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La Révolution nationule française

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La Chaux-de-Fonds, Jeudi 15 Avril 1943 Cinquante-huitième Année. — N ° 15

ORGANE OFFICIEL de la CHAMBRE SUISSE DE L'HORLOGERIE, des CHAMBRES DE COMMERCE, des BUREAUX DE CONTRÔLE, des ASSOCIATIONS PATRONALES de !'INFORMATION HORLOGÈRE SUISSE et de la FIDUCIAIRE HORLOGÈRE SUISSE iFidhor]

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YlI

La Révolution nationule française

Q u e l serait le but de la Révolution*)?

D a n s un d e ses messages, le Maréchal a défini les grandes lignes du nouvel Etat fran- çais: « Devant la faillite universelle du libéra- lisme, presque tous les peuples se sont engagés dans la voie d'une économie nouvelle. Nous devons nous y engager à notre tour. »

Le socialisme, redevenu français, d e m a n d e à être intégré dans la communauté nouvelle. Il a revisé la notion de classe pour concevoir toute la masse. Il a revu la notion d e liberté, car lorsqu'on parle au nom de la nation, il n e saurait être question de dictature.

L'esprit qui inspire la Charte du travail est précisément celui d'une collaboration de classes se substituant à la lutte telle qu'elle fut pratiquée jusqu'à la guerre.

Si l'on institue un parallèle entre la Charte et les efforts similaires étrangers, o n caractérisera le corporatisme français comme étant essentielle- ment social et très peu politique. Mais, à l'instar de ce qui se passe en Allemagne et en Italie, la Charte française établit une distinction entre l'économique et Ie social. Elle laisse entendre, cependant, que lorsque Ja production aura r e - couvré son équilibre et son rv thme normal, une évolution se produira dans un sens authentique- ment corporatif. Ce qui fait l'originalité de la Charte française du travail, c'est la constitution de comités sociaux. Encore que ceux-ci n'aient pas compétence en matière économique, ils repré- sentent un pas décisif vers la corporation.

La Charte du travail préconise une conception spéciale de l'entreprise. La mention d'un bien commun d'entreprise est le signe d'une consé- cration définitive des caractères institutionnels de celle-ci. A une réserve près: Ia loi se borne à faire un devoir au patron de gérer l'entreprise pour le bien commun. Mais celui qui, fidèle au libéralisme, prétendra n'envisager l'intérêt de sa maison que sous l'angle de son intérêt propre, pourra persévérer dans son attitude. 11 est, effec- tivement, seul chargé d'une gestion dans laquelle toute immixtion est interdite.

') Noir «Fédération Horlogère » du 31 mars I94-Î.

Faut-il, malgré ce qui en fut dit, exprimer des réserves quant au caractère corporatif d e la loi? L'économie corporative française est une économie d'échanges. Son fonctionnement r e - pose, par conséquent, sur la formation spontanée des prix sur les marchés. Certes, ces marchés., où se rencontrent l'exigence du producteur et le désir du consommateur, n e sont-ils pas libres conune en régime capitaliste. Les groupements professionnels ont pouvoir d'imposer à leurs membres des conditions d e fabrication et d e vente. Mais l'échange n'est pas pour autant aboli. O r , il semble que la Charte supprime le marché du travail, puisque le salaire est, désor- mais, fixé d'autorité. U n e construction corpora- tive, d'autre part, devrait avoir à sa base des syndicats fortement constitués, doués d'une cer- taine autonomie et susceptibles d'être parties dans un contrat tel que la convention collective.

Par décision du Chef de l'Etat, il a été cons- titué, e n novembre 1941, une Commission de réorganisation économique, composée de minis- tres d'Etat, d'employeurs, de techniciens, d'ou- vriers, d'artisans, d'agriculteurs et de délégués d'organisations d'intérêt général.

La Commission a conclu e n a d a p t a n t l u n e à l'autre les deux lois fondamentales de l'organisa- tion économique, celle du K) août 1940, qui ins- tituait les comités d'organisation économique de l'industrie et du commerce, et la loi du 4 octo- bre 1941, promulguant la Charte du travail. Elle établit la classification des activités économiques en «familles professionnelles», comme le prévoit la Charte. Elle se déclare en faveur de l'arti- sanat, comme de Ia coexistence des petites, moyennes et grandes industries.

Depuis, une loi du 17 décembre 1941, relative à l'aménagement de la production, prévoit que le gouvernement pourra o r d o n n e r l'arrêt provisoire de certaines usines, lorsque ce sera nécessaire.

La mise en vigueur de cette loi, due à la pénu- rie de matières premières, ne modifiera pas Ia structure de l'économie française. Il ne s'agit là que d'une distribution nouvelle de la fabrication pour u n e période transitoire. O n maintiendra l'activité des entreprises, grandes ou petites, qui ont le meilleur rendement. L ne taxe pavée par celles-ci permettra d e verser des allocations aux usines arrêtées. Celles-ci pourront ainsi repren- dre leur activité, le moment vncu. Le personnel

privé d'emploi sera utilisé sur les chantiers d'in- térêt national.

