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De l'état des réflexes dans l'épilepsie · BabordNum

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(1)

FACULTÉ DE MÉDECINE ET DE PHARMACIE DE BORDEAUX

ANNÉE 1902-1903 X» 61

DE L'ÉTAT

DES

IFLEXES MU L EPILEPSIE

THESE POUR LE DOCTORAT EN MEDECINE

Présentée et soutenue publiquement le 24 décembre 1902

PAR

Louis GUICHOUX

ÉLÈVE DU SERVICE DE SANTÉ DE LA MARINE

Né à Audierne (Finistère) le 28 mars j879.

i MM.PITRES, professeur..' Président.

m

. . j i rru' > DENABIAS, professeur....i Examinateurs de la These: < 't.*..

y RONDOT,agrege Juges.

[ DENUCÉ,chargé decours..'

Le Candidat répondra aux questions qui lui seront faites surles diverses parties

de l'Enseignement médical.

BORDEAUX

G. GOUNOUILHOU, IMPRIMEUR DE LA FACULTÉ DE

MÉDECINE

II, RUE GUIRAUDE, II

I902

(2)

FACULTE DE MEDECINE ET DE PHARMACIE DE BORDEAUX

M. de NABIAS Doven. I M. PITUES. Doven honoraire.

PROFESSEURS MM. MIGE . .

DUPUY.. . MOUSSOUS

i Professeurs honoraires.

Cliniqueinterne . . . Cliniqueexterne. . . Pathologieetthérapeu¬

tiquegénérales. . .

Thérapeutique. . . .

Médecineopératoire . Clinique d'accouchements.

Anatomiepathologique. . Anatomie

Anatomie générale et histologie

Physiologie ...

Hygiène

Médecinelégale . . .

MM. .

PICOT.

PITRES.

DEMONS.

LANELONGUE VERGELY.

ARNOZAN.

MASSE.

LEFOUR.

COYNE.

CANNIEU.

VIAULT.

JOLYET.

LAYET.

MORACHE.

Physique biologiqueet

électricité médicale.

Chimie

Histoire naturelle . . Pharmacie

Matière médicale. . . Médecine expérimentale .

Clinique ophtalmologique.

Clinique des maladieschi¬

rurgicales des enfants . Clinique gynécologique Clinique médicale des

maladiesdes enfants Chimie biologique . .

Physique pharmaceutique Pathologie exotique .

MM.

BERGONIÉ.

BLAREZ.

GUILLAUD.

FIGUIER.

deNABIAS.

FERRÉ.

BADAL.

PIÉGHAUD.

BOURSIER.

A. MOUSSOUS, DENIGÈS.

SIGALAS.

LE DANTEG.

AGREGES EN EXERCICE:

section de médecine(Pathologie interneetMédecinelégale.) MM.CASSAËT.

SABRAZÈS.

HOBBS.

MM. MONGOUR.

CABANNES.

Pathologieexterne.

SECTION de CHinURGIE ET ACCOUCHEMENTS

MM.DENUCÉ.

I BRAQUERAYE CHAVANNAZ.

BÉGOUIN.

. v . (MM. FIEUX.

Accouchements.{t ANDÉRODIAS.

Anatomie

section des sciences anatomiques et physiologiques

(MM. GENTES. I Physiologie . . . MM.PACHON.

'

*( CAYALIÉ. I Histoire naturelle. BEILLE.

Chimie

section des sciences physiques

M. BENECH. Pharmacie . . M.DUPOUY.

COURS COMPLÉMENTAIRES:

Cliniquedes maladies cutanées et syphilitiques MM.

DUBREUILH.

Clinique des maladies des voies urinaires

Maladies du larynx, des oreilles etdunez Maladiesmentales

Pathologie interne Pathologie externe

Accouchements ."

Evoil&e ïsmow.

Ophtalmologie.1 ... .

ruHFsf

Ivdrologieetminéralogie u<Ali

POUSSON.

MOURE.

RÉGIS.

RONDOT.

DENUGE.

ANDÉRODIAS.

PACHON.

Le Secrétaire de la Faculté: LEMAIRE.

Par délibération du 5 août 1879, la faculté, a arrêté que les opinionsémises

dau^

^

Thèsesqui lui sont présentées doivent être considérées commepropresàleursauteu»,

qu'elle n'entendleur donnerniapprobation ni improbation.

