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(1)

woRLD HEALTH ORGANTZATTON V Nf oncaNrsATroN MoNDTALE DE LA SANTE

AFRICAN

REGION REGION DE

L'AFRIQUE

ONCHOCERCIASIS CONTROL PROGRAMME

IN

THE

VOLTA

RTVER BASIN AREA PROCRAMME DE LUTTE CONTRE L'ONCHOCERCOSE DANS

LA

REGION DU BASSIN DE

LA VOLTA

Té1.: 333.12

-329.1O- 338.57- Téléx ONCHO

5241 UV

COMITE CONSULTATIF D'EXPERTS

Deuxième réunion

Genève, 12-16 octobre 1981

ocPfLllcz.t

ORIGINAL : ANGLAIS

BILAN DES ACTIVITES DE RECHERCHE 1974- 1981

Table des rnatières

Pages RECIIERCHE ET PROTECTION DE LIENVIRONNEMENT

2

A. RECHERCHE

2

1. Ecologie du vecteur

2

2. Lutte contre le vecteur 4

3. Recherche épidémiologique, clinique et parasitologique

5

4. Chimiothérapie. .

6

5. Economie de 1a santé g

B. PROTECTION DE L'EIWIRONNEMENT 8

ANNEXE 1 - LISTE DES ACCORDS CONTMCTUELS

I. Entomologie - Ecologie des vecreurs

II. Entomologie - Lutte anEivectorielle

.

III. Epidémiologie générale, recherche médicale et parasitologique ....

IV. Chimiothérapie

.

V. Economie de l-a santé

.

VI. Protection de I 'environnement

ANNEXE 2 - LISTE DES PUBLICATIONS ET DOCT'MENTS ...

Liste de publications de 1'unité de Lutte antivectorielle .

Articles publiés par des consultants du Programme et des chercheurs 6ous contrat ...

Articles concernant 1a surveillance de 1'environnement

Liste de publications de 1'unité d'Evaluation épidémiologique

Liste de documents choisis de l'unité de Développement économique .. .. .. . ..

c

10 10 13 15 19 20

2l

24

24

25

28

29

32

(2)

- 2-

RECHERCHE ET PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT

A. RECIIERCHE

Lors de ses débuts, en L974, 1e Progranmre de lutte contre 1'onchocercose (OCP) a puisé des informations utiles sur 1es aspects épidémiologiques, cliniques et parasitologiques de

1'onchocercose et sur 1'écologie du vecteur dans les travaux dtéval-uation effectués par de nombreux chercheurs et organismes au cours des années précédentes. Néanmoins, il était évident dès le départ, et 1es opérations de lutte antivectorielle de la phase I I'ont montré, que

d'autres questions relatives à la maladie et à son vecteur se poseraient et qu'il faudrait y répondre si 1'on voulait que le Progranme soit efficace.

Outre des renseignements utiles sur 1a distribution du vecteur, le taux annuel dragressi- vité (TM) et 1e potentiel annuel de transmission (PAT) fournis par 1'équipe d'évaluation ento- mologique et 1es données relatives aux aspects cliniques, ophtalmologiques et épidémiologiques

recueillies par 1'unité d'Evaluation épidémiologique, un programne de recherche appliquée, chargé d'effectuer des études en relation étroite avec l-e Progranme, a été lancé. On a accordé une aEtention particulière :

- aux besoins inrnédiats et à long terme du Prograrmre de lutte contre 1'onchocercose, et dans 1a mesure du possible

- à la coordination des activités de recherche avec celles de 1'unité chargée des opéraEions de lutte contre Simulium.

Les études effectuées ou fi-nancées par le Prograrune de lutte contre ltonchocercose recouvrent 1es dornaines suivants

:

1.

,

3.

Ecologie du vecÈeur.

Lutte contre le vecteur.

Recherche épidémiologique, clinique et parasiÈologique.

Chimiothérapie.

Economie de 1a santé.

4.

5.

La recherche a été fortement orientée vers Ies aspects opérationnels. Alors que 1a plus grande partie du travail a été confiée à des institutions et universités sous conÈrat, des

chercheurs et de nombreux consultants à court terme ont également été employés directement par 1e Prograrune. On trouvera à l'annexe 1 la liste des accords de recherche financés par OCp et à

I'annexe 2 la liste des publications et documents concernant 1es études effectuées ou financées

par OCP.

