaque objet afin qu’elle devienne une catégorie.

(9)

1 SoitSun semigroupe, 16∈S,alorsSt {1}devient un monoïde de façon évidente ;

2 SoitRun pseudo-anneau (i.e.un anneau sans nécessairement d’unité ; on dira simplement « anneau »),alorsZ×Ravec la multiplication

(m,x)(n,y) = (mn,xy+nx+my)est un anneau unitaire avec(1,0)comme unité ;

3 Plus généralement, soitRun anneau unitaire commutatif, etAuneR-algèbre (sans nécessairement d’unité). AlorsR×Adevient uneR-algèbre unitaire avec (1,0)comme unité ;

4 SoitBune algèbre de Banach complexe, sans nécessairement d’unité, alors C×Best une algèbre de Banach unitaire (aveck(z,x)k=|z|+kxk) ;

5 SoitAuneC-algèbre...

6 SoitSune semi-catégorie (i.e.une catégorie sans nécessairement les flêches identiques). On peut lui adjoindre des identités pour chaque objet afin qu’elle devienne une catégorie.

(10)

1 SoitSun semigroupe, 16∈S, alorsSt {1}devient un monoïde de façon évidente ;

2 SoitRun pseudo-anneau (i.e.un anneau sans nécessairement d’unité ; on dira simplement « anneau »), alorsZ×Ravec la multiplication

(m,x)(n,y) = (mn,xy+nx+my)est un anneau unitaire avec(1,0)comme unité ;

3 Plus généralement, soitRun anneau unitaire commutatif, etAuneR-algèbre (sans nécessairement d’unité). AlorsR×Adevient uneR-algèbre unitaire avec (1,0)comme unité ;

4 SoitBune algèbre de Banach complexe, sans nécessairement d’unité, alors C×Best une algèbre de Banach unitaire (aveck(z,x)k=|z|+kxk) ;

5 SoitAuneC-algèbre...

6 SoitSune semi-catégorie (i.e.une catégorie sans nécessairement les flêches identiques). On peut lui adjoindre des identités pour chaque objet afin qu’elle devienne une catégorie.

(11)

1 SoitSun semigroupe, 16∈S, alorsSt {1}devient un monoïde de façon évidente ;

2 SoitRun pseudo-anneau (i.e.un anneau sans nécessairement d’unité ; on dira simplement « anneau »),alorsZ×Ravec la multiplication

(m,x)(n,y) = (mn,xy+nx+my)est un anneau unitaire avec(1,0)comme unité ;

3 Plus généralement, soitRun anneau unitaire commutatif, etAuneR-algèbre (sans nécessairement d’unité).AlorsR×Adevient uneR-algèbre unitaire avec (1,0)comme unité ;

4 SoitBune algèbre de Banach complexe, sans nécessairement d’unité, alors C×Best une algèbre de Banach unitaire (aveck(z,x)k=|z|+kxk) ;

5 SoitAuneC-algèbre...

6 SoitSune semi-catégorie (i.e.une catégorie sans nécessairement les flêches identiques). On peut lui adjoindre des identités pour chaque objet afin qu’elle devienne une catégorie.

(12)

1 SoitSun semigroupe, 16∈S, alorsSt {1}devient un monoïde de façon évidente ;

2 SoitRun pseudo-anneau (i.e.un anneau sans nécessairement d’unité ; on dira simplement « anneau »), alorsZ×Ravec la multiplication

(m,x)(n,y) = (mn,xy+nx+my)est un anneau unitaire avec(1,0)comme unité ;

3 Plus généralement, soitRun anneau unitaire commutatif, etAuneR-algèbre (sans nécessairement d’unité). AlorsR×Adevient uneR-algèbre unitaire avec (1,0)comme unité ;

4 SoitBune algèbre de Banach complexe, sans nécessairement d’unité, alors C×Best une algèbre de Banach unitaire (aveck(z,x)k=|z|+kxk) ;

5 SoitAuneC-algèbre...

6 SoitSune semi-catégorie (i.e.une catégorie sans nécessairement les flêches identiques). On peut lui adjoindre des identités pour chaque objet afin qu’elle devienne une catégorie.

(13)

1 SoitSun semigroupe, 16∈S, alorsSt {1}devient un monoïde de façon évidente ;

2 SoitRun pseudo-anneau (i.e.un anneau sans nécessairement d’unité ; on dira simplement « anneau »), alorsZ×Ravec la multiplication

(m,x)(n,y) = (mn,xy+nx+my)est un anneau unitaire avec(1,0)comme unité ;

3 Plus généralement, soitRun anneau unitaire commutatif, etAuneR-algèbre (sans nécessairement d’unité).AlorsR×Adevient uneR-algèbre unitaire avec (1,0)comme unité ;

4 SoitBune algèbre de Banach complexe, sans nécessairement d’unité,alors C×Best une algèbre de Banach unitaire (aveck(z,x)k=|z|+kxk) ;

5 SoitAuneC-algèbre...

6 SoitSune semi-catégorie (i.e.une catégorie sans nécessairement les flêches identiques). On peut lui adjoindre des identités pour chaque objet afin qu’elle devienne une catégorie.