Comment la production sera-t-elle aménagée?

Il ne saurait être question de réaliser une concen- tration industrielle dirigée contre les moyennes ou petites entreprises et l'artisanat, ni de copier certaines expériences étrangères de rationalisa- tion. 11 faut, simplement, permettre à l'économie française de traverser u n e crise exceptionnelle, tout e n lui conservant son caractère spécifique.

Ch. B.

/Stej} hiitoti&ue de /'aâiuta/tce en jsuiôie

Comme dans une foule d'autres domaines, Ia Suisse figure en matière d'assurance, au rang des pionniers.

Deux noms illustres apparaissent au W IIIe siècle. Le premier, Jacques Bcrnouilli, descendant d'une célèbre famille de mathématiciens bâlois, est l'auteur de l'ou- vrage bien connu: « Ars conjectandi », publié» en 1715, où ce mathématicien fait faire un pas décisif aux calculs des probabilités, en formulant la « loi des grands nom- bres », base de la science statistique. Un peu plus tard, au milieu du XVIIIe siècle, à Bâle également, c'est Léonard Eulcr qui, non seulement établit une table de mortalité, mais donne une méthode mathématique pré- cise pour le calcul des primes d'une assurance sur la vie. Rappelons à ce propos que le tome des œuvres d'Exiler, relatif a u calcul des probabilités et des assu- rances, a été édité grâce au concours d'un mathé- maticien neuchâlelois, M. Louis-Gustave Du Pasquier, qui. lui-même, dans ce domaine, a présenté des mé- moires très appréciés.

Enfin, Ia théorie mathématique de l'assurance du risque d'invalidité, fut créée à Zurich par Gottfried Schaertlin, au début de ce siècle, cl permit ainsi l'adjonction à l'assm-ance sur la vie d'une branche importante, particulièrement pour la constitution des caisses de prévoyance. Les premières sociétés suisses d'assvirancc-vie furent fondées à peu près en même temps, en 1858, à Zurich et à Lausanne.

D'autre part, la première tentative d'assurer le ris- que d'incendie, remonte à la fin du XVIIIe siècle. En 1805, un pas décisif fut fait par le canton d'Argovic, introduisant une caisse générale d'assurance contre l'incendie. D'autres cantons suivirent en 1806 et 1812.

11 ne s'agissait que d'assurances d'immeubles. La Société suisse d'Utilité publique fonda à Morat. en 1825, la première caisse mutuelle pour l'assurance du mobilier.

Un peu plus tard, l'invention de la machine à va- peur, la création d'un réseau de chemins de fer inter- national et la victoire des principes du libre échange donnèrent à l'industrie et au commerce un essor inouï. Grâce à l'esprit d'initiative de ses pionniers, la Suisse prit part rapidement à ce mouvement. Petit à petit, les produits suisses conquirent les marchés d'Eu- rope et d'outre-mer. Au début, les exportateurs s u i s s e étaient obligés de s'assurer à l'étranger contre les risques de transport. Cependant, l'augmentation con- sidérable de nos échanges avec le reste du monde

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UiAt leiUe> d'Mtau* Hewdet

En s e r v i c e chez Hugnenin, I n s p e c t e u r Général d'Horlogerie à Berlin, en 1769

I n heureux hasard nous met entre les mains une lettre écrite à Berlin, le 8 mai 1769, par Abram Perrelet. Celui-ci se dit « e n service » chez Huguenin, l'Inspecteur Général d'Horloge- rie, engagé par le G r a n d Frédéric, pour organiser dans sa capitale u n e fabrique de pendules et de montres. M. le professeur Chapuis conta en 1938, clans son bel ouvrage « Le G r a n d Frédéric et ses Horlogers», les heurs et malheurs d e l'entre- prise et de son premier inspecteur; nous puise-

rons dans le travail de M. Chapuis tous les renseignements nécessaires pour d o n n e r un sens à la lettre dont nous allons mettre le texte sous les yeux du lecteur, et nous nous permettrons de ne pas indiquer par le menu les emprunts au livre du savant auteur de Neuchâtel.

Le nom de Perrelet, le signataire de Ia lettre, n'est pas mentionné dans les listes de personnel établies par M. Chapuis d'après des documents authentiques. Peut-on en conclure que Perrelet a été engagé ailleurs qu'à Neuchâtel, après les démarches faites ici par Huguenin pour enrôler des ouvriers? Cette hypothèse est d'autant plus plausible que Perrelet parle d'un délai de quatre à cinq ans écoulé depuis qu'il est sans nouvelles de son oncle (habitant Le Locle certainement).

Par contre, la lettre cite deux noms qui nous sont connus par l'histoire du « G r a n d Frédéric et ses Horlogers », soit Huguenin, l'Inspecteur ( \ ° I ) et M o n t a n d o n le graveur à la forte tête ( V 6).

