GRATUITSorties, loisirs, bons plans à Niort et dans l’agglo
Toujours connectés
Combien d’applis avez-vous sur votre smartphone ?
Rachel, Rachael, Francis et Marcella ne quittent jamais
leur smartphone. Il est devenu indispensable ! Pages 6 et 7.
Soliane Colas
N° 91 - du 15 au 21 avril 2015
Boutique
Ekaterina vous ouvre les portes de son Petit Dressing
page 9
L. D.
Niort vue par
Anne-Laure Lucas, chef de l’orchestre à vent de Niort
page 12
P. L. D.
Concert
Vendredi, Julien Clerc va charmer l’Acclameur
page 2
D. R.
OUVERT du LUNDI au SAMEDI de 8 h à 20 h Cour matériaux OUVERTE de 7 h à 20 h
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Niortais
Julien hisse les voiles avec Jolokia
page 11
P. L. D.
Mercredi 15 avril 2015
Niort sorties 2
nous fêtons…
Plus aucune excuse pour oublier la fête de vos proches ! Mercredi 15
Paterne.cela signifie « pa- ternel ».
Jeudi 16
Benoît-Joseph. ils sont émotifs et intuitifs.
Vendredi 17
Anicet.elles sont douces.
Samedi 18
Parfait.ils sont virils, forts et orgueilleux.
Dimanche 19
Emma. elles sont coura- geuses et colériques.
Lundi 20
Odette. elles sont éprises d’équilibre et d’harmonie.
Mardi 21
Anselme.ils ont le sens des responsabilités.
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Laura Diacono Journaliste 05 49 28 92 61
Soliane Colas Journaliste 05 49 28 92 60 laura.diacono@niort.maville.com
soliane.colas@niort.maville.com Publicité : PRECOM
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11, rue de l’Hôtel-de-Ville - 79000 Niort 05 49 28 62 29
Distribution :Michel Charbon 05 49 28 62 50
Site Internet : www.niort.maville.com SAS Loire Hebdos
11, rue de l’Hôtel-de-Ville - 79000 Niort Directeur de la publication : Matthieu Fuchs
Dépôt légal : à parution N°ISSN :2272-0782
Imprimerie du «Courrier de l’Ouest»
Tirage :20 000 exemplaires
Retrouvez nous sur la page facebook de www.niort.mav ille.com
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J. Clerc : « Que ça continue ! »
Marie Poher
marie.poher@angers.maville.com
Partout la musique vient ! surtout avec Julien Clerc.
L’artiste signe son 23e album ! Il traverse les dé- cennies avec son célèbre vi- brato, pour notre plus grand bonheur. Retrouvez-le à l’Acclameur vendredi soir.
En attendant, on l’écoute…
Vous êtes de retour avec un 23e album, enregistré à Londres, pourquoi cet exil ?
Julien Clerc :Je ne l’ai pas fait depuis longtemps, mais à chaque fois que j’ai enregistré un album à londres, il s’est révélé être important pour moi. il y a une atmosphère là-bas, j’y ai toujours appris beaucoup. Mais je reste un artiste français jusqu’au bout des ongles. les anglais sont très différents de nous. ils ont inventé une conception musicale dans les années 1960, leader dans le monde jusqu’aux années 80. Ça me renvoie à mon adolescence et à mon entrée dans l’uni- vers artistique. le temps était venu pour moi de retourner travailler avec les anglais.
Justement, vous avez travaillé avec le producteur Jimmy Hog- garth, « une prise de risque », selon vous, pourquoi ? Je connaissais mieux son travail que lui le mien. Je l’ai choisi pour ça et je voulais quelqu’un qui prendrait des risques. J’ai fait traduire mes chansons au plus près, j’ai poussé la porte de son studio et lui ai dit « Bonjour, je viens pour l’audition ». Ça l’a beau- coup fait rire.
Comment définissez-vous cet album ?
Je dirais qu’il y a clairement la patte d’alex Beaupin. J’ai beaucoup collaboré avec lui sur cet album(7 titres sur 12, ndlr). Forcément, il y imprime un style. Toujours dans la tradition des auteurs de chan- sons françaises, c’est très écrit et ça colle à l’époque. certains
font une chanson à partir de la musique, d’autres à partir d’un texte. les chansons où c’est la musique d’abord ont plus de chance d’être popu- laires. J’ai tout de suite senti, en travaillant avec alex, que je pouvais lui donner des mu- siques. il est aussi musicien, tout comme Maxime le Fores- tier d’ailleurs. le rapport à la mélodie est donc différent.
Parlez nous de ce titre « Partout la musique vient »…
J’ai vu, il y a quelques an- nées, un documentaire où ils avaient retrouvé les femmes qui faisaient partie de l’or- chestre d’auschwitz. elles
jouaient de la musique clas- sique pour ceux qui partaient dans les chambres à gaz.
Parmi elles, une n’était pas musicienne et pourtant, c’est ça qui lui a sauvé la vie. la musique est censée être belle et élever l’âme mais comment les nazis, ces bourreaux, pou- vaient pleurer en écoutant du Mozart et faire ce qu’ils ont fait ? On en a parlé avec alex et l’idée était d’écrire une chanson sur la musique.
Comment arrivez-vous à vous renouveler en permanence ? Je fais toujours un album en réaction au précédent pour me surprendre moi-même
et les autres. Je sortais d’un projet symphonique avec
« Fou, peut-être ». Pour faire le contraire, je devais faire un album plutôt électrique et pop. J’ai un style que je ne peux pas effacer, mais se re- nouveler tient à deux choses : les auteurs et les producteurs avec qui je travaille. il faut savoir confronter sa musique avec de nouvelles personnes.
Vous faites partie de ceux qui traversent le temps et les modes depuis les années 1960, comment l’expliquer ? Je suis toujours étonné d’être aussi frais quand je me mets devant un piano. J’ai toujours rêvé de m’inscrire dans la lon- gueur lorsque je me suis en- gagé pour être artiste. J’avais 21 ans. On a toujours peur que notre source se tarisse, mais dès qu’il faut mettre un spectre en musique, je trouve toujours quelque chose.
« Alors on va, on vient, on rêve »…
Que ça continue ! cette longé- vité me surprend, même si je travaille beaucoup. Mes dates clées sont liées à la scène.
Plus longtemps vous existez, plus vous devez refaire vos preuves en montant sur scène et surprendre. là, je propose un spectacle important pour moi et résolument tourné vers l’avenir par la mise en scène.
L’Acclameur Vendredi 17 20 heures Tarifs : de 39 à 59 euros
Julien Clerc va enflammer l’Acclameur !
