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Logiciel libre, utilisateurs libres, militants libres...

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Academic year: 2022

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Logiciel libre,

utilisateurs libres, militants libres...

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Plan du dossier:

I) Qu'est-ce qu'un logiciel libre ? II) Logiciel libre et éducation III)Les CEMEA et le logiciel libre

IV)Quelques liens parmi tant d'autres...

I) Qu'est-ce qu'un logiciel libre ?

À la fin des années 70, le laboratoire d’intelligence artificielle du Massachusetts Institute of Technology reçoit une nouvelle imprimante de marque Xerox, soumise à un mal récurrent : le bourrage de papier. Richard Stallman, l’un des informaticiens, tente de récupérer le code-source [1]

du logiciel qui pilote l’imprimante et de le modifier pour réparer les erreurs de conception. C’est ainsi que Stallman et les autres informaticiens de sa génération ont toujours pratiqué. Mais les temps ont changé et le code du logiciel de l’imprimante n’est pas disponible, c’est la propriété de Xerox et la firme ne compte pas laisser quiconque y toucher. L’imprimante continuera ses bourrages et Stallman en retirera une certaine aversion envers les logiciels « propriétaires », protégés par un copyright restrictif. Quand, en 1985, il quitte le MIT, il fonde la Free Software Foundation dédiée à la mise au point de logiciels librement copiables et modifiables.

« J’estime que la Règle d’or est que, si j’aime un programme, je dois le partager avec d’autres qui aiment ce programme. Les éditeurs de logiciels cherchent à diviser et à conquérir les utilisateurs, en interdisant à chacun de partager avec les autres. Je refuse de rompre la solidarité avec les autres utilisateurs de cette manière », écrit Stallman dans un manifeste fondateur [2].

La principale innovation de Richard Stallman n’est pas technique, mais juridique et politique.

Lorsqu’il a fondé la Free Software Foundation, il ne s’est pas contenté d’écrire des milliers de lignes de code d’un système d’exploitation (OS, operating system) complet pour ordinateur, un projet nommé GNU . Il a conçu un outil légal : la GPL (General Public license), un contrat joint à chacun des logiciels libres qui garantit explicitement les libertés données aux utilisateurs. Pour comprendre l’importance de la GPL, il faut rappeler que le droit d’auteur, ou le copyright, se focalise sur les droits garantis à l’auteur. Ceux du public sont quasi inexistants : par défaut, toute œuvre, logicielle ou non, appartient à son auteur. Les utilisateurs, lecteurs, ou auditeurs, n’ont d’autres droits que ceux concédés explicitement. Avec la GPL, Stallman a donc joué le jeu du propriétaire, mais plutôt que de préciser ce que l’utilisateur ne peut pas faire, la licence définit ce qu’il peut faire.

En l’occurrence, quatre libertés et une obligation sont ainsi définies :

1- la liberté d'utiliser le logiciel sans restriction pour tout usage 2- la liberté d'étudier le fonctionnement du programme

3- la liberté de copier et de redistribuer ces copies

4- la liberté d'améliorer le programme, de le traduire, de l'adapter à ses besoins et de publier ces améliorations de telle sorte que la communauté toute entière en bénéficie

obligation de maintenir la GPL sur tout logiciel dérivé.

Cette dernière disposition

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garantit que toute personne s’appuyant sur un logiciel libre pour concevoir un nouveau programme doit respecter à son tour les quatre libertés garanties par la licence.

En 1991, Linus Torvalds, un étudiant finlandais de l’université d’Helsinki, s’appuie sur le travail de Stallman et conçoit Linux, le noyau du système d’exploitation, la dernière pièce de l’ensemble. C’est le début de GNU/Linux [3], promis à une croissance fulgurante. Des milliers de programmeurs dans le monde apportent leur contribution.

Une dizaine d’années après sa première mise à disposition, Linux, symbolisé par sa mascotte Tux le manchot, est le concurrent n°1 de Microsoft. Sur le marché des serveurs - ces ordinateurs indispensables pour faire tourner les sites web, les bases de données etc.. - le système connaît une croissance de plus de 50% chaque année.