(14)

1 SoitSun semigroupe, 16∈S, alorsSt {1}devient un monoïde de façon évidente ;

2 SoitRun pseudo-anneau (i.e.un anneau sans nécessairement d’unité ; on dira simplement « anneau »), alorsZ×Ravec la multiplication

(m,x)(n,y) = (mn,xy+nx+my)est un anneau unitaire avec(1,0)comme unité ;

3 Plus généralement, soitRun anneau unitaire commutatif, etAuneR-algèbre (sans nécessairement d’unité). AlorsR×Adevient uneR-algèbre unitaire avec (1,0)comme unité ;

4 SoitBune algèbre de Banach complexe, sans nécessairement d’unité, alors C×Best une algèbre de Banach unitaire (aveck(z,x)k=|z|+kxk) ;

5 SoitAuneC-algèbre...

6 SoitSune semi-catégorie (i.e.une catégorie sans nécessairement les flêches identiques). On peut lui adjoindre des identités pour chaque objet afin qu’elle devienne une catégorie.

(15)

1 SoitSun semigroupe, 16∈S, alorsSt {1}devient un monoïde de façon évidente ;

2 SoitRun pseudo-anneau (i.e.un anneau sans nécessairement d’unité ; on dira simplement « anneau »), alorsZ×Ravec la multiplication

(m,x)(n,y) = (mn,xy+nx+my)est un anneau unitaire avec(1,0)comme unité ;

3 Plus généralement, soitRun anneau unitaire commutatif, etAuneR-algèbre (sans nécessairement d’unité). AlorsR×Adevient uneR-algèbre unitaire avec (1,0)comme unité ;

4 SoitBune algèbre de Banach complexe, sans nécessairement d’unité,alors C×Best une algèbre de Banach unitaire (aveck(z,x)k=|z|+kxk) ;

5 SoitAuneC-algèbre...

6 SoitSune semi-catégorie (i.e.une catégorie sans nécessairement les flêches identiques). On peut lui adjoindre des identités pour chaque objet afin qu’elle devienne une catégorie.

(16)

1 SoitSun semigroupe, 16∈S, alorsSt {1}devient un monoïde de façon évidente ;

2 SoitRun pseudo-anneau (i.e.un anneau sans nécessairement d’unité ; on dira simplement « anneau »), alorsZ×Ravec la multiplication

(m,x)(n,y) = (mn,xy+nx+my)est un anneau unitaire avec(1,0)comme unité ;

3 Plus généralement, soitRun anneau unitaire commutatif, etAuneR-algèbre (sans nécessairement d’unité). AlorsR×Adevient uneR-algèbre unitaire avec (1,0)comme unité ;

4 SoitBune algèbre de Banach complexe, sans nécessairement d’unité, alors C×Best une algèbre de Banach unitaire (aveck(z,x)k=|z|+kxk) ;

5 SoitAuneC-algèbre...

6 SoitSune semi-catégorie (i.e.une catégorie sans nécessairement les flêches identiques).On peut lui adjoindre des identités pour chaque objet afin qu’elle devienne une catégorie.

(17)

1 SoitSun semigroupe, 16∈S, alorsSt {1}devient un monoïde de façon évidente ;

2 SoitRun pseudo-anneau (i.e.un anneau sans nécessairement d’unité ; on dira simplement « anneau »), alorsZ×Ravec la multiplication

(m,x)(n,y) = (mn,xy+nx+my)est un anneau unitaire avec(1,0)comme unité ;

3 Plus généralement, soitRun anneau unitaire commutatif, etAuneR-algèbre (sans nécessairement d’unité). AlorsR×Adevient uneR-algèbre unitaire avec (1,0)comme unité ;

4 SoitBune algèbre de Banach complexe, sans nécessairement d’unité, alors C×Best une algèbre de Banach unitaire (aveck(z,x)k=|z|+kxk) ;

5 SoitAuneC-algèbre...

6 SoitSune semi-catégorie (i.e.une catégorie sans nécessairement les flêches identiques). On peut lui adjoindre des identités pour chaque objet afin qu’elle devienne une catégorie.

(18)

1 SoitSun semigroupe, 16∈S, alorsSt {1}devient un monoïde de façon évidente ;

2 SoitRun pseudo-anneau (i.e.un anneau sans nécessairement d’unité ; on dira simplement « anneau »), alorsZ×Ravec la multiplication

(m,x)(n,y) = (mn,xy+nx+my)est un anneau unitaire avec(1,0)comme unité ;

3 Plus généralement, soitRun anneau unitaire commutatif, etAuneR-algèbre (sans nécessairement d’unité). AlorsR×Adevient uneR-algèbre unitaire avec (1,0)comme unité ;

4 SoitBune algèbre de Banach complexe, sans nécessairement d’unité, alors C×Best une algèbre de Banach unitaire (aveck(z,x)k=|z|+kxk) ;

5 SoitAuneC-algèbre...

6 SoitSune semi-catégorie (i.e.une catégorie sans nécessairement les flêches identiques).On peut lui adjoindre des identités pour chaque objet afin qu’elle devienne une catégorie.

(19)

1 SoitSun semigroupe, 16∈S, alorsSt {1}devient un monoïde de façon évidente ;

2 SoitRun pseudo-anneau (i.e.un anneau sans nécessairement d’unité ; on dira simplement « anneau »), alorsZ×Ravec la multiplication

(m,x)(n,y) = (mn,xy+nx+my)est un anneau unitaire avec(1,0)comme unité ;

3 Plus généralement, soitRun anneau unitaire commutatif, etAuneR-algèbre (sans nécessairement d’unité). AlorsR×Adevient uneR-algèbre unitaire avec (1,0)comme unité ;

4 SoitBune algèbre de Banach complexe, sans nécessairement d’unité, alors C×Best une algèbre de Banach unitaire (aveck(z,x)k=|z|+kxk) ;

5 SoitAuneC-algèbre...

6 SoitSune semi-catégorie (i.e.une catégorie sans nécessairement les flêches identiques). On peut lui adjoindre des identités pour chaque objet afin qu’elle devienne une catégorie.