D. R.
Bio express
1970 :Son premier concert à l’Olympia
1985 : il est le premier chanteur français à donner un concert à Bercy
2014 :Sortie de son dernier album, « Partout la musique vient »
Mercredi 15 avril 2015
Niort sorties 3
Black M à l’Acclameur
Après son carton avec le groupe Sexion d’Assaut et le succès de son premier album solo « Les Yeux Plus Gros Que Le Monde », Black M est devenu une figure incontour- nable du rap français.
Son concert à l’Acclameur, initalement prévu en mars, aura finalement lieu ce dimanche.
L’Acclameur Dimanche 19 18 heures COMPLET
D. R.
■Les Particules Élémentaires
C’est la première fois qu’un texte de Michel Houellebecq est adapté au théâtre. Sans doute à cause des thématiques subversives que l’auteur aborde et de l’image qu’on donne de lui dans la presse. Le metteur en scène Julien Gosselin, lui, a décidé de s’attaquer aux « Par- ticules Élémentaires ». Pendant près de 4 heures, on se met tous dans la peau de Michel et de Bruno, deux demi-frères en quête de l’amour vrai et d’une sexualité épanouie.
Moulin du Roc Vendredi 17 19 heures Durée : 3 h 45 avec entracte Tarifs : de 10 à 28 euros
D. R.
SaMedi 18
Electric Beans à l’Espace Cu les electric Beans, c’est un groupe de rock 100 % niortais qui vient de sortir son premier album. les garçons seront en concert samedi à l’espace culturel.
et comme ils sont sympas, ils invitent leurs amis de Tête de Ouf, autre groupe de rock, à faire leur première partie. le concert sera filmé par la Boite à Films, pour sortir un dvd live, et décibels animés assurera l’enregistrement et la sonorisation du show pour l’édition d’un cd live !
Centre Culturel Leclerc Espace Mendès-France 20 heures Tarif : 8 euros Vente sur place le jour du concert
SaMedi 18
Des choristes à la mairie Un peu de douceur pour les oreilles…
la soprano Monique Helvadjian se produira samedi avec les 40 choristes du chœur Orphéo à l’Hôtel de ville de Niort. accompagné par Michel Gillet au piano, l’ensemble interprétera des extraits de la Traviata, rigoletto, le Trouvère ou encore Nabucco.
Hôtel de Ville 20 h 30 Tarif : 12 euros sur réservation 14 euros sur place Renseignements : 05 49 24 88 05 ou 06 78 69 97 32
dÉdiCaCe
vendredi 17
Nicolas Breton à la Librairie
avis aux aventuriers ! l’écrivain voya- geur Nicolas Breton viendra dédicacer son dernier livre, « Hors des sentiers battus », samedi, à la librairie des Halles. l’auteur a réalisé un tour du monde un peu particulier. il a décidé de sortir des normes et des conven- tions du tourisme classique pour expé- rimenter d’autres façons de voyager. il raconte avec humour et passion le ré- cit de ses aventures. et si vous souhai- tez reproduire son expérience, il vous donne plein d’informations pratiques pour y parvenir.
La Librairie des Halles 18 heures GRATUIT Renseignements : 05 49 04 05 03
D. R.
vendredi 17
Deux légendes du dub au Camji
attention, gros événement !
Mad Professor et Prince Fatty, deux légendes de la scène dub-reggea an- glaise, seront sur la scène du camji vendredi.
ils vous emmèneront tour à tour dans leurs univers respectifs avant de jouer ensemble. leur façon d’enregistrer et leur amour partagé de la musique ont contribué à les rapprocher.
d’ailleurs, pour l’occasion, la scène prendra des allures de studio d’enre- gistrement des années 70, avec des ta- bles multi-pistes et des effets vintage à gogo.
Camji 21 heures Tarifs : de 10 à 14 euros
D. R.
Jeudi 16
l’art au menu : Newton
Une fois par mois, le musée vous propose un déjeuner culturel. cette fois-ci, vous partirez à la découverte de Newton. la gravitation universelle, le télescope réflecteur, les lois univer- selles du mouvement… Mine de rien, la science lui doit beaucoup !
Musée Bernard d’Agesci 26 avenue de Limoges 12 h 30 Renseignements : 05 49 78 72 00 GRATUIT
D. R.
StaGe
SaMedi 18
Découvrez l’impro !
venez passer une journée avec le grand, l’inimitable igor Potoczny ! le roi de l’impro, membre d’aline et cie, vous propose de vous ini- tier à son art le temps d’une journée. développer son imaginaire, avoir le sens de la répartie, jouer avec l’autre et inventer des histoires et des personnages… Tout ça, ça s’apprend !
Centre Du Guesclin Place Chanzy De 10 heures à 17 heures Tarif : 40 euros + 10 euros adhésion à Aline et Cie Inscriptions : 05 49 06 99 26 ou coordination.alineetcie@gmail.
com
Doumé
viSite
diManCHe 19
Les grands magasins
la guide conférencière Sté- phanie Tézière vous propose de découvrir les dessous des grands magasins et ca- fés niortais. du passage du commerce à la rue victor-Hu- go en passant par la place de la Brèche, vous serez incolla- bles sur le sujet !
Rdv place du Temple 15 heures Tarif : 5 euros Gratuit pour les - de 12 ans Renseignements : 05 16 81 18 62
D. R.
Mercredi 15 avril 2015
Niort sorties 4
Le catalogue
printemps été 2015 est arriv é
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MERCREDI 22
« Une poule sur un mur, qui picore du pain dur, picoti, picota, lève la queue et puis s’en va… »
Tout au long du spectacle, les deux actrices emma- nuelle Saby et Odile Bertotto picorent dans l’univers de la poule. elles caquettent à tout
va et reprennent la gestuelle des gallinacés dans un pou- lailler musical.
car ces deux poules jouent de plusieurs instruments de mu- sique et sont incollables sur un grand nombre de comp- tines.
les actrices composent des personnages touchants, sin- guliers et un peu fous. elles
jouent sur plusieurs registres, du burlesque à la poésie.
À vous faire glousser de plai- sir !
Moulin du Roc Mercredi 22 15 heures Tarif unique : 7 euros Durée : 45 minutes
Brin de poulettes
deux musiciennes qui se prennent pour des poules ? c’est le pari risqué mais réussi de la compagnie ePa, Élevés en Plein air. À voir dès 3 ans.