(3)
(4)

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(7)

A M. LE Dr TALAIRACH

DIRECTEUR DU SERVICE DE SANTÉ DE LA MARINE

DIRECTEUR DE L'ÉCOLE PRINCIPALE DU SERVICE DE SANTÉ DE LA MARINE

COMMANDEUR DE LA LÉGION D'HONNEUR

OFFICIER DEL'INSTRUCTION PUELIQUE

(8)
(9)

A MON PRÉSIDENT DE THÈSE M. LE D1 PITRES

DOYEN HONORAIRE DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE BORDEAUX

PROFESSEUR DE CLINIQUE MÉDICALE

ASSOCIÉ NATIONAL DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE

MEMBRE CORRESPONDANT DE LA SOCIÉTÉ DE BIOLOGIE

CHEVALIER DE LA LÉGJON D'HONNEUR

OFFICIER DE L'INSTRUCTION PUBLIQUE

(10)
(11)

AVANT-PROPOS

Sur le point de terminer la série

officielle de

nos

études

médicales, nous sommes heureux detémoigner ici notre

grati¬

tude àtous ceux qui, parleurs conseils, leurs

encouragements,

leslumières de leur science, nous ont aidé à atteindre

le but

que, depuis de longues années déjà, nousnous

étions proposé.

Nous adressons, tout d'abord, tous nos

remerciements à

MM. les Drs Piton et Vergoz qui furent nos

premiers maîtres,

pour l'intérêt qu'ils nous portèrent lors

de

notre

année

d'étude à Brest.

Merci également à tous nos maîtres de

Bordeaux, dont les

savantes cliniques etlesinstructives

causeries

au

lit du malade

furentsi précieuses à notre éducation

médicale.

Qu'ilnous soit surtout permis de témoigner notre

profonde

reconnaissance à M. le Prof. Pitres, pour la

bienveillance

qu'il a toujours eue à notre égard

pendant tout notre stage hospitalier

et qu'il continue à nous

accorder aujourd'hui en

uousfaisantl'honneur de présidernotre

thèse.

Noussommes heureux de remercier M. le Dr Abadie,

chef

de clinique de M. le Prof. Pitres, de son

amabilité à notre

egard etde ses conseils précieux.

(12)

12 -

Merci à MM. les DrsPons et Jacquin, médecins aliénâtes,

pour l'accueil qu'ils nous ont fait, et les facilités qu'ilsnous donnèrent d'étudier leurs épileptiques de Picon.

Un dernier mot enfin à nos collaborateurs et amis MM. Du-

mora et Robert, internesà l'hospice des Aliénées de Picon.

(13)

DE L'ETAT

DES

INTRODUCTION

Plusieursauteurs ontdéjà étudié les

différents réflexes des

épileptiques; toutefois, les résultats

de leurs observations sont

sisouvent contradictoires qu'il nous aparu

utile de reprendre

cette question dont l'importance nous

semble considérable.

Un trouble constant de la réflectivité des épileptiques en dehors des attaques fournirait au

clinicien

un

signe sérieux

dediagnostic, de même que des

modifications toujours identi¬

quesdes réflexes pendant les

crises permettraient d'affirmer

la nature comitiale d'une attaque dont

le diagnostic était

hésitant.

Nous compléterons le sujeten

étudiant les réflexes des épi¬

leptiquessoumis àun traitement bromuré

prolongé. Il est,

en effet, logique de supposer que le

bromure,

par

suite de son

action bien connuesurlescentres nerveux,modifieles

réflexes

desépileptiques. N'a-t-onpas,

d'ailleurs, donné la suppression

du réflexç pharyngien comme

signe pathognomonique de

bromuration?

Nous diviserons donc notre sujet en

trois parties

:

Première partie :

État

des réflexes

chez les épileptiques

non bromurés dans l'intervalle desaccès.

(14)

Deuxième partie : Influence du bromure sur lesréflexes des

épileptiques.

Troisième partie : Modifications des réflexes produites par

l'attaque.

Après avoir exposéau début de chaque chapitre le résumé

des recherches et les conclusions des divers auteurs sur la

question,nous donnerons les résultats de nos observations.

(15)

CHAPITRE PREMIER

Étude

des réflexes chez 41

épileptiques

non bromures dans l'intervalle des

crises.

Plusieurs auteurs ont déjà été intéressés par cette ques¬

tion de savoir si dansl'épilepsie ilexistait, en

dehors des accès,

des troubles de la réflectivité. Les résultats des divers obser¬

vations faites à ce sujet sont tout à fait

contradictoires.

Sinous exposons tout

d'abord les recherches faites

sur

les

réflexespupillaires des épileptiques, nous

notons

que :

1° Pour Musso et Pichon, les réflexes

pupillaires sont

en général pluslents chezles épileptiques; .

Carder Gray déclare que

chez les épileptiques la pupille

présente endehors des attaques des

caractères spéciaux.

Lespupilles, prétendcetauteur, sont en

dehors des attaques

toujours plus ou moins dilatées

même à

une

lumière vive;

de plus elles éprouvent, dit-il, sous

l'influence de variations

de lumière, des changements de

diamètre beaucoup plus

rapidesque celles des individus sains.