(20)

Objectif

Nous allons voir que toutes ces différentes sortes d’adjonctions d’unité proviennent d’un même procédé de construction général :il s’agit de l’existence d’un adjoint à gauche pour le morphisme d’oubli de l’unité.

(21)

Objectif

Nous allons voir que toutes ces différentes sortes d’adjonctions d’unité proviennent d’un même procédé de construction général : il s’agit de l’existence d’un adjoint à gauche pour le morphisme d’oubli de l’unité.

(22)

Ingrédients de base

Il y a trois ingrédients de base qui nous permettent d’aboutir à la construction recherchée :

1 Coproduit (ou somme disjointe) ;

2 Catégorie monoïdale (ou catégorie avec produit tensoriel) ;

3 Semi-groupes et monoïdes internes à une catégorie monoïdale.

(23)

Ingrédients de base

Il y a trois ingrédients de base qui nous permettent d’aboutir à la construction recherchée :

1 Coproduit (ou somme disjointe) ;

2 Catégorie monoïdale (ou catégorie avec produit tensoriel) ;

3 Semi-groupes et monoïdes internes à une catégorie monoïdale.

(24)

Ingrédients de base

Il y a trois ingrédients de base qui nous permettent d’aboutir à la construction recherchée :

1 Coproduit (ou somme disjointe) ;

2 Catégorie monoïdale (ou catégorie avec produit tensoriel) ;

3 Semi-groupes et monoïdes internes à une catégorie monoïdale.

(25)

Ingrédients de base

Il y a trois ingrédients de base qui nous permettent d’aboutir à la construction recherchée :

1 Coproduit (ou somme disjointe) ;

2 Catégorie monoïdale (ou catégorie avec produit tensoriel) ;

3 Semi-groupes et monoïdes internes à une catégorie monoïdale.

(26)

Ingrédients de base

Il y a trois ingrédients de base qui nous permettent d’aboutir à la construction recherchée :

1 Coproduit (ou somme disjointe) ;

2 Catégorie monoïdale (ou catégorie avec produit tensoriel) ;

3 Semi-groupes et monoïdes internes à une catégorie monoïdale.

(27)

SoitCune catégorie, etA,Bdeux objets de cette catégorie.LecoproduitA+Best un objet deCavec deux flêchesqA:A→A+B,qB:B→A+B, appeléesinjections naturelles, tels que quelles que soient les flêchesf:A→C,g:B→C, il existe une unique flêcheh:A+B→Ctelle queh◦qA=f,h◦qB=g.L’applicationhest parfois notée(f,g).

(28)

SoitCune catégorie, etA,Bdeux objets de cette catégorie. LecoproduitA+Best un objet deCavec deux flêchesqA:A→A+B,qB:B→A+B, appeléesinjections naturelles,tels que quelles que soient les flêchesf:A→C,g:B→C, il existe une unique flêcheh:A+B→Ctelle queh◦qA=f,h◦qB=g. L’applicationhest parfois notée(f,g).

(29)

SoitCune catégorie, etA,Bdeux objets de cette catégorie. LecoproduitA+Best un objet deCavec deux flêchesqA:A→A+B,qB:B→A+B, appeléesinjections naturelles, tels que quelles que soient les flêchesf:A→C,g:B→C, il existe une unique flêcheh:A+B→Ctelle queh◦qA=f,h◦qB=g.L’applicationhest parfois notée(f,g).

(30)

SoitCune catégorie, etA,Bdeux objets de cette catégorie. LecoproduitA+Best un objet deCavec deux flêchesqA:A→A+B,qB:B→A+B, appeléesinjections naturelles, tels que quelles que soient les flêchesf:A→C,g:B→C, il existe une unique flêcheh:A+B→Ctelle queh◦qA=f,h◦qB=g. L’applicationhest parfois notée(f,g).

(31)

Quelques propriétés

1 Comme toute construction universelle, un coproduit est unique à un isomorphisme (de la catégorieC) près. Par abus, on dit « le coproduit » ;

2 Le coproduit est « associatif » au sens oùA+ (B+C)∼= (A+B) +C (isomorphisme naturel). L’associativité peut être appliquée sur des « mots » bien parenthésés de plus de trois objets ;

3 Le coproduit est un bifoncteur+ :C × C → C. Il transforme un couple d’objets (A,B)enA+B, et un couple de flêches(f,g),f:A1→A2,g:B1→B2en la flêchef+g:A1+B1→B1+B2définie par(f+g)◦qA1=qA2◦f, (f+g)◦qB1 =qB2◦g;

4 Si la catégorieCpossède un objet initiali, alorsijoue le rôle d’un élément neutre pour+,c’est-à-dire,i+A∼=A∼=A+i(isomorphismes naturels) ;

5 Si une catégorie admet tous les coproduits finis, alors le coproduit à zéro objet est un objet initial.

(32)

Quelques propriétés

1 Comme toute construction universelle, un coproduit est unique à un isomorphisme (de la catégorieC) près.Par abus, on dit « le coproduit » ;

2 Le coproduit est « associatif » au sens oùA+ (B+C)∼= (A+B) +C (isomorphisme naturel).L’associativité peut être appliquée sur des « mots » bien parenthésés de plus de trois objets ;