1. Ecologie du vecteur

On savait, dès le débutr {ue 1e vecteur S. damnosum n'était pas une espèce unique mais un

comP1exededifférenteseSPèceJétroiteme''tap!ZFte.".R.,départ,1esespè"à",'.pouvaientêtre identifiées qu'au stade larvaire, par 1'examen des chromosomes géants de leurs glandes sali- vaires. L'identification cytotaxonomique reste la méthode la plus fiable de différenciation des espèces du complexe S. damnosum. En Afrique occidentale, neuf cytoespèces ont été décrites, dont

six §.<|ry_ s.s., S. sirbanum, S. sanctipauli, S. soubrense, S. vahense, S. squamosum)

présentent un intérêt direct puisqu'on 1es trouve à f intérieur de la zone d" p.og..r*%

Dès 1ors, on srest particulièrement attaché à rechercher 1es caractéristlques morpholo- giques permettant à 1'entomologiste de classer sur le terrain les adultes, les nymphes et les larves à 1'aide dtun microscope nonnal. Les populations de mouches du complexe S. damnosum ont pu âtre classées, avec assez d'exactitude, suivant leurs caractéristiques morphol,ogiques en

quatre groupes: S. damnosun/S. sirbanum, S. squamosum, S. yahense, s.

"""u.."""/i]-l.""air."ri.

Pour deux espèces, S. squamosum et S. soubrense, les caractères morphologiques permettent de

àisting.rer deux formes différentes.

(3)

- 3-

Les recherches ont également porté sur les polymorphismes enzymatiques des adultes du

complexe S. damnosum. L'él-ectrophorèse des isoenzymes est presque devenue une opération de

routine lors des études taxonomiques, et a permis de différencier S. squamosum et S. yahense, mais e1le ne se prête pas aussi bien que 1es clés morphologiques à l'utilisation sur le terrain.

On a mis au point des méthodes permettant d'élever en laboratoire une génération de

simulies à partir d'oeufs pondus par des femelles gorgées de sang et capturées dans 1a nature.

Jusqu'à ce qu'il ait été possible d'identifier des adultes, ce sont ces méthodes qui ont été utilisées au cours de 1tétude sur la réinvasion pour obtenir des larves devant servir à ltiden- tification cytotaxonomique : les techniques d'élevage simples mais efficaces ont été enseignées au personnel technique pour application sur Ie terrain. Des tentatives ont été faites

pour créer une colonie en laboratoire de S. damnosum s.1., pour faciliter les études critiques sur tous les stades du cycle vital et sur les facteurs déterminant le développement et 1â

survie. Malheureusement, 1a plupart du temps il s'est révéLé impossible d'envoyer du matériau vivant, c'est-à-dire essentiellement des lots d'oeufs, à des laboratoires en dehors de

1'Afrique occidentale. Cependant, des progrès ont été faits dans la mise au point de techniques dtélevage pour les stades aquatiques, Itadministration de repas de sang et certaines techniques d'accouplement et de ponte. Une colonie fermée de simulies néarctiques a été entretenue pendant

plus de 17 générations. Un système d'élevage modifié a perrnis d'élever une espèce du complexe

S. damnosum en laboratoire pendant cinq générations, mais a ensuite échoué par manque de mâ1es.

Cette réussite incite cependant à poursuivre 1es recherches.

Les vari-ations du comPortement et de la capacité vectorielle des différentes espèces ont

été étudiées. Des informations intéressantes à cet égard ont été obtenues, à la fois par des

travaux de recherche et directement grâce aux opérations de lutte. Des études détaillées ont été effectuées sur le phénomène de réinvasion. Des traitements expérimentaux et la technique de

la spectroscopie de fluorescence X ont été utilisés pour identifier les sources d'où provenaient 1es insectes migrants. On a construit un appareil permettant d'étudier 1a Cistance de vol des simulies pa1éarctiques. Cet appareil sert désormais à étudier 1a capacité de vol et 1a physio- logie des mouches du complexe S. damnosum. Une étude à long terme sur les déplacements des

adultes en fonction des vents dominants a éLé entreprise. Dans 1a partie occidentale de la

zone du Progranrne, la plupart des invasions surviennent au sud de la zone de convergence inter- tropicale, où les vents dominants viennent du sud-ouest. Toutefois, les orâges et les liques de grain perturbent la direction des vents dominants.