Cray enconclut que ce symptôme

à lui seul

a une

valeur

suffisantepourpermettre, en

l'absence d'autres signes, de faire

lediagnostic entre l'hystérie et

l'épilepsie,

ou

de reconnaître

1existence du mal comitial chez les malades dont on

n'a

pu observerles attaques.

Marie vérifie le fait annoncé par Gray et,

mesurant les

(16)

- 16

pupilles de ses épileptiques dans des conditionstoujours com¬

parables, conclut que loin de confirmer le fait annoncé par

Gray,ses observationstendraientplutôt àunrésultatcontraire.

La pupille serait rétrécie chez les comitiaux. Quant à la

rapidité plus grande de la contraction à la lumière, Marie

déclare ne l'avoirjamais observée chez aucun de ses malades.

Bosc, dans sa thèse de doctorat(Recherchessur lesmodifica¬

tions de lapupille chez Vhomme sain, Vépileptique et l'hysté¬

rique), consacre un chapitre spécial à l'état de la pupille des épileptiques en dehors de l'attaque et, prévenuparlescontra¬

dictions des travaux précédents, il s'efforce d'éviter toute

cause d'erreurpouvant provenirde l'examen.

Ses observations portent sur 34 épileptiques adultes; il prend pour terme de comparaison un certain nombre de sujets sains âgés de vingt-trois à vingt-huit ans.

Ses conclusions sont les suivantes : « Nous avons mesuré

la pupille des sujets sains aumoment de sa plus grande

dila¬

tation à unelumière diffuse etnous avons obtenu des chiffres qui varient entre 4mm,5 comme maximum et 3mm comme minimum, soit une moyenne de 3mm,75. On voit que

cette

moyenne serapproche beaucoup de celle donnée par

Sappey

Cruveilhier, à la pupille de l'homme sain. Or,

l'examen du

diamètre de la pupille chez 34 épileptiques,

15 hommes et

19femmes, donne commemoyenne : femmes

3mm,92, hommes

3mm,74, gop- unemoyenne générale de

3mm,83.

La différence ne serait donc que de 8

centièmes de milli¬

mètre, différence inappréciable.

De plus, le maximum atteint par les

épileptiques

a

été de

4mm,8; il ne diffère donc pas sensiblement

de 4mm,5, maxi¬

mum chez l'homme sain. »

Étudiant maintenant les réflexes pupillaires,

Bosc

se

base

sur les recherches de Thomsen faites sur 189

épileptiques et

sur de nombreuses recherches

personnelles. Il conclut que

les pupilles des comitiaux réagissent toujours

à la lumieie.

Puis faisant des mensurations, il démontre que

le pas¬

sage de la dilatation à la contraction n'est pas

aussi instan

(17)

tané que veut bien le dire London Carter Gray; ce temps

serait même égal, d'après ses chiffres, chez les épileptiques et

diezl'homme sain.

Le passage de la contraction à la dilatation ne serait guère

différentnon plus.

Un autre point restait à examiner, Carter Gray et Olivier

maintenaient que la pupille de l'épileptique contractée devant

unevivelumière ne demeure pas contractée malgré la persis¬

tance de la force lumineuse, mais qu'après quelques oscilla¬

tions elle se dilate et demeure moyennement dilatée. Au contraire, la pupille de l'homme sain reste contractée devant lalumière vivependant toute la-durée de l'excitation.

Bosc fait encore ici des mensurations nombreuses et donne les résultats suivants : la pupille de l'épileptique est aussi

stable devant la lumière que la pupille normale; elle ne subit

pas de dilatation malgré la persistance de l'excitation, mais elle

suit les mêmes variations de diamètre que la pupille de l'homme sain.

U examine ensuite le réllexe consensuel et n'y trouve rien d'anormal chez l'épileptique.

Sa conclusion générale est que la pupille de l'épileptique,

endehors des attaques, n'a aucun caractère spécial la distin¬

guantde lapupille de l'homme normal.

Nous occupant maintenant de l'étude des autres réflexes,

noustrouvons des travaux importants de Féré sur laquestion.

«L'existence de l'épilepsie, dit cet auteur, semblerait comporter la coïncidence d'une hyperexcitabilité générale. » Il

examine à ce point de vue les réflexes du genou, du coude, de

la mâchoiresur92 épileptiques; il trouve que : Les réflexessont : normaux chez 30 sujets.

diminués chez 28.

exagérés chez 24.

Chez12,

l'exagération

n'existaitque d'unseul côté etily avait

611 même temps une tendance à la trépidation épileptoide, hien qu'il n'existât aucun signe apparent de paralysie de ce côté.

^UICHOUX 2

(18)

18

Chez les épilèp tiques, les réflexes tendineux seraient ains

tantôt exagérés, tantôt diminués.