Mais laissons parler la lettre de Perrelet, dont nous d o n n o n s copie en respectant l'orthographe du signataire. Voici le texte en question:

« Berlin ce 8 may 1769.

« Cher Frère (2)

·« \Λ\ réponce de la votre daté du 10 avril 1769 Nous ne pouvez pas vous imaginer la jove que j'ai û de voir de vos nouvelle qui mont un peux reconsoller mai ce qui me fai baucoup de paine et remi de nouveau en chagrain ses d'avoir apprit dans la votre la ,Maladie de M o n Cher Oncle (3) pour lequel je prie Dieu tous les jouis que le G r a n d Dieu veûlle redonner la Santé Mais cher Frère nous ne pouvon rien Confie Ia volonté de Dieu, ainsi Cher Parren dison tous avec Ie Prophète David ô Dieu Créé en moi un Esprit pur, et renovelle aux d e d a n de moi un Esprit bien remi a Dieu fai nous comprendre Ia vérité Car ta parole sest la \ érité ainsi Cher Frère Conssolon avec le. Prophète David, car cher Frère prenons passience, et baisez sil vous plait milles fois nions très Cher O n c l e a ma place et que. Ie G r a n d Dieu lui vienne aux devand et a son secour, et Cher l'rere n e soyez pas fâché si je vous ai fait quelques reproches dans ma lettre datte du 12 Mars car vous an aurez reçu une du depuis pars un orloger Jean Jaque Perno (4) crui sen est retournez aux pay et vous pouvez croire ci javoit tort dans 4 a 5 a n n s navoir poin de vos nouvelles, et de perdre mon O n c l e (5) qui etoit seulement revenu de Suisse, et vous mavez marquez de vous envover le détaille qui est telle quand il est revenu a Berlin, il nv a pas voulu rester car je ne sai ce quil ν avoit je croi quelques choses en Suisse, ainssi il na pas pu trover un autre partie, que de se mettre a la Régie, pour visiter (ou « pour visiteur» P. H.) de laquelle il a ette envoyez a

Les chiffres qui suivent· les noms propres ont été notés aussi clans la copie de lu lettre de Perrelet. pour établir le. rapport.

Ratteno a 20 Lieux d e Berlin, et ou il nv avoit que desallement pas un fransois may il a été parmi tous dallement, et eux qui haïsse les F r a n - çois de Ia Régie, ainssi qu'il se sont pris d e dispute u n jour sur un batau et sont battu, et il a resu quelque mauvais quoux, et il a étte malade long- tens et il est Mort la avec tous dallemend, moy je ne ppuvois y aller ettand en Service, et je ne pouvai pas quitter et appres sa Mort il nous ont envoyer un C o n t e de près de 48 F,cus et a !inventaire de ses affaire il ny avoit pas la moitié d e ce quil a voit prit avec lui depuis Berlin et il mas falu paroirre 2 fois en justisse fransoise car je n e croi pas quil y aura assé pour payer sette dette je nen dit pas plus, vous pourez bien compren dans quelle situation je me trouve, et vous marquez pour des !Nouvelles de M o n t a n d o n (6) qui vous salue bien et vous fait dire quil a reçu la lettre, et je vous dirai qu'il est asteur dains une pauvre situation il doit une grande somme a mon Maître et il ne t r a - vaille pas beaucoup il a déjà été au arct pour cette d e t t e ; et ce qui regarde ma belle Mère (7) elle ce porte Dieu soit louez fort bien et elle est encore avec M o n o d (8) et il vous salue ,Milles fois et moy je me porte Dieu soit béni fort bien et voudroit pouvoir vous ailes joindre mais il ni a que l'argen que je nai pas sans cela je ne seroit plus aux brandebourg car largen tien mieux une personne en règles que plus fort lien ainsi moi je seroit forssé encore davoir pastience â Dieu je mourai de joie si je pouvai vous ailes voir et vous ailes joindre, et pour u n e montre que vous avez û la bonté de me promettre ces pour mon usage einci cber Frère sil etoit possible que puisse avoir une montre faite de vos mains a je vous prommet que je. Ia garderai pour souvenance ainssi cher Faite moi sette grâce je vous Ia priverai fidellement quoi que je nai rien asteur ainsi cher Frère je fini avec les larmes aux veux et je vous prie encore saluer Milles fois mon cher O n c l e aussi bien crue ma T e n t e (9) et je lui prie de prendre Dieu pour Consolateur car je me trove dans la même situation cruelle, Et saluez sil vous plait milles fois votre prommise dite lui crue je voudroit bien avoir lhonneur de la connoitre Adieu cher Frère et pour souve- nance noubliez pas ma Montre Ca la vous paye- rai fidellement et pour quand a mon adresse quand vous mécriré vous navez qua mettre a A . Perrelet ché Mr Huguenin (10) Inspecteur de la Fabrique dorlogerie Royale près de la Cour Rolet au Verder a Berlin ainsi je fini en vous enbrassan disan Adieu Adieu cher Sang de mon ame Adieu Adieu

« Adieu je vous recommande

« Mon Cher Frère

« Votre très humble et très hobéisant serviteur et Frère

A bram Perrelet (1 )

« Berlin ce 8 may 1769. »

La lettre dont nous venons de d o n n e r copie met donc en scène dix personnages apparentés les uns aux autres ou liés par leur appartenance commune à la colonie suisse romande au Bran- debourg.

