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Le concept d'écologie humaine

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Le concept d'écologie humaine

RAFFESTIN, Claude

RAFFESTIN, Claude. Le concept d'écologie humaine. Nouvelles : bulletin d'information du Centre européen d'écologie humaine , 1985, no. 9, p. 60-68

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:4344

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LE CONCEPT D'ECOLOGIE HUMAINE

Claude Raffestin Centre Universitaire d'Ecologie Humaine et

des Sciences de l Environnement' 5, rue Saint-Ours

CH-1211 Genève 4

Dario Pacino, un auteur italien, a écrit un intéressant ouvrage - dans la mouvance intellectuelle marxiste - qu'il a intitulé "l'imbroglio ecologico". Titre évocateur, inquiétant, désespérant aussi car il illustre bien la situation dans laquelle on se trouve relativement à l'écologie, en général et à l'écologie humaine en particulier. Partie d'une réflexion naturaliste, l'écologie a été relancée par une réflexion sociale. Dès lors que toutes les disciplines tant naturelles que sociales s'en sont emparées, on ne sait plus très bien que penser. L'écologie' est un mot auquel on accole toutes les épithètes possibles de manière à se distinguer, à se définir, à se démarquer de ceci ou cela. Ne parle-t-on pas d'écologie physique et d'écologie humaine, d'écologie végétale et d'écologie animale, d'écologie sociale, etc...

Toutes ces expressions expriment à merveille l'imbroglio écologique dont parle Pacino. Mais pourquoi cet imbroglio, pourquoi, à la limite, cette confusion? C'est, je pense, la conséquence d'une contradiction qui finit par être un paradoxe. On remarquera que l'écologie, pour des raisons multiples qu'il serait trop long d'exposer ici, est devenue une sorte de

"bien commun", de "préoccupation générale" dans notre société et, par conséquent, c'est un enjeu dont tout le monde veut s'emparer. A cet égard c'est très intéressant car cela signifie au sens grec du terme que l'écologie est fondamentalement "politique" en ce sens qu'elle nous concerne tous. L'éco-logie est devenue un discours "politique" et elle n'est encore qu'un discours, c'est-à-dire, au fond, un projet. Tout discours est un projet par rapport à l'action. Elle est un discours car l'action se situe ailleurs, là où il y a eu échec, à savoir dans l'éco-nomie qui est proprement la gestion de "l'éco". Si l'économie n'avait pas échoué dans son action de gérer, le discours écologique serait à proprement parler inutile puisqu'il y aurait adéquation entre le "dit" et le "fait" dans l'économie. Mais il y a inadéquation d'où la naissance d'un

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discours qui dénonce les problèmes et qui, par là même, en fait prendre conscience. Mais la contradiction du discours réside dans le fait qu'il est tenu non pas dans une perspective globale, comme le voudrait la nature des problèmes en cause mais dans la perspective des différentes disciplines naturelles et sociales. D'où bien sûr une multiplication des discours qui constituent chacun des morceaux d'un puzzle difficile à assembler puisque les découpages n'obéissent pas aux mêmes principes et n'utilisent pas les mêmes concepts. L'écologie se voudrait globalisante et pourtant elle procède selon des méthodes parcellarisantes. Cette intention globalisante l u i a d'ailleurs valu, à juste titre, beaucoup de critiques dont celle d'être impérialiste. Le paradoxe est évident puisque l'on veut reconstituer ou plus exactement, appréhender un tout, qui n'est pas logiquement la somme des parties, par l'addition des parties. Cela revient à dire que l'écologie ne saurait être fondée qu'à partir de concepts transdisciplinaires qui restent à formuler. Ici un parallèle s'impose avec l'économie. Celle-ci ne s'est pas fondée en additionnant des éléments tirés des techniques de production, d'échange et de consommation, mais en formulant des concepts qui pouvaient être utilisés pour décrire la production, l'échange et la consommation. L'écologie ne sera fondée qu'en procédant d'une manière analogue. C'est ce que je voudrais esquisser maintenant d'une manière nécessairement un peu rapide.

