#12 Mar s 202 2
Quelques kilomètres de chaleur et de
bienveillance
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Rando Santé Rando Santé®
Réseaux sociaux
Le Comité a besoin de vous !
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PHOTO : Pont des pèlerins
Dans ce numéro 12#
EDITO
RANDO SANTÉ ®:
Randonnées partagées vers le moulins à papier en DordogneRÉSEAUX SOCIAUX :
Le comité à besoin de vous !TECHNIQUE :
Comment bien évaluer la durée d’une randonnéePORTRAIT :
Charlène une nouvelle communicanteDepuis la pandémie du COVID 19, de nombreux Français découvrent les bienfaits de la marche et de la randonnée. Ils ont bien raison ! Dans nos clubs FFRandonnée, le seul pass demandé est le Pass Découverte pour les non licenciés.
Pratiquer en club, à peu de frais, c’est le bonheur de partager une aventure en commun, renouer le lien social, enrichir son capital santé et aussi s’engager dans le bénévolat, se former pour devenir animateur, baliseur, aménageur, numériseur, formateur ou dirigeant. Bref, se maintenir en bonne santé et se rendre utile.
Henri Lafontan, Vice-Président Pôle des Territoires
L’aventure de la Randonnée
ITINERAIRES :
Randonnée emblématique en région Pyrénnées-AtlantiquesSÉCURITÉ :
Quelques règles et recommandations pour marcher en sécuritéP.A.R.I. 2024 :
Printemps 2024, projet de convergence des randonneursLe Nouvelle-aquitaine Rando est édité par la commission Communication du comité régional de la randonnée pédestre Nouvelle-aquiatine.
Directeur de la publication : Jean-François SOLAS.
Comission Communication : Daniel MOGENOT président, Betty ARNOULD Coordination.
Rédaction : Edito Henri LAFONTAN, Dossiers Olivier SOULIER , Philippe NAUDET, Olivier CHEFNEUX, Marie-Michelle RABRUAUD
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Nouvelle-Aquitaine
Comité Régional de randonnée Pédestre Nouvelle-Aquitaine 2, avenue de l’université - 33400 TALENCE
05.57.88.26.43 nouvelle-aquitaine@ffrandonnee.fr www.ffrandonnee-nouvelle-aquitaine.fr
@ffrandonnee.nouvelleaquitaine Avec le soutient de :
ITINERAIRES
Une randonnée emblématique en Pyrénées Atlantiques vers la Grotte d’Harpea
Nous avons la chance de vivre dans un territoire riche de montagnes du massif pyrénéen.
Grotte d’Harpea
On reconnait sans mal cette cavité en forme de toit, qui s’est formée dans le pli d’un anticlinal. Ce mot quelque peu barbare signifie qu’au centre de ce pli, se situent les couches géologiques les plus anciennes.
Ne soyez pas étonnés d’y croiser des bergers locaux venus l’utiliser comme abri naturel et bergerie d’appoint pour les bêtes. Selon la saison (en Avril pour la France), vous pourrez admirer le travail des éleveurs pour la tonte des brebis.
La montée est régulière. Vous traverserez des champs de fougères en été autour d’un chemin de montagne laissant un large espace pour éviter les éventuelles tiques.
Le circuit débute sur la commune d’Esterencubi sur un parking situé sur la D 428 Lieu Beherobie. Bien sûr tout le monde connaît le GR 10 qui traverse les Pyrénées d’Hendaye vers Banyuls sur une distance de 900 km pour 55 km de dénivelée positive.
La durée de la traversée est donnée pour 45 jours, soit 20 km par jour. Le record a été battu il y a deux ans par Éric Clavery en 9 jours et 9 h 30. A cette vitesse, Éric n’a pas pris le temps de regarder les paysages et autres monuments ou curiosités géologiques.
Nous vous proposons de parcourir un circuit de 18 km pour 850 m de dénivelée positive afin de découvrir la grotte d’Harpea. Cotée 88 en indice d’Effort, elle ne présente aucune difficulté technique ni facteur de risque majeurs.
Avec un peu de chance, une Orchis tachetée vous sourira.