Sauf pour le cas de l'Inspecteur Huguenin dont M. Chapuis a écrit l'histoire, ainsi que pour

Montandon, nous ne voyons pas pour le moment qu'il ν ait des faits clignes de retenir une atten­

tion particulière clans la vie des autres personnes

ci UH1S.

L'intérêt de la lettre est ailleurs. O n y trouve quelques détails sur les conditions de vie d e nos compatriotes à Berlin et dans les environs:

L'Oncle (5) devait 48 écus à sa mort survenue des suites d'une rixe à Rathenow. M o n t a n d o n (6) doit une grande somme à l'Inspecteur (10) et a été mis aux arrêts pour cette date, enfin le signataire Perrelet (1) regrette amèrement de n'avoir pas d'argent pour revenir au pays.

Ces indications s'ajustent parfaitement à celles que M. Chapuis d o n n e en 1938 sur le sort diffi- cile de plusieurs de nos compatriotes expatriés à Berlin.

O n est en droit de se demander si les avances d'argent de l'employeur aux ouvriers n e sont pas u n moyen voulu pour retenir ces derniers à leur poste. O n voit que les dettes permettent de faire peser u n e menace d'arrestation sur les employés débiteurs. Cela devait être un moven efficace de pression. O n s'explique dès lors les

«évasions» de ceux qui voulaient rompre à tout prix leur contrat d'engagement.

La lettre d'Abram Perrelet a été écrite pen- d a n t la période où se préparait la liquidation de la Fabrique Royale, période Huguenin, p e n - d a n t que s'entrecroisaient les rapports d'enquêtes dirigés contre l'Inspecteur, et les requêtes que ce dernier adressait au Roi pour obtenir von appui. Avec un brin d'imagination on ose penser que des lettres plus ou moins analogues d o n n a n t des renseignements sur la situation des horlogers expatriés, étaient parvenues au pays de Neu- chiîtel antérieurement au mois de mai 1769. O n peut croire aussi que des ouvriers comme P e r n o (4), rentré, chez lui, ou encore que les quatre

«fugitifs» signalés par M. Chapuis, n'étaient pas restés muets. Dans un petit pays comme le nôtre, où les relations de familles et de travail horloger forment un réseau serré, les renseigne- ments courent vite. Us ont pu être à la l>ase des

« papotages neuchâtelois » (voir page 23 d e

« Le G r a n d Frédéric et ses Horlogers »).

La lettre de 1769 ne nous a pas dit quel était le métier, une spéciaUté horlogère vraisembla- blement, qui faisait vivre tant bien crue mal les gens dont elle d o n n e des nouvelles. Mais un autre Perrelet, établi en France, écrira, 37 ans plus tard, à son oncle, au Locle, pour liquider quelques affaires. Il renseignera sur son activité comme horloger-rhabilleur et sur la vie d e la région où il est installé. La réponse de l'oncle du Locle mentionnera les Perrelet de Prusse dont nous venons de dire quelques mots. Les explications relatives aux montres du début du X I Xe siècle, aux prix pratiqués à ce moment, aux relations du rhabilleur avec sa clientèle, auront plus d'intérêt, pour nous qui sommes des horlo- gers, crue les détails d'une généalogie compliquée.

Nous ν reviendrons une autre fois. P. H.

(Suite de la première page.)

exigea impérieusement la création d'une industrie na- tionale des assurances contre les ristnies de transports terrestres et maritimes. l>a première compagnie suisse d'assurance transport fut fondé;" en 1858.

Quant à l'assurance contre les risques d'accidents, elle résulte de l'application de la loi fédérale sur la responsabilité des entreprises de chemins de fer et de navigation à vapeur, promulguée en 1875, et suivie pi-u après par la loi concernant le travail dans les fabriques; cette loi introduisit la responsabilité des chefs d'entreprises pour les accidents et maladies pro- fessionnels de leurs ouvriers. L'assurance contre les accidents fut exploitée en Suisse par les compagnies privées dès 18~5.

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L'émigration au Pérou

Le numéro du 20 mars 1893 de la « Fédération Horlogère » nous d o n n e quelques détails au sujet du Pérou, l'une de ces terres vierges de l'Amé- rique où se déversait une partie du flot des émigrants européens. Nous devons dire pour- tant que cette partie de l'Amérique n'était pas Ja plus recherchée, à en croire l'auteur de l'article, dont voici quelques extraits:

« Le Pérou fait e n ce moment des efforts con- sidérantes pour attirer les émigrants, notamment dans les territoires qu'arrosent, par delà les Cordillères, l'Amazone et ses nombreux affluents.