Les deux comédiennes ont un problème : elles se prennent pour des poules…
D. R.
spectacle
samedi 18
Cartouche
il y a quelques mois déjà, la troupe niortaise Jacques car- tier avait présenté son nou- veau spectacle « cartouche, la légende ». et bien elle remet le couvert samedi !
cette comédie musicale, écrite par Serge Bouloré, est interprétée par 25 chanteurs, comédiens et danseurs. elle retrace l’histoire de car- touche, bandit du début du Xviiie siècle. il fut notam- ment à la tête d’une troupe d’une centaine de brigands, hommes et femmes, qui commirent des vols et des assassinats quotidiens.
Salle des fêtes de Sainte-Pezenne Rue du Moulin d’Ane 15 h 30 et 20 h 30 Tarifs : 12 euros (6 euros pour les moins de 12 ans) Renseignements : 05 49 75 09 31 ou sergeboulore@gmail.com
D. R.
concert
dès vendredi 17
Les tribu(lations) du groupe Chanson
le groupe chanson présente dès vendredi son tout nou- veau spectacle, « Tribu ». Si vous avez été traumatisés par les cours de musique au col- lège, sachez que cette chorale n’a rien à voir avec une cho- rale classique et statique.
là, les 24 vocalistes sont aussi comédiens. avec leurs trois musiciens, ils reprendront des airs de tango, de jazz et de musette pour vous transporter dans un monde imaginaire, pavé d’inattendu. On y enten- dra notamment des notes de Michel Fugain et de Jacques Higelin.
Patronage laïque 40 rue Terraudière Les 17, 24 et 25 avril à 20 h 30 Le 18 avril à 14 h 30 Tarifs : de 9 à 13 euros
D. R.
Mercredi 15 avril 2015
Niort balade 5
Au cœur de Notre-Dame
L’église Notre-Dame de Niort est présentée comme un chef-d’œuvre du XVe siècle.
Sa construction a commencé en 1491, en plein pendant le renouveau économique qui a suivi la fin de la guerre de Cent Ans (1337-1453).
Achevée en 1534, elle est de style gothique. Les ajouts successifs qui auront lieu au XIXe siècle respectent pleinement son architecture.
Visite.
Laura Diacono
l’arbre de Jessé
il représente une schématisa- tion de l’arbre généalogique présumé de Jésus à partir de Jessé, père du roi david. celui
de l’église Notre-dame a été restauré par Jeannette Weiss- Grüber, artiste verrier.
L. D.
L. D. L. D.
La chaire de Notre-Dame date de 1877, comme les sculptures du Chemin de Croix. Elle est ornée de scènes du Nouveau Testament.
L. D.
L. D.
L. D.
L. D.
L. D.
Sacrés changements
l’église a sans doute eu diffé- rents orgues au cours de son histoire. Mais l’instrument ac- tuel, pré-romantique, date de 1841. et il a connu de sacrés changements !
Sa structure d’origine, faite de bois et de fer, a dû être démontée en 1982 car elle menaçait de s’écrouler. On a profité de l’occasion pour réorienter le sanctuaire dans le bon sens afin que l’autel se trouve à l’est et l’orgue à l’Ouest. c’est là qu’il trône depuis 2001, après avoir été restauré avec soin.
L. D.
Altitude
le clocher de l’église culmine à 75 mètres. de quoi donner le vertige !
L. D.
Calvaire
dans l’église, différentes sculptures de la fin du XiXe siècle retracent le chemin de croix de Jésus.
L. D.
Jamais sans mes applis !
Gratuites ou payantes ?
En août 2014, le cabinet De- loitte a réalisé une étude sur la consommation des applis mobiles en France. 90 % des mobinautes interrogés (oui, c’est comme ça qu’on appelle les gens qui surfent sur Internet depuis leur té- léphone) n’ont ainsi jamais payé pour se procurer une application mobile.
« La plupart des applis payantes coûtent entre 99 centimes et 3 euros Si elles sont plus chères, il faut se méfier », prévient Emma- nuel. « Cela signifie que le créateur de l’appli n’a pas prévu d’en vendre beaucoup et qu’elle n’a donc soit pas d’intérêt, soit qu’elle a des défauts. »
Les fameuses lunettes Card- board qui permettent de visua- liser un film ou un jeu comme si on était dedans.
L. D.
en chiffres
27,7 millions
C’est le nombre de Français qui possédaient un smart- phone en 2014. Et vous, vous en avez un ?
102 milliards
Là, il s’agit du nombre d’ap- plications téléchargées dans le monde en 2013. Ça donne le tournis !
prochainement dans votre
RENDEZ VOUS AU SKATE PARK RENDEZ VOUS
AU SKATE PARK
CopyrightChristopheBERNARD
Qui parmi vous n’a pas installé au moins une appli sur son smart- phone ? Personne ? Rien d’étonnant à ça. Aujour- d’hui, il en existe pour tous les usages de la vie quotidienne, des plus utiles aux plus farfelues.
Emmannuel Feller, le gérant d’Innovation Box, est un expert en tech- nologies web, réseaux sociaux et objets connectés.
Il développe aussi des applis et y est accro !
http://www.innovation-box.fr/
Légo.Grâce à une applica- tion, on peut télécommander à distance un robot de la célèbre marque de jouets. Équipé de bras spéciaux, il peut même filmer si on lui met un smart- phone entre les mains !
Laura Diacono
réseaux sociaux
Twitter et les autres
« Forcément, dans les ap- plications indispensables, il y a Facebook et Twitter.
Personnellement, je ne sais pas vivre sans ce dernier.
Autant je peux me passer de la télé, autant je ne peux pas faire sans Twitter. J’y fais de la veille technologique pour mon travail mais je suis aus- si des hommes politiques et des médias. Par contre, j’ai désactivé les notifications si- non mon téléphone sonnerait toutes les deux secondes ! Il y a aussi WhatsApp, qui permet d’échanger des textos gratui- tement depuis et vers l’étran- ger. Et Snapchat n’est pas mal non plus : on envoie une photo qui ne restera visible que 10 secondes maximum. »
vie quotidienne
Yo, je pense à toi !
« Je suis accro à Yo. Elle permet d’envoyer un poke (une notification, ndlr) à la personne qu’on cherche à joindre. Il n’y a pas de mes- sage, c’est juste pour signaler quelque chose à son interlo- cuteur. Par exemple, quand ma femme part du travail, elle m’envoie un poke. Yo contient aussi une liste de magasins. Il suffit qu’on clique sur celui qu’on veut pour savoir s’il y en a un à proximité et où.
Une appli lampe de poche est aussi, à mon sens, indispen- sable. J’aime également Gree- niscore. Elle nous signale qu’il n’y a aucune borne wifi aux alentours et qu’on peut donc désactiver cette option pour économiser de la batterie. »
gadgets
Lunettes et Légo Certains applis sont désor- mais reliées à des objets.