3 Le coproduit est un bifoncteur+ :C × C → C. Il transforme un couple d’objets (A,B)enA+B, et un couple de flêches(f,g),f:A1→A2,g:B1→B2en la flêchef+g:A1+B1→B1+B2définie par(f+g)◦qA1=qA2◦f, (f+g)◦qB1 =qB2◦g;

4 Si la catégorieCpossède un objet initiali, alorsijoue le rôle d’un élément neutre pour+,c’est-à-dire,i+A∼=A∼=A+i(isomorphismes naturels) ;

5 Si une catégorie admet tous les coproduits finis, alors le coproduit à zéro objet est un objet initial.

(33)

Quelques propriétés

1 Comme toute construction universelle, un coproduit est unique à un isomorphisme (de la catégorieC) près. Par abus, on dit « le coproduit » ;

2 Le coproduit est « associatif » au sens oùA+ (B+C)∼= (A+B) +C (isomorphisme naturel). L’associativité peut être appliquée sur des « mots » bien parenthésés de plus de trois objets ;

3 Le coproduit est un bifoncteur+ :C × C → C. Il transforme un couple d’objets (A,B)enA+B, et un couple de flêches(f,g),f:A1→A2,g:B1→B2en la flêchef+g:A1+B1→B1+B2définie par(f+g)◦qA1=qA2◦f, (f+g)◦qB1 =qB2◦g;

4 Si la catégorieCpossède un objet initiali, alorsijoue le rôle d’un élément neutre pour+,c’est-à-dire,i+A∼=A∼=A+i(isomorphismes naturels) ;

5 Si une catégorie admet tous les coproduits finis, alors le coproduit à zéro objet est un objet initial.

(34)

Quelques propriétés

1 Comme toute construction universelle, un coproduit est unique à un isomorphisme (de la catégorieC) près. Par abus, on dit « le coproduit » ;

2 Le coproduit est « associatif » au sens oùA+ (B+C)∼= (A+B) +C (isomorphisme naturel).L’associativité peut être appliquée sur des « mots » bien parenthésés de plus de trois objets ;

3 Le coproduit est un bifoncteur+ :C × C → C.Il transforme un couple d’objets (A,B)enA+B, et un couple de flêches(f,g),f:A1→A2,g:B1→B2en la flêchef+g:A1+B1→B1+B2définie par(f+g)◦qA1=qA2◦f, (f+g)◦qB1 =qB2◦g;

4 Si la catégorieCpossède un objet initiali, alorsijoue le rôle d’un élément neutre pour+,c’est-à-dire,i+A∼=A∼=A+i(isomorphismes naturels) ;

5 Si une catégorie admet tous les coproduits finis, alors le coproduit à zéro objet est un objet initial.

(35)

Quelques propriétés

1 Comme toute construction universelle, un coproduit est unique à un isomorphisme (de la catégorieC) près. Par abus, on dit « le coproduit » ;

2 Le coproduit est « associatif » au sens oùA+ (B+C)∼= (A+B) +C (isomorphisme naturel). L’associativité peut être appliquée sur des « mots » bien parenthésés de plus de trois objets ;

3 Le coproduit est un bifoncteur+ :C × C → C. Il transforme un couple d’objets (A,B)enA+B,et un couple de flêches(f,g),f:A1→A2,g:B1→B2en la flêchef+g:A1+B1→B1+B2définie par(f+g)◦qA1=qA2◦f, (f+g)◦qB1 =qB2◦g;

4 Si la catégorieCpossède un objet initiali, alorsijoue le rôle d’un élément neutre pour+,c’est-à-dire,i+A∼=A∼=A+i(isomorphismes naturels) ;

5 Si une catégorie admet tous les coproduits finis, alors le coproduit à zéro objet est un objet initial.

(36)

Quelques propriétés

1 Comme toute construction universelle, un coproduit est unique à un isomorphisme (de la catégorieC) près. Par abus, on dit « le coproduit » ;

2 Le coproduit est « associatif » au sens oùA+ (B+C)∼= (A+B) +C (isomorphisme naturel). L’associativité peut être appliquée sur des « mots » bien parenthésés de plus de trois objets ;

3 Le coproduit est un bifoncteur+ :C × C → C.Il transforme un couple d’objets (A,B)enA+B, et un couple de flêches(f,g),f:A1→A2,g:B1→B2en la flêchef+g:A1+B1→B1+B2définie par(f+g)◦qA1=qA2◦f, (f+g)◦qB1 =qB2◦g;

4 Si la catégorieCpossède un objet initiali, alorsijoue le rôle d’un élément neutre pour+,c’est-à-dire,i+A∼=A∼=A+i(isomorphismes naturels) ;

5 Si une catégorie admet tous les coproduits finis, alors le coproduit à zéro objet est un objet initial.

(37)

Quelques propriétés

1 Comme toute construction universelle, un coproduit est unique à un isomorphisme (de la catégorieC) près. Par abus, on dit « le coproduit » ;

2 Le coproduit est « associatif » au sens oùA+ (B+C)∼= (A+B) +C (isomorphisme naturel). L’associativité peut être appliquée sur des « mots » bien parenthésés de plus de trois objets ;

3 Le coproduit est un bifoncteur+ :C × C → C. Il transforme un couple d’objets (A,B)enA+B,et un couple de flêches(f,g),f:A1→A2,g:B1→B2en la flêchef+g:A1+B1→B1+B2définie par(f+g)◦qA1=qA2◦f, (f+g)◦qB1 =qB2◦g;

4 Si la catégorieCpossède un objet initiali, alorsijoue le rôle d’un élément neutre pour+,c’est-à-dire,i+A∼=A∼=A+i(isomorphismes naturels) ;