Des études ont été effectuées pour déterminer 1a dispersion des mouches de réinvasion en savane dans la partie occidentale de la zone du Prograrmne. I1 n'y a pas de différence du taux de diminution des densités simulidiennes en fonction de l'éloignement de la rivière, c'est-à- dire que la pente des courbes est 1a même pour tous les sites étudiés. Connaissant Ia densité simulidienne ou 1e potentiel annuel de transmission sur la berge, on est en mesure de calculer Ies limites supérieures à 95 % de la densité d'insectes ou du potentiel annuel de transmission à différente§ distances du fleuve.

L'importance épidémiologique de chaque espèce du complexe S. damnosum a également été étudiée. Ce travail semble confirmer les constatations antérieures seLàn lesquelles les espèces

de savane du complexe, S. damnosum s.s. et S. sirbanum, sont incapables de transmettre effica-

cement la variété forestière d'O. vplrzqlgs et vice versa. Cependant, les résultats demandent à

âtre confirmés dans différente" p.ttl.. d" 1a zone du Programme et l'influence des migrations humaines sur la transmission d'o. volvulus doit également âtre étudiée.

Etant donné que le Programme repose entièrernent sur les captures de simulies pour évaluer la population de S. damnosum s.1. présente dans une zone et 1'efficacité des opérations de

lutte, des recherches ont été entreprises pour mettre au point une nouvelle méthode acceptable de capture des adultes et un substrat artificiel permettant d'évaluer les populations larvaires.

Deux pièges pour adultes ont été essayés avec succès. Le premier, un piège-vitre qui

intercepte les insectes en vol, s'est révé1é utile pour 1a recherche, mais a été loin de donner des résultats quantitativement comparables à ceux obtenus par les captureurs humains. Le piège

a cependant démontré que les simulies se déplacent généralement d'aval en amont, immédiatement au-dessus du lit des cours d'eau. L'autre piège, à plaque d'aluminium, s,est révélé plus

Yri

(4)

- 4-

efficace que 1es captureurs, particulièrement dans les zones de réinvasion, mais son efficacité

dépend pour beaucoup de 1'endroit où on place 1e piège. 11 présente l'avantage de capturer 1es

insectes adultes à des stades physiologiques autres que celui où la mouche recherche un repas de sang, notafiûlent les mouches nouvellement écloses et les femelles gravides. Mais ces simulies ne conviennent Pas Pour une évaluation épidémiologique des opérations de lutte. Si ce piège ne

Peut Pas remplacer sur un plan opérationnel les captureurs humains, iI pourrait jouer le rôle de sentinelle au cas où 1e réseau de points de capture serait é1argi. Les éEudes portant sur 1es lieux de repos des adultes du complexe S. damnosum en fonction de différents pièges n'ont pas donné de résultats satisfaisants.

Après de nombreux essais, i1 a été conclu que des bandes de plastique de couleur claire d'une longueur et d'une largeur déterminées fournissaient le meilleur substrat artificiel pour 1es larves. Toutefois, el1es ne se sont pas révé1ées plus attrayântes pour les larves que 1e

substrat naÈurel, cela quel que soit 1'endroit où on les place, mais leur utilisation a permis

d'obtenir quelques renseignements complémentaires utiles sur la distribution des larves dans

1'eau à des profondeurs d'au moins 3 mètres.

2. Lutte contre 1e vecteur

Etant donné que le Progranune ne dispose que drune seule formulation larvicide, le concentré dtAbate émuJ-siflable, la recherche d'un insecticide de remplacement a êté considérée comne

prioritaire. Lorsque 1a résistance du couple S. soubrense/S. sanctipauli au téméphos est apparue

sur le Bas Bandama, en Côte d'Ivoire, 1'évaluation de nouveaux insecticides et de nouvelles formulations est devenue encore plus urgente. Les travaux de recherche sont poursuivis en asso-

ciation étroite avec 1a Division de la Biologie des Vecteurs et de la Lutte antivectorielle de

I'OMS à Genève, et confiés à des institutions sous contrat.