C’est le cas de Cardboard, de drôles de lunettes en carton, disponibles à partir de 5 eu- ros sur le net. « Il suffit de télécharger des applications avec des petits films ou des jeux, qui fonctionnent avec ces lunettes. Une fois qu’on les enfile, on a une vision à 360 °C et on peut se déplacer dans l’espace. Dans le cas des jeux, on commande les personnages en fonction de l’endroit où on regarde. » On peut aussi relier le robot de son enfant à son téléphone.
« Ça permet de commander le jouet à distance. On peut même y accrocher un smart- phone afin qu’il filme. »
informations
Pas forcément utiles
« Ça ne sert à rien de multi- plier les applications. Sou- vent, les sites des journaux ont un compte Twitter. Il suffit de s’y abonner pour avoir les infos en même temps que les alertes classiques. En plus, beaucoup de journalistes ont des comptes personnels et y postent de l’actu avant même qu’elle ne soit diffusée par les canaux plus traditionnels. » Et pour être sûr de ne rien rater ou si vous voulez vous faire une petite revue de presse, vous pouvez téléchar- ger Flipboard : « Elle permet de recevoir les tweets les plus importants de la journée. En plus, ils sont présentés sous forme de journal dont on peut tourner les pages. »
MErCrEDI 15 AvrIL 2015
Toujours connectés 6
Un véritable doudou
« Mon smartphone, c’est H24, sauf quand je dors ! » Charline, 14 ans et sa copine Laureen, 15 ans, sont vrai- ment accros. « Notre télé- phone, on s’en sert pour tout.
On doit avoir une vingtaine d’applis dessus : Facebook, Twitter, Instagram, Snap- chat… On l’utilise aussi pour faire des recherches pour nos devoirs, ou s’aider avec les traducteurs de langue. » Évidemment, les filles s’en servent aussi pour écouter de la musique ou jouer. « Et même regarder la télé ! », précise Charline. « Si j’ai la flemme de descendre ou que
j’ai envie de regarder quelque chose en replay, je le fais sur mon téléphone, avec les écouteurs sur les oreilles. » Est-ce qu’elles pourraient s’en passer ? « Pas du tout ! », s’exclame Laureen. « Je l’ai oublié une fois et j’étais trop mal. Même si je ne m’en sers pas, j’aime savoir qu’il est dans mon sac. Ça me rassure, un peu comme un doudou.
D’ailleurs, je dors avec lui tout près de moi. »
Et si jamais elles le perdent, pas d’inquiétude : elles ont un téléphone de secours, au cas où.
■Jusque dans la salle de bain
Pour Aghlaée et Sandra, 16 ans toutes les deux, le téléphone
« c’est tout le temps, même en classe. » « Au moins pour regarder l’heure ! », précisent- elles. « Depuis qu’on est au lycée, on est moins Facebook », poursuit Aghlaée. « C’est deve- nu un endroit où on partage des moments importants. Alors que sur Twitter, on peut réagir à chaud, on est dans l’instanta- né ! » Les filles utilisent aussi beaucoup Instagram et Snap- chat. « On prend en photo tout ce qu’on a envie de partager avec nos amis. » Et elles em- portent leur téléphone jusque dans la salle de bain « pour écouter la musique. »
L. D.
« MOn SMArTPhOnE, jE POurrAIS M’En PASSEr »
« Mon smartphone, je m’en sers sur- tout pour sa fonction de… téléphone ».
Nicolas, 45 ans, préfère les sms et les appels à l’accès à internet que permet son téléphone.
Et ce n’est pas parce qu’il a un smart- phone qu’il est accro. « Je pourrais facilement m’en passer », confie-t-il. » Je l’ai déjà fait et ce n’est pas un pro- blème. »
Il en a d’ailleurs un usage essentiel- lement pratique : « mails et comptes bancaires. Je ne suis pas sur les ré- seaux sociaux de toute façon. »
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Amoureuse de l’iPhone
Fan inconditionnelle d’Apple, Monika, 36 ans, ne quitte pas son téléphone.
« Je l’utilise tout le temps. Quand je ne l’ai pas dans la poche, c’est l’an- goisse. » Il lui sert surtout à prendre des photos, beaucoup de photos,
« mais je ne les partage pas sur les ré- seaux sociaux, ce n’est pas mon truc ».
Son appli phare ? « What’s App », qui lui permet de rester en contact avec sa famille et ses amis, qui sont nombreux à l’étranger. « On peut s’envoyer des messages gratuitement, des photos, des enregistrements… Et en plus je
viens d’apprendre qu’on peut s’appe- ler, c’est vraiment génial ».
Dans les autres applications, viennent Amazon, puis sa banque, ou encore Candy Crush. Jeune maman, elle uti- lisait aussi une application médicale quand elle était enceinte, « pour sa- voir ce que j’avais le droit de manger…
ou pas ».
Son mari, lui, a une utilisation diffé- rente de son téléphone « il l’utilise, comme une roue de secours. S’il est en panne quelque part, il va appeler, mais il ne s’en sert pas tout le temps. »
S. C.
DIMANCHE
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Merci de vous munir d’une pièce d’identité.
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Deux téléphones, deux usages
« J’ai deux téléphones : un personnel et un profession- nel. » Pour sa vie privée, Mi- chel utilise un téléphone dit ancien, sans accès internet, simplement pour téléphoner et envoyer des textos. C’est sur son téléphone profession- nel que cet employé dans l’automobile va sur internet ou sur des applications spé- cialisées.
S. C.
MErCrEDI 15 AvrIL 2015
Toujours connectés 7
Mercredi 15 avril 2015
A table chez soi 8
En savoir plus
Pour la pâtisserie
les œufs d’oie sont très ap- préciés pour la pâtisserie car, étant plus gras que les œufs de poules, ils apportent plus d’onctuosité aux pâtisseries.
D.R.
Les oies de Jérôme sont des oies de Guinée blanches.
D.R.
D.R.
P o r t e s
Ouvertes
Venez visiter nos fermes, découvrir nos activités, déguster nos produits !
