Les Italiens au Luxembourg
Au 1er février 2011 (date du recensement), 18 059 Italiens ont habité au Luxembourg, soit 3.5% de la population totale. Leur nombre a diminué depuis 1970, année au cours de laquelle on comptait en- core 23 490 Italiens (6.9% de la population totale).
En 1960, les Italiens représentaient 37.8% du total des étrangers habitant au Luxembourg. En 2011, la part des Italiens parmi les étrangers n’est plus que de 8.2%. Dans la comparaison avec l’ensemble de la population, les Italiens sont beaucoup plus âgés en moyenne (45.2 années pour les Italiens, contre 38.7 années pour l’ensemble de la population). La majorité des Italiens vivant au Luxembourg est née en Italie (62.7%). 28.3% sont nés au Luxembourg.
En termes absolus, la plupart des Italiens vivent dans la Ville de Luxembourg (5 750, soit près de 30% de tous les Italiens habitant le Grand-Duché).
Cependant, c’est à Bertrange que leur proportion relative dans la population est la plus importante (7.0% de la population de la commune, contre 3.5%
de la population au niveau national). Globalement, les Italiens ont un niveau d’éducation formelle plus faible que la population totale. Les jeunes Italiens ont cependant des niveaux l'éducation générale- ment plus élevés que les jeunes du même âge dans la population totale.
Etat et évolution de la population italienne au Luxembourg
Au 1er février 2011, 18 059 Italiens habitaient au Luxembourg, soit 3.5% de la population totale. Par rapport au recensement de 2001, le nombre d’Italiens a diminué de 4.9%, alors que le nombre de Luxembour- geois a augmenté de 5.3%. Le nombre total des étran- gers a même augmenté de 35.9%. La part des femmes parmi les Italiens est, avec 47.2%, plus faible que celle des hommes, alors que, dans la population totale, les parts des hommes et des femmes sont pratiquement identiques. L’âge moyen des Italiens est de 4 années plus élevé que l’âge moyen de l’ensemble de la popula- tion (45.2 années contre 38.7 années). Comparé aux autres étrangers, l’âge moyen des Italiens est même de 10 ans plus élevé (45.2 années, contre 35.3 années).
Tableau 1: Les Italiens au Luxembourg en résumé
Italiens
Total étrangers
Luxembour- geois
Population totale
Nombre 2001 18 996 162 285 277 254 439 539
Nombre 2011 18 059 220 522 291 831 512 353
Variation par rapport à 2001 -937 58 237 14 577 72 814 Variation par rapport à 2001 (en %) -4.9% 35.9% 5.3% 16.6%
Hommes 9 529 111 816 143 151 254 967
Femmes 8 530 108 706 148 680 257 386
Part des femmes 47.2% 49.3% 50.9% 50.2%
Âge moyen 45.2 ans 35.3 ans 41.3 ans 38.7 ans
Source: STATEC – RP 2011
Remarque: Dans la présente publication, le groupe des
« étrangers » inclut les Italiens.
En termes absolus, les Italiens étaient les plus nom- breux lors du recensement de la population de 1970 (voir graphique 1). A cette époque, 23 490 Italiens habi- taient le pays. Depuis, le nombre d’Italiens a diminué de façon continue, alors que le nombre d’étrangers a aug- menté de façon tout aussi continue de 1947 jusqu’à aujourd’hui. En 1970, la part des Italiens dans la popu- lation totale atteignait, avec 6.9%, son point culminant.
Comparée aux étrangers dans leur ensemble, la part des Italiens avait atteint son pourcentage le plus élevé dès 1960 : au cours de cette année, les 15 708 Italiens habitant le pays représentaient 37.8% du total des étrangers qui était de 41 516 personnes. En 2011, la part des Italiens (au nombre de 18 059) parmi les étrangers n’est plus que de 8.2%.