Une méthode faisant appel à une cage flottante, qui permet d'essayer de nouveaux insec- ticides et de nouvelles formulations contre 1es larves de S. damnosum s.1. et d'observer leurs effets sur les organismes non cibles a êté. mise au point. Les résultats de ces essais, effectués à échelle réduite, sont analogues à ceux que 1'on obtient lors d'essais dans les cours d'eau.

Cette méthode représente un net progrès par rapport aux précédentes et permet d'évaluer rapide- ment une g€rmme de produits. Toutefois, on ne dispose que d'un nombre très limité de composés qui répondent aux strictes spécifications fixées par le Progranune et assurent un contrôle maximal du vecteur, tout en ayant un effet minimal sur 1es autres organismes aquatiques.

Jusqu'ici, 1e seul autre larvicide dont on disposait pour Ia suppression inrnédiate des popula-

tions de S. damnosum s.1. résistantes était le chlorphoxime. Bien que cet insecticide soit très efficace contre S. damnosum s.1., son emploi à long terme se révèle toxique pour les organismes non cibles. De la même façon, 1es autres insecticides se sont révéIés trop toxiques pour 1es

organismes non cibles et 1'on recherche actuellement des formulations plus sélectives. Des

recherches concernant 1e fonctionnement de I'appareil digestifdeslarves de Simulium ont montré que les larves filtrent dans 1'eau les partlcules ayant généralement une taille de 1'ordre de 5

à 15 m;r; le trânsit de ces particules dans 1e tube digestif dure de 18 à 30 minutes. On a donc

entrepris d'éprouver 1'efficacité de formulations particulaires de différents insecticides. Une

solution qui présente un intérêt particulier est ce1le des foruulations micro-encapsulées, grâce auxquelles 1es insecticides ne sont toxiques que pour 1'organisme cible. Des capsules

digestibles (chlorpyrifos,-méthyl) et des capsules polymères à diffusion lente (pyrimifos- méthyl) ont un bon niveau d'efficacité lorsqu'elles sonr produites en petits échantillons, mais

f industrie chimique qui les fabrique n'est pas en mesure d'en produire de grandes quantiÈés (1OO litres et plus). De nombreuses forrmrlations encapsulées ont été éprouvées mais il est pratiquement impossible d'établir dans quelle mesure leurs caractéristiques individuelles

(tai11e, épaisseur des parois, etc.), autres que leur teneur en principe acEif, conditionnent leur efficacité. Des forunllations identiques en théorie peuvent avoir des niveaux d'efficacité très variables. L'incohérence des résultats obtenus avec des larvicides mi-cro-encapsulés semble-

rait indiquer que f ingestion des particules par les larves n'a pas été entièrement comprise eE

qu'el1e doit donc être analysée dans le détai1. On étudie également 1a possibilité d'utiliser

des pyréthroldes dans diverses forrnrlations.

(5)

3.

-5-

Les bons résultats obtenus récernrnent avec un insecticide microbien, Bacillus thuringiensis (sérotype H-14) contre s. damnosum s.1. dans des conditions de laboratoire et de terrain

semblent indiquer q"" tEÇilîlnstitue un nouveau moyen de 1urte. Bacillus rhurinsiensis H-14serauti1isépendant1asaisonsèche198o-1981po.,.I.,.."..."iffi

S. damnosum s.1. résistantes au téméphos en Côte d'Ivoire.

on procède aussi à des essai-s sur 1'utilité des produits régulateurs de croissance des

insectes (diflubenzuron et composés analogues) dans la lutte contre sirnulium.

D'ici 1a fin de 1981, 1e Programme aura constitué sa propre équipe d,essai d,insecticides, qui sera composée de trois chercheurs à plein temps, afin d'accélérer la sélection de nouveaux

insecticides et de nouvelles formulations.

Pour connaltre 1a sensibilité des larves de §. d@osum au téméphos, au chrorphoxime et à

tout auLre insecticide qu'on envisagerait d'utiliildans 1es opérations de lutte, on a mis au

point une méthode qui a permis d'effectuer des tests de sensibilité dans des conditions de

terrain et d'obtenir des résultats cohérents. cette méthode est actuellemenÈ utilisée pour déterminer Ia distribution des populations de s. damnosum résistantes au téméphos et jusqu,à présent, rien n'indique 1'apparition d'une.eriG.rilftéméphos ou-à-d,autres larvicides dans

d'autres parties de 1a zone du prograume.

sur le plan médical, 1a plupart des recherches ont été entreprises au cours des activités d'évaluation épidémiologique et ont permis de mieux comprendre 1es conséquences de 1a maladie.

une étude longitudinale, menée dans 1a savane soudanienne du Nord cameroun sur une période de trois ans, a permis de comparer les données sur la dynarnique de la transmission onchocer- quienne dans une zone analogue mais non protégée. une analyse des données provenant de 32 sites- années, où le taux annuel d'agressivité et 1e potentiel annuel de transmission ont été éva1ués,

a permis de comparer le degré de difficurté et la précision des différentes méthodes de calcul du PAT.