5 Si une catégorie admet tous les coproduits finis, alors le coproduit à zéro objet est un objet initial.

(38)

Quelques propriétés

1 Comme toute construction universelle, un coproduit est unique à un isomorphisme (de la catégorieC) près. Par abus, on dit « le coproduit » ;

2 Le coproduit est « associatif » au sens oùA+ (B+C)∼= (A+B) +C (isomorphisme naturel). L’associativité peut être appliquée sur des « mots » bien parenthésés de plus de trois objets ;

3 Le coproduit est un bifoncteur+ :C × C → C. Il transforme un couple d’objets (A,B)enA+B, et un couple de flêches(f,g),f:A1→A2,g:B1→B2en la flêchef+g:A1+B1→B1+B2définie par(f+g)◦qA1=qA2◦f, (f+g)◦qB1 =qB2◦g;

4 Si la catégorieCpossède un objet initiali,alorsijoue le rôle d’un élément neutre pour+,c’est-à-dire,i+A∼=A∼=A+i(isomorphismes naturels) ;

5 Si une catégorie admet tous les coproduits finis, alors le coproduit à zéro objet est un objet initial.

(39)

Quelques propriétés

1 Comme toute construction universelle, un coproduit est unique à un isomorphisme (de la catégorieC) près. Par abus, on dit « le coproduit » ;

2 Le coproduit est « associatif » au sens oùA+ (B+C)∼= (A+B) +C (isomorphisme naturel). L’associativité peut être appliquée sur des « mots » bien parenthésés de plus de trois objets ;

3 Le coproduit est un bifoncteur+ :C × C → C. Il transforme un couple d’objets (A,B)enA+B, et un couple de flêches(f,g),f:A1→A2,g:B1→B2en la flêchef+g:A1+B1→B1+B2définie par(f+g)◦qA1=qA2◦f, (f+g)◦qB1 =qB2◦g;

4 Si la catégorieCpossède un objet initiali, alorsijoue le rôle d’un élément neutre pour+,c’est-à-dire,i+A∼=A∼=A+i(isomorphismes naturels) ;

5 Si une catégorie admet tous les coproduits finis, alors le coproduit à zéro objet est un objet initial.

(40)

Quelques propriétés

1 Comme toute construction universelle, un coproduit est unique à un isomorphisme (de la catégorieC) près. Par abus, on dit « le coproduit » ;

2 Le coproduit est « associatif » au sens oùA+ (B+C)∼= (A+B) +C (isomorphisme naturel). L’associativité peut être appliquée sur des « mots » bien parenthésés de plus de trois objets ;

3 Le coproduit est un bifoncteur+ :C × C → C. Il transforme un couple d’objets (A,B)enA+B, et un couple de flêches(f,g),f:A1→A2,g:B1→B2en la flêchef+g:A1+B1→B1+B2définie par(f+g)◦qA1=qA2◦f, (f+g)◦qB1 =qB2◦g;

4 Si la catégorieCpossède un objet initiali,alorsijoue le rôle d’un élément neutre pour+,c’est-à-dire,i+A∼=A∼=A+i(isomorphismes naturels) ;

5 Si une catégorie admet tous les coproduits finis, alors le coproduit à zéro objet est un objet initial.

(41)

Quelques propriétés

1 Comme toute construction universelle, un coproduit est unique à un isomorphisme (de la catégorieC) près. Par abus, on dit « le coproduit » ;

2 Le coproduit est « associatif » au sens oùA+ (B+C)∼= (A+B) +C (isomorphisme naturel). L’associativité peut être appliquée sur des « mots » bien parenthésés de plus de trois objets ;

3 Le coproduit est un bifoncteur+ :C × C → C. Il transforme un couple d’objets (A,B)enA+B, et un couple de flêches(f,g),f:A1→A2,g:B1→B2en la flêchef+g:A1+B1→B1+B2définie par(f+g)◦qA1=qA2◦f, (f+g)◦qB1 =qB2◦g;

4 Si la catégorieCpossède un objet initiali, alorsijoue le rôle d’un élément neutre pour+,c’est-à-dire,i+A∼=A∼=A+i(isomorphismes naturels) ;

5 Si une catégorie admet tous les coproduits finis,alors le coproduit à zéro objet est un objet initial.

(42)

Quelques propriétés

1 Comme toute construction universelle, un coproduit est unique à un isomorphisme (de la catégorieC) près. Par abus, on dit « le coproduit » ;

2 Le coproduit est « associatif » au sens oùA+ (B+C)∼= (A+B) +C (isomorphisme naturel). L’associativité peut être appliquée sur des « mots » bien parenthésés de plus de trois objets ;

3 Le coproduit est un bifoncteur+ :C × C → C. Il transforme un couple d’objets (A,B)enA+B, et un couple de flêches(f,g),f:A1→A2,g:B1→B2en la flêchef+g:A1+B1→B1+B2définie par(f+g)◦qA1=qA2◦f, (f+g)◦qB1 =qB2◦g;

4 Si la catégorieCpossède un objet initiali, alorsijoue le rôle d’un élément neutre pour+,c’est-à-dire,i+A∼=A∼=A+i(isomorphismes naturels) ;

5 Si une catégorie admet tous les coproduits finis, alors le coproduit à zéro objet est un objet initial.

(43)

Quelques propriétés

1 Comme toute construction universelle, un coproduit est unique à un isomorphisme (de la catégorieC) près. Par abus, on dit « le coproduit » ;