Graphique 1: Luxembourgeois, Italiens et étrangers au Luxem- bourg
0 50000 100000 150000 200000 250000 300000 350000
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1915 1920 1925 1930 1935 1940 1945 1950 1955 1960 1965 1970 1975 1980 1985 1990 1995 2000 2005 2010
Population luxembourgeoise Population étrangère Italiens Source: STATEC – RP 1875–2011
Premiers résultats : RP2011 – Italiens au Luxembourg
Structure par âge
Dans le graphique 2, les pyramides des âges de la population italienne et de la population totale sont su- perposées. Comme les deux groupes ont des tailles différentes, la comparaison est basée sur les propor- tions relatives par âge. Comparée à la pyramide des âges de l’ensemble de la population, celle des Italiens est plus irrégulière. En ce qui concerne la population totale, jusqu’à l’âge de 25 ans, toutes les cohortes ont pratiquement la même taille. Dans la classe d’âge des 26-45 ans, ce sont plutôt les groupes d’âge élevé qui sont plus représentés. A partir de l’âge de 46 ans, les groupes d’âge rétrécissent de façon pratiquement con- tinue. En ce qui concerne les Italiens, les classes d’âge élevé sont surreprésentées. Pour la population totale, comme pour les Italiens, les classes d’âge moyen (35- 50 ans) sont les plus nombreuses. Dans ce groupe d’âge, les hommes italiens sont cependant surrepré- sentés. La base de la pyramide des âges des Italiens (les 0-25 ans) est cependant plus faible que celle de la population totale. Par contre, pour les groupes d’âge élevé, la pyramide est plus « fournie » pour les Italiens que pour la population totale.
Graphique 2 : Pyramide des âges de la population italienne et de la population totale (en % pour chaque âge)
2011 2006 2001 1996 1991 1986 1981 1976 1971 1966 1961 1956 1951 1946 1941 1936 1931 1926 1921 1916 1911 1906
1.50 1.00 0.50 0.00 0.50 1.00 1.50
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55 60 65 70 75 80 85 90 95 100 105
Année de naissance
Age
Italiens Italiennes Hommes (Total) Femmes (Total) Femmes Hommes
Source: STATEC – RP 2011
Pays de naissance, pays de naissance des parents, migration
Parmi les Italiens vivant aujourd’hui au Luxembourg, près des deux tiers (62.7%) sont nés en Italie et un peu plus d’un quart (28.3%) est né est Luxembourg. En conséquence, deux pays (le Luxembourg et l’Italie) sur les 103 pays de naissance des Italiens habitant le Luxembourg concentrent sur eux 91.0% des cas. Sui- vent, comme pays de naissance des Italiens, la Bel- gique, la France et l’Allemagne. 4.3% des Italiens vivant au Luxembourg sont nés dans un de ces trois pays. La proportion des Italiens nés dans un autre pays que ceux déjà énumérés n’est que de 4.7%.
Tableau 2: Pays de naissance des Italiens vivant au Luxem- bourg
Rang
Pays de
naissance Nombre %
1. Italie 11 309 62.7 %
2. Luxembourg 5 105 28.3 %
3. Belgique 325 1.8 %
4. France 311 1.7 %
5. Allemagne 144 0.8 %
6.-103. Autres 845 4.7 %
Ensemble 18 039 100.0 %
Sans indication 20
Source: STATEC– RP 2011
Globalement, pour les groupes d’âge élevé, la part des Italiens nés en Italie est largement majoritaire, alors que, pour les jeunes, le pays de naissance le plus sou- vent mentionné est le Luxembourg (voir graphique 3), Cette tendance n’est cependant pas linéaire ; on ob- serve deux « sauts » : 60.7% des 20-24 ans sont nées au Luxembourg, alors que, pour les 25-29 ans, la pro- portion n’est que de 33.0%. Parmi les 45-49 ans, 30.0%
des Italiens sont nés aux Luxembourg, alors que dans la cohorte immédiatement supérieure des 50-54 ans, seulement 12.8% des Italiens sont nés au Luxembourg Graphique 3: Pays de naissance des Italiens selon la classe d‘âge
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
0à 4
5à 9
10à 14
15à 19
20à 24
25à 29
30à 34
35à 39
40à 44
45à 49
50à 54
55à 59
60à 64
65à 69
70à 74
75à 79
80à 84
85à 89
90à 94
95à 99 Italie Luxembourg autres pays
Source: STATEC – RP 2011
Tableau 3: Pays de naissance des parents des Italiens vivant au Luxembourg
Italie Luxembourg
Autres
pays Total
Italie 12 216 533 1 335 14 084
Luxembourg 82 202 80 364
Autres pays 340 91 777 1 208
Total 12 638 826 2 192 15 656
Pays de naissance du père
Pays de naissance de la mère
Source: STATEC – RP 2011
Les Italiens habitant le Luxembourg sont nés majoritai- rement de parents nés tous les deux en Italie. Cette caractéristique concerne 12 216 personnes, ce qui correspond à 78.0% de tous les Italiens (15 656) ayant répondu à cette question (voir tableau 3). Au deuxième rang, on trouve la constellation « Père né en Italie, mère née ni en Italie, ni au Luxembourg ». Cela con- cerne 1 335 Italiens (8.5% des cas). Pour 533 Italiens vivant au Luxembourg, le père est né en Italie et la mère au Luxembourg. L’inverse est le cas pour 82 Ita- liens habitant au Grand-Duché au moment du recen- sement.