Le succès des logiciels libres ne se cantonne pas aux systèmes d’exploitation. De nombreux logiciels libres fonctionnent aussi bien sous Linux, sous Windows ou sous Mac OS X.

La suite bureautique Office (traitement de texte, tableur...) de Microsoft est concurrencée par une version libre, OpenOffice. Le principal logiciel dominant qui permet de diffuser des sites sur l’Internet se dénomme Apache et est adaptable et modifiable à l’envi selon les besoins des utilisateurs. Microsoft, qui propose sa propre mouture d’un tel programme, n’est jamais parvenu à l’imposer. En février 2004, plus de 67% des serveurs tournaient avec Apache, contre 21% avec le programme de la firme de Bill Gates .

Le succès du mode de production des logiciels libres - appelé style Bazar par opposition au style Cathédrale [4] des entreprises hiérarchisées adeptes de l’appropriation - n’est pas survenu par hasard. L’avènement de l’Internet grand public est évidemment l’un des éléments-clefs d’explication.

Les réseaux ont assuré aux logiciels libres un canal de distribution rapide et peu onéreux, capable d’acheminer les dernières versions et de recevoir aussi vite les améliorations, suggestions et corrections, en provenance des utilisateurs.

Le logiciel libre n'est donc pas hostile au commerce. Un logiciel libre n'est gratuit pour l'utilisateur que lorsque son développement est payé ! Mais il n'est pas payé qu'une seule fois, et sert avant tout la liberté de ses utilisateurs.

Attention aux faux amis ! Un logiciel libre n'est ni un « shareware »[5], ni « gratuit », ni « du domaine public ». Les logiciels gartuits ou « freeware » ou en version d'évaluation ne sont pas libres s'ils ne permettent pas l'accès au code source ou ne précisent pas le type de licence dont ils dépendent. Ils peuvent promettre des économies temporaires, mais ne donnent pas de garantie de liberté et sont souvent un mauvais choix sur le long terme.

Licence, code source: quelle importance si je ne suis pas développeur ?

Comme on l'a vu , la licence libre garantit l'accès au code source et la possibilité d'utiliser, étudier, copier et améliorer le programme. Ainsi, les utilisateurs d'un logiciel libre:

disposent via Internet d'une documentation et d'une expertise abondantes;

obtiennent aussitôt améliorations et mises à jour des logiciels;

bénéficient des correctifs lorsque des erreurs ou des failles de sécurité sont détectées.

Une entreprise ou une administration qui utilise un logiciel libre:

a la garantie que son produit est fiable et sûr, car il a été testé par une large communauté de

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spécialistes en toute transparence et indépendance;

peut faire appel à la société de services de son choix pour installer, mettre à jour ou personnaliser son logiciel, former son personnel... sans jamais être « prisonnier » d'un prestataire ou d'un éditeur.

L'utilisateur d'un programme non libre (on dit « propriétaire ») se voit imposer des limitations de la liberté d'utilisation, de distribution ou de modification du logiciel.

La fin du piratage ?

L'utilisation de logiciels illégalement copiés ou « craqués» pose un problème légal et éthique.

C'est illégal, inutile et dangereux, alors qu'existent des logiciels libres meilleurs, moins coûteux, plus sûrs et qui au travers de la licence GNU-GPL protègent les utilisateurs contre toute attaque en justice et garantissent que les personnes à qui il donne une copie du logiciel seront elles aussi dans la légalité.

Cette partie du dossier a largement été inspirée par les écrits de Florent LATRIVE dans un article « L’imprimante, le Finlandais et les manchots » que lui consacre le site « Framasoft » (http://www.framasoft.net/article3338.html), ainsi que ceux de Jean Peyratout (Président de SCIDERALLE) jean.peyratou@abul.org.

[1] On distingue dans un logiciel le « code-source », qui est écrit par les programmeurs et se présente sous forme d’un langage structuré, compréhensible et modifiable par un humain, du « code binaire » uniquement lisible par la machine. On passe du code source au code binaire par une opération baptisée « compilation ». Les logiciels dits propriétaires, notamment ceux de Microsoft, sont fournis directement en code binaire, sans le code source. On ne peut donc les modifier.

