HAL Id: jpa-00237317
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Submitted on 1 Jan 1877
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H. HELMHOLTZ. - Bericht betreffend Versuche über die elektromagnetische Wirkung electrischer Convection,
etc. (Rapport sur des expériences relatives à l’action électromagnétique de l’électricité transportée par la matière pondérable en mouvement, exécutées par M.
Henry Rowland, de Baltimore); Ann. de Pogg., t.
CLVIII, p. 487, 1876
A. Potier
To cite this version:
A. Potier. H. HELMHOLTZ. - Bericht betreffend Versuche über die elektromagnetische Wirkung electrischer Convection, etc. (Rapport sur des expériences relatives à l’action électromagnétique de l’électricité transportée par la matière pondérable en mouvement, exécutées par M. Henry Rowland, de Baltimore); Ann. de Pogg., t. CLVIII, p. 487, 1876. J. Phys. Theor. Appl., 1877, 6 (1), pp.29-31.
�10.1051/jphystap:01877006002901�. �jpa-00237317�
29 d’où
Ces formules montrent un fait intéressant : c’est
que j’et fi
dé-croissent
lorsque
croit; on a, eneffet,
Ces dérivées sont
toujours négatives
pourcondition
toujours
réalisée dansl’emploi
deslunettes ; donc,
pourune vue
donnée,
il faudraemployer
une lentille de distance focale d’autantplus
faiblequ’on
mettra le verreplus
loin de l’oeil. De làle conseil,souvent donné de
placer
les verres aussiprès
quepossible
de
l’oeil,
pour éviterl’emploi
de verres tropforts;
de là aussi l’ha- bitude des médecins militairesqui appliquent
les lunettes contreles yeux des conscrits atteints de
myopie.
Les formules
(I)
et(2)
montrent encore que la lentille doit être àfoyer
d’autantplus
court que l’on estplus
myope ouplus
pres-byte.
On a, en
effet,
pour les myopes,quantité essentiellement positive : donc f décro t quand D’ décroît;
e t pour les
presbytes,
quantité
essentiellementnégative : donc f1
décroîtlorsque D’t
croît.Ii. HELMHOLTZ. 2013 Bericht betreffend Versuche über die elektromagnetische Wirkung electrischer Convection, etc. (Rapport sur des expériences relatives à l’action élec- tromagnétique de l’électricité transportée par la matière pondérable en mouvement, exécutées par M. Henry Rowland, de Baltimore); Ann. de Pogg., t. CLVIII, p. 487, 1876.
La
question
de savoir si une molécule matériellechargée
d’élec-Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01877006002901
30
tricité
positive,
se mouvant dans un sensdéterminé, produit
lesmêmes actions
qu’un
courantélectrique dirigé
suivant satrajec- toire,
a uneimportance théorique capitale.
Le désir de résoudrecette
question
avaitdéj à inspiré
à M. Helmholuz uneexpérience (1) qui
n’a donnéqu’un
résultatnégatif.
Nousreproduisons
presqueintégralement
leRapport
de M. Helmholtz sur desexpériences
nouvelles conduisant à un résultat contraire.
Un
disque
d’ébonite de 2I centimètres dediamètre,
de 5 iiiilli-mètres
d’épaisseur,
peut tourner avec une vitesse de 61 z tours par seconde autour d’un axevertical ;
cedisque
est doré sur ses deuxfaces ,
sauf autour de l’axe. Il estplacé
entre deuxdisques
deverre
fixe, percés
en leur centre pour laisser passerl’axe ;
la facede ces
disques
tournée vers leplateau
d’ébonite est dorée sur unesurface annulaire de
24
centilnètres de diamètreextérieur,
et 9 cen- timètres de diamètreintérieur;
la dorure est en communicationavec le sol. Devant le
plateau
d’ébonite se trouve unepointe qui
en est distante
de 1 3
demillimètre,
et peut être mise en communi- cation avec l’une ou l’autre des armatures d’unepuissante
batteriequi
sert de réservoir d’électricité.Au-dessus du
disque
de verresupérieur,
se trouvesuspendu
unsystème astatique,
dont lesaiguilles,
deIc,5
delongueur,
sontdistantes de 18 centimètres : ce
système
est enfermé dans une boitede
laiton ;
on s’assure que lacharge
de la batterie et desplaques
est sans influence sur le
système, lorsque
laplaque
d’ébonite estimmobile. L’influence du
magnétisme
de rotation s’élimine enchangeant
lesigne
de l’électricité duplateau
et en maintenant lesens de la rotation : on trouve
alors,
en faisant tourner laplaque d’ébonite,
unchangement appréciable
dans laposition d’équilibre de l’aiguille ; celle-ci, dirigée tangentiellement
audisque,
est déviéecomme par un courant
dirigé
dans le sens de larotation,
ou ensens
contraire,
suivant que laplaque
estchargée
d’électricité po- sitive ounégative;
le même effet s’observequand
la dorure estenlevée suivant des
lignes
radiales ouquand
leplateau
d’éboniteest
remplacé
par undisque
de verre électrisé par despointes,
comme le
plateau
d’une machine de Holtz.Pour
procéder
à desexpériences
de mesure, ledisque
d’ébonite(1) Foir ce Journal t. V, p. 242.
3I fut doré de nouveau, et la dorure divisée en anneaux circulaires
très-fins,
dont lepremier communiquait
avecl’axe ;
les autres an-neaux ne
pouvaient prendre
aucunecharge appréciable
sans se dé-charger
sur les anneaux voisins par de très-courtesétincelles ;
deuxplaques
électrisées en forme de secteur étaientplacées,
l’une au-des- sus, l’autre au-dessous dudisque.
Ces secteursproduisent
des dévia-tions croissant avec leur
étendue,
maisqui
ne sont réellementappré-
ciables que
lorsqu’ils
couvrent la moitié de lasurface ;
on n’a doncpu comparer par ce
procédé
les effets dus à la convection et aux véri- tables courantsqui
se superposent dans cesexpériences :
il a fallualors
évaluer,
dans lapremière
méthode( où
ledisque
est électriséet couvert dans toute son étendue de
plaques condensanues),
lepotentiel
de la batterie et dudisque,
cequi
a été fait au moyen de la Table donnéepar Thomson
sur lalongueur
des étincelles. On asupposé
ensuite que les formules connues pour desdisques
infini-ment minces
s’appliquaient
audisque d’ébonite,
et que toute lacharge
de celui-ci était concentrée sur un filet infiniment mince à lapériphérie.
L’intensité dumagnétisme
terrestre étant connue, ainsi que la réduction dans l’action de la terre provenant de la dis-position astatique
dusystème ,
on calcule la déviation que pro- duirait sur cesystème
un courant, danslequel
la mémequantité
d’électricité
passerait
dans le même temps parchaque
section.D’après
M.Helmholtz,
les résultats observés sont très-sensible-ment d’accord avec la théorie. Les forces en action sont d’ailleurs très-faibles et
n’atteignent pas 1 50000
de l’intensitémagnétique.
A. POTIER.
W. WERNICKE. 2014 Ueber die absoluten Phasenänderungen bei der Reflexion des Lichtes und über die Theorie der Reflexion (Changement absolu de phase 1 roduit
par la réflexion et sur la théorie de la réflexion) ; Ann. de Pogg., t. CLIX, p. 198;
I876.
Pour
expliquer
le caractère de la tachecentrale,
dansl’expé-
rience des anneaux de
Newton,
on admet que la réflexion de lalumière à la surface de
séparation
de deux milieuxparfaitement
transparents s’effectue sans
changement
dephase, quand
lepremier
milieu a le