On peut représenter l’immigration selon l’année d’arrivée au Luxembourg. Dans le graphique 4 sont
Premiers résultats : RP2011 – Italiens au Luxembourg
présentées les parts des immigrés présents le 1er fé- vrier 2011 dans le pays, selon l’année d’arrivée au Luxembourg. D’une façon globale, abstraction faite de variations mineures, la courbe pour les immigrés pris dans leur ensemble a une tendance continue à la hausse. En d’autres mots, la part des personnes immi- grées (présentes sur le territoire en 2011) diminue avec l’éloignement dans le temps de l’année d’immigration.
Pour les Italiens, on note cependant une spécificité.
Une partie importante des Italiens a immigré au Luxembourg dans la période allant de la fin de la Deu- xième Guerre Mondiale au milieu des années 1960. Les Italiens immigrés au Luxembourg de 1945 à 1966 cons- tituent près du tiers (29.5%) de l’ensemble des Italiens recensés en 2011 au Luxembourg. Par contre, pour les immigrés en général, le pourcentage correspondant pour la période 1945-1966 n’est que de 7.2%. Du milieu des années 1960 au milieu des années 1970, les courbes se rapprochent et, de 1975-1990 elles se su- perposent pratiquement. A partir de 1990, les courbes des immigrés en général et des Italiens s’orientent à la hausse, mais celle des Italiens se situe sur l’ensemble des 20 dernières années en-dessous de celle des im- migrés pris dans leur l’ensemble.
Graphique 4: Année d’immigration des Italiens et des étrangers vivant au Luxembourg (en % respectivement des Italiens et des étrangers recensés en 2011)
0%
1%
2%
3%
4%
5%
6%
7%
Italiens Ensemble des immigrés
Source: STATEC – RP 2011
Logement
La part des Italiens dans la population totale du Luxem- bourg est de 3.5%. Cependant, du point de vue géo- graphique, la présence des Italiens se concentre sur la Ville de Luxembourg et les communes avoisinantes (voir carte 1). La part des Italiens dans la population est la plus élevée dans les communes de Bertrange (7.0%), Strassen (6.3%) et Luxembourg-Ville (6.0%). La part des Italiens dans la population est la plus faible dans les communes de Wahl (0.1%), Troisvierges (0.1%) et Kiischpelt (0.2%). D’une manière générale, les Italiens sont relativement peu nombreux dans le Nord du pays. En termes absolus, les Italiens sont les plus nombreux à Luxembourg-Ville (5 750), Esch- Alzette (1 233) et Differdange (1 021).
