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￿￿￿ THÉORÈME D’INVERSION LOCALE, THÉORÈME DES FONCTIONS IMPLICITES. EXEMPLES ET APPLICATIONS EN ANALYSE ET EN GÉOMÉTRIE.

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Texte intégral

(1)

��� THÉORÈME D’INVERSION LOCALE, THÉORÈME DES FONCTIONS IMPLICITES. EXEMPLES ET APPLICATIONS EN ANALYSE ET EN GÉOMÉTRIE.

I. Théorèmes d’inversion

[Rou��, Ch�, p���] [Gou��, §�.�, p���]

TIL : on veut généraliser le fait que sifestC1et monotone alorsf≠1estC1 Définition d’unCk-di�éomorphisme (local)

Théorème d’inversion locale (figure) : c’est une condition su�isante

Contre-exemple :f(u) =u+u2sin(fi/u)est dérivable de dérivée non nulle maisfn’est pas localement injective en0car elle n’est pasC1

Applications :M ‘≠æ Mpest unC1-di�éomorphisme local enInæexistence d’une racine p-ième matricielle,expest unC1-di�éomorphisme local enIn

Exemple [Gou��, exo�, p���]

Théorème d’inversion globale

Contre exemple sansfinjective [Rou��]

Application : changement de variables en coordonnées polaires, calcul des

Re≠x2dx Interprétation du rôle du jacobien comme limite d’un volume, en utilisant le TIL

II. Théorème des fonctions implicites

[Rou��, Ch�, p���] [Gou��, §�.�, p���]

TFIExemple en dimension�[Gou��, p���]

Exemple :f(h, x) = (x≠a)(bx) +hx3. Pourhsu�isamment petit, on a trois zéros defdont on donne un développement asymptotique

Paramètrage du cercle. Exemple d’application à la recherche de0 Théorème : TFI et TIL sont équivalents

T��������. [�������� ��� ������� ����]

Soitf, g1, . . . , gr:U µRn≠æRdes fonctions de classeC1définies surUouvert.

Notons ={xœU|g1(x) =· · ·=gr(x) = 0}. Sif| admet un extremum local enaœ et si les formes linéaires(dg1(a), . . . , dgr(a))sont libres, alors il existe des réels (uniques)

1, . . . ,⁄r, appelés multiplicateurs deL�������, tels que df(a) =

ÿr i=1

idgi(a)

Application à la diagonalisation d’un endomorphisme symétrique en base orthonormée

III. Changement de coordonnées

[Rou��, Ch�, p���]

Changement de coordonnées, application pour une EDP [Rou��, Ch�, Ex.��]

Immersion, submersion, rang constant Remarque : tout cela généralise le TIL

T�������. [����� ��M����]

Soitf :U ≠æRune fonction de classeC3définie sur un ouvertUdeRncontenant0. On suppose quedf(0) = 0etd2f(0)est non dégénérée, de signature(p, n≠p).

Alors il existe unC1-di�éomorphismeÏentre deux voisinages de l’origine deRntel que

„(0) = 0etf(x)≠f(0) =Ï(x)21+· · ·+Ï(x)2pÏ(x)2p+1≠· · ·≠Ï(x)2nau voisinage de0.

IV. Sous-variétés de R

n [Rou��]

Sous-variétés, exemples, vecteurs tangents, Exemples : ouvert deRn, espace discret, sphère interprétation géométrique des extrema liés

ÉNS Paris-Saclay –����/���� AntoineB������–https://perso.ens-lyon.fr/antoine.barrier/fr/ Page���sur���

(2)

Agrégation – Leçons ���– Théorème d’inversion locale, théorème des fonctions implicites. Exemples et applications en analyse et en géométrie.

������

Dessins des di�érents théorèmes et de quelques exemples

������������

Intérêt du TIL est de résoudre l’équationy =f(x)! Celui du TFI est de trouver une paramétri- sation def(x, y) = 0au voisinage d’un point annulateur. Faire un dessin pendant le speech!

Le [Rou��, Ch�] est bien adapté mais manque de certaines preuves.

���������

Q RésoudreX3+X2X =AAest une matrice deMn(R).

R On posef(X) =X3+X2X.fest di�érentiable et

df(X)H =X2H+XHX+HX2/XH+HXH

Doncdf(In)H = 4H. Sur un voisinage deInetAsu�isamment proche deIn, on aX = f≠1(A).

Q Calculer la di�érentielle deXœMn(R)‘≠æX3.

R Soit on fait le calcul à la main, soit on introduit l’application trilinéaire(X, Y, Z)‘≠æXY Z.

Q Soitf :]0,1[≠æR2injective sur son image etC1. Son image est-elle une sous-variété?

R Pas forcément! Penser au lasso.

�������������

[Gou��] X.G������:Les maths en tête - Analyse. Ellipses,�èmeédition,����.

[Rou��] F.R�������:Petit guide de calcul di�érentiel. Cassini,����.

ÉNS Paris-Saclay –����/���� AntoineB������–https://perso.ens-lyon.fr/antoine.barrier/fr/ Page���sur���

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