La recherche appliquée effectuée par 1'unité d'Evaluation épidémiologique a essentiellement porté sur 1es aspects épidémiologiques opérationnels de 1'onchocàrcose dans le but d'améliorer 1es techniques d'investigation employées sur le terrain. En matière de parasitologie, on a com-

paré différentes méthodes d'examen des prélèvements cutanés afin de déterminer une technique

applicable à 1a fois aux enquêtes de terrain de grande envergure et au dépistage des infections

onchocerquiennes nouvelles et bénignes. on a étudié la microfilarurie qui est un signe important d'onchocercose systémique, et mis au point une technique de dépistage simpte par filtrage de

1'urine.

Bien qu'i1 soit admis depuisun certain temps qu'il y a en apparence des différences entre o' volvulus de forêt et de savane, et que les parasites aux stades infectants trouvés chez 1e

vecteur techniques ne permettant sont pas forcément d'a1ler P1"" l"trr o. volvulus, Les on récents ne possédait progrès des pas jusqu'à techniques ces derniers de coloration histo- temps de

chimique ont permis de mettre au point des méthodes prometteuses qui- pourraient pernettre d'obtenir plus de renseignements sur 1a transmission de la maladie. Là coloration histochimique de 1a phosphatase acide montre qu'i1 existe deux populations différentes de microfilaires, l,une dans la forêt, 1'autre dans 1a savane. Des techniques de coloration ont également été mises au

point pour 1a différenciation des microfilaires d'0. volvulus et dio. streptocerca; elles ont permis de mettre en évidence une prévalence sensible o'q=-g.l...Ègss.." uans la volta région au Ghana' on a également tenté de différenci-er 1es vers adultes ae torat et ceux de savane

par l'électrophorèse des isoenzymes.

une étude a êtê effectuée sur la méthode de digestion des prélèvemenrs cutanés par 1a colla- génase, qui permet de compter la totalité des rnicrofilaires présentes dans une biopsie, alors que 1es techniques standard ne pernettaient d'en compter qu'une partie. Cette technique

permettra peut-âtre d'arnéliorer 1e dépistage des infections très 1égères, mais e11e ne convient Pas aux évaluations de masse. La technique de digestion par la collagénase est également

utilisée pour extraire les vers adultes vivants de nodures extirpés.

rasitol

(6)

-6-

E11e permet de déterminer 1e nombre de vers morts ou vivants par nodule ainsi que 1a fécondité des fLmelles (éva1uée par des analyses qualitatives et quantitatives des stades embryonnaires dans 1'utérus). Cette technique a été normalisée pour fournir des données comparables. Des études relatives à 1a survie des vers adultes après des périodes plus ou moins longues d'inter- ruption de 1a transmission onchocerquienne et à 1'effet des médicaments sur les vers adultes ont été entreprises. Les premiers résultats indiquent qu'après six ans de lutEe, 53 7" des

nodules extirpés contiennent des vers mort,s et 1'on n'a pas trouvé de parasites jeunes. Le pourcentage de femelles mortes était de 35 7. alors que dans les zones où la transmission de 1'onchocercose se poursuit, lepourcentagedefemelles mortes va de 9 à 11 %,L'analysede la viabilité des vers adultes est en train de devenir un complément indispensable pour 1'évalua- tion des densités microfilariennes. I-a mesure du t,aux de mortalité des vers adultes, et de 1a rapidité à laquelle 1a proportion de vers morts s'accrolt dans les nodules, Permettront égale- ment d'évaluer 1'efficacité du Prograrmre. Le diagnostic parasitologique manque de sensibilité

1-orsque f infection onchocerquienne est débutante ou bénigne, ce qui est 1a situation la plus

couranEe en cas de transmission résiduelle. Conformément aux recoumandations du STACTI