Sur les 18 059 Italiens recensés en 2011, 17 886 per- sonnes, c’est-à-dire la très grande majorité (99.0%), habitent dans des ménages privés.1 71.5% des Italiens sont propriétaires de leur logement et 26.3% sont loca-
1 Les 173 personnes de nationalité italienne vivant dans des „mé-
nages collectifs“ (maisons de retraite et de soins) ne sont pas prises en compte dans l’analyse.
taires. 2.2% sont logés à titre gratuit. Avec ces taux, les Italiens se situent très près de la moyenne de
l’ensemble de la population où le taux de propriétaires est de 73.0%, celui des locataires de 24.9% et celui des personnes logées à titre gratuit de 2.1%.
Carte 1: Part des Italiens dans la population selon la commune
Source: STATEC – RP 2011
Graphique 5: Statut d’occupation du logement des Italiens selon l’année d’immigration
10%0%
20%30%
40%50%
60%70%
80%90%
100%
Propriétaire Logé à titre gratuit Locataire Source: STATEC – RP 2011
Sans surprise, il existe un lien entre l’ancienneté de l’arrivée au Luxembourg et le fait d’être propriétaire (voir graphique 5). Pour les personnes arrivées au Luxembourg avant 1981 et pour les Italiens nés au Luxembourg, le taux des propriétaires dépasse les 80%. Plus l’immigration est récente, moins grande est la probabilité d’être propriétaire. On peut relever un
„saut“ important pour la cohorte immigrée entre 2001 et 2011 : dans ce groupe d’âge seulement 26.2% des Italiens sont propriétaires, 71.7% sont locataires et 2.5% habitent un logement à titre gratuit.
Premiers résultats : RP2011 – Italiens au Luxembourg
Niveau d’éducation et activité
Comparés aux étrangers dans leur ensemble et aux Luxembourgeois, les Italiens sont relativement plus nombreux à avoir un niveau d’éducation faible corres- pondant à l’école primaire ou à moins de trois années de l’enseignement secondaire (voir tableau 4). Cepen- dant, les Italiens mentionnent aussi relativement plus souvent l’obtention d’un doctorat : 3.5% des Italiens, contre 1.7% de la population totale.2 Comparés aux Luxembourgeois, les Italiens ont également plus sou- vent atteint le niveau du master (15.0% des Italiens, contre 9.3% des Luxembourgeois).
Tableau 4: Niveau d‘éducation des Italiens, des étrangers dans leur ensemble, des Luxembourgeois et de la population totale (population des plus de 14 ans, à l’exclusion des élèves et étu- diants)
Cycle d' études le plus élevé Italiens Etrangers
Luxembour- geois Total
I Fondamental (primaire) 27.6 % 24.4 % 16.8 % 19.9 %
Secondaire, second. technique
(3 années achevées) 14.1 % 14.5 % 14.7 % 14.6 %
II Secondaire, second. technique
(5 années achevées) 4.7 % 6.1 % 7.8 % 7.1 %
Diplôme professionnel 14.3 % 12.0 % 20.5 % 17.0 %
Technicien 1.4 % 1.4 % 2.0 % 1.7 %
Bac, bac technique 8.2 % 6.7 % 11.7 % 9.7 %
III Brevet de maîtrise 2.1 % 1.3 % 3.8 % 2.8 %
Supérieur (-3 ans) 2.8 % 4.3 % 3.7 % 4.0 %
Supérieur: 3 ans 2.7 % 5.5 % 5.5 % 5.5 %
Supérieur (+4ans): master 15.0 % 18.7 % 9.3 % 13.1 %
Doctorat 3.5 % 2.1 % 1.4 % 1.7 %
Autre 3.6 % 3.1 % 2.8 % 2.9 %
Source: STATEC – RP 2011
En jetant un regard sur le niveau d’éducation selon les classes d’âge, l’image est nuancée (voir graphique 6).