[2] Richard Stallman, « Le Manifeste GNU », in Libres Enfants du Savoir Numérique, l’Eclat, 2000.

[3] L’usage de GNU/Linux permet de créditer tout à la fois le travail de la fondation de Richard Stallman et celui de Linus Torvalds. Par facilité, c’est le seul mot « Linux » qui est le plus souvent utilisé pour évoquer GNU/Linux.

[4]Eric Raymond, « La Cathédrale et le Bazar », 1998, trad. Sébastien Blondeel, dispo. sur Biblio du Libre. Dans son article, Eric Raymond parle plutôt de style Cathédrale dans le cas du développement centralisé de logiciels, un modèle appliqué aussi souvent en milieu académique qu’en entreprise.

[5]Logiciel distribué gratuitement pour une période d'essai légale (de trente jours en général) au terme de laquelle, si on veut continuer d'utiliser le programme on doit payer l'auteur, ce qui donne droit à une version étendue du logiciel.

[6] Logiciel entièrement gratuit, qu'on peut copier comme on veut, MAIS son code ne doit pas être modifié, contrairement au logiciel libre.

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II)Logiciel libre et éducation.

La mission fondamentale de l’éducation est le partage et l’échange des connaissances, librement consenti et sans contrepartie financière.

Cet idéal est à l’évidence bien mieux en phase avec les mécanismes du logiciel libre.

On répète volontiers que ce que savent faire les enseignants, c’est enseigner, qu’ils ne sont pas programmeurs et n’ont pas vocation à se transformer en informaticiens. Il en va de même des éducateurs.

Pour cette raison, le logiciel libre représente un plus non négligeable:

l'accès au code source permet à qui sait faire de modifier un logiciel pour l'adapter au mieux à un besoin précis. L'utilisateur, le pédagogue peut de ce fait facilement rentrer en contact avec l'auteur du logiciel libre, exprimer ses attentes, ses besoins. Il existe d'ores et déjà (c'est le cas d'Abulédu par exemple) des équipes composées d'enseignants et d'informaticiens qui travaillent en collaboration pour développer des logiciels libres de qualité.

L’ouverture du code est aussi un gage de pérennité, dans la mesure où il est possible à un programmeur de reprendre un logiciel abandonné par son auteur, comme cela se produit fréquemment (on trouvera souvent dans les notices la mention "mainteneur actuel" à coté de celle d’"auteur").

Les logiciels libres générent des documents qui sont eux aussi dans des formats libres et ouverts, ce qui est essentiel pour la mise en commun des ressources au sein du système éducatif. Les logiciels propriétaires, au contraire, génèrent le plus souvent des documents dans des formats non pérennes, et souffrent de problèmes majeurs d’incompatibilité entre les différents environnements.

Leur disponiblité dans le temps et dans l’espace n’est pas garantie.

Il faut aussi souligner la possibilité de tester des solutions logicielles multiples et ouvertes, sans la contrainte d’un achat préalable. Les ressources offertes par les sites Internet de logiciels libres sont de ce point de vue considérables.

Dans son fondement même, le logiciel libre est conçu dans une logique de partage de savoir.

Il est frappant de constater à quel point cette logique dépasse le strict cadre de la conception logicielle. Il est en effet d'un usage plus que courant pour les utilisateurs du libre, de partager leurs expériences, leurs remarques, leurs réalisations sur des sites internet ou des listes de diffusion.

La grande majorité des logiciels éducatifs libres sont emprunts de cette philosophie dans leur conception même. Il ne s'agit pas de fournir un produit fini dont l'enseignant n'aura qu'à subir la démarche proposée. Il est ainsi d'usage de donner les moyens à l'éducateur d'apporter sa propre

« patte » au logiciel, par la possibilité d'y adapter sa propre démarche pédagogique, d'y rentrer ses textes, ses images...

La difficulté du néophyte à installer le logiciel va ainsi permettre la réalisation d'une fiche détaillée permettant au prochain de ne pas rencontrer la même difficulté, la mise à disposition d'une démarche pédagogique utilisant tel ou tel logiciel va permettre à chacun de l'enrichir, la commenter voire, mettre en oeuvre une évolution notable du logiciel. Il est ainsi impossible de trouver un logiciel

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éducatif libre sans que celui-ci ne soit accompagné de multiples fiches pédagogiques.