Le Pérou possède toute la partie supérieure du bassin du grand fleuve brésilien et, quoique inexploitée jusqu'ici, cette vaste région, par la vigueur d é b o r d a n t e de sa végétation, p a r la variété d e ses produits, par les qualités excep- tionnelles de son sol et de son climat, par la navigabilité de ses innombrables cours d'eau, semble appelée à un magnifique avenir...

«Malheureusement, deux obstacles sérieux s'opposent, jusqu'ici, à la mise en valeur des provinces: le manque d e voies d e communica- tions avec les grandes villes d e la côte et le défaut de bras, c'est-à-dire la rareté de la popu- lation. »

Résumons que, pour remédier en partie à ces déficits, le gouvernement péruvien décida d e faire construire à travers le pays u n e grande route carrossable, et qu'il fit aussi d e grands efforts pour favoriser l'immigration. Mais, dit l'auteur, « les arrivants se font de plus en plus rares dans les ports péruviens, et la plus g r a n d e partie d e cet immense territoire de 1,100,000 km2, à peine peuplé par deux millions et demi d'habitants, menace de demeurer indéfiniment en friche, au plus g r a n d détriment de la richesse nationale. »

U n e offre originale aux socialistes

Le numéro du 9 mars 1893 contient u n e histo- riette assez plaisante, montrant, si elle est vraie, que malgré toutes les critiques, les choses ne vont pas aussi mal qu'on veut bien le croire souvent. \ oici l'histoire :

« Un industriel anglais, nommé M. Priestley, propriétaire d e quatre fabriques immenses à Bradford, et fatigué de ,s'entendre dire qu'il s'engraissait d e la sueur du peuple, a proposé à ses ouvriers une expérience. 11 a offert aux membres du comité du « Labour-Party » (qui n'est d o n c pas si jeune qu'il n ' e n a l'air), la mieux outillée, la plus rémunératrice de ses quatre manufactures.

« Il a mis à leur disposition, pour u n e année, tous les bâtiments, toutes les machines à vapeur;

d e plus, il leur a ouvert chez ses banquiers un crédit de 125,000 francs.

« M. Priestley n'exigeait ni loyer, ni r e d e - vances, ni intérêt. La seule condition imposée aux ouvriers syndiqués était la suivante: la fabri- que sera régie par les statuts des T r a d e s - U n i o n s et exploitée selon les principes socialistes.

« M. Priestley s'engageait si, à la fin d u n e année, l'entreprise avait réussi financièrement, bref si tous les ouv riers avaient gagné plus d'ar-

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gent qu'ils n'en gagnent sous la direction du patron, à a b a n d o n n e r aux membres du syndicat sa manufacture, moyennant une faible redevance, e t à continuer à leur ouvrir un crédit de 125,000 francs chez ses banquiers.

« Pareille chance ne se rencontre pas tous les jours et on aurait pu croire que l'offre du philan- thrope de Bradford allait être acceptée avec enthousiasme.

« E h ! bien n o n . Après avoir réfléchi, les inté- ressés o n t dû avouer qu'ils se sentaient inca- pables de gérer et d'exploiter la manufacture

« traîtreusement » mise à leur disposition par un capitaliste. »

Les syndicats obligatoires

Le numéro du 23 mars 1893 r e p r e n d la ques- tion, déjà bien controversée, des syndicats obli- gatoires. A la fin d'une séance du Conseil natio- nal, un député, M. Decurtins, appuyé par M . Georges Favon, avait développé u n e motion à ce sujet, invitant le Conseil fédéral à en faire u n e étude, puis un rapport. Mais cette motion fut combattue par le conseiller fédéral Deucher, qui déclara que cette, question serait discutée plus tard, en même temps que la loi sur les arts et métiers. M. Decurtins retira sa motion.

Mais l'idée flottait dans l'air et, dans le numéro du 13 avril, nous pouvons lire l'exposé d'un discours prononcé par un patron à u n congrès ouvrier d e Bienne, dans lequel M . Favon avait pris Ia parole e n faveur des syndicats obliga- toires. L'orateur, M. Thalmann, dit entre autres choses:

« Depuis plus de 10 ans, j'ai toujours été à la tête du mouvement lorsqu'il s'est agi d e syndi- cats libres, croyant qu'ils suffiraient à sauve- garder les intérêts d e notre industrie horlogère.

Malheureusement je me suis trompé, et j'ai pu constater e n maintes occasions que libres, les syndicats étaient impuissants à atteindre le but proposé...

« Après certaines expériences, j'en ai encore une, palpable. C'est celle du syndicat libre des fabricants d'horlogerie des cantons de Berne et Soleure, que j'ai l'honneur d e présider depuis plusieurs années. C e syndicat, qui dans nos légions devrait atteindre le chiffre d'environ 1000 membres, arrive à peine à cent et quel- ques... Je connais les efforts qui se sont faits...

pour arriver à u n résultat quelque peu pratique et pourtant à l'intérêt de tous en général. Mal- gré cela, la majorité des indifférents a fait la sourde oreille à toutes les avances qui lui o n t été faites, dans leur propre intérêt... »

Ces citations sont suffisantes pour nous mon- trer que, même mis à part les termes de « libre » ou « obligatoire », le grand défaut des anciennes associations horlogères fut toujours de n e réunir qu'une partie, souvent minime, des intéressés.

