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E. MACH. — Ueber die Stefan'schen Nebenringe am Newton'schen Farbenglase (Sur les anneaux supplémentaires aux anneaux colorés de Newton, décrits par Stefan, et quelques phénomènes d'interference voisins); Annales de Poggendorff, t. CI., p. 625

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00236940

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236940

Submitted on 1 Jan 1874

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E. MACH. - Ueber die Stefan’schen Nebenringe am Newton’schen Farbenglase (Sur les anneaux

supplémentaires aux anneaux colorés de Newton, décrits par Stefan, et quelques phénomènes d’interference

voisins); Annales de Poggendorff, t. CI., p. 625

E. Bolty

To cite this version:

E. Bolty. E. MACH. - Ueber die Stefan’schen Nebenringe am Newton’schen Farbenglase (Sur les

anneaux supplémentaires aux anneaux colorés de Newton, décrits par Stefan, et quelques phénomènes

d’interference voisins); Annales de Poggendorff, t. CI., p. 625. J. Phys. Theor. Appl., 1874, 3 (1),

pp.193-195. �10.1051/jphystap:018740030019301�. �jpa-00236940�

(2)

I93

fisante pour les dissoudre. ne donnent pas de solutions

identiques

pl-lur les deux

mélanges

d’un même

couples.

En est-il encore de meale

quand,

au lieu de cliercher a obtenir des solutions saturées, on

prepare

au contraire des solutions tres- etendues?

D’après

MM. Favre et ’-a1son

(1),

nous dcvons penser

qu’alors

la

solution,

contenant les sels

dissociés,

a, dans tous les cas, une

composition identique.

C’est ce que l’auteur a vcrine par

une methode

nouvelle,

la determination des

points

de

congélation

de ces solutions de

inelanges

normaux inverses. 11 a ainsi trouvc Ics

points

de

congclation

suivants :

De ces deterlninations et de déterminations

analogues

sur lcs sels

du dernier

couple (nitrate

dc soudc ct chlorure

d’aminoiiiuni,

clilorure de sodium et nitrate

d’ammnoniaque),

il rcsultc quc les dissolutions salines

trcs-ctcndues,

de ineme

composition

etcmen-

taire,

se

comportcnt

de meme relativement ä lcur

point

de

congeia-

tion : il cst donc

probable

que lcs elements

s’y

trouvent non-

seulement cn meme

proportion,

inais encore dans le mcmc etat

d’équilibre.

VIOLLE.

E. MACH. 2014 Ueber die Stefan’schen Nebenringe am Newton’schen Farbenglase (Sur les anneaux supplementaires aux anneaux colores de Kewton, decrits par Stefan, et quelques phénomènes d’interference voisins); Annales de Poggendorff, t. CI., p. 625.

Stefan a décrit un système

d’anneaux que

l’on observe dans l’es- pace incolore au delà tles anueaux dt’

Newton, quand

on recouvre

la 1110itie de la

plpille

avee une feuille de mica. Les rayons Interfé-

rents,

auxquels 11

(.il t

déjà communiqué

mm différence : dt’

marclie

A,

sont divisés par le llliLa eii deux faisceaux, et celui

qui

traverse la lamc mince

acquiert

un 1l0uycau retard B. On ,-1 donc a

(t Voir même tome, p. go.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018740030019301

(3)

I94

considerer

quatre systemes

de rayon,

parmi lesquels il

en est deux

qui

ont une diilerence de marche

egale

ä

A - B ;

ces derniers peu-

vent

interferer,

alors meme que A est

trop grand

pour

produire

un

phenomene

d’interference

v isible,

pourvu que A - B soit suffit-

samment

petit.

C’est ä ces rayons que Stefan attribue la

production

des anneaux

supplementaires.

A un autre

point

de v ue, on

peut

considerer la lumiere

qui

emane

de

l’appareil

de Newton comme une lumiere dans

laquelle

cer-

taines

couleurs

sont eteintes. Une deuxieme

interference, indepen-

dante de la

premiere, peut

y cteindre de nouvelles

couleurs,

de telle

sorte que, si l’on observée le

spectre

de cette

lumiere,

on y recon- naitra dcul

systemes

de bandes

sombres, l’une correspondant

ä

la

différence de marche

A, l’autre

ä la difference de marche B. Les deux

systemes

de

bandes, disposes

l’un par

rapport

ä l’autre comme les divisions d’une

regle

et de son

vernier, ouriront,

pourvu que A - B soit assez

petit,

un

phenomene analogue

aux battements acous-

tiques,

et la lumierc pourra se trouver coloree

par la superposition

de deux

systemes, incapables

par eux-menies de

produire

aucune

coloration.