Devant la grotte, le pique nique est facilité avec de nombreux endroits en herbe courte. Vous pourrez vous abreuver dans le petit ruisseau avec une eau très claire (prévoir filtre ou pastilles si besoin).
Mais il est déjà temps de reprendre le chemin pour le retour par une route très peu fréquentée avant de retrouver les chemins traditionnels de montagne.
L’hôtel « Les sources de la Nice » se situe sur la départementale et les parkings sont attenants.
Avant ou après cette randonnée, Saint Jean Pied de Port est une étape incontournable. Capitale culturelle et sportive. Carrefour important, elle a connu de nombreuses guerres.
Parmi les figures emblématiques de « Donibane Garazi » Vauban a marqué son territoire si l’on peut dire :
Vauban inspecte Saint-Jean-Pied-de-Port en 1680 et 1685. De ces deux visites, il tire un projet d’enceinte fermant et agrandissant la ville. L’enceinte médiévale est remplacée partiellement par une enceinte dotée de tours bastionnées à deux niveaux de mousqueterie. Pour la citadelle, il construit les dehors : la demi-lune orientale qu’il crée est précédée
d’un chemin-couvert à traverses et d’une contrescarpe, et est reliée au corps de place par une caponnière sous le pont de la porte. À l’intérieur, il démolit le château médiéval pour le remplacer par le logement du gouverneur et du major, des casernes, un arsenal, une chapelle et un puits à l’épreuve.
En 1693, il projette d’ajouter un ouvrage à corne devant la demi-lune orientale mais celui-ci n’est pas réalisé. Vauban dût faire preuve d’une grande capacité d’adaptation au terrain pour bâtir cette citadelle. En effet, la longueur du site est de 600 mètres et sa largeur n’est que de 150 mètres.
Bon séjour...
ITINERAIRES
En savoir plus sur le trajet : https://www.ibpindex.com/
ibpindex/ibp_analisis_completo.
php?REF=38534994554388&MOD=H- KG&LAN=fr&REM=ffr&SMD=
PHOTO : Citadelle Vauban, Saint-Jean-Pied-de-Port (64220) © Pierre Carton
La veille, le spectre d’une annulation planait encore : « la météo est vraiment incertaine et nous ne pouvons pas randonner dans de mauvaises conditions avec le public particulier que nous accueillons sur ces sorties Rando Santé ».
Jean-Pierre Laroche, président du club corrézien Rando des Causses, médecin de son état et grand spécialiste de la Rando Santé, y a cru et il a eu raison : la rando aura bel et bien lieu.
Comme tous les mardis, le rendez-vous est fixé sur un parking de la zone Ouest de Brive avant un départ en covoiturage vers le point de départ. « Aujourd’hui, nous allons marcher à Terrasson. Nous avons 17 circuits à disposition pour la Rando Santé. En été, nous allons volontiers sur des sentiers ombragés. En hiver et lorsqu’il y a des nuages, les circuits plus dégagés font parfaitement l’affaire. »
Si Jean-Pierre a répertorié autant de circuits accessibles au public Rando Santé, ce n’est pas uniquement pour pouvoir s’adapter à la météo du jour :
« Ce n’est pas parce qu’il y a des critères stricts pour cette pratique que l’on doit se contenter de valider un seul circuit adapté et tourner en rond toute l’année au même endroit. Une Rando Santé ne doit jamais être considérée comme une « sous randonnée ». Les participants méritent une attention particulière. Cela passe par varier les plaisirs d’une semaine sur l’autre. » Cette « attention particulière » dont parle Jean-Pierre Laroche est au cœur de l’état d’esprit de Rando Santé, et les consignes d’avant départ l’illustrent parfaitement :
« les habitués le savent mais je vais le dire pour les personnes venues pour une rando découverte : chacun marche à son rythme, sans vouloir suivre à tout prix la personne à côté.
Vous faites votre propre parcours comme vous l’entendez, à votre rythme, et si besoin, nos 5 animateurs seront là pour vous soutenir et vous conseiller ».