2 Le coproduit est « associatif » au sens oùA+ (B+C)∼= (A+B) +C (isomorphisme naturel). L’associativité peut être appliquée sur des « mots » bien parenthésés de plus de trois objets ;

3 Le coproduit est un bifoncteur+ :C × C → C. Il transforme un couple d’objets (A,B)enA+B, et un couple de flêches(f,g),f:A1→A2,g:B1→B2en la flêchef+g:A1+B1→B1+B2définie par(f+g)◦qA1=qA2◦f, (f+g)◦qB1 =qB2◦g;

4 Si la catégorieCpossède un objet initiali, alorsijoue le rôle d’un élément neutre pour+,c’est-à-dire,i+A∼=A∼=A+i(isomorphismes naturels) ;

5 Si une catégorie admet tous les coproduits finis,alors le coproduit à zéro objet est un objet initial.

(44)

Quelques propriétés

1 Comme toute construction universelle, un coproduit est unique à un isomorphisme (de la catégorieC) près. Par abus, on dit « le coproduit » ;

2 Le coproduit est « associatif » au sens oùA+ (B+C)∼= (A+B) +C (isomorphisme naturel). L’associativité peut être appliquée sur des « mots » bien parenthésés de plus de trois objets ;

3 Le coproduit est un bifoncteur+ :C × C → C. Il transforme un couple d’objets (A,B)enA+B, et un couple de flêches(f,g),f:A1→A2,g:B1→B2en la flêchef+g:A1+B1→B1+B2définie par(f+g)◦qA1=qA2◦f, (f+g)◦qB1 =qB2◦g;

4 Si la catégorieCpossède un objet initiali, alorsijoue le rôle d’un élément neutre pour+,c’est-à-dire,i+A∼=A∼=A+i(isomorphismes naturels) ;

5 Si une catégorie admet tous les coproduits finis, alors le coproduit à zéro objet est un objet initial.

(45)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés, la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels, le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres, c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs, c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives, c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres, c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit, alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(46)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles,la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés,la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels, le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres, c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs, c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives, c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres, c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit, alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(47)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés, la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels, le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres, c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs, c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives, c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres, c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit, alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(48)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés,la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels,le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres, c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs, c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives, c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres, c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit, alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(49)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés, la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels, le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres, c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs, c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives, c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres, c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit, alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(50)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés, la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels,le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres,c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs, c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives, c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres, c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit, alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(51)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés, la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels, le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres, c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs, c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives, c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres, c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit, alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(52)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés, la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels, le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres,c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs,c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives, c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres, c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit, alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(53)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés, la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels, le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres, c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs, c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives, c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres, c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit, alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(54)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés, la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels, le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres, c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs,c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives,c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres, c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit, alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(55)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés, la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels, le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres, c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs, c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives, c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres, c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit, alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(56)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés, la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels, le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres, c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs, c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives,c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres,c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit, alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(57)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés, la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels, le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres, c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs, c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives, c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres, c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit, alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(58)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés, la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels, le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres, c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs, c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives, c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres,c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit,alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(59)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés, la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels, le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres, c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs, c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives, c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres, c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit, alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(60)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés, la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels, le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres, c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs, c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives, c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres, c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit,alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(61)

Exemples

1 Dans la catégorie des ensembles, la somme disjointe est le coproduit ;

2 Dans la catégorie des ensembles partiellement ordonnés, la somme cardinale est le coproduit ;

3 Dans la catégorie des groupes abéliens, desR-modules, desK-espaces vectoriels, le coproduit est la somme directe ;

4 Dans la catégorie desK-cogèbres, c’est aussi la somme directe ;

5 Dans la catégorie des anneaux commutatifs, c’est le produit tensoriel⊗ZsurZ;

6 Dans la catégorie desR-algèbres commutatives, c’est le produit tensoriel⊗Rsur R;

7 Dans la catégorie des groupes, des monoïdes, des anneaux, desR-algèbres, c’est le produit libre (ou somme monoïdale).

8 SiCest une catégorie avec produit, alors la catégorie opposée àCest une catégorie avec coproduit (le coproduit est alors le produit dansC).

(62)

Unecatégorie monoïdaleest la donnée de(C,⊗,I, α, λ, ρ)où

1 Cest une catégorie ;

2 ⊗:C × C → Cest un bifoncteur ;

3 Iest un objet deC;

4 α, λ, ρsont des isomorphismes (naturels) de la catégorieCtels que

1 α:A(BC)= (AB)C(associativité) ;

2 λ=λA:IA=A(unité à gauche) ;

3 ρ=ρA:AI=A(unité à droite) soumis à des axiomes (pentagone et triangle).

(63)

Unecatégorie monoïdaleest la donnée de(C,⊗,I, α, λ, ρ)où

1 Cest une catégorie ;

2 ⊗:C × C → Cest un bifoncteur ;

3 Iest un objet deC;

4 α, λ, ρsont des isomorphismes (naturels) de la catégorieCtels que

1 α:A(BC)= (AB)C(associativité) ;

2 λ=λA:IA=A(unité à gauche) ;

3 ρ=ρA:AI=A(unité à droite) soumis à des axiomes (pentagone et triangle).

(64)

Unecatégorie monoïdaleest la donnée de(C,⊗,I, α, λ, ρ)où

1 Cest une catégorie ;

2 ⊗:C × C → Cest un bifoncteur ;

3 Iest un objet deC;

4 α, λ, ρsont des isomorphismes (naturels) de la catégorieCtels que

1 α:A(BC)= (AB)C(associativité) ;

2 λ=λA:IA=A(unité à gauche) ;

3 ρ=ρA:AI=A(unité à droite) soumis à des axiomes (pentagone et triangle).

