Partant d’un semi-groupe interne(S, µ)dans la catégorie monoïdale(C,⊗,I), on poseM:=S+I,on définitµ1:M⊗M→M, en utilisant l’isomorphisme
Φ :M⊗M∼= (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I), les flêchesqS◦µ:S⊗S→S+I, qS◦ρS:S⊗I→S+I,qS◦λS:I⊗S→S+I, etqI◦λI:I⊗I→S+I, et le coproduit+: soitµ01: (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I)→S+Iavec
µ01= (qS◦(µ, ρS), λS+λI), alorsµ1=µ01◦Φ. On définit égalementη:I→S+I parqI. Alors après quelques (longues...) vérifications, on montre que(M, µ1, η)est un monoïde interne, etA:S7→Mest un foncteur vérifiant la propriété universelle du théorème.
Idée de la démonstration
Partant d’un semi-groupe interne(S, µ)dans la catégorie monoïdale(C,⊗,I),on poseM:=S+I, on définitµ1:M⊗M→M,en utilisant l’isomorphisme
Φ :M⊗M∼= (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I), les flêchesqS◦µ:S⊗S→S+I, qS◦ρS:S⊗I→S+I,qS◦λS:I⊗S→S+I, etqI◦λI:I⊗I→S+I, et le coproduit+: soitµ01: (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I)→S+Iavec
µ01= (qS◦(µ, ρS), λS+λI), alorsµ1=µ01◦Φ. On définit égalementη:I→S+I parqI. Alors après quelques (longues...) vérifications, on montre que(M, µ1, η)est un monoïde interne, etA:S7→Mest un foncteur vérifiant la propriété universelle du théorème.
Idée de la démonstration
Partant d’un semi-groupe interne(S, µ)dans la catégorie monoïdale(C,⊗,I), on poseM:=S+I,on définitµ1:M⊗M→M, en utilisant l’isomorphisme
Φ :M⊗M∼= (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I),les flêchesqS◦µ:S⊗S→S+I, qS◦ρS:S⊗I→S+I,qS◦λS:I⊗S→S+I, etqI◦λI:I⊗I→S+I, et le coproduit+: soitµ01: (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I)→S+Iavec
µ01= (qS◦(µ, ρS), λS+λI), alorsµ1=µ01◦Φ. On définit égalementη:I→S+I parqI. Alors après quelques (longues...) vérifications, on montre que(M, µ1, η)est un monoïde interne, etA:S7→Mest un foncteur vérifiant la propriété universelle du théorème.
Idée de la démonstration
Partant d’un semi-groupe interne(S, µ)dans la catégorie monoïdale(C,⊗,I), on poseM:=S+I, on définitµ1:M⊗M→M,en utilisant l’isomorphisme
Φ :M⊗M∼= (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I), les flêchesqS◦µ:S⊗S→S+I, qS◦ρS:S⊗I→S+I,qS◦λS:I⊗S→S+I, etqI◦λI:I⊗I→S+I,et le coproduit+: soitµ01: (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I)→S+Iavec
µ01= (qS◦(µ, ρS), λS+λI), alorsµ1=µ01◦Φ. On définit égalementη:I→S+I parqI. Alors après quelques (longues...) vérifications, on montre que(M, µ1, η)est un monoïde interne, etA:S7→Mest un foncteur vérifiant la propriété universelle du théorème.
Idée de la démonstration
Partant d’un semi-groupe interne(S, µ)dans la catégorie monoïdale(C,⊗,I), on poseM:=S+I, on définitµ1:M⊗M→M, en utilisant l’isomorphisme
Φ :M⊗M∼= (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I),les flêchesqS◦µ:S⊗S→S+I, qS◦ρS:S⊗I→S+I,qS◦λS:I⊗S→S+I, etqI◦λI:I⊗I→S+I, et le coproduit+: soitµ01: (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I)→S+Iavec
µ01= (qS◦(µ, ρS), λS+λI), alorsµ1=µ01◦Φ. On définit égalementη:I→S+I parqI. Alors après quelques (longues...) vérifications, on montre que(M, µ1, η)est un monoïde interne, etA:S7→Mest un foncteur vérifiant la propriété universelle du théorème.
Idée de la démonstration
Partant d’un semi-groupe interne(S, µ)dans la catégorie monoïdale(C,⊗,I), on poseM:=S+I, on définitµ1:M⊗M→M, en utilisant l’isomorphisme
Φ :M⊗M∼= (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I), les flêchesqS◦µ:S⊗S→S+I, qS◦ρS:S⊗I→S+I,qS◦λS:I⊗S→S+I, etqI◦λI:I⊗I→S+I,et le coproduit+: soitµ01: (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I)→S+Iavec
µ01= (qS◦(µ, ρS), λS+λI),alorsµ1=µ01◦Φ. On définit égalementη:I→S+I parqI. Alors après quelques (longues...) vérifications, on montre que(M, µ1, η)est un monoïde interne, etA:S7→Mest un foncteur vérifiant la propriété universelle du théorème.