Rando Santé® : Quelques kilomètres de chaleur et de bienveillance
« Une Rando Santé® n’est pas une sous-rando »
RANDO SANTÉ®
Jean-Pierre Laroche donne quelques informations sur la rando du jour
RANDO SANTÉ®
Dès les premiers mètres, la bienveillance s’invite au plus près des 25 randonneurs: regards attentifs, propos complices, échanges détendus, l’ambiance conviviale est clairement de rigueur.
Partager chaque semaine quelques kilomètres de chaleur est visiblement addictif : avant même de reprendre les voitures et de retrouver leur quotidien, les randonneurs évoquent déjà l’heure des retrouvailles.
Il faudra attendre mardi prochain. Grâce à la mise en place de Rando Santé, la FFRando a choisi de ne laisser personne sur le bord du chemin. Et le succès grandissant de ces sorties au cadre infiniment protecteur ne se dément pas !
« Nul besoin de justifier d'une
pathologie pour pratiquer en Rando Santé », nous a expliqué Jean-Pierre Laroche.
« Il faut simplement un certificat de non contre-indication à la pratique de la randonnée, et les personnes susceptibles d'avoir besoin de
médicaments lors des sorties doivent les avoir sur eux. Les animateurs ne sont pas au courant des éventuelles pathologies des participants, cela relève du secret médical.
Nous savons simplement que nous sommes en mesure d'accueillir en sécurité des personnes en
difficulté, permanente ou temporaire, à partir du moment où aucun
équipement particulier et aucune tierce personne n'est nécessaire pour avancer.
Nous accueillons par exemple des non-voyants, des gens souffrant de rhumatismes, de cancer, de surpoids, de problèmes cardio- vasculaires, de dépressions, etc.
Nous ne posons aucune question, à personne.
Chacun est accueilli tel qu'il est, dans le respect le plus absolu.
L'essentiel réside sans doute dans le fait que les participants, en ayant une activité avec d'autres personnes en proie à des difficultés, se rendent compte qu'ils ne sont pas les seuls à porter leur calvaire. »
QUI PEUT PRATIQUER EN RANDO SANTÉ ?
En savoir plus sur Rando Santé et le label Santé
de la FFRando : https://www.ffrandonnee-nouvelle-aqui- taine.com/copie-de-sport-sante-bien-etre-3
« Ma fille me dit souvent que je suis la seule sportive de la famille, et elle n'a pas tort. Pas facile de les faire bouger nos jeunes ! ». Jeanine, 81 ans en mai prochain, affiche un large sourire.
Grâce à Rando Santé et à la liberté laissée à chacun de marcher à son rythme, elle n'a jamais cessé d'avancer. « Dans les années 80 et 90, nous partions en groupe du Soulier, à côté du Lac du Causse, et on filait sur l'Hospitalet, vers Rocamadour. Plus de 50 km, rendez-vous compte ! C'est fini depuis longtemps ce temps-là, mais j'en garde énormément de très bons souvenirs. »
L'émotion est palpable. Jeanine aime se rappeler les temps anciens, quand la mobilité n'avait pas été affectée par l'âge, quand elle était entourée de ses amis, de ses collègues, et de son mari aujourd'hui disparu et dont elle s'est occupée au plus fort de la maladie.
« La marche m'a tellement aidée dans ces moments-là. Et elle m'aide encore. J'ai même acheté un tapis de marche pour pouvoir pratiquer quand la météo ne s'y prête pas. Tu comprends ça, toi, André », lance-t-elle à son voisin de rando.
« Nous avons vécu un peu les mêmes épreuves, alors tu sais ce dont je parle... »
André comprend. Mieux que quiconque sans doute. La similitude entre les parcours de ces deux-là est évidente et a permis de tisser un lien particulier teinté de pas mal de pudeur.
« Si j'ai choisi de me former à l'animation Rando Santé, c'est parce que j'ai vécu moi-même quelques problèmes de santé.
Et je sais à quel point il est indispensable d'être soutenu quand ça ne va pas très fort, sur le plan physique comme sur le plan mental d'ailleurs. Parce que, vous savez, sur ce type de randonnées, nous le savons bien : nous sommes tous un peu des cabossés d'un côté comme de l'autre... ».