(65)

Unecatégorie monoïdaleest la donnée de(C,⊗,I, α, λ, ρ)où

1 Cest une catégorie ;

2 ⊗:C × C → Cest un bifoncteur ;

3 Iest un objet deC;

4 α, λ, ρsont des isomorphismes (naturels) de la catégorieCtels que

1 α:A(BC)= (AB)C(associativité) ;

2 λ=λA:IA=A(unité à gauche) ;

3 ρ=ρA:AI=A(unité à droite) soumis à des axiomes (pentagone et triangle).

(66)

Unecatégorie monoïdaleest la donnée de(C,⊗,I, α, λ, ρ)où

1 Cest une catégorie ;

2 ⊗:C × C → Cest un bifoncteur ;

3 Iest un objet deC;

4 α, λ, ρsont des isomorphismes (naturels) de la catégorieCtels que

1 α:A(BC)= (AB)C(associativité) ;

2 λ=λA:IA=A(unité à gauche) ;

3 ρ=ρA:AI=A(unité à droite) soumis à des axiomes (pentagone et triangle).

(67)

Unecatégorie monoïdaleest la donnée de(C,⊗,I, α, λ, ρ)où

1 Cest une catégorie ;

2 ⊗:C × C → Cest un bifoncteur ;

3 Iest un objet deC;

4 α, λ, ρsont des isomorphismes (naturels) de la catégorieCtels que

1 α:A(BC)= (AB)C(associativité) ;

2 λ=λA:IA=A(unité à gauche) ;

3 ρ=ρA:AI=A(unité à droite) soumis à des axiomes (pentagone et triangle).

(68)

Unecatégorie monoïdaleest la donnée de(C,⊗,I, α, λ, ρ)où

1 Cest une catégorie ;

2 ⊗:C × C → Cest un bifoncteur ;

3 Iest un objet deC;

4 α, λ, ρsont des isomorphismes (naturels) de la catégorieCtels que

1 α:A(BC)= (AB)C(associativité) ;

2 λ=λA:IA=A(unité à gauche) ;

3 ρ=ρA:AI=A(unité à droite) soumis à des axiomes (pentagone et triangle).

(69)

Unecatégorie monoïdaleest la donnée de(C,⊗,I, α, λ, ρ)où

1 Cest une catégorie ;

2 ⊗:C × C → Cest un bifoncteur ;

3 Iest un objet deC;

4 α, λ, ρsont des isomorphismes (naturels) de la catégorieCtels que

1 α:A(BC)= (AB)C(associativité) ;

2 λ=λA:IA=A(unité à gauche) ;

3 ρ=ρA:AI=A(unité à droite) soumis à des axiomes (pentagone et triangle).

(70)

Unecatégorie monoïdaleest la donnée de(C,⊗,I, α, λ, ρ)où

1 Cest une catégorie ;

2 ⊗:C × C → Cest un bifoncteur ;

3 Iest un objet deC;

4 α, λ, ρsont des isomorphismes (naturels) de la catégorieCtels que

1 α:A(BC)= (AB)C(associativité) ;

2 λ=λA:IA=A(unité à gauche) ;

3 ρ=ρA:AI=A(unité à droite) soumis à des axiomes (pentagone et triangle).

(71)

Exemples

1 La catégorie des ensembles avec×et{∗};

2 Toute catégorie avec les produits (resp. coproduits) finis est une catégorie monoïdale avec le produit (resp. coproduit) comme tenseur et un objet terminal (resp. initial) comme unité ;

3 La catégorie des groupes abéliens (ou desZ-modules) avec⊗ZetZ;

4 La catégorie desR-modules (resp.K-espaces vectoriels) avec⊗R(resp.⊗K), et R(resp.K) ;

5 La catégorie opposée à une catégorie monoïdale ;

6 La catégorie des multi-graphes (orientés) de sommetsOavec×O(produit fibré surO) etO;

7 La catégorie de tous les endofoncteurs d’une catégorieCest une catégorie monoïdale avec la composition des foncteurs pour tenseur, et le foncteur identique comme unité.

(72)

Exemples

1 La catégorie des ensembles avec×et{∗};

2 Toute catégorie avec les produits (resp. coproduits) finis est une catégorie monoïdale avec le produit (resp. coproduit) comme tenseur et un objet terminal (resp. initial) comme unité ;

3 La catégorie des groupes abéliens (ou desZ-modules) avec⊗ZetZ;

4 La catégorie desR-modules (resp.K-espaces vectoriels) avec⊗R(resp.⊗K), et R(resp.K) ;

5 La catégorie opposée à une catégorie monoïdale ;

6 La catégorie des multi-graphes (orientés) de sommetsOavec×O(produit fibré surO) etO;

7 La catégorie de tous les endofoncteurs d’une catégorieCest une catégorie monoïdale avec la composition des foncteurs pour tenseur, et le foncteur identique comme unité.

(73)

Exemples

1 La catégorie des ensembles avec×et{∗};

2 Toute catégorie avec les produits (resp. coproduits) finis est une catégorie monoïdale avec le produit (resp. coproduit) comme tenseur et un objet terminal (resp. initial) comme unité ;

3 La catégorie des groupes abéliens (ou desZ-modules) avec⊗ZetZ;

4 La catégorie desR-modules (resp.K-espaces vectoriels) avec⊗R(resp.⊗K), et R(resp.K) ;

5 La catégorie opposée à une catégorie monoïdale ;

6 La catégorie des multi-graphes (orientés) de sommetsOavec×O(produit fibré surO) etO;

7 La catégorie de tous les endofoncteurs d’une catégorieCest une catégorie monoïdale avec la composition des foncteurs pour tenseur, et le foncteur identique comme unité.