Féré étudie ensuite les réflexes cutanés. Son examen porte

sur 64épileptiques.

Tous ces réflexes manquentchez 6,25pour100 des

malades.

Envisageant maintenant chaque

réflexe

en

particulier, le

réflexe pupillaire cutané n'a été trouvé

dans

aucun cas.

Le réflexe scapulaire supérieur manque

chez 55, soit

85,90 pour 100; il est fort chez 6 sujets,

n'existe jamais

sans

le réflexe scapulaire inférieur qui ne manque que

50 fois

sur 64, soit chez 78/12 pour 100; ce dernier est

faible chez 6,

moyen2 fois, fort 6 fois.

Le réflexe palmaire a toujours été

rencontré normal.

Le réflexe épigastrique est absent chez

11 maladés, très

faible chezi, faible chez 14, normal chez

16, fort chez 21.

Il est donc absent chez 17,98 pour 100,

faible chez

24,43 pour 100, normal chez

25

pour

100, fort chez 32,54

pour 100.

Le réflexe abdominal supérieur est

nul chez 6 malades,

faible chez 11, normal chez 26, fort chez

19, très fort chez

1 malade. Ce réflexe est donc absent dans 9,37 pour

100,

faible dans 17,34pour100,

normal dans 29,68

pour

100 des cas.

Le réflexe abdominal inférieur est nul chez 9

malades, très

faible chez 1, faible chez 8, normal

chez 31, fort chez 17, très

fort dans un seul cas; il est nul dans

6, faible dans 8.

Ce réflexe est donc nul chez 9,37pour 100

des sujets, il est

normal chez48,43, fort chez

26,56.

Le réflexe abdominal supérieur

manquerait donc un peu

plus souvent que l'inférieur; ce

serait le contraire chez

l'homme sain.

Le réflexe crémastérien manque à

gauche 27 lois et 32 loi»

à droite. Il esttrès faible une fois des deux

côtés; il est faible

à droite 15 fois, 10 fois à, gauche;

il est normal 17 fois à

droite, 18 fois à gauche;

il

est

fort 4 fois à droite, 3 fois à

gauche.

Il manque 42/18 pour 100

à droite, 50

pour

100 à gauche,

(19)

19

il est faible 23,43 pour 100 à droite et 10,62 pour 100 à gauche; il est normal 26,56 pour100 à droite, 28,12 pour 100

àgauche; il est fort à droite chez 6,25 pour 100, fort à gauche

chez4,88pour 100.

Leréflexe fessier provoqué chez 18 donne les résultats sui¬

vants:

Faible chez 3, soit une moyenne de 4,68 pour 100; moyen dans 5 cas, soit chez 7,8 pour 100; fort chez 7 malades.

Le réflexe plantaire manque chez 18 sujets, soit chez 28,12

pour100; très faible chez 1 sujet, il estfaiblechez 9, soïh'14,06

pour100;il est moyen chez 17, soit chez 26,56 pour 100; ilest fort chez 18, soit chez 28,12 pour 100; très fortdans 1 seulcas.

Nous reproduisons le pourcentage des réllexes cutanés chez lesépileptiques de Féré.

Réflexe pupillaire cutané est normal 100 fois sur 100.

—■ scupulaire supérieur. . . 85,90

scupulaire inférieur . . . 78,12

palmaire 98,43

épigastrique 17,18

abdominal supérieur. . . 9,37

abdominal inférieur . . . 9,37

crémastérien droit. . , . 42,18

crémastérien gauche . . 50

fessier 74,43

plantaire 28,12

Féré tire les conclusions suivantes de ses recherches :

«Contrairement à ce qu'on aurait pu supposer a priori, les réflexes cutanés sont tous très diminués chez les

épileptiques

nonsoumis à lamédication bromurée. »

Tels sont les

opinions et les résultats des recherches des

différentsnon auteurs au sujet de la réflectivité des épileptiques

soumis à untraitement.

Nous basant maintenant sur les observations recueillies par

nous,

d'épileptiques

n'ayant jamais été traités, nous allons étudier leurs réflexes pupillaires, tendineuxet cutanés.

Notreétude portera

sur 40 observations d'épileptiques non

(20)

20

bromures, recueillies clans les cahiers deconsultationsde M. le

Prof. Pitres età l'hospice des Aliénées de Picon.

1° Etat de la pupille. Sans avoir pu apporterànosobser¬

vations la précision mathématique de M. Bosc, nous n'avons jamais eu l'occasion de constater de dilatation trop

anormale

de la pupille; sur 40 malades examinés

jamais

non

plus de

myosisapparent; quant à l'inégalité pupillaire, nous

l'avons

constatée 5 fois dans 40 observations, soit12,44 fois sur100.