Je crois que pour cela il faut partir de ce qui existe de telle sorte qu'ensuite on puisse réfléchir sur un objet possible, faire en somme ce que Lefebvre appelle la transduction. Dans tous les discours écologiques, il y a, au moins, une notion commune mais qui est rarement explicitée et qui, par conséquent, n'atteint pas le statut de concept, c'est la relation . L'existence est tissée de relations, elle est un vaste complexe relationnel qui prend naissance dans un système à n dimensions qu'on peut finalement ramener à trois: la société, l'espace et le temps. Etant entendu que ce système comprend tout à la fois l'inorganique, l'organique ou biologique et le social sensu lato. Ainsi par exemple on peut formaliser ce complexe relationnel de la manière suivante H r E. H étant l'homme en tant qu'il appartient à une société, r la relation qu'il faut encore définir et E l'extériorité, c'est-à-dire n'importe quel être ou chose avec lequel on entretient un rapport. Tous les éléments H, r et E sont évidemment impor -

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-tants, mais si l'on admet la thèse de Moscovici selon laquelle "en agissant sur la matière l'homme agit simultanément sur lui-même; que toute réorganisation des rapports avec les puissances du milieu matériel est une réorganisation de ses rapports avec lui-même" on remarque la relation, ici fondamentale, doit retenir l'attention puisqu'elle est déterminante tout à la fois pour H et pour E. De cela, on peut également tirer une chose essentielle à savoir que toute relation est un interface bio-social qui ne fait pas intervenir seulement du biologique ou du social, mais l'un et l'autre qui interagissent l'un sur l'autre. Je veux dire, par là, qu'il est finalement très difficile d'isoler le biologique ou le social et c'est peut-être une des grandes leçons de l'écologie qui nous enseigne que l'on ne mesure jamais l'un sans l'autre dans les phénomènes qui font intervenir l'homme. Cela revient à dire que l'on ne sait pas très bien ce qu'on mesure lorsque l'homme est en cause. Mais justement la relation, si elle est correctement identifiée peut permettre de surmonter ce problème : "Les

"échangistes" apportent une réalité organique, leur corps, leurs mains, plus leurs outils et leurs produits. Ils entrent en contact. Ce contact, qui apporte une information à chacune des parties, les modifie. Il y a jonction d'une énergie organique et d'une énergie informationnelle"

(Lefevbre).

La relation est un processus d'échange, de communication qui résulte d'une nécessité: celle du besoin . Le besoin qui, selon Laborit, est la quantité d'énergie et d'information nécessaire au maintien d'une structure.

Pour maintenir une structure il faut se procurer de l'énergie et de l'information à travers des relations. Dans cette quête, l'homme mobilise son travail qui est lui-même de l'énergie et de l'information. Le travail étant en quelque sorte le fondement même du pouvoir humain qui permet les relations.

On voit tout de suite que la relation a un contenu et une forme. Son contenu est déterminé par la combinaison qui est faite de l'énergie et de l'information. Prenons une relation qu'on pourrait qualifier de simple, mais qui ne l'est qu'en apparence: la relation homme-terre (d'ailleurs toutes les relations pour peu qu'on les analyse de près sont complexes).

Dès l'invention de l'agriculture l'homme est placé face à une relation

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complexe. Il échange de l'énergie informée contre de l'énergie informée.

Seulement le rapport n'est pas le même sinon l'opération n'aurait guère de sens. Il dépense son énergie physique à préparer le sol, à le planter selon une information empirique qui lui a été transmise par la société qui l' a accumulée. La terre va l u i restituer de l'énergie informée par une information génétique qu'il ne connaît pas mais il sait qu'un grain de blé va lui en donner 2, 3 ou 4 à la fin du cycle. On peut essayer de représenter cela sur un système de coordonnées:

Qu'on ne s'y trompe pas cette formalisation (simple, voire simpliste mais utile) peut être étendue à d'autres relations. Cette première relation, relation technique, économique, biologique, sociale, etc.. serait très difficile à exposer sans le recours à ces deux concepts d'énergie et d'information. Sans ces concepts on aurait de la peine à la qualifier puisqu'elle fait intervenir tout à la fois du biologique et du social, entre autres.

Il faut aller un peu plus loin. Par l'application de son énergie selon un programme établi l'homme réussit à prélever chez son partenaire de l'énergie. Mais il peut ignorer, cela a certainement été le cas au début de l'ère agricole, que ce prélèvement s'il est répété plusieurs fois de suite épuise l'énergie de la terre qui après n années peut ne plus rien donner car on ne lui a pas restitué une partie de ce qu'on lui a pris. Le signal c'est la baisse de rendement qui a dû poser des problèmes à l'agriculteur qui y a répondu par l'agriculture itinérante. La sédentarisation a impliqué la possession d'une autre information que celle utilisée pour produire

