HAL Id: jpa-00237697
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Submitted on 1 Jan 1880
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WILLIAM SPOTTISWOODE. - A mode of exciting an induction-coil (Méthode nouvelle d’excitation d’une bobine d’induction); Phil. Magazine, t. VIII, p. 390;
novembre 1879
A. Niaudet
To cite this version:
A. Niaudet. WILLIAM SPOTTISWOODE. - A mode of exciting an induction-coil (Méthode nouvelle d’excitation d’une bobine d’induction); Phil. Magazine, t. VIII, p. 390; novembre 1879. J. Phys.
Theor. Appl., 1880, 9 (1), pp.37-37. �10.1051/jphystap:01880009003700�. �jpa-00237697�
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WILLIAM SPOTTISWOODE. - A mode of exciting an induction-coil (Méthode nou- velle d’excitation d’une bobine d’induction); Phil. Magazine, t. VIII, p. 390; no-
vembre I879.
L’auteur a excité une bobine d’induction, de om, 5o
d’étincelle,
au moyen d’une machine
magnéto-électrique
à courants alternati-vement renversés de Méritens
(tournant
à 130o tours parminute).
Dans ces conditions, les courants de fermeture et de rupture se
présentent
alternativement dans les deux directions. Lesystème produit
lui-même lesinterruptions ;
on est doncdispensé
de l’inter-rupteur et aussi du condensateur.
La bobine d’induction susdite a donné dans cette combinaison des étincelles de om, I8, de la grosseur d’un crayon ordinaire.
A raison de l’association des deux courants, l’étincelle se com-
pose d’une
pointe
brillante àchaque
extrémité et d’unelangue
deflamme
jaune,
comme on la voit habituellement avec les grosses étincelles d’unegrande
bobine. Iln’y
a pas, à proprementparler,
d’étincelle
quand
les flammes passent librement;mais,
si on lessouffle de côté, on voit un filet brillant entre les deux électrodes.
Ces étincelles ressemblent à celles données par la
grande
bo-bine d’induction
(qui
est décrite dans l’articleprécédent)
excitéepar une forte
pile ;
mais elles sont obtenues ici avec une continuité extraordinaire et se présentent comme un torrent de flamme.Enfin, dans des tubes de Geissler, on obtient de très beaux effets
et des stratifications
parfaitemen t
fixes.A. NIAUDET.
W. CROOKES. 2014 On electrical insulation in high vacua (Isolement électrique dans un vide très complet); Proceedings of the Roy. Soc., t. XXVIII, p. 347-352; I2 fé- vrier I879.
Un
électroscope
à feuilles d’or,composé
de deux feuilles d’orenfermées dans un ballon de verre que l’on peut sceller à la
lampe
après y avoir fait un vide que l’on poussejusqu’à
un millionièmed’atmosphère,
sert à cesexpériences.
Lesphénomènes
d’attractionet de
répulsion électriques
ont lieu dans ce vide comme dans l’air ;la
divergence
des feuilles d’ors’y produit.
On constateégalement,
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