« Nous sommes tous un peu des cabossés »
«La marche m'a tellement aidée lorsque j'étais en difficulté»
RANDO SANTÉ®
Elle propose de rejoindre Paris via de grandes itinérances depuis les quatre coins de la France, de partir de la périphérie de notre territoire. En Nouvelle-Aquitaine, 5 7 villes sont désignées comme villes olympiques, dont BORDEAUX et PAU.
Le challenge : rallier Paris grâce à nos GR®, GRP® ou PR®
labélisés.
Les parcours devront utiliser au plus les GR®-GRP®-PR®
répertoriés Une façon de valoriser mondialement le travail de nos baliseurs bénévoles. Pour ce faire- valoir, nous en appelons à la coopération de nos comités départementaux et des clubs associatifs afin de constituer un noyau dur pour accompagner nos ambassadeurs choisis dans l'épreuve l’aventure de la remontée sur Paris.
A ces parcours primaires d'autres voies itinéraires secondaires convergeront vers l’itinéraire principal pour permettre au plus grand nombre de participer. Cette transhumance doit rallier toutes populations confondues de randonneurs fédérés ou non, les touristes ou même les sportifs olympiques qui souhaiteraient s'y joindre.
P.A.R.I .2024
L'Objectif Olympique de la FFRandonnée
monte en puissance vers l'année Olympique.
En vue des jeux olympiques, la fédération envisage une imense convergence nationale considérée comme une grande fête du sport, performances,
fraternité, convivialité et défi.
Charente
Charente-Maritime Haute-Vienne
Vienne
Gironde
Pyrénnées-Atlantiques
Correze Creuse Deux-
Sèvre
Dordogne
Landes
Lot-et-Garonne
BORDEAUX
PARIS
LES INTINÉRAIRES SONT
SÉCURITÉ
« Pour marcher, il suffit de savoir mettre un pied devant l’autre, alors à quoi bon adhérer à la FFRando ! » Cette phrase, les acteurs de la randonnée l’ont entendue mille fois. Nous n’allons pas ici lister les excellentes raisons d’adhérer, une page ne suffirait pas.
Focalisons-nous sur une seule de ces bonnes raisons : marcher en sécurité et ainsi d’arriver à bon port en parfait état, sans passer par la case urgences. Ce qui n’est pas rien, vous en conviendrez.
Sécuriser l’avancée d’un groupe ne s’improvise pas. Il s’agit d’abord de respecter des règles, en l’occurrence celles du Code de la Route, et ensuite de savoir jongler avec ce qui relève non pas des obligations légales mais de recommandations.
Les animateurs de randonnées sont formés par la FFRando sur cette problématique, plus technique qu’il n’y parait, de la circulation d’un groupe sur les voies pouvant être empruntés par des véhicules.
Que dit le Code de la Route et quelles sont les recommandations ?
Les bases sont limpides : « lorsque des groupes de randonneurs sont amenés à emprunter des routes, ils sont tenus de respecter le code de la route (voir articles R412-34 à R412-43) ».
Ainsi, s’il existe un accotement ou un trottoir, il doit impérativement être utilisé, quel que soit le côté de la route où il se situe (R412-34 du code de la route). Sans trottoir ni accotement, les piétons circulent à gauche en colonne par un (R412-34 du code de la route), sauf si cela est de nature à compromettre la sécurité du groupe.
C’est bien là où les animateurs formés par la FFRando deviennent indispensables : eux ont les connaissances et l’expérience pour déterminer s’il faut
marcher soit sur la gauche en colonne par un (le choix par défaut, donc), soit sur la droite de la chaussée. En cas de déplacement sur la droite de la chaussée, il est possible de marcher en colonne par deux, en prenant garde de ne jamais empiéter sur la voie de circulation se trouvant sur la gauche.
Lorsqu’un groupe est de taille importante (plus de 20 personnes), il est recommandé de le scinder en plusieurs groupes et de les faire avancer par défaut en colonne par deux sur le côté droit. Chaque groupe ne peut occuper plus de 20 m en longueur et un espace de 50 m doit être conservé entre chaque groupe afin de faciliter le dépassement des véhicules.