Si l'on peut constater maintenant les bienfai- sants effets d e notre moderne réorganisation horlogère, ce n'est vraiment que depuis le m o - ment où la totalité de cette industrie s'y est trouvée englobée. O n peut dire que notre devise helvétique: « U n pour tous, tous pour u n » , est vraie dans tous les domaines, même dans ceux qui touchent a u x intérêts matériels, qu'ils soient généraux ou particuliers.

l?uÎ55e

IL Y A C I N Q U A N T E ANS

Eclairage électrique

Nous l'avons déjà vu plusieurs fois, la « F é d é - ration Horlogère » d'il y a une cinquantaine d'années tenait ses lecteurs au courant de tout ce qui se faisait de nouveau dans le domaine, encore assez neuf, de. l'électricité. A cette époque- là, en ce qui concerne la lumière, on n'utilisait guère que la lampe à arc, et c'est d'elle que nous parle le numéro du 26 mars 1893 de notre journal. Il y est question d'un nouveau type de lampe à arc, de M M . Japy frères &: Cie, à Beaucourt, près Belfort. « Cette lampe, lisons- nous, se distingue par la faible intensité à laquelle elle fonctionne, sa fixité remarquable de lumière, sa construction soignée et robuste, sa petite dimension et son b o n marché. FJIe convient aussi bien à l'éclairage des grands ou des petits locaux que de l'extérieur. Elle fonctionne aussi bien sur courants continus ou alternatifs. Sa durée d'éclairage est d e huit heures p o u r le petit et le moyen modèle, et de seize heures p o u r le g r a n d modèle... »

Cette durée, longue pour l'époque, nous paraît courte, mais il n e faut pas oublier que la lampe à aie tire sa lumière d e deux bâtons de charbon qui s'usent assez rapidement. O n n e l'emploie plus guère que dans les cas où une lumière éblouissante est nécessaire, et elle a été complè- tement détrônée par la lampe actuelle à incan- descence, ou d'autres plus modernes encore.

Ecoles d'art industriel

Le numéro du 8 janvier 1893 d e n o t r e journal contient un rapport, présenté par M . E. Lienhard, horloger a u Locle, sur la première, exposition suisse des écoles d'art industriel, des écoles tech- niques spéciales, et d'autres. M . Lienhard était désigné comme expert pour le groupe « horlo- gerie » d e cette exposition. Ce rapport, très d é - taillé, s'étend encore dans les deux numéros sui- vants. D a n s quelle ville se tenait cette exposi- tion, c'est ce que M. Lienhard n'indique nulle part. Les écoles d'horlogerie y étaient repré- sentées a u n o m b r e de huit: celle de Bienne, de Porrentruy, de Saint-Imier, de Neuchâtel, de La C h a u x - d e - F o n d s , du Locle, de Genève et de Soleure. Nous n e pouvons pas suivre le rappor- teur dans ses considérations très étendues. L'ex- position devait être très importante et présenter a u public u n e infinité de modèles divers, termi- nés ou n o n . O n retire d e cet article l'impres- sion que les écoles d'horlogerie de cette époque devaient fournir déjà u n très gros travail. Nous citerons seulement quelques phrases cueillies dans les conclusions d e l'auteur.

Il se déclare tout d'abord heureux d e constater Ie développement réjouissant de ces institutions.

« Elles offrent à nos jeunes apprentis, dit-il, tout Ie nécessaire pour acquérir des connais- sances approfondies et complètes pour leur voca- tion. A eux de les apprécier à leur juste valeur et d'en faire leur profit pour leur avenir. La Confédération, les cantons et les communes ont compris l'absolue nécessité d e se maintenir au premier rang dans le domaine d e l'instruction professionnelle; tous s'imposent d e gros sacrifices pour notre jeunesse et cette exposition organisée est une preuve évidente de leur ferme appui. »

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La Section d e la statistique d u c o m m e r c e d e l a Direc­

tion g é n é r a l e d e s d o u a n e s c o m m u n i q u e :

( k m i p a r a t i v c m e n t a u mois d e l é v r i e r 1943, le m o u v e - m e n t d u c o m m e r c e e x t é r i e u r a a u g m e n t é t a n t à l'im- p o r t a t i o n q u ' à l ' e x p o r t a t i o n . C e t t e t e n d a n c e p r o g r e s s i v e p e u t ê t r e c o n s i d é r é e c o m m e u n p h é n o m è n e n o r m a l , l e s affaires s e d é v e l o p p a n t g é n é r a l e m e n t d e l é v r i e r à m a r s . Les i m p o r t a t i o n s o n t a t t e i n t 174,3 millions d e franc» e t se s o n t d o n c a c c r u e s d e i l , 8 millions d e f r a n c s ( e n q u a n t i t é : -\- 13,9 o/o), p a r r a p p o r t à février 1943; q u a n t a u x e x p o r t a t i o n s , elles m a r q u e n t un. e x c é d e n t d e 30,1

millions d e francs o u d e 27,2 °,'o e t o n t passé à 141 m i l l i o n s d e francs (en q u a n t i t é : -I 5.2 "o). C e t t e n o t a b l e a u g m e n t a t i o n d e v a l e u r e n % e s t d u e s u r t o u t à n o s e x p o r t a t i o n s p l u s c o n s i d é r a b l e s d e p r o d u i t s c h e r s .