Réflexes pupillaires. Les réflexes

pupillaires à la

lumière et àl'accommodation ont"été trouvés normaux 33 fois

sur 40cas, soit une moyenne de 82,5pour 100. Le

réflexe à la

lumière, seul, a été reconnu normal 39 fois sur

40 malades;

vif 1 fois.

Le réflexe à l'accommodation étaitnormal 33fois;faibleOfois,

vif dans 1 cas.

La stabilité à la lumière a égalementtoujours

été remarquée

par nous.

Nous adopterons donc sur l'état de la

pupille et de ses

réflexes chez les épileptiques les conclusions

de Bosc

:

« L'état de la pupille del'épileptique en

dehors des attaques

n'a aucun caractère spécial, la distinguant

de la pupille de

l'homme sain. Entout cas, s'il existe desdifférences,

elles sont

inappréciables et nous paraissent

devoir être complètement

négligeables en clinique. »

Réflexes tendineux. Le

réflexe rotulien

a

été reconnu

18 fois normal dans nos40 observations, soitdoncune

moyenne

de 43,90 pour 100. Il a été

trouvé 4 fois faible, très faible

1 fois, aboli dans 2 cas; 15 fois

il était vif

:

soit une moyenne

de 36,58 pour100 des cas. Il

n'a été trouvé très vif qu'une

seule fois. Nous devons faire remarquer que

dans tous les cas

examinés les réflexesrotuliens étaientsensiblement

égaux des

deux côtés.

Nousoccupantmaintenantdes

réflexes achilléens, nous avons

trouvé chez28 malades examinésà cepointdevue

les résultats

suivants : ils étaient normaux9fois,soit unemoyenne

de 32, L

pour100. Ils étaient faibles 4

fois; 3 fois ils ont été trouvés abolis.

(21)

21 -

Ils ont au contraire été rencontrés vifs 12 fois, soit une moyenne de

42,57

pour

100.

Nousn'avons jamais rencontré de trépidationépileptoïde du pied,celle de la

rotule

a

été rencontrée 1 fois. Les réflexes rotu-

liens ou achilléens étaient exagérés chez cette malade, qui

neprésentait aucun trouble

de la motilité.

Résultats de nos recherches.

Réflexe rotulien examiné chez 41 malades :

Normal 43,90 pour 100

Inférieur à la normale 17,07

Vif ou très vif 39,02

2° Réflexe acliilléen examiné chez 28 malades :

Normal 32,14 pour100

Inférieur à la normale 25,

Supérieur à la normale. ... 42,57

D'après nos observations, nous sommes donc

amenés à

conclure que :

1° Les réflexes tendineux sont, le plus souvent, normaux

|

chez les épileptiques

; .

2° Le trouble rencontré leplus souvent est

l'exagération des

réflexestendineux.

Nous devons toutefois faire observer que nous avons surtout

trouvé l'exagération des réflexes tendineux dans

la catégorie

de nos malades prise à l'hospice desAliénées de

Picon. Nous

avions affaire à d'anciennes épileptiques atteintes presque

toutesde troublesmentaux. Or, l'exagération des

réflexes ten¬

dineux semble avoir étésouvent notée dans lescas d'excitation Maniaque. Il se passeraitici un phénomène

analogue à celui

luiseproduit dans la manœuvre de Jendrassik.

Féré avait noté le fait dans un article paru à la

Société de biologie

: « M. Jendrassik a vu que la tension

volontaire des

Muscles, un effort musculaire portant môme sur une

région

éloignée

favorise la production du

phénomène du

genou

et

(22)

_ 2'J

l'exagère. Decefait, on peutrapprocher ceux dans lesquels on

a vu- des excitations des sensspéciaux ou de lapeau provoquer la même exagération du mouvement. On peut constater le même effet sous l'influence de différents états d'excitation

psychique; dansl'excitationmaniaque passagère del'épilepsie, j'ai constaté plusieurs fois l'exagération des réflexes, et, dans

ces mêmesconditions, j'ai constaté qu'un choc de même inten¬

sité détermine un mouvement non seulement plus fort, mais plus rapide, avec un temps perdu moindre qu'en temps ordi¬

naire. Les mêmes différences se trouvent chez quelques hystériques sous l'influenced'excitations sensorielles. »

Cette remarque nous explique pourquoi nous avons trouvé

la moyenne de l'exagération du réflexe achilléen supérieure

à celle de l'exagération du réflexe rotulien. Nous avons, en

effet, presque exclusivementrecherché le réflexe rotulien chez

nos aliénées 24 cas sur 28. Le réflexe rotulien était exagéré

15 fois sur24 caspris à Picon. Or, sur les 41 observations, ce réflexe était exagéré 15 fois. Notre conclusion générale sera donc que les réflexes tendineux peuvent être quelquefois

troublés chez les épileptiques en dehors des crises, maisque,

en général, les réflexes tendineuxsont normaux.