Dans tous les cas, il est fortement conseillé d’avoir une personne à l’avant, une autre à l’arrière et un éclaireur pour les virages, de signaler aux véhicules la présence de randonneurs avec des gestes, des éléments lumineux et des gilets réfléchissants.
Ces recommandations relèvent du bon sens, a fortiori dans les virages ou à proximité du sommet d’une côte, mais les rappeler n’est jamais inutile.
Reste une problématique récente : celle des véhicules électriques, de plus en plus présents dans notre environnement. Ceux-ci avancent en silence. Les animateurs de la FFRando ont parfaitement conscience du danger potentiel que cela représente et le prennent d’ores et déjà en considération en étant encore plus vigilants qu’à l’accoutumée lorsque les groupes sont contraints d’emprunter des voies de circulation.
En conclusion, libre à chacun de marcher sur les voies du circulation. Dans tous les cas, le Code de la Route doit être respecté. La plus-value d’une randonnée encadrée par des animateurs FFRando réside dans la capacité de ces personnes parfaitement formées à sécuriser la pratique.
Quelques règles et recommandations pour marcher en sécurité
Randonner oblige parfois à circuler sur des voies de circulation empruntées par des véhicules motorisés. Petit tour des règles et recommandations pour marcher en sécurité.
Les indispensables animateurs FFRando
Le prix de la tranquillité
TECHNIQUE
Pour calculer l’effort à fournir lors d’une randonnée, de nombreux critères peuvent être pris en compte :
- Distance - Durée
- Dénivelée positive - Dénivelée négative - Vitesse - Etc…
La FFRandonnée, recommande l’utilisation d’un outil développé par une société Catalane : Ibp index.
Vous le trouverez en suivant le lien :
https://www.ibpindex.com/index.php/fr/Il évalue à l’appui du fichier GPX enregistré, un indice calculé essentiellement sur la distance et la dénivelée.
Il existe aussi la possibilité basée sur la notion suivante : un kilomètre avec une dénivelée demande plus d’effort qu’un kilomètre sur du plat.
Il est possible alors de déterminer en Km l’effort supplémentaire fourni. Le raisonnement consiste à estimer que
100 m de dénivelée correspondent à 1 km supplémentaire à ajouter à la distance totale du parcours.
Exemple :
Une randonnée de 12 km avec une dénivelée positive de 750 mètres. Vous pouvez considérer que ces 750 mètres de montée demandent un effort supplémentaire de 7.5 km.
Le résultat en KME vous permettra d’estimer votre randonnée à 19.5 km d’équivalent
distance parcourue sur du plat.
Bien sûr, l’application de 1 km pour 100 mètres de dénivelée est une estimation qui peut varier selon les écoles.
D’autre part, un coefficient supplémentaire peut être appliqué pour les descentes. Ce coefficient est de 0.25 par 100m de dénivelée négative.
A la fin de la randonnée, le randonneur pourra ainsi se comparer sur une sortie effectuée sur plaine.
Comment bien évaluer la durée d’un randonnée avec le dénivelé
Un petit calcul simple à connaitre : le KME, ou « kilomètre Effort » De l’avis général, une randonnée de 15 km sur du « plat » et une
randonnée de 15 km avec des côtes, ne provoquent pas la même fatigue.
Explications pour évaluer vos performances
Le comité Régional est présent sur les réseaux sociaux pour vous proposer du contenu d’actualité.
Pour nous aider, rien de plus simple, il vous suffit avec votre compte personnel de chercher @ffrandonnee.
nouvelleaquitaine.
Le but est pour nous de relayer vos plus belles photos de randonnée et de mettre le randonneur au cœur de notre communication.
Notre objectif est de communiquer au mieux sur les actions de vos club et des comités departementaux, notre atout c’est vous !
C’est pour partager, commenter, créer du lien entre les clubs, vous et nous et pour montrer votre passion fièrement. C’est pour mettre en avant &
partager les photos, vidéos de vos plus belles randos.