Ln r e g a r d d u mois d e m a r s 1942, n o s i m p o r t a t i o n s e n r e g i s t r e n t , e n q u a n t i t é e t e n v a l e u r , u n r e c u l , t a n d i s q u e p e n d a n t l a m ê m e p é r i o d e n o s e x p o r t a t i o n s o n t s e n - s i b l e m e n t fléchi e n p o i d s e t l é g è r e m e n t p r o g r e s s é e n v a l e u r . C e d é c h e t q u a n t i t a t i f p r o v i e n t d e l a d i m i n u t i o n d e s e x p o r t a t i o n s d e m a r c h a n d i s e s l o u r d e s d e g r a n d e c o n s o m m a t i o n r e l a t i v e m e n t b o n m a r c h é .

E v o l u t i o n d e n o t r e b a l a n c e c o m m e r c i a l e

P é r i o d e

1938 M o y e n n e m e n s u e l l e 1939 M o y e n n e m e n s u e l l e 1940 M o y e n n e m e n s u e l l e 1941 M o y e n n e m e n s u e l l e 1942 M o y e n n e m e n s u e l l e 1942 M a r s

1943 J a n v i e r 1943 M a r s

Les i m p o r t a t i o n s d e m a r s 1943 qui, c o m p a r a t i v e m e n t a u mois p r é c é d e n t , m o n t r e n t q u e l e s a r r i v a g e s o n t a u g m e n t é d e 3567 w a g o n s d e 10 t o n n e s , s e t i e n n e n t , a u p o i n t d e v u e quantitatif, a v e c 29.203 w a g o n s , à u n n i v e a u b a s a u s s i e n c o m p a r a i s o n d e s chiffres m e n s u e l s m o y e n s d e s d e r n i è r e s a n n é e s d ' a v a n t - g u e r r e . L e r e c u l d e s q u a n t i t é s e n r e g i s t r é p a r r a p p o r t a u mois d e m a r s 1942 e s t d û à la r é d u c t i o n d e n o s a c h a t s d e c a r b u - r a n t s , t a n d i s q u e l ' a u g m e n t a t i o n e n poids n o t é e p a r r a p p o r t à février 1943 n e c o n c e r n e q u e c e r t a i n s a r t i c l e s d ' i m p o r t a t i o n , a j o u t o n s cpie l e t r a n s p o r t d e s m a r c h a n - dises à d e s t i n a t i o n et h o r s d e Suisse s e h e u r t e a c t u e l - lement s o u v e n t à d e s difficultés e x t r a o r d i n a i r e s . D ' u n ; ; m a n i è r e g é n é r a l e , les s o r t i e s d e n o s p r o d u i t s d e q u a l i t é n é c e s s i t a n t o r d i n a i r e m e n t u n t o n n a g e p l u s m o d e s t e ont pâti r e l a t i v e m e n t m o i n s q u e l e s i m p o r t a t i o n s c o m - p r e n a n t , e n g r a n d e p a r t i e , d e s m a r c h a n d i s e s l o u r d e s d e g r a n d e c o n s o m m a t i o n .

\ΛΙ diminution d e l'excédent d e n o s i m p o r t a t i o n s c o n s - t a t é p a r r a p p o r t a u mois d e février 1943 n ' e s t p a s u n p h é n o m è n e h a b i t u e l , c a r . p e n d a n t les a n n é e s p r é c é - d e n t e s , o n n o t a i t g é n é r a l e m e n t , d e février à m a r s , u n e t e n d a n c e passive d a n s l ' é v o l u t i o n d e l e b a l a n c e c o m - m e r c i a l e . L ' a t t é n u a t i o n d u s o l d e passif d e n o t r e bilan, i n t e r v e n u e a u s s i p a r r a p p o r t a u mois c o r r e s p o n d a n t d e 1942, e s t d u e a u fait q u e les v a l e u r s o n t b a i s s é à l ' i m p o r t a t i o n e t a u g m e n t é à l ' e x p o r t a t i o n . D è s l o r s . le s o l d e passif a c t u e l s e chiffre p a r 33,3 millions d e francs c o n t r e 42.6 millions d e francs e n m a r s 1942 et 39.6 millions d e francs e n février 1943.

Importations

Wagons Valeur en de 10 millions tonnes de fr.