18 et 19 avril 2015
en POITOU-CHARENTES
du samedi après-midi au dimanche soir
www.bienvenue-a-la-ferme.com/poitou-charentes
ASSOCIATIONS AGRICULTURE ET TOURISME DU POITOU-CHARENTESQuand Jérôme dubouit se décide à créer son verger, il y a quatre ans, il cherche une idée pour conserver ses pâtu- rages naturellement. « J’avais dans l’idée de faire quelque chose de bio sans aucun trai- tement, assure ce dernier. Je me suis dit qu’avoir des oies était l’idéal. cela permet de ne pas avoir à tondre et cela enrichit le sol. Beaucoup de producteurs utilisent ce pro- cédé : ils ont des oies mais aussi des poules. les poules mangent les asticots qui vont dans les cerises. »
« et quand on a des oies, cela fait des œufs, explique malicieusement Jérôme. Mon verger est encore en gesta- tion. J’ai déjà quelques petits fruits comme les fraises et les framboises mais cela n’attire pas les oies. » Jérôme a en ef- fet choisi une race particulière d’oie. « ce sont des oies de Guinée blanches. elles brou-
tent énormément et sont très légères. il n’y a pas de risques pour les plantations. »
Une chasse aux œufs tous les soirs
« J’ai entre 30 et 40 oies.
cela dépend du renard qui en prélève certaines, rigole le producteur. elles pondent une douzaine d’œufs par jour, souvent dans les haies. J’avais essayé de leur arranger des nids dans leur cabane mais finalement, elles pondent où elles veulent. Tous les soirs, c’est un peu la chasse aux œufs. c’est Pâques tous les jours. Mes enfants aiment beaucoup ! »
« le goût est légèrement différent que pour un œuf de poule. ce qui leur donne du goût, c’est qu’elles mangent de l’herbe. c’est comme pour le gibier, ajoute le jeune papa.
et on les cuisine de la même façon. » il faut juste quelques
minutes de plus pour un œuf à la coque car il faut savoir qu’un œuf d’oie est bien plus gros que celui d’une poule.
« cela équivaut à trois œufs de poule en moyenne », assure Jérôme. « ils se conservent de la même manière. il n’est pas nécessaire de les mettre au frigo, mais attention à les gar- der dans une pièce à la tem- pérature en dessous de 18°, sinon, vous risquez d’avoir une oie… »
d’ailleurs, il arrive à Jérôme d’avoir des commandes de personnes qui veulent mettre les œufs à couver. « Je les en- voie par la poste. les coquilles sont résistantes. »
Les œufs sont en vente via le réseau du Marché des 4 Saisons à Magné Épicerie Court-circuit Jérôme fait aussi des livraisons à Niort Contact : 06 63 34 32 06 05 49 24 88 01
Jérôme et ses oies
Jérôme élève des oies dans son verger. Un œuf de cette petite bête en vaut trois de poules. de quoi faire une belle omelette !
Jérôme élève une quarantaine d’oies qui évoluent librement dans son verger.
D.R.
la rEcEttE
Œuf d’oie
en salade de tomates Les ingrédients (Pour quatre personnes) 2 œufs d’oie
Salade (feuille de chêne de préférence)
200 g de comté ou autre fromage similaire
1 tranche de pain de cam- pagne grillée par personne 1 gousse d’ail
Tomates cerises pour la déco vinaigrette
Fines herbes
La préparation
1.Mettre les œufs d’oie dans une casserole d’eau froide 2. Faire cuire à feu vif pen- dant 12 à 15 minutes.
3.Égoutter et laisser tiédir.
4. dresser les assiettes avec un lit de salade.
5.couper le fromage en petits dés et les répartir dans chaque assiette.
6.Frotter les tranches de pain avec l’ail, les déposer sur la salade.
7.Écaler les œufs et les cou- per en deux délicatement.
8.Poser une moitié d’œuf par personne sur la tranche de pain.
9. décorer avec les tomates cerise coupées en deux et parsemer de fines herbes hachées (ciboulette, cerfeuil, etc…).
10. arroser le tout avec la vinaigrette.
Retrouvez nous sur la page facebook de www.niort.mav ille.com
Mercredi 15 avril 2015
Niort boutiques 9
Ouvrir une boutique dédiée aux enfants, c’était un peu une évidence pour ekaterina Soupron, la gérante de Mon Petit dressing.
« Je suis d’origine biélorusse.
là-bas, j’étais prof de mu- sique. Quand je suis arrivée en France il y a neuf ans, j’ai tra- vaillé dans un centre de loisirs et dans une crèche. Je m’oc- cupais aussi de l’interclasse dans une école primaire. les enfants, j’adore ça ! c’est en travaillant avec eux que j’ai appris le français. »
d’ailleurs, dans sa boutique, elle a toujours une boîte de bonbons qu’elle tient à leur disposition. « c’est impor- tant qu’ils se sentent bien,
surtout qu’il est difficile de les convaincre d’essayer un vêtement ! »
il y a six mois, l’idée d’ouvrir un magasin germe dans la tête d’ekaterina.
Des grandes marques
« Tout est allé très vite. J’ai d’abord envisagé d’ouvrir une boutique classique mais avec la crise, je me suis dit que ça n’allait pas marcher.
et j’ai beau habiter plus près de Saint-Jean-d’angély, je voulais absolument qu’elle soit basée à Niort. alors je me suis inspirée du magasin que tient ma belle-mère à la ro- chelle et j’ai opté pour un dé- pôt-vente de vêtements haut
de gamme pour enfants. J’y tiens. Je ne voulais pas faire un vide-greniers avec des pièces de qualité moyenne à 2 ou 3 euros. »
Parmi les marques proposées, on trouve du Petit Bateau, du Jacadi mais aussi du Kenzo et du Burberry.
« le principe est simple : les gens qui ne veulent plus d’un vêtement me l’amènent. Mais il doit être en excellent état, lavé et repassé. On signe alors un contrat et je fixe un prix de vente. Si le vêtement est vendu, je leur reverse 40 % du montant. » et si à la fin de la saison la pièce n’est toujours pas partie, ekaterina la res- titue.
« le but est de pouvoir pro- poser des vêtements de très bonne qualité à des prix réduits. comme les enfants grandissent très vite, on doit constamment renouveler leur garde-robe. et je pense que c’est important de pouvoir s’offrir une jolie pièce de temps en temps. Par exemple, une robe chloé affichée à 80 euros en magasin, je la revends à 27 euros. »
On regretterait presque de ne pas pouvoir la garder pour nous…
Mon Petit Dressing 36 bis rue Sainte-Marthe Ouvert du mardi au samedi de 10 heures à 18 h 30 Du 0 au 12 ans Renseignements : 07 61 96 22 65
Le Petit Dressing d’Ekaterina
la jeune femme a ouvert son dépôt-vente de vêtements haut de gamme pour enfants il y a un mois.
Certains vêtements que reçoit Ekaterina ont encore leur étiquette d’origine. Pourtant, elle y applique de grosses réductions.