Chez les Italiens âgés, on retrouve souvent des niveaux d’éducation faibles: 70% de la classe d’âge des 65-69 font état d’un niveau d’éducation correspondant à l’école primaire ou à un cycle de l’éducation secondaire de moins de 3 années (groupe I dans le tableau 4). Par contre, dans la classe d’âge des 25-29 ans, le pourcen- tage des Italiens ayant un niveau d’éducation faible n’est que de 11.2%. Dans cette même classe d’âge, 36.9% des Italiens ont atteint un diplôme de fin d’études secondaires (groupe II dans le tableau 4) et même 52.0% un diplôme d’enseignement tertiaire (groupe III dans le tableau 4). On peut en conclure qu’on assiste à une augmentation continue de niveau d’éducation des Italiens (voir graphique 6). Cette augmentation du ni- veau d’éducation est même supérieure à celle qui ca- ractérise la population totale (voir graphique 7). Dans la population totale du Luxembourg, 19.2% des 25-29 ont seulement atteint un niveau d’éducation faible (contre 11.2% des Italiens rappelons-le). A l’inverse, dans la classe d’âge des 80-84 ans, 87.7% des Italiens ont un niveau d’éducation faible, contre seulement 63.6% de la population totale dans ce groupe d‘âges. En consé- quence, le niveau d’éducation global relativement faible des Italiens (voir tableau 4) peut être expliqué en grande partie par la présence au sein de cette commu- nauté d’une part importante de personnes âgées ayant un niveau d’éducation faible.
2 La part importante de doctorats peut aussi être expliquée par le fait que l’accomplissement d’un cycle universitaire complet de type mas- ter permet en Italie de porter le titre de „dottore“ sans avoir obtenu un doctorat proprement dit.
Graphique 6: Niveau d’éducation des Italiens selon l’âge (à l’exclusion des élèves et étudiants)
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
25-29 30-34 35-39 40-44 45-49 50-54 55-59 60-64 65-69 70-74 75-79 80-84 Niveau d'éducation faible (groupe I) Niveau d'éducation moyen (groupe II) Niveau d'éducation élevé (groupe III)
Source: STATEC – RP 2011
Graphique 7: Niveau d’éducation de la population totale selon l’âge (à l’exclusion des élèves et étudiants)
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
25-29 30-34 35-39 40-44 45-49 50-54 55-59 60-64 65-69 70-74 75-79 80-84 Niveau d'éducation faible (groupe I) Niveau d'éducation moyen (groupe II) Niveau d'éducation élevé (groupe III)
Source: STATEC – RP 2011
En ce qui concerne le taux d’activité, les Italiens ne se distinguent guère de la population totale. Quelque 43%
des Italiens, comme de la population totale, ont un em- ploi (voir tableau 5). De même, en ce qui concerne le chômage et l’activité au sein des ménages, on ne dé- cèle pratiquement pas de différences entre les Italiens et l’ensemble de la population. Les Italiens sont cepen- dant surreprésentés parmi les retraités et sous- représentés parmi les élèves et étudiants. D’un autre côté, le taux d’activité des Italiens est inférieur à celui des immigrés dans leur ensemble, mais ils sont égale- ment relativement moins souvent au chômage que les autres immigrés.
Tableau 5: Statut d’activité des Italiens, des étrangers dans leur ensemble et des Luxembourgeois
Italiens
Etrangers au total
Luxembour-
geois Total
A un emploi 43.4% 48.5% 39.5% 43.2%
Sans activité professionnelle 56.6% 51.5% 60.5% 56.8%
Chômeur, n'ayant jamais
travaillé 0.6% 0.8% 0.4% 0.6%
Chômeur, ayant travaillé
avant 3.1% 4.0% 1.7% 2.6%
Occupé(e) propre ménage 10.5% 7.1% 10.0% 8.8%
Élève, étudiant 12.7% 20.8% 22.2% 21.6%
Retraité(e) 20.2% 8.4% 16.6% 13.2%
Propriétaire, rentier(ière) 0.2% 0.1% 0.2% 0.2%
Autre situation, sans activité
professionnelle 8.0% 8.0% 8.3% 8.2%
Sans indication, moins de 15
ans 1.3% 2.4% 1.1% 1.6%
Total 100.0 % 100.0 % 100.0 % 100.0 %
Source: STATEC – RP 2011
Institut national de la statistique et des études économiques
Tél.: 247-84397 Francois.Peltier@statec.etat.lu Tél.: 247-84276 Germaine.Thill@statec.etat.lu www.statistiques.lu
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