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qu'on appellera l'information productiviste, par opposition à l'information régulatrice, à savoir celle mobilisée pour préserver la structure de l'autre pôle de la relation. Dans l'exemple précédent, on peut dire que E + Ip donne naissance à une relation dissymétrique qui dans la durée détruit la structure de l'autre pôle, ici, la terre. En revanche E + Ip + Ir donne naissance à une relation symétrique qui préserve la structure de l'autre pôle. On remarquera que dans une relation dissymétrique l'homme agit comme s'il était seul en ne tenant compte que de son intérêt, soit de la satisfaction de ses besoins sans tenir compte du pôle qui contribue à satisfaire ses besoins. Autrement dit après une certaine durée il détruit l'autre ce qui signifie qu' il se détruit lui-même s'il ne change pas ou s'il ne peut pas changer de lieu. En d'autres termes encore son autonomie est menacée à moyen terme par les relations dissymétriques. En revanche, il préserve son autonomie à moyen terme et vraisemblablement aussi à long terme s'il intègre dans son programme la préservation de l'autre.

La question de l'autonomie est centrale dans l'écologie humaine puisque l'homme est auto-cinétique du point de vue biologique et, du point de vue social, on peut faire l'hypothèse qu'il est autonome. On doit remarquer une autre chose également importante c'est que dans une relation dissymétrique où l'un des partenaires n'utilise qu'une information de production il est plus orienté vers la réalisation d'un résultat d'un produit que vers la nature du processus qu'il déclenche: c'est l'illustration du vieil adage la fin justifie les moyens. Mais il n'est pas évident qu'on puisse répéter plusieurs fois le résultat dans une relation dissymétrique alors que vivre c'est répéter plusieurs fois les mêmes processus pour se maintenir.

L'information régulatrice a donc pour but de corriger l'information de production de telle sorte qu'un processus puisse se répéter, sinon indéfiniment, du moins un grand nombre de fois. Préserver l'autonomie dans le temps et l'espace suppose donc une combinaison d'information productiviste et d'information régulatrice. L'information apparaît donc singulièrement ambiguë puisque l'une élargit les possibilités de production et l'autre les restreint. En fait, c'est toute la différence qui existe entre l'action ponctuelle et l'action répétée. La répétition suppose des réserves qui, seules, fondent la possibilité de l'autonomie (voir Vendryès).

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Si l'on jette un regard sur l'évolution de l'action humaine, on constate que l'information productiviste a de plus en plus prévalu sur l'information régulatrice. Qu'est-ce à dire? Qu'en cherchant à maximiser les résultats dans le moyen terme on a compromis ces mêmes résultats dans le long terme et que par là même l'autonomie a été menacée à long terme puisque la destruction des "autres" compromet la possibilité de relations utiles avec eux. L'information régulatrice est très généralement sous- estimée car e l l e joue le rôle de frein immédiat pour permettre de répéter le processus. C'est l'information qui préserve dans la durée l'autonomie de l'existence. On sait que dans le cas d'une information productiviste on peut avoir une relation symétrique ou dissymétrique. Si on ignore tout de ses effets on peut admettre une probabilité de i c'est-à-dire que c'est le signe de notre incertitude ou si l'on préfère la mesure de notre ignorance. On peut ou accumuler une information régulatrice avant essai ou l'accumuler au fur et à mesure de son utilisation et corriger, réguler de proche en proche.

L'exemple de la relation homme-terre n'est évidemment qu'un cas. Plus en rapport avec notre société on pourrait choisir ce qui s'est passé dans les grandes métropoles modernes. On est passé en un siècle de la petite ou moyenne v i l l e à la grande métropole. C'est-à-dire que l'on a fait le choix des fortes densités urbaines nécessitées par la technologie des grands outils dont le profit n'est obtenu que dans la concentration. Tout le système des relations a été modifié dans la v i l l e par la transformation des trois éléments H, r et E. Mais là encore r joue un rôle fondamental avec la croissance quantitative de H. Comme dirait David Dickson c'est la mise en place d'une société technologique dure (Alternative technology and the politics of technical Change, 1974).

Il n'est évidemment pas aisé de porter un jugement sur ce type de société, mais on peut l'approcher à grands traits à travers les relations.