Réflexes cutanés. Le réflexe pharyngien examiné sur

38 malades a été trouvé :

16 fois normal, soit une moyenne de 42,10 pour

100.

14 fois aboli, 35,89

1 fois très vif, 2,56

3 fois vif, 7,69

4 fois faible, 10,25

2° Les réflexes abdominaux examinés sur 39 épileptiques

ont été trouvés dissociés 4 fois. Dans deux cas, les réflexes

abdominaux supérieurs ont été trouvésvifs, les réflexes

abdo¬

minaux inférieurs étaient normaux.

Dans un cas, les supérieurs étaient faibles et les

inférieurs

abolis.

Dans un dernier cas, les réflexes étaient normaux

à droite,

et abolis à gauche.

(23)

23

Dans35 autres observations, nous avons noté pour ces ré¬

flexeslesrésultats suivants. Us étaient :

17 fois abolis, soit une moyenne de 43,58 pour

100.

4 fois faibles, 10,25

9 fois normaux,

23,07

4 fois vifs,

10,25

3° Leréflexe crémastérien a donné les

résultats suivants

: Sur 15 hommes épileptiques observés, il a

été trouvé des

deux côtés :

9 fois aboli, soit une moyenne de 60 pour

100.

4 fois normal, 26,66

1 fois très faible, 6,66

1 foisvif, ,6,66

4° Leréflexeplantaireexaminé chez 41

épileptiques

a

été

trouvé des deux côtés :

11 fois aboli, soit une moyenne de

26,82

pour

100.

12,19 -

9,75

9,75

19,51

9,75 -

Dans deux cas nous avons trouvé l'abolition du réflexe tibial et du réflexe plantaire et persistance du

réflexe planti¬

crural. Laformule serait: PC normal <PT=PD=0.

bans deux cas, les réflexes n'étaient pas égaux

des deux

côtés.

1ercas : Le réflexe plantaire était vif à droite,

normal à

gauche.

- cas: Le réflexeplantaire était très faible à droite,

aboli à

gauche.

bans trois cas, nous observons le signe de Babinski.

P°ur faciliter nos

conclusions, dressons un tableau com¬

paratif de la diminution, de l'exagération et de l'état

normal

des réflexes pharyngiens, abdominaux,

crémastériens et

plantaires.

5 fois faible,

4 fois très faible,

4 fois vif,

8 fois normal,

4 fois'très vif,

(24)

I. Réflexe pharyngien.

A été trouvé diminué ouaboli chez ,46,14pour100

normal chez 41,10

exagéré chez 10,25

II. Réflexes abdominaux.

Ont été trouvés diminués ou abolis chez 53,83pour100

normauxchez 23,07

exagérés seulement chez. ... 10,25

III. Réflexes crémastériens.

Ont été trouvés diminués ouabolis chez 66,66pour100

normaux chez 26,66

exagérés chez 6,66

IV. Réflexes plantaires.

Ont été trouvés diminués ouabolis des deux côtés chez 48,76pour100

normauxdes deux côtés chez 19,51

exagérés chez 19,51

Nos résultats sont pour ce groupe de réflexes

sensiblement

les mêmes que ceux de Féré :

Les réflexes cutanés sont souvent normaux;

quelquefois

exagérés, mais dans la grande majorité des cas

ils sont

affaiblis en dehors des attaques.

De plus, les moyennes nous démontrent que ces

réflexes

sont diminués à peu près dans les mêmes

proportions

pour

les différentes variétés de réflexes cutanés.

Nous n'avons pas remarqué, dans nos

observations, que

le réflexe abdominal supérieur manquât plus

souvent que

l'inférieur.

(25)

CHAPITRE II

Etude des réflexes chez

43 épileptiques bromurés

Si nous parcourons les

différents travaux publiés sur la

question de l'influence des

bromures

sur

les réflexes, nous

nousheurtons encore ici à des contradictions.

Le bromure de potassium,

dit Voisin,

a

des propriétés

hyposténisantes nerveuses et

vasculaires. Son action ne se

limitepas au cerveau seul. Le bromure

diminue l'excitabilité

réflexe de la moelle sans la détruire; il diminue les

fonctions

de la moelle en produisant

l'olighémie et

non par

une action

spéciale élective sur les tissus nerveux.

En outre, il excite

lescentres modérateurs.

Son action sur les réflexes tendineux serait donc

de les

affaiblir, sans toutefoisles abolir

complètement.

D'autres auteurs, et,Féré est du

nombre, prétendent que

l'actiondes bromures sur les réflexes est peu

marquée.

Enfin Seguin, dans un article paru

dans le Journal de

Médecine de Bruxelles, donne comme

premier] symptôme

de la saturation de l'organisme par

le bromure l'exagération

des réflexes rotuliens.