L'une des premières devises souvent rencontrées dans cette communauté du « libre éducatif » est:

« si tu ne sais pas, demande. Dès que tu sauras, partage! »

Nul besoin donc d'être un développeur de génie pour contribuer au développement du logiciel libre:

Exemple de proposition de contribution sur le site www.abuledu.org:

Vous aimez lire et écrire : vous pouvez relire une documentation, en écrire une nouvelle.

Produire des fiches pédagogiques autour de l'utilisation d'AbulÉdu et des logiciels du Terrier, les diffuser sous licence libres FDL et les déposer sur le site [libre.pedagosite- http://libre.pedagosite.net].

Vous êtes bilingue ou polyglotte : vous pouvez traduire une partie de l'interface d'AbulÉdu ou des logiciels.

Vous savez utiliser des logiciels : vous pouvez tester les versions beta en téléchargeant

des logiciels et en échangeant sur la liste béta.

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III)Les CEMEA et le logiciel libre

« Les CEMEA se revendiquent à la fois de l'Education nouvelle et de l'éducation populaire.

Ceci dépasse largement la seule mise en oeuvre de techniques éducatives particulières, ou l'inscription dans un humanisme généreux.

Nous avons pour objectif de donner à chacune des personnes participant aux actions de formations que nous organisons les moyens d'être des citoyens actifs dans une société plus juste et plus égalitaire, et d'être des acteurs conscients dans les groupes et les collectivités humaines où elles sont inscrites.

Nous avons pour objectif de favoriser la possibilité pour toute personne de devenir sujet et acteur politique de l'évolution et de s'investir dans un projet démocratique de société et dans un mode de développement conciliant les dimensions humaines, sociales, économiques et environnementales du monde. »

Cet extrait d'un présentation de notre mouvement montre à quel point, le formidable élan du logiciel libre et de sa philosophie ne peut nous laisser indifférents.

Comment sans devenir les « représentants de commerce » de développeurs de logiciels libres pouvons nous contribuer à notre manière à ce mouvement ?

Comment ce mouvement peut-il contribuer à enrichir nos pratiques ? Exemple des CEMEA Pays-de-la-loire:

Depuis maintenant plus de trois ans, nous nous sommes inscrits dans une logique visant à privilégier le logiciel libre:

Dans nos pratiques informatiques:

installation du système libre « abulédu » à Géorama, et participation à son développement en rendant compte des difficultés rencontrées

installation d'un serveur « red hat linux » pour remplacer notre vieux serveur « novell »

mise en conformité des postes clients « windows » au regard des licences ---> installation d'Open Office en lieu et place de la suite Microsoft Office.

remplacement des logiciels type outlook-express, internet-explorer par des logiciels libres et plus fiables en terme de sécurité (thunderbird, firefox...)

distribution de ces logiciels aux militants que le souhaitent

réalisation du site internet régional uniquement à l'aide de logiciels libres

réalisation du site régional interne à l'aide du logiciel libre SPIP

adhésion à SCIDERALLE (cf descriptif en annexe) Dans des formations:

mise en place d'un groupe « logiciels libres » (naissance du groupe en décembre 2004). L'objectif du groupe n'est pas de réunir des spécialistes de l'informatique et de développer des logiciels, mais bien d'apporter, d'une part des outils informatiques légaux pour nos formations, d'autre part de mener une réflexion autour de la pratique informatique dans nos formations. Le faible coût de solutions type « abulédu » nous permet par exemple de disposer d'un parc potentiel de 30 ordinateurs pour un coût dérisoir.

encadrement d'un module de formation BEATEP « technique d'animation » autour du thème

« multimédia et logiciels libres ». Nous remettons légalement aux stagiaires les logiciels sur lesquels nous travaillons.

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encadrement d'un Perf BAFA « multimédia et logiciels libres ». Nous remettons légalement aux stagiaires les logiciels sur lesquels nous travaillons.

encadrement d'un module de formation à destination des animateurs de CEL «concevoir et mettre en oeuvre des activités multimédia avec les logiciels libres » Nous remettons légalement aux stagiaires les logiciels sur lesquels nous travaillons.