"a "., collaboragion avec TDR, le Programme encouragera plusieurs institutions à mettre au point un test

immunodiagnostique permettant de déceler la présence d'infections pré-patentes chez 1es sujets jeunes. Pour cela, i1 faudrait obtenir les antigènes sécrétés par O. volvul-us pour imrnuniser des lapins ou mettre au point des anticorps par Ia technique des hybridomes. La technique des hybridornes devrait être à 1'origine de progrès majeurs en matière de sérodiagnostic. E1le rendra possible 1e dépistage des antigènes circulants et le diagnostic des infections bénignes et actives (Rapport du Groupe de travail scientifique sur 1a filariose, Genève 1979, Bulletin oMs, 59, l-8, 1981) .

Dans le domaine ophtalmologique, différents tests d'acuité visuelle ont été comparés afin d'améliorer Ia fiabil-ité des résul-tats dans les villages où il-s étaient effectués. L'utilisa- tion d'optotypes séparés représentant la forme de 1a main a êté jugée préférab1e dans les con- ditions opérationnelles du Prograume.

A la suite de certains rapports en provenance d'autres régions onchocerquiennes et qui mentionnent une prévalence élevée de glaucome, notament parrni les jeunes, la mesure de la tension intra-oculaire a été prise pendant deux ans. Cette recherche a montré que I'onchocer- cose oculaire grave est étroitement associée au glaucome secondaire, qui. représente 1e stade

final d'une pathologie oculaire grave.

Un autre aspect opérationnel important de 1'onchocercose est la définition des cas à risque élevé de cécité. On a étudié à cetÈe fin ta relation entre 1a charge parasitaire et 1es

1ésions oculaires onchocerquiennes graves, ainsi que ltimportance d'une atteinte du nerf optique dans 1'onchocercose et son influence sur 1e champ visuel.

À 1a suite d'études sur la relation entre le nombre de rnicrofilaires dans la chambre anté-

rieure de I'oeil et f intensité de f infection onchocerquienne, il a été démontré que la pré- sence d'un nombre important de microfilaires dans ltoeil est associée avec les lésions graves et irréversibles.

11 a également été démontré qu'une déficience du champ visuel dans 1'onchocercose cons-

titue un handicap important et courant, qui équivaut souvent à 1a cécité.

4. Chimiothérapie

Un essai a êtê réalisé dans 1a zone du Progranrne pour déterminer 1es avantages possibles de la nodulectomie. Les prerniers résultats indiquent qu'une !e1le intervention pourrait âtre profitabl-e dans certains cas, par exemple chez les enfants qui ont des nodules céphaliques.

1

Comité

Coroité consulEatif scientifique et technique (L974-1979), désormais remplacé par 1e

consultatif d'experts (EAC).

(7)

-7-

En 1'absence de produits adéquats pour le traitement de masse, un progranrne de recherche en chimiothérapie a étê mis en oeuvre progressivement. Pour des raisons éthiques évidentes, 1es essais entrepris n'ont concerné que 1es produits utilisés courartrnent ainsi que ceux dont

1'efficacitér 1es effets secondaires et la toxicité sont déjà bien connus mais dont 1'activité et 1a méthode d'utilisation chez les malades onchocerquiens de la zone du Progranrne demandent

a eEre spec].t]-èes.

Le microfilaricide de référence, la diéthylcarbamazine (DEC) , a êtê testé à la fois dans des conrnunautés restreintes et, pour des traitements de masse, dans des villages entiers.

Divers proÈocoles ont été testés; les patients ont été suivls médicalemenË pendant plusieurs mois au moins et parfois plusieurs années. Les résultaÈs peuvent être résumés corme suit

:

i) En cas d'infection faible ou modérée, 1es effets secondaires peuvent âtre contrôlés par 1'administration de doses progressives et par 1'addition de produits antiallergiques

,t

et/ ou anti- inf lammatoires

.

ii) Parmi les patients ayant une charge parasitaire é1evée, les effeEs secondaires sont extrêmement gênants, mais ici encore, ont été réduits par 1'utilisation d'une dose initiale faible et de produits antiallergiques.

iii) Les effets sur la charge parasitaire oculaire sont excellents. Les réactions ocu-

laires aux produits sont parfois dangereuses mais peuvent être contrôl-ées grâce aux

corticoÏdes.

iv) L'addition à la DEC drautres antihelmintiques contrne 1e lévamisole, n'est draucune aide.

v) Les collyres à la DEC causent de violentes réactions oculaires et, à ce titre, ne peuvent être reconunandés en pratique.