(74)

Exemples

1 La catégorie des ensembles avec×et{∗};

2 Toute catégorie avec les produits (resp. coproduits) finis est une catégorie monoïdale avec le produit (resp. coproduit) comme tenseur et un objet terminal (resp. initial) comme unité ;

3 La catégorie des groupes abéliens (ou desZ-modules) avec⊗ZetZ;

4 La catégorie desR-modules (resp.K-espaces vectoriels) avec⊗R(resp.⊗K), et R(resp.K) ;

5 La catégorie opposée à une catégorie monoïdale ;

6 La catégorie des multi-graphes (orientés) de sommetsOavec×O(produit fibré surO) etO;

7 La catégorie de tous les endofoncteurs d’une catégorieCest une catégorie monoïdale avec la composition des foncteurs pour tenseur, et le foncteur identique comme unité.

(75)

Exemples

1 La catégorie des ensembles avec×et{∗};

2 Toute catégorie avec les produits (resp. coproduits) finis est une catégorie monoïdale avec le produit (resp. coproduit) comme tenseur et un objet terminal (resp. initial) comme unité ;

3 La catégorie des groupes abéliens (ou desZ-modules) avec⊗ZetZ;

4 La catégorie desR-modules (resp.K-espaces vectoriels) avec⊗R(resp.⊗K), et R(resp.K) ;

5 La catégorie opposée à une catégorie monoïdale ;

6 La catégorie des multi-graphes (orientés) de sommetsOavec×O(produit fibré surO) etO;

7 La catégorie de tous les endofoncteurs d’une catégorieCest une catégorie monoïdale avec la composition des foncteurs pour tenseur, et le foncteur identique comme unité.

(76)

Exemples

1 La catégorie des ensembles avec×et{∗};

2 Toute catégorie avec les produits (resp. coproduits) finis est une catégorie monoïdale avec le produit (resp. coproduit) comme tenseur et un objet terminal (resp. initial) comme unité ;

3 La catégorie des groupes abéliens (ou desZ-modules) avec⊗ZetZ;

4 La catégorie desR-modules (resp.K-espaces vectoriels) avec⊗R(resp.⊗K), et R(resp.K) ;

5 La catégorie opposée à une catégorie monoïdale ;

6 La catégorie des multi-graphes (orientés) de sommetsOavec×O(produit fibré surO) etO;

7 La catégorie de tous les endofoncteurs d’une catégorieCest une catégorie monoïdale avec la composition des foncteurs pour tenseur, et le foncteur identique comme unité.

(77)

Exemples

1 La catégorie des ensembles avec×et{∗};

2 Toute catégorie avec les produits (resp. coproduits) finis est une catégorie monoïdale avec le produit (resp. coproduit) comme tenseur et un objet terminal (resp. initial) comme unité ;

3 La catégorie des groupes abéliens (ou desZ-modules) avec⊗ZetZ;

4 La catégorie desR-modules (resp.K-espaces vectoriels) avec⊗R(resp.⊗K), et R(resp.K) ;

5 La catégorie opposée à une catégorie monoïdale ;

6 La catégorie des multi-graphes (orientés) de sommetsOavec×O(produit fibré surO) etO;

7 La catégorie de tous les endofoncteurs d’une catégorieCest une catégorie monoïdale avec la composition des foncteurs pour tenseur, et le foncteur identique comme unité.

(78)

Exemples

1 La catégorie des ensembles avec×et{∗};

2 Toute catégorie avec les produits (resp. coproduits) finis est une catégorie monoïdale avec le produit (resp. coproduit) comme tenseur et un objet terminal (resp. initial) comme unité ;

3 La catégorie des groupes abéliens (ou desZ-modules) avec⊗ZetZ;

4 La catégorie desR-modules (resp.K-espaces vectoriels) avec⊗R(resp.⊗K), et R(resp.K) ;

5 La catégorie opposée à une catégorie monoïdale ;

6 La catégorie des multi-graphes (orientés) de sommetsOavec×O(produit fibré surO) etO;

7 La catégorie de tous les endofoncteurs d’une catégorieCest une catégorie monoïdale avec la composition des foncteurs pour tenseur, et le foncteur identique comme unité.

Références

Documents relatifs

On dit que deux normes p ≤ q sont accordables si quelle que soit la suite de Cauchy pour E q (et donc pour E p ) qui converge vers zéro dans E p , cette suite converge également

La topologie produit (pour R muni de sa topologie usuel) sur R n coïncide avec la topologie euclidienne usuelle.. On peut donc le munir de la

Les noms, prénoms et adresses de nos abonnés sont communiqués aux services internes du groupe, ainsi qu'aux organismes liés contractueliement pour le routage. Les informations

des traitements deSinés à réduire la bande passante, éliminer le bruit, etc. On peut dire que les résultats obtenus sont plus que satisfaisants! Pour y parvenir, on fait

Elles doivent toujours servir à quelque chose d’autre, avoir une fin plus importante que l’action elle-même : productivité, performance, rentabilité, éviter

[r]

Composé d’un fil de chauffage par le sol haute performance, d’un tapis de découplage, d’un thermostat compatible Wi-Fi et du premier additif à couche mince conducteur de

[r]