Idée de la démonstration
Partant d’un semi-groupe interne(S, µ)dans la catégorie monoïdale(C,⊗,I), on poseM:=S+I, on définitµ1:M⊗M→M, en utilisant l’isomorphisme
Φ :M⊗M∼= (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I), les flêchesqS◦µ:S⊗S→S+I, qS◦ρS:S⊗I→S+I,qS◦λS:I⊗S→S+I, etqI◦λI:I⊗I→S+I, et le coproduit+: soitµ01: (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I)→S+Iavec
µ01= (qS◦(µ, ρS), λS+λI), alorsµ1=µ01◦Φ.On définit égalementη:I→S+I parqI. Alors après quelques (longues...) vérifications, on montre que(M, µ1, η)est un monoïde interne, etA:S7→Mest un foncteur vérifiant la propriété universelle du théorème.
Idée de la démonstration
Partant d’un semi-groupe interne(S, µ)dans la catégorie monoïdale(C,⊗,I), on poseM:=S+I, on définitµ1:M⊗M→M, en utilisant l’isomorphisme
Φ :M⊗M∼= (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I), les flêchesqS◦µ:S⊗S→S+I, qS◦ρS:S⊗I→S+I,qS◦λS:I⊗S→S+I, etqI◦λI:I⊗I→S+I, et le coproduit+: soitµ01: (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I)→S+Iavec
µ01= (qS◦(µ, ρS), λS+λI),alorsµ1=µ01◦Φ. On définit égalementη:I→S+I parqI.Alors après quelques (longues...) vérifications, on montre que(M, µ1, η)est un monoïde interne, etA:S7→Mest un foncteur vérifiant la propriété universelle du théorème.
Idée de la démonstration
Partant d’un semi-groupe interne(S, µ)dans la catégorie monoïdale(C,⊗,I), on poseM:=S+I, on définitµ1:M⊗M→M, en utilisant l’isomorphisme
Φ :M⊗M∼= (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I), les flêchesqS◦µ:S⊗S→S+I, qS◦ρS:S⊗I→S+I,qS◦λS:I⊗S→S+I, etqI◦λI:I⊗I→S+I, et le coproduit+: soitµ01: (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I)→S+Iavec
µ01= (qS◦(µ, ρS), λS+λI), alorsµ1=µ01◦Φ.On définit égalementη:I→S+I parqI. Alors après quelques (longues...) vérifications, on montre que(M, µ1, η)est un monoïde interne,etA:S7→Mest un foncteur vérifiant la propriété universelle du théorème.
Idée de la démonstration
Partant d’un semi-groupe interne(S, µ)dans la catégorie monoïdale(C,⊗,I), on poseM:=S+I, on définitµ1:M⊗M→M, en utilisant l’isomorphisme
Φ :M⊗M∼= (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I), les flêchesqS◦µ:S⊗S→S+I, qS◦ρS:S⊗I→S+I,qS◦λS:I⊗S→S+I, etqI◦λI:I⊗I→S+I, et le coproduit+: soitµ01: (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I)→S+Iavec
µ01= (qS◦(µ, ρS), λS+λI), alorsµ1=µ01◦Φ. On définit égalementη:I→S+I parqI.Alors après quelques (longues...) vérifications, on montre que(M, µ1, η)est un monoïde interne, etA:S7→Mest un foncteur vérifiant la propriété universelle du théorème.
Idée de la démonstration
Partant d’un semi-groupe interne(S, µ)dans la catégorie monoïdale(C,⊗,I), on poseM:=S+I, on définitµ1:M⊗M→M, en utilisant l’isomorphisme
Φ :M⊗M∼= (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I), les flêchesqS◦µ:S⊗S→S+I, qS◦ρS:S⊗I→S+I,qS◦λS:I⊗S→S+I, etqI◦λI:I⊗I→S+I, et le coproduit+: soitµ01: (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I)→S+Iavec
µ01= (qS◦(µ, ρS), λS+λI), alorsµ1=µ01◦Φ. On définit égalementη:I→S+I parqI. Alors après quelques (longues...) vérifications, on montre que(M, µ1, η)est un monoïde interne,etA:S7→Mest un foncteur vérifiant la propriété universelle du théorème.
Idée de la démonstration
Partant d’un semi-groupe interne(S, µ)dans la catégorie monoïdale(C,⊗,I), on poseM:=S+I, on définitµ1:M⊗M→M, en utilisant l’isomorphisme
Φ :M⊗M∼= (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I), les flêchesqS◦µ:S⊗S→S+I, qS◦ρS:S⊗I→S+I,qS◦λS:I⊗S→S+I, etqI◦λI:I⊗I→S+I, et le coproduit+: soitµ01: (S⊗S+S⊗I) + (I⊗S+I⊗I)→S+Iavec
µ01= (qS◦(µ, ρS), λS+λI), alorsµ1=µ01◦Φ. On définit égalementη:I→S+I parqI. Alors après quelques (longues...) vérifications, on montre que(M, µ1, η)est un monoïde interne, etA:S7→Mest un foncteur vérifiant la propriété universelle du théorème.
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe,et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe,et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire,etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre.On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire,etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre.On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,
Exemples
Clairement si∗ 6∈S, alorsS∪ {∗}est une somme disjointe, et on retrouve la notion usuelle d’adjonction d’une unité à un semigroupe ;
2 SoitRun anneau commutatif unitaire, etAuneR-algèbre. On définit
µ01: (A⊗RA)⊕(A⊗RR)⊕(R⊗RA)⊕(R⊗RR)→A⊕Rparµ01(x⊗y) =xy,