«On saiten effet, dit-il,que dansle

traitement de l'épilepsie

parles bromures, on est parfois obligé

de

pousser

jusqu'à la

saturation de l'organisme par le

médicament, afin d'arriver

a atténuer l'activité de l'écorce cérébrale. Dans cet

état, le

(26)

_ 06

sujet se trouve exposé à des accidents

d'intoxication,

plus ou moins graves, qui constituent ce qu'on appelle le bromisme.

Ilimporte alors que le médecin maintienne son malade sur la limite exacte à laquelle le médicament puisse agir, sans

produire encore d'intoxication. L'un despremiers signesde la

saturation consiste en l'exagération* des réflexes rotuliens.»

Ce fait, signalé par M. Seguin, a été vérifié par Fergusson

dans trois cas qu'il a eu à observer. Verhoogenprétendavoir également constaté la réalité de ce fait.

Cauvreau avait considéré l'absence du réflexe pharyngien

comme constant dans l'hystérie et comme pathognomonique

de cet état morbide. Bernuz relève plus tard le défaut de

constance de ce signe. D'autre part, Auguste Voisin signale

la suppression du réflexe pharyngien comme un critérium

d'action

thérapeutique

du bromure de potassium. «Sur

40 malades, dit-il, le bromure a supprimé la nausée réflexe

chez 37 qui ne présentent plus de phénomènes épileptiques depuis 4 ans au moins. Sur ce nombre, 7 peuvent être

considérés comme guéris, 18 comme améliorés, 2 ne le sont

pas.

» Quant, aux trois autres malades dont la nausée réflexe n'a pu être supprimée, un seul est amélioré. »

Féréreprend la question et.arrive àun résultat moins affir-

matif: « On admet en général, dit cet auteur, que la perte

du

réflexepharyngien,de la nausée réflexeest caractéristiquenon pas de l'action thérapeutique, mais de l'imprégnation

bro¬

mique. Il arrive d'ailleurs que le bromure manque son

effet

a

cet égard. M. Voisin avait déjàsignalé le fait sans

indiquer les

doses qui marquent cet effet; mais il ne parait pas avoir dépassé 12 grammës.

» J'ai vu le réflexe pharyngien, continue-t-il,

persister avec

uneintensité moyenne chez des maladesprenant 14 grammes,

17 grammes et 18 grammes de bromure de

potassium et

27 grammes de bromure de strontium. Bien qu'il

existât

un effet thérapeutique chez dix autres malades

bromures,

le réflexe persistait faiblement.

(27)

27

»L'absence de nausée réflexe n'est,doncpas nécessairement

l'effet des bromures, même à de hautes

doses.

»

Féré, pour donner encore

plus de valeur à

ses

conclusions,

recherche si l'abolitionduréflexen'existepasindépendamment

de labromurationet iltrouve que sur175épileptiques,

il n'y

a

que 86 malades qui prennent

du bromure de potassium, et

il y en a 135chezlesquels le

réflexe pharyngien est absent

:

Chez les bromurés, il est absent 76 fois sur

86

ou

88, soit

unemoyenne de 87 pour 100;

Chez lesnonbromurés, il est absent59 fois sur 92, soitune

moyenne de64,02 pour 100.

Ladifférence n'est guère que d'un quart.

Féréen conclut que l'absence du réflexe

pharyngien

ne

peut

pas être considérée chez les épileptiques comme un

signe

pathognomonique de bromuration. C'est un

stigmate

commun à(plusieurs catégories denévropathies.

Gilles de La Tourette, dans unarticleparu dans

la Semaine

médicale, étudie l'influence du bromure surl'état des

pupilles

et de leurs réflexes : « Il est un signe qui lèvera tous

les

doutesetpermettra, sans que le malade etle

médecin puissent

épiloguer, de dire si la dose suffisante debromure est

atteinte

;

au coursdu traitement bromuré, lorsque la dose du

bromure

restefaible parrapport-à latolérancedu sujet,

les pupilles sont

endilatation moyenne ou habituelle, elles

réagissent

comme d'ordinaire à la lumièreetà l'accommodation. Si l'on porteplus

hautla dose de bromure, il arrive un moment où

l'on voit les

pupilles se dilater et les réactions lumineuses et accommo- datrices devenir paresseuses.

A un degré de plus les pupilles ne

réagissent plus ni à la

lumière ni àl'accommodation; elles sontenoutre à

leur maxi¬

mumde dilatation.

C'est au moment s'établit la lenteur des réactions que surviennent généralement quelques

phénomènes généraux de

dépression mentale etphysique; ilsindiquentavec

la dilatation

Pupillaire que la dose estsuffisante. Si l'onforçait en

effet la

(28)

28

dose de 1 gramme par exemple, les pupilles ne réagiraient plus ni à la lumièreni àl'accommodation.