Etant

donnce une couleur

d’interférence

d’ordre eleve

qui

ne se

distingue plus

du

blanc,

on pourra la ramener,

d’apres

ces

prin- cipes,

ä un ordre

inferieur,

ä la condition d’eteindre de nouvelles

couleurs,

avant ou

apres l’interference, d’une

maniere

qui reproduit

presque

identiquement

la meme extinction. On y

parviendra :

10 Pnr une noitpelle

interference.

- Si l’on

place

entre deux

nicols

N1

et

N2 une pladuc

de

quartz epaisse parallele à l’axe,

entre

N2

et un troi sieme nicol

Ns

un autre

quartz d’epaisseur

presque

egale,

ä faces

legerement inclinees,

le

Systeme

montre des

franges

mates

qui correspondent

ä la diflerence des deux

quartz.

11 en est

de meme si l’on

projette

sur un ecran une

image reelle

du

Système N1 Q1N2,

et

ciu’oii l’ol)serve

ä trav crs le

Systeme N3 Q2N4 .

Enfin

deux

quartz perpendiculaires

ä

l’axe, trop epais

pour montrer les couleurs de la

polarisation rotatoire,

fournissent des couleurs par

ce

procede.

2° Par une

absorption.

- Si l’on

produit

]es anneaux de

Newton avcc la lumiere

qui

a traverse un v ase

rempli

de vapeurs

d’acidc

hypoazotique,

on voit

apparaitre

les anneaux

supplemcn-

taires,

mais avec des couleurs dinerentes de celles des anneaux de

(4)

I95 Newton,

parcc que les bandes sombres de l’acide

hvpoazntiquc

nc

sont pas

disposees

dans le meine ordre que colles du sp c’ou- leurs newtoniennes. On

peut remplacer les vapeurs

n, par

une solution faible de didvme, ou par un verre de didvme, ou 1’n’n

tout

simplemeiit

par une solution de

pcrmanganate

de

potasse

dans

l’huile d’olive.

3° Par un

procédé purement mécanique

2013 On

recoit

un fais-

ceau de rayons

paralleles

sur uii

prisme,

au dcia

duquel

on

place,

un rescau

grossicsr

avec ses fcutps

parallèles

;B l’arète réfringente, et

à une distance telle que le

rcscau, regardé

a travcrs le

prisme,

pa- raisse entieremcnt

blanc, excepté

vers les bords. Les traits obscurs du reseau

etcigncut mécaniquement

certaines couleurs par leur

illterposition,

ct, si l’on

reçoit

In lunilcrc ainsi modifiée sur

l’appa-

reil de

Newton,

on volt

apparaitrc

les anneaux

supplementaires ;

on volt aussi dcs

frange

à travcrs un

quartz epais, parallèle

1, r tBc

interposé

cutre deux

iiicols,

dcrncrc lc reseau. Dans ce dernier cas,

on

pcut

se convaincre que les

franges

ohtpuucs ne sont pas les

franges

dc diuraction du

rcscau,

car la rotation de la lame de

quartz

entraine la rotation dcs

angle,

ct son ablatiun lcs fait

disparaitre.

E. BOLTY.

THE AMERICAN JOURNAL OF SCIENCES AND ARTS.

(2e

SÉRIE, TOME IV; I873.)

OGDEN G. ROOD. - Sur un micromètre oculaire d’emploi commode

dans les spectroscopes, p. 44.

Ce micromètre se compose

simplement

d’une

petite plaque

cir-

culairc que l’on a

coupée

en

deux;

sur le bord

rectiligne

d’une des

moitiés,

on grave à la machine une division

au §

ou au _,- de milli-

mette,

et on! Introduit dans l’oculaire de la lunette. Dans le tube de la

lunette,

entre l’0153il ct le micromètre. on

pratique

une

petite

ouverture destinée à éclairer h s divisions. soit avec la lumière diffuse

du jour,

soit avec une

petite. lampe

assez eloignée.

Ce micromètre a

l’avantage

de pouv oir servir

également

pour les recherches faites avec les

prismes

uu avec les réseaux.

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