Potentiellement, les choix offerts par une métropole sont bien plus considérables que ceux offerts par une v i l l e moyenne et, par conséquent, l'autonomie potentielle dans une métropole est plus grande que celle offerte par une v i l l e moyenne. Mais qu'en est-il des choix réels et de l'autonomie réelle? C'est certainement là une question cruciale car on peut faire l'hypothèse que plus l'écart est grand entre les choix potentiels et les choix réels plus les frustrations peuvent être importantes et conduire

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par conséquent à des relations insatisfaisantes. En première approximation on pourrait dire que l'autonomie se définit par un rapport entre les choix réels possibles et les choix potentiels. L'unité exprimerait une situation

n

parfaitement satisfaisante (—= 1). Mais plus on se rapproche de 0 plus la situation devient tendue. Le 0 serait la situation d'un prisonnier placé dans une prison de verre au milieu de la ville qui pourrait voir toutes les possibilités auxquelles il n'a pas accès: l'autonomie est nulle, la frustration est égale à l'unité. Ce supplice de Tantale de ne pouvoir saisir ce qu'on désire conduit à des relations dissymétriques avec l'extériorité. Qu'on ne nous comprenne pas mal: pouvoir saisir ce qu'on désire et qui est offert . C'est là où on revient à l'idée d'une autonomie toujours relative puisqu'elle dépend des ressources du système.

Il n'y a pas d'autonomie absolue. Autrement dit chaque lieu communautaire est caractérisé par une autonomie dont le degré varie avec le temps.

L'autonomie peut croître et peut décroître. Elle n'est jamais quelque chose d'acquis définitivement.

L'autonomie dépend de la quantité d'énergie et d'information à disposition. Elle est donc finalement très fragile. On peut faire l'hypothèse qu'elle croît jusqu'à un certain point et qu'ensuite elle décroît. Comment peut-on construire un exemple pour exprimer cela?

Supposons un individu placé au centre d'une grande ville dans un secteur à partir duquel il peut atteindre aisément n'importe quel autre secteur sans une dépense considérable de temps ce qui permet d'éliminer le facteur distance. Prenons 10 secteurs

Dans chacun de ces secteurs il y a un service quelconque auquel il peut avoir accès et admettons qu'il s'agisse d'un service culturel chaque fois équivalent, par conséquent cet habitant a la probabilité 1/10 d'aller dans l'un ou l'autre de ces quartiers. Mais comme il travaille il ne peut fréquenter ces services que le soir. Or il sait que les secteurs 2 et 7

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sont très dangereux après 10 heures du soir (risque d'agression, de vol, etc.). L'exemple paraît excessif mais il suffit de penser à New York mais aussi à M i l a n ou à Naples par exemple. Dès lors les quartiers 2, 7 sont éliminés et éventuellement 1 et 6. Reste 6 quartiers. Par conséquent la probabilité d'aller dans 3, 4, 5, 8, 9 et 10 augmente. Ses possibilités potentielles sont 10 mais ses possibilités réelles sont 6. Un indicateur d'autonomie pourrait être _§_ = 0,6 ou bien le rapport entre deux

10

_L

probabilités c'est-à-dire 1_9_ autrement dit 0,6. L'autonomie n'est donc pas

_1

6 de 1 mais de 0,6 dans ce cas en question. L'habitant peut prendre le risque

d'aller dans les 4 autres secteurs mais avec une probabilité assez forte d'être agressé, autrement dit avec le risque d'entretenir une relation dissymétrique dangereuse. L'agression est évidemment une relation mais une relation très dissymétrique. Comment est-elle d'ailleurs possible? El le dépend de la densité urbaine et donc de la concentration. Dans une métropole l'anonymat fait que les individus qui veulent entretenir une relation dissymétrique avec d'autres ne sont évidemment pas gênés par l'information qu'on pourrait avoir sur eux puisque cette information sur autrui est une information régulatrice. Il sait que je sais donc il se contient. Ou mieux il sait que je peux savoir. L'information que l'on a les uns sur les autres est une information régulatrice. Dans la v i l l e moyenne cette information est généralement considérable. Evidemment se pose le problème du caractère tyrannique de cette information régulatrice. Si elle n'existe que pour empêcher des relations dissymétriques, il n'y a sans doute rien à dire, si en revanche elle est utilisée pour promouvoir un seul modèle relationnel dans une société monolithique et non pas pluraliste e ll e devient l'occasion elle-même d'une relation dissymétrique.

Si dans une v i l l e moyenne on a 4 possibilités au lieu de 10 mais que les 4 sont accessibles dans ce cas l'autonomie est égale à l'unité. On dira que l'autonomie 1 est finalement d'un intérêt moindre que celle à 0,6 puisque le nombre des possibilités est supérieur avec 0,6. Certes mais l'autonomie est toujours relative aux ressources du système. Je ne suis pas versé dans ces questions mais je pense qu'on peut estimer que l'habitant de la métropole éprouve un sentiment de frustration plus grand que celui de la

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ville moyenne.

Que serait le projet de l'écologie humaine dans ces conditions?

L'étude des relations, de leur optimalisation, de leur gestion, et de leur régulation dans la perspective d'atteindre la plus grande autonomie possible compatible avec les ressources du système.

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