Laura Diacono
Du mercredi 4 mars au 4 mai 2015 liquidation totale avant fermeture définitive de 10 h à 13 h et de 14 h 30 à 19 h
17, rue Saint-Jean - Galerie Victor-Hugo
Niort - 05 49 28 04 82
N°autorisationliquidationNiort-2015-01-1
tour d’horizon
Neufs ou presque Tous les vêtements de Mon Petit dressing sont en excel- lent état. « certaines pièces valent vraiment le coup. les chaussures en toutes petites pointures sont destinées aux bébés qui ne marchent pas encore. elles sont donc quasiment neuves, mais trois fois moins chères qu’en ma- gasin. »
L. D.
L. D.
L. D.
Mercredi 15 avril 2015
Niort sport 10
Bien dans vos baskets !
Il n’est pas toujours facile de bien choisir ses chaussures de sport car de nombreux critères entrent en jeu, notamment le type de foulées.
Sébastien Gadsaud, le gérant de Runever, nous explique comment choisir la paire la mieux adaptée.
Comment fait-on pour déterminer son type de foulée ?
la seule vraie méthode, c’est d’aller voir un podologue. il observera votre posture sur du statique et sur un tapis de course. en magasin, les profession- nels peuvent déterminer certaines choses en fonction des pieds de cha- cun et de l’usure des chaussures mais rien ne remplace le diagnostic du podologue.
Quels types de foulées existent ?
il y a la foulée universelle, où on attaque par le talon et on finit sur le devant du pied. la foulée pronatrice, c’est quand le pied s’affaisse à l’in- térieur. et la supinatrice, c’est quand on court sur l’extérieur du pied. les statistiques changent assez souvent, mais en moyenne, on considère qu’il y a 50 % de coureurs universels, 45 % de pronateurs et 5 % de supinateurs.
Une fois qu’on a déterminé sa foulée, comment choi- sit-on sa chaussure ?
Pour les pronateurs, il existe des chaussures avec un renfort sur l’inté-
rieur du pied afin que la jambe reste bien dans l’axe. Pour les supinateurs, il n’y a malheureusement pas de chaussures qui corrigent ce défaut. en revanche, certaines paires sont plus adaptées que d’autres, comme les chaussures universelles très stables.
elles évitent que le pied parte sur le côté.
Doit-on choisir des chaus- sures à sa taille ?
Non, il vaut mieux les prendre une pointure au dessus car, en courant, le pied va gonfler et le gros orteil remonter et taper dans l’avant de la chaussure. c’est comme ça qu’on se retrouve avec des ongles noirs ou qui tombent ! l’idéal, c’est qu’il y ait un demi-centimètre à un centimètre entre le bout des orteils et le bout de la basket. et mieux vaut les essayer avec ses chaussettes de sport.
Est-ce qu’on peut prendre les mêmes pour de la route et du chemin ?
Si c’est des chemins propres avec juste quelques petits cailloux, sans aucun souci. en revanche, si ce sont des chemins de terre ou très pierreux, mieux vaut opter pour des chaussures de trail.
Au bout de combien de temps doit-on les changer ?
Tout dépend de la morphologie de la personne, des distances que vous par-
courez et de la fréquence à laquelle vous courez. entre chaque séance de footing, l’amorti de la chaussure n’a pas forcément le temps de se regonfler entièrement. dans ce cas- là, il va s’abîmer beaucoup plus vite.
le problème c’est qu’en général, les gens ne se rendent pas compte qu’ils doivent changer leurs chaussures.
ils y sont bien dedans et même s’ils se font du mal musculairement, ils ne s’en aperçoivent pas. Je conseille donc aux clients de regarder l’usure de leur semelle. S’il le caoutchouc est très abîmé, il faut les changer ! en moyenne, les chaussures durent entre 700 et 1 400 km.
Quel budget doit-on prévoir ?
autour de 80, 100 euros, on commence à avoir une bonne chaussure. après, tout dépend des gens. certains se sentiront mieux dans une paire plus chère, d’autres dans une moins chère.
le prix ne fait pas tout. il faut aussi éviter de partir avec un a priori en tête en se disant « je veux telle marque ou telle couleur ».
il faut toujours essayer pour trouver les baskets dans lesquelles on se sen- tira bien. Souvent, mes clients vont faire un petit tour sur le parking pour les tester.
Runever 12 rue des Herbillaux Ouvert le lundi de 14 heures à 19 heures et du mardi au samedi de 10 heures à 19 heures 05 49 24 06 75
Laura Diacono
à SuIvRe ce week-end
vendRedI 17
Football : Niort vs Nîmes dans le cadre de la 29e journée de ligue 2, les chamois Niortais reçoi- vent les joueurs du Nîmes Olympique.
distancés de quelques points par leurs adversaires du jour, nos joueurs devront redoubler d’efforts pour s’im- poser.
Stade René-Gaillard 105 avenue de la Venise-Verte 20 heures
SamedI 18 et dImanche 19
Classic Val de Sèvres
le rallye classic val de Sèvre est un rallye de régularité. À partir d’un road- book, le pilote et son navigateur effec- tuent un périple de près de 400 km, sur route de campagne, à bord d’une voiture de collection de plus de quinze ans (et aux normes, évidemment).
Une vitesse moyenne, variable selon les secteurs, est imposée sur la ligne de départ. l’équipage s’en approchant le plus gagne l’épreuve.
le départ aura lieu place de la Brèche à 13 h 30. les équipages feront deux boucles Niort - Saint-Maixent. après le dîner, le rallye repartira à 21 h 15 de Saint-Maixent direction chauray.
le dimanche matin, départ à 8 h 15 du grand leclerc à Niort, destination coulonges-sur-l’autize. l’arrivée est prévue vers 11 h 30.
À partir de 10 heures samedi avec des expos de voiture Esplanade de La Brèche GRATUIT
Deux jours de compétition.
dImanche 19
Handibasket : Niort vs Angoulême
Pour la dernière journée du champion- nat de Nationale 2, les basketteurs niortais reçoivent angoulême. Sur le papier, nos joueurs partent favoris puisqu’ils sont quatrièmes au clas- sement avec 14 points. leurs adver- saires, eux, sont bons derniers avec à peine 10 points.
Gymnase de Goise Rue de la Plaine 16 heures GRATUIT
Les Niortais sont favoris.