La suramine, le macrofilaricide reconnu, a été prescrite avec les préeautions dtusage aux malades de consultations externes dans 1es conrnunautés vilLageoises méso- et hyperendémiques,

et certains malades ont été suivis pendant trois ans. Les observations suivantes ont été

faites:

i) La toxicité et 1es effets secondaires de la surarnlne sont plus violents chez <ies

sujets ayant une charge microfilarienne é1evée, de sorte qu'une surveillance médicale

stricte est nécessaire.

ii) L'activité parasitologique est plus marquée parmi 1es patients rnodérément infectés

que parmi ceux qui le sont fortement.

iii) Les effets sur la charge parasitaire oculaire sont excellents mais il y a certains risques de développement de lésions irréversibl-es.

Une bibliographie de 1a suramine L92O à 1975 a été publiée en 1976.

D'autres essais cliniques utilisant le métrifonate, le lévamisole et le nifurtimox ont été réalisés dans La zone du Progranune et au Cameroun. Le métrifonate a été administré à diffé- rentes doses dans un village hyperendémique.

Afin de renforcer et d'accélérer les études des produits actuels et potentiellement appro-

priés, un centre de recherche en chimlothérapie a êté crêê à Tanalé au nord du Ghana en 1976.

En 1978, 1'entière responsabilité de la recherche sur la chimiothérapie de 1'onchocercose

a êtê transférée à TDR. Les résultats d'essais cliniques récents et les plans pour d'autres essais figurent de manlère détaillée dans le rapport de la cinquième réunion du groupe de

travail scientifique sur les filarioses, Genève,29-30 octobre 1980, TDR/FIL-SWG(5)/80.

(8)

- 8- 5. Econornie de 1a santé

L'étude des effets socio-économiques de 1a lutte contre 1'onchocercose est devenue de

plus en plus importante et le Comité conjoint de Coordination a recofitrnandé en 1979 que soit incluse dans 1es activités de 1'unité de Développement économique la recherche appliquée sur 1'économie de la santé. Le Prograrune a donc conclu en 198O plusieurs contrats de recherche dans ce domaine.

Une étude pilote a êté effectuée sur 1es moyens matériels mis à la disposition des migrants dans l-es villages de colonisation de lrAutorité des Aménagements des Vallées des Volta (AW). Elle portait essentiellement sur le fonctionnement des crédits agricoles à court et à moyen terme, sur liutilisation qui en est faite et sur 1es effets économiques qui en

résu1tent.

Une deuxième étude pilote était consacrée à 1'analyse du rôle économique et du statut social des personnes atteintes d'onchocercose. Un autre contrat a été signé pour 1'étude des

effets de 1'onchocercose sur la productivité, dont la première phase a consisté à élaborer une rnéthodologie et un schéma de recherche.

Une étude portant sur les politiques menées par les donateurs en matière de santé a été effectuée et une étude sur 1es problèmes et les politiques sanitaires des pays participants du Prograure est en cours. La première a passé en revue 1es déclarations officielles en rnatière de

politiques de prêt au secteur sanitaire et analysé le point de vue des donateurs sur les prio- rités en mâtière de santé. La deuxième concerne 1es principaux problèmes, les priorités et Ies besoins du secteur de la santé dans 1es pays particiPants du Prograuure.

La création d'une équipe permanente chargée de 1'étude des migrations et des changements

qui interviennent dans l-es populations humaines de la zone du Programne a également été envisagée.

Enfin, la première partie d'une étude consacrée aux effets des opérations de lutte anti- vectorielle sur la réinstall-ation de populaEions sur des terres agricoles potentiellement:

exploitables est presque terminée.

B. PROTECTION DE L.ENVIRONNE}4ENT

L'application hebdomadaire du larvicide utilisé pour combaÈtre le vecteur, le concentré

émulsifiable d'Abate, pourrait avoir un effet adverse sur les organismes non cibles. C'est pourquoi, dès le début des opérations, on a mis en route un programme de surveillance aquatique.