Donner envie à d’autres de marcher, longer et de se challenger.
Réseau professionnel et actifs, si vous êtes des grands actifs au sein du comité ou votre club, vous pouvez l’ajouter à votre CV en tant qu’emploi ou bénévolat.
Vous pourrez y suivre aussi les différentes actualités du développement de la fédération si vous voulez être
«corporate» et tout savoir sur la FFRandonnée.
Qui de mieux pour parler de randonnée que nous les randonneurs ? Nous sommes les ambassadeurs de la randonnée et le comité régional compte sur nous.
N’hésitez pas à nous envoyer, infos & photos, sur facebook, instagram & LinkedIn.
Facebook, Instagram & LinkedIn, communiquez notre passion sur les réseaux RÉSEAUX SOCIAUX
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Les meilleurs communicants ce sont les adhérents
La présence sur les réseaux sociaux est aujourd’hui indispensable à toute
communication. Sur Facebook un post bien ecrit, publié à la bonne heure, avec des belles photos touche un maximum de personnes. Le Championnat Longe Côte a fait gagner à la FFRandonnée Nouvelle-aquitaine entre 1500 et 1800 visites par jour.
FFRandonnée - Comité Régional de Randonnée Pédestre
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Nouvelle-Aquitaine
Le Comité a besoin de vous !
PORTRAIT
Depuis décembre, la FFRando Nouvelle-Aquitaine compte une nouvelle salariée : Charlène Bonnet, 26 ans, est assistante en communication « Mon rôle ? Rendre la randonnée plus sexy, si j'ose dire ! » Charlène affiche un large sourire. Résumer ainsi, très succinctement, la mission qui est la sienne l'amuse et en dit pas mal sur sa personnalité enjouée et attachante.
Pour faire un peu moins court, disons que Charlène a pour mission de faire germer quelques graines de passion chez les nombreuses personnes qui ignorent encore tout de la FFRando et de ses pratiques, et de renforcer le sentiment d'appartenance à la communauté des randonneurs chez les licenciés.
L'entrée de cette passionnée de théâtre, née en Vendée, infographiste et community manager de formation, sur la scène régionale de la randonnée a suscité l'enthousiasme : les administrateurs bénévoles lui ont déroulé le tapis rouge, et Charlène devrait être très vite propulsée en haut de l'affiche en ce qui concerne la stratégie de communication. D'elle, on attend beaucoup.
Et la jeune femme compte bien être à la hauteur des espoirs que l'on a placés en elle.
« C'est très valorisant de constater que l'on m'accorde un tel niveau de confiance », reconnaît Charlène. « Je suis déterminée à répondre aux attentes des administrateurs bénévoles : communiquer plus et communiquer mieux sur l'ensemble de nos supports, à commencer par les réseaux sociaux qu'il convient d'alimenter régulièrement pour gagner en visibilité et en notoriété auprès d'un public que l'on ne touche que trop peu. »
Toutes les conditions sont désormais réunies pour que la communication de la FFrando Nouvelle- Aquitaine devienne plus fiable, plus fluide, plus efficace, et pour qu'elle éclaire un maximum de personnes sur les
Pour l'heure, la jeune femme travaille à découvrir et à intégrer la communauté des randonneurs « pour mieux la connaître et pour communiquer non pas pour elle, en imposant mes idées et mes points de vue, mais avec elle ».
La tête bien faite, Charlène a très vite compris l'essentiel : construire une stratégie de communication digne de ce nom passe par une parfaite connaissance du milieu que l'on doit, à terme, valoriser auprès de nombreux publics. Et pour mettre du cœur à l'ouvrage, on peut compter sur elle :
« idéalement, je souhaiterais tester toutes les pratiques, ceci en faisant le tour des départements de la Nouvelle- Aquitaine pour rencontrer l'ensemble des acteurs de la randonnée sur leur terrain de jeu ! ».
Motivée comme jamais, avide de toujours en apprendre plus sur un milieu qu'elle n'a découvert que récemment, Charlène, aura sans doute à plus long terme, à mettre ses compétences au service des départements, en fonction de leurs besoins en communication.