D. R.
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05 49 28 62 29
11, rue de l’Hôtel-de-Ville 79000 Niort
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Mercredi 15 avril 2015
Niortais, Niortaises 11
En savoir plus
Suivre la Team Jolokia
vous pourrez suivre les étapes et la progression de Julien et ses coéquipiers de la Team Jolokia sur le site de l’asso- ciation :
http://www.teamjolokia.
com/
Un projet humain et sportif
depuis 2013, à travers le défi sportif de savoir gérer un bateau comme un volvo Ocean de 60 pieds, voilier de l’extrême, c’est tout un équi- page qui se construit grâce aux différences des uns et des autres.
des chercheurs, comme lau- rence cornu, philosophe et professeur à l’Université de Tours, ainsi que des experts, étudient cette équipe dans le but de transférer l’expérience du Team vers les entreprises ou encore les institutions
« pour leur proposer des clés d’intégration de la diversité ».
Julien est impatient de partici- per à sa première course.
P.L.D.
La Team Jolokia s’entraîne en attentant les premières courses.
Martin Coudriet
le salon utilise les produits
THE COLOMER GROUP
Salon
Résidence le Grand Feu 14, rue Elsa-Triolet 79000 Niort -05 49 73 58 27
COIFFURE MIXTE
mardi, mercredi, jeudi : 8h-12h - 14h-19h vendredi : 8h-19h
samedi : 7h-16h
pauline le Diouris pauline.lediouris@niort.maville.com
Julien viroulaud fait partie des sélectionnés de la Team Jolokia. l’ancien rugbyman devient un coéquipier pour une année sur le voilier de compétition vo’60 avec onze autres amateurs de voile issus de la diversité.
l’équipe a cinq courses au programme.
pouvez-vous en dire un peu plus sur la Team Jolokia ? il s’agit de prouver que la dif- férence et la diversité peuvent être une force. concrètement, l’équipage est constitué via une sélection ardue, pendant trois mois. il y a des hommes, des femmes, des valides, des personnes à mobilité réduite, des débutants… Tous les pro- fils sont là pour constituer un équipage qui reflète la socié- té.
pourquoi avoir candidaté ? Sur Facebook, un de mes co- pains avait aimé la page. Je suis allé voir et j’ai vu les pho-
tos du bateau. Je me suis dit qu’il était beau. il ne restait plus que quelques jours pour candidater. l’objectif affiché me correspondait.
Comment cela va se passer pour vous dégager du temps ? Je faisais déjà pas mal de voile. J’avais déjà un calen- drier de régates à Saint-Gilles- de croix-de-vie. Je devais en faire un dimanche sur deux.
cette sélection chamboule tout. Pour m’y consacrer, je me débrouillerai pour poser des jours de congés par-ci par-là.
Quel est l’entraînement ? c’est un entraînement spéci- fique car c’est un bateau de course étudié pour faire le tour du monde. On est douze à bord. Pour le moment, chacun prend ses marques à son poste. il faut que l’on soit capable de le faire avancer et d’avoir des résultats pendant les courses. il s’agit de prouver que la diversité peut rivaliser avec les pros. la Team Jolokia a déjà eu de bons résultats les
années précédentes.
vous êtes accompagnés de pro ?
Oui, il y a toute une équipe.
Pierre Meisel, le skipper, est en permanence avec nous.
il y a aussi Stéphane eliot, préparateur physique. avec lui, ça ne rigole pas ! (rires) On est mis à l’épreuve. Même si on est tous différents, on a la même douleur et on galère ensemble.
avez-vous un poste spécifique ? Pour le moment, pendant le premier entraînement, j’étais au winch, aux réglages des voiles et aux ballasts. il est possible que cela change.
Quelles sont les courses au programme ?
il va y avoir le Tour de Belle- ile, l’armen race, la record SNSM, la cowes Week, la Fasnet race et la Sydney Ho- bart. On ne fait pas toutes les courses.
Est-ce que le côté laboratoire social et managérial est impor-
tant pour vous ?
c’est un moteur pour moi.
J’ai fait du rugby pendant 19 ans. c’est la meilleure école dl’intégration et de cohésion.
avec la Team Jolokia, je vais goûter concrètement à l’inté- gration et à la diversité. là, dans l’équipe, il y a une jeune femme paraplégique. elle s’active sur le bateau sans avoir besoin d’aide. Je suis aussi impressionné par un co- équipier qui est malvoyant. il s’en sort mieux que moi.
Qu’est-ce que vous attendez de cette expérience ?
J’ai envie de vivre cet esprit d’équipe et je veux participer à cette cohésion avec mon en- thousiasme. les conditions de navigation sont assez rudes et malgré cela, on sera tous logés à la même enseigne.
Quand est la première course ? c’est le 9 mai, le Tour de Belle- ile. Je suis super impatient de retourner sur le bateau pour les entraînements mais aussi d’entrer en compétition.
Julien hisse les voiles avec Jolokia
Julien Viroulaud, compétiteur dans l’âme, a trouvé un défi à sa mesure en intégrant l’équipage Jolokia.
Sarah Fraisse
Mercredi 15 avril 2015
Niort vue par 12
Anne-Laure Lucas de l’OVNI
Anne-Laure Lucas est chef de l’Orchestre à vent de Niort. Cette professeure de musique à Fontenay-le- Comte dirige l’orchestre depuis deux ans. Le 24 avril, l’OVNI donnera un concert au Moulin du Roc à 20 h 30 sur le thème « Couleur latine ».
Réservation concert : 06 11 79 21 38 Tarif : 7 euros
Pauline Le Diouris
■ Le jardin des plantes
«
J’étais au lycée Jean-Macé situé rue Gustave-eiffel, à Niort. Je pas- sais dans le jardin des plantes tous les jours pour rejoindre le conservatoire.c’est le chemin le plus rapide.
On était toujours plusieurs du lycée à faire le trajet tous les jours.
en plus, il y a une belle vue sur Niort et le jardin est joli. »
P.L.D. P.L.D.
■ Place du Marché
«
c’est un endroit où on a fait des concerts avec l’orchestre. J’appré- cie cette place. »■ Place de la Brèche
«
J’aime bien cette place, parce que c’est là qu’on peut sortir dans les bistrots.les terrasses sont sympas quand il commence à faire beau. cela m’arrive d’y aller avec les gens de l’orchestre.
Quand j’étais lycéenne, on y allait souvent, même quand c’était encore le parking. »
P.L.D.
■ La Sèvre
«
J’aime beaucoup le cours d’eau qui passe dans le jar- din des plantes. c’est calme et cela fait campagne. ce sont des bons souvenirs ! »P.L.D.
■ Petit pont du parking du Moulin du milieu
«
Je ne sais pas pourquoi mais j’aime bien cet en- droit. c’est joli, il y a de l’eau.l’auditorium est sympa mais on ne peut pas y jouer de la musique, car il n’est pas dans le bon sens. Si on jouait dos à l’eau, le public n’entendrait rien car l’eau transporte le son. acoustiquement, cet au- ditorium ne fonctionne pas. »
■Le conservatoire
«
J’ai passé toute ma jeunesse dans ce conservatoire. C’est là que j’ai démarré le hautbois.Je ne suis pas restée là-bas, car on ne peut pas y passer les ni- veaux supérieurs. Je suis donc allée à La Rochelle.