61 493 133,9 72159 157,4 50 946 154,5 39 889 168.7 35 965 170,8 32 570 180,0 25 636 150,5 29 203 174,3

E x p o r t a t i o n s

Wagons Valeur en de 10 millions tonnes de fr.

5092 109,7 4497 108,1 4158 109,6 4185 121,9 3325 131,0 3379 137,4 2407 110,9 2532 141,0

Balance solde passif millions

de fr.

- 2 4 , 2 - 4 9 , 3

— 44,9

— 46,8

— 39,8

— 42,6

— 39,6 - 3 3 , 3

Export.

en % des Impor- tations

81,9 68,7 70,9 72,3 76,7 76,3 73,7 80,9

E n m a r s 1943, l'indice d u c o m m e r c e e x t é r i e u r c a l - c u l é p a r l a s t a t i s t i q u e d u c o m m e r c e ( i n d i c e q u a n t i t a t i f p o n d é r é ) s'établit, à l ' i m p o r t a t i o n , à 62 ( é t a t d u c o m - m e r c e e x t é r i e u r e n 1938 = KK)): il est d e 24 o/o s u p é - r i e u r à celui d u mois p r é c é d e n t ; e n r e v a n c h e , c o m p a - r a t i v e m e n t à m a r s 1942, il n e s'est a c c r u q u e d e 1,8 »/o. A v e c 67, l ' i n d i c e d e s e x p o r t a t i o n s e s t d e 29 o/o plus é l e v é q u e celui d e l é v r i e r 1942. m a i s a c c u s e u n recul d e 15,2 % p a r r a p p o r t a u x chiffres c o m p a r a t i f s de 1942.

Lu c e q u i c o n c e r n e l a m o y e n n e d e s d o u z e d e r n i e r s mois, les ini|>ortations r e p r é s e n t e n t e n v i r o n l e s t r o i s c i n - q u i è m e s d e celles d e l a d e r n i è r e a n n é e d ' a v a n t g u e r r e ; q u a n t a u x e x p o r t a t i o n s , elles s ' é l è \ e n t e n c o r e à p e u p r è s a u x t r o i s q u a r t s d e s q u a n t i t é s v e n d u e s à l ' é t r a n - g e r e n 1938.

Si l'on c o m p a r e l e s chiffres d e n o t r e c o m m e r c e e x t é - r i e u r p e n d a n t le p r e m i e r t r i m e s t r e 1943 a v e c c e u x d e l a p é r i o d e c o r r e s p o n d a n t e d e 1942, o n r e m a r q u e q u ' à l ' i m p o r t a t i o n l a v a l e u r a p a s s é d e 461 à 481,6 millions d e francs, t a n d i s q u e s i m u l t a n é m e n t le v o l u m e a l é g è - r e m e n t a u g m e n t é . D u r a n t Ie m ê m e laps d e t e m p s , l e s e x p o r t a t i o n s o n t p r o g r e s s é e n v a l e u r d e 23,1 millions d e francs (-)-6,6 «o) p o u r a t t e i n d r e 375.1 millions d e francs, e t d i m i n u é e n q u a n t i t é d e 9 °,o. L e déficit d e n o s é c h a n g e s c o m m e r c i a u x a v e c l ' é t r a n g e r s'élève d o n c , p e n d a n t l e s t r o i s p r e m i e r s mois d e 1943, à 106,5 m i l - lions d e francs e t n'est, p a r c o n s é q u e n t , cpie l é g è r e - m e n t i n f é r i e u r a u s o l d e passif d e l a p é r i o d e c o r r e s p o n - d a n t e d e 1942.

/<ecetteà douanièteo et citai ta de tlmltte

L n m a r s 1943, les r e c e t t e s d o u a n i è r e s s e sont é l e - vées à 14,7 millions d e francs, d é p a s s a n t d e 1.7 m i l - lion celles d u m ê m e mois d e l ' a n n é e d e r n i è r e . L ' e x - c é d e n t d e r e c e t t e s est d û s u r t o u t à c e q u e d e s d r o i t s d ' e n t r é e d é p o s é s a n t é r i e u r e m e n t o n t é t é p o r t é s défi- n i t i v e m e n t e n c o m p t e . P e n d a n t l e p r e m i e r t r i m e s t r e 1943, elles o n t a t t e i n t 39,1 millions d e francs. D u r a n t la m ê m e p é r i o d e d e 1942, elles s'étaient chiffrées p a r 34,9 m i l l i o n s ; l ' a m é l i o r a t i o n p o u r 1943 e s t d o n c d e 4,2 mil- lions.

D ' a u t r e p a r t , l e p r o d u i t b r u t d e s d r o i t s d e t i m b r e f é d é r a u x s'est élevé à 15,1 millions d e i r a n c s p o u r le p r e m i e r t r i m e s t r e d e 1943, a l o r s qu'il était d e 15,3 millions d e francs p o u r l a p é r i o d e c o r r e s p o n d a n t e d e

1942.

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Editeur : La Fédération Horlogère Suisse S. A., La Chaux-de- Fonds Imprimeurs: I IaHcIi \ Co., LaChaux-

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