Organisation prochaine « des mercredis du libre éducatif » à destination des enseignants souhaitant trouver des solutions pédagogiques à l'utilisation des TICE.

Intervention dans le cadre de la formation « accompagnement à la scolarité » autour des logiciels ludo-éducatifs libres. Nous remettons légalement aux stagiaires les logiciels sur lesquels nous travaillons. Eux même pourront les distribuer légalement aux enfants dont ils ont la charge.

Formation des militants...

Quelques pistes à creuser nationalement:

mise en place d'un groupe national autour de cette thématique dont l'objet pourrait être:

d'organiser une veille technologique et de diffuser l'information;

d'être force de propositions et d'aides pour les AT souhaitant s'engager dans cette dynamique;

d'être force de propositions et d'aides pour les groupes souhaitant s'engager dans cette dynamique;

d'élaborer des moments de sensibilisation et de formation;

de travailler à la migration de nos outils actuels (actigest...) sous des formats libres;

de travailler en lien avec le groupe international à des solutions informatiques libres et peu coûteuses.

...

adhésion nationale à SCIDERALLE.

Organisation d'un « espace numérique libre » lors du congrès d'Amiens.

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Logiciels libres et Éducation : quelques liens...

Cette liste subjective, scandaleusement non exhaustive... et bien sûr déjà obsolète ;-) a été réalisée par jean.peyratout@abul.org http://scideralle.org/

AbulÉdu, s olution logicielle libre pour un réseau d'école

http://abuledu.org projet AbulÉdu courriel : contact@abuledu.org http://docs.abuledu.org documentation AbulÉdu

http://listes.abuledu.org listes de diffusion du projet AbulÉdu http://libre.pedagosite.net ressources pédagogiques libres

http://abuledu.org/leterrier/ logiciels pédagogiques maternelle / élémentaire http://abuledu.com version professionnelle commerciale d'AbulÉdu Associations

http://scideralle.org SCIDERALLE Dévt et Recherche Appliquée en LL pour l'Éducation http://abul.org ABUL Association Bordelaise des Utilisateurs de logiciels Libres http://aful.org AFUL Ass. Francophone des Utilisateurs de logiciels Libres

http://april.org APRIL Ass. pour la Promotion et la Recherche en Informatique Libre.

http://ofset.org OFSET Logiciels libres pour l'éducation (Freeduc, DrGeo, Gcompris) http://adullact.org ADULLACT Libre pour les Administrations et Collectivités Territoriales http://www.fsf.org FSF Free Software Foundation

Et il y a sûrement une association d'utilisateurs de logiciels libres près de chez vous, contactez-la ! Une liste est disponible sur le site de l'AFUL.

Logiciels libres multiplates -formes (Linux, Windows, Mac etc.)

http://frenchmozilla.org Mozilla (navigateur, courriel, éditeur html, lecteur de news) http://fr.openoffice.org OpenOffice.org Toute la bureautique : traitement de texte, tableur,

dessin, PréAO, PAO, gestion de base de données...

http://gimp.org The Gimp GNU Image Manipulation Program, Traitement d'image http://abuledu.org/leterrier/

le Terrier logiciels éducatifs (lecture : ALLER, associations, logique

et numération : tableaux, mulot, à nous les nombres...) Cédéroms

http://knoppixfr.org Knoppix système complet sur un cédérom autonome pour essayer Linux sans installation sur son ordinateur.

http://ofset.org Freeduc-CD basé sur le précédent, système complet sur un cédérom.

http://allegetice.lautre.net ALLEGETICE compilation de logiciels libres pour Linux, Mac et Win.

http://logiciels-libres-cndp.ac-versailles.fr Distribution Debian-Éducation, didacticiels...

Des sites pour débuter, progresser, participer

http://framasoft.net FRAMASOFT de Windows vers le libre...

http://lea-linux.org Léa-Linux Linux entre amis http://linuxgraphic.org Linuxgraphic Traitement de l'image

http://fr.wikipedia.org Encyclopédie Wikipédia Encyclopédie universelle libre. Participez !

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