Malheureusement, peu de données de référence éEaient utilisables au:K fins de comparaison ulté- rieure. Ainsi, ltétude des cours d'eau couverts par la première phase d'opérations a comencé presque en même tetrps que 1es épandages de l-arvicides. On n'a pu obtenj.r des données de pré- traitement que pour deux rivières, où aucun épandage n'a été effectué avant 1a troisième phase, et pour des cours d'eau situés dans les zones d'extension envisagées, au Togo et. au Bénin.

Au départ, 1e progranrne de surveillance aquatique était appliqué sur huit rivières de la

zone du Progranrne; d'ici La fin de l-981,27 rLvières, apPârtenant ou non à la zone du Progranme,

seront sous surveillance en ce qui concerne les i.nvertébrés (29 sites) et les poissons (23 sites).

Le protocole de surveillance aquaEique appliqué régulièrement sur les cours d'eau en

question est apparu satisfaisant et suffisamment sensible pour refléter toute modificatiorr importante de la composition de la faune des rivières. Pour surveiller l-a faune invertébréer on utilise différentes techniques cortrne 1es filets de dérive, les échantillonneurs Surber et les substratsartificiels, alors que pour la surveillance des poissons, 1es filets maillants de

différentes tailles se sont révé1és satisfaisants.

(9)

-9-

Les données recueillies sont enregistrées sur des formulaires spécialement conçus et mises

sur ordinateur Pour être analysées. En raison des énormes différences, non seulernent saison- nières, mais aussi annuelles, que présentent les rivières par suite des variations des chutes de pluies, qui influent sur 1e courant et l-e débit, il faudra plusieurs années d'études avant de pouvoir tirer des conclusions définitives sur les modifications à long terme de l'écosystème

qui peuvent être imputables à 1'utllisation répétée de pesticides. Toutefois, on a déjà noté une certaine homogénéité des résultatsr ![ui a permis de réduire 1a fréquence des tournées de

de surveillance.

Les résu1tâts ont indiqué que 1'utillsation de 1'Abate ne présentait pas de risques majeurs pour 1'écosystème aquatique. Les effets inrnédiats de 1'Abate sur 1a faune invertébrée sont acceptables du point de vue écologique. Si 1'on enregi-stre une mortalité inquiétante chez 1es arthropodes invertébrés, dans pratiquement tous 1es groupes taxonomiques, la proportion de

survivants est bonne. Les résultats ont également indiqué une certaine diminution du nombre g1oba1 d'organismes invertébrés non cibles dans 1es cours d'eau sous contrôle continu, mais

rien n'indique qu'i1 en soit de même pour 1es poissons. Enfin, 1es études n'ont pas révé1é de

disparition d'espèces sous I'effet d'applications régu1ières d'Abâte et le nombre d'alevins

demeure élevé, ce qui donne à penser que la fonction de reproduction n'est pas affectée. Les

études portant sur 1'activité de 1'acétylcholinestérase dans 1'encépha1e de poissons capturés dans des cours dteau traités à I'Abate et chez les poissons capturés dans des eaux non traitées indiquent que cel1e-ci ne diffère pâs pour les poissons capturés dans une rivière traitée à

1'Abate toutes les semaines pendant six ans et pour 1es poissons témoins. D'autre part, on n'a pas déce1é de modificati.on significative de 1'activité enzymatique dans 1'encépha1e de poissons capturés et échantillonnés 30 minutes après traitement à 1'Abate d'un gîte larvaire de Simu[ium.

Une attention particulière a êtê accordée aux invertébrés et aux poissons des cours d'eau

traités au chlorphoxime. Ces études indiquent clairement que 1e chlorphoxime a un effet direct plus fort sur 1es invertébrés que l'Abate, et il semblerait que l'on doive s'attendre à un

effet généralement destructeur pour 1'ensemble de 1técosystème aquatique au cas où le trai-te- ment serait étendu ou prolongé. Néanmoins, on a observé que certains groupes d'invertébrés récu-

péraient très rapi.dement après la fin de la période de traitement. De nombreux affluents non traités jouent un rôle essentiel dans 1e maintien de 1a santé de 1'écosystème aquatique en pro-

curant des refuges à de nombreux organismes non cibles. L'étendue de ces zones par rapport à

ce1le des cours dteau traités est en cours d'évaluation.

(10)

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