C’est aussi à Niort que j’ai commencé les stages de di- rection qui se déroulaient au conservatoire. J’y vais toutes les semaines pour les répéti- tions de l’orchestre. »
Centre Du Guesclin Place Chanzy Renseignements : 05 17 38 79 69
P.L.D.
Mercredi 15 avril 2015
7 jours à Niort 13
Voici le meilleur de l’actu repérée la semaine dernière
CASTORAMA C’EST CASTOCHE
Zone commerciale Mendes France - Niort 05 49 04 45 00
JUSQU’AU 19 MAI 2015
SUR LES PRODUITS
-15%
SUR LES PAPIERS PEINTS
-20%
lundi 13
Un marché bio place du Donjon
l’annonce est tombée pen- dant le week-end. dès le 5 juin, et ce jusqu’à la fin de l’été, un marché bio se tiendra tous les vendredis après-midi sur la place du donjon. il aura lieu de 16 heures à 19 heures.
c’est le conseil de quartier du centre-ville qui a pris cette décision. certains producteurs locaux ont déjà répondu à cet appel et tous les volontaires sont les bienvenus !
mardi 14
Santé et bien-être des lycéens
le premier Forum santé et bien-être des lycéens s’est déroulé mardi au gymnase du lycée Saint-andré, à Souché.
il s’adressait aux élèves de seconde générale, technique et professionnelle.
À travers des ateliers et des stands, les jeunes ont été sen- sibilisés à la question des ad- dictions, de l’environnement, du sommeil, de l’alimenta- tion, de la sexualité ou encore du sport et des loisirs.
samedi 11
Une miss France à Chauray
Samedi, les clients du centre commercial de chauray ont eu la surprise de voir Élodie Gossuin, Miss France 2001.
en effet, la jeune femme ré- pond de temps en temps aux sollicitations des grandes en- seignes.
elle a donc défilé en compa- gnie d’autres mannequins, vêtues de certaines des col- lections proposées dans la galerie marchande. elle s’est ensuite prêtée avec le sourire au jeu des autographes et des photos.
Jeudi 9
La ville mise sur le tourisme d’affaires Niort fait partie du réseau congrés-cités, qui regroupe 18 villes de taille moyenne dans toute la France. Son ob- jectif : montrer qu’elles aussi peuvent accueillir des événe- ments de grande envergure, comme des congrés, et faire
« tourner » dans les villes membres les événements du tourisme d’affaires, porteurs de retombées économiques importantes. la ville mise entre autres sur ses 34 hôtels et 2 640 lits.
MERCREDI 8
l
e courrier de l’Ouest est allé à la rencontre des jeunes confrontés à l’obésité pris en charge au sein de la Maison d’enfants.Trois mois déjà qu’ils suivent un programme destiné à leur faire perdre du poids. Un régime dont ils ont besoin, parce que l’obésité est d’abord un problème de santé. au sein de l’établissement les Terrasses, à Niort, la Maison d’enfants à caractère sani- taire spécialisée (MecS) leur a ouvert ses portes. en juillet prochain, six mois après leur arrivée, ces jeunes patients espèrent quitter les lieux en laissant derrière eux le maxi- mum de kilos. Pour beaucoup, la « cure » porte déjà ses fruits. « J’ai perdu 8 ou 9 kg et j’espère encore en perdre cinq de plus. On ne sent mieux
dans notre peau. J’avais déjà fait des régimes mais ça ne fonctionnait pas. ici, on a, à proximité, tous les gens qui peuvent nous aider », confie estébane, 12 ans.
Mercredi après-midi, le temps d’une randonnée de plus de 10 km, les pensionnaires ont pu se rendre compte du che- min parcouru.
Prendre conscience du chemin parcouru
« l’idée, c’est qu’ils prennent conscience des bénéfices ac- quis grâce à la perte de poids.
dans son sac à dos, chaque randonneur glisse des bou- teilles d’eau. Une par kilo per- du. Sur le dernier tiers du cir- cuit, il peut se délester de ce fardeau. c’est une façon très concrète de les forcer à réa- liser que les efforts consentis depuis trois mois ont un réel
intérêt », résume Stéphane Taillot, éducateur sportif.
au détour des sentiers de Sainte-Pezenne et du côté du château de chantemerle, les adultes impliqués dans le fonctionnement de la Maison d’enfants ont aussi participé à ce premier événement du genre. les cuisiniers, les infir- miers, le médecin, les éduca- teurs, la psychomotricienne, le veilleur de nuit, tous étaient sur le pont pour encourager les jeunes patients.
« aujourd’hui, nous prenons aussi en charge ce que j’ap- pelle de « faux » obèses.
leur surpoids est essentielle- ment lié à des problèmes de comportement », ne cache pas Stéphane Taillot. « la priorité des priorités est alors de leur apprendre à retrouver un mode de vie actif, à avoir les bonnes conduites ».
Sur leurs épaules, les kilos perdus
confrontés à l’obésité, les jeunes de la Maison d’enfants ont randonné avec dans leurs sacs, autant de bouteilles d’eau que de kilos perdus en 3 mois.
Dans chaque sac, une bouteille d’eau par kilo perdu, pour se rendre compte du chemin parcouru.
Marie Delage
dimanche 12
Des logements adap- tés même en HLM la Sa HlM est le premier bailleur de France à avoir décroché le label Habitat senior service plus, mention excellence. il récompense ses vingt-trois logements adaptés, répartis dans toute la ville, pour les plus de 60 ans.
en effet, les salles de bain des logements sont dotées soit de douches à l’italienne, soit de baignoires faciles à enjamber.
les revêtements au sol sont non glissants, tous les accès des résidences sont éclairés, les portes faciles à ouvrir…
Un contrat petit bricolage (ac- crocher des rideaux, changer une ampoule, etc) est même compris dans le montant du loyer.
Vendredi 10
Les Chamois se main- tiendront en Ligue 2 ! les joueurs se sont rendus sur la pelouse de Nancy vendredi.
en s’imposant 2 à 1, ils ont rectifié le tir après leur défaite du match aller (1-4). après cette troisième victoire de la saison à l’extérieur, les cha- mois sont désormais à la tête d’une série de neuf matches sans défaite. ils s’assurent donc, à sept journées de la fin du championnat, leur main- tien en ligue 2.