Féré, enfin, étudie quelques réflexes cutanés chez des épi- leptiques bromurés au nombre de 73 et donne les résultats suivants :

(Ses études portent sur les réflexes cutanés suivants: R.pu-

pillaire cutané, R. scapulaire, R. palmaire, R. épigastrique,

R. abdominaux, R. crémastérien, R. fessier, R. plantaire.)

1° Tous ces réflexes cutanés ont manqué chez 5 malades

soumis à un traitement interne, soit donc une moyenne de 5,10 pour 100.

2° Le réflexe pupillaire cutané n'a été trouvé dans aucun

cas.

3° Le réflexe scapulaire supérieur manque sur 63 sujets,

soit 91,78 pour 100. R est faible 3 fois, il est moyen 1 fois,

il est fort 3 fois. Ce réflexe existe donc dans la proportion de 8,21 pour 100. R n'existe jamais sans le réflexe

scapulaire

inférieur quine manque que67 fois, soit chez91,78 pour

100.

Le réflexe scapulaire inférieurest faible 3 fois, fort3

fois.

4° Le réflexe palmaire ne s'est rencontré fort que1 fois.

5° Leréflexe épigastrique est absent chez20

malades, il est

très faible chez 2, il est faible chez 18, il est normal chez

18,

il est fort chez 15; enfin, il est très fort chez un

malade qui

prend 10 grammes de bromure.

Ce réflexe est donc faible 24,65 fois pour

100, normal

24,65 fois pour100, fort chez 20,54pour 100.

6° Le réflexe abdominal supérieur est nul

chez 11 sujets

bromurés, faible chez 9, il est normal chez 32, il est

fort sur

21 épileptiques bromurés.

Le réflexe abdominal supérieur est donc

absent 15,06

pour 100, faible chez 12,32 pour 100, normal

43,83

pour

100.

7° Leréflexe abdominal inférieurest nulchez

9, il est faible

dans 10 cas, il est normal 32 fois, fort 22 fois.

Ce réflexe est donc nul 13,32 pour 100, il est

faible chez

13,69pour 100, il est normal chez 43,83 pour

100, il est foit

chez 28,70 pour 100.

(29)

29

8° Le réflexecrémastérienmanque

à droite 30 fois, à gauche

31fois; il estfaible à droite

13 fois, à gauche 13 fois égale¬

ment; il est normal à droite

20 fois, à gauche 18 fois; il est

fortà droite 10fois, à gauche11 fois.

Ceréflexe manquedonc dans la proportion

de 41,09

pour

100

à droite etde42,41 à gauche; il est faible à gauche et

à droite

dans 17,80 pour 100 des cas; il est

normal à droite chez

27,39 pour 100, à gauche chez 23,65 pour

100; il

est

fort à

droite chez 13,69pour 100, àgauche chez15,06 pour

100.

9° Leréflexe fessier estprovoqué chez 55; il est faible

dans

4 cas; il est moyen dans 2 cas; il est fort

dans 12

cas,

normal dans les autres cas. Un de ces malades prend

39 grammes de bromure. Donc ce réflexe existe

dans 75,34

pour100des cas ; il est faible dans5,47 pour 100; il est moyen

chez 32,73 pour 100; il est fort dans

16,43

pour

100 des

cas.

10° Leréflexe plantaire manque chez 16 épileptiques

bro-

murés, soit sur 21,91 pour 100 des cas; il esttrès

faible dans

uncas; il est faible dans 21 cas, soitune moyenne de 28,36

pour 100. Il est moyen dans 16 cas, soit une moyenne

de

21,91pour100 des cas. Il est fort dans 18 cas, soit dans 24,65

pour100.Il est très fort chez un malade bromuré.

Le résultat des recherches de Féré sur les troubles des réflexes cutanés des épileptiques non bromurés

comparés à

ceux observés sur les épileptiques bromurés sont donc que : pour les réflexes pupillaires cutanés, scapulaires,

palmaires, épigastrique

et abdominaux, fessier et plantaire,

l'influence

du bromure est tout à fait douteuse. Elle est nulle sur les réflexes crémastériens.

En somme, dit-il : «L'action des bromures sur les réflexes paraîtra, peut-être, moins manifeste qu'on n'aurait pu

le

supposer. Surtout si l'on considère que les doses

prises

par les malades en question ont été de 5 à 10 grammes,

12 mala¬

des; de 10 à 15 grammes, 15malades; de 15

à 20

grammes,

lo malades; de 20 à 25 grammes, 18 malades;

de 25 à

^grammes,

6malades; de 30 à 35 grammes, 6

malades;

une

seulefois 39 grammes. »

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