• Aucun résultat trouvé

Première partie : le 17 octobre 1961 dans les ouvrages de Benjamin Stora

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Première partie : le 17 octobre 1961 dans les ouvrages de Benjamin Stora"

Copied!
12
0
0

Texte intégral

(1)

Le 17 octobre 1961

(2)

Première partie : le 17 octobre 1961 dans les ouvrages de Benjamin Stora

La gangrène et l’oubli (1991 édition de 1998)

Dans sa préface à l’édition de 1998 de la gangrène et l’oubli, Benjamin Stora oppose : « Les enfants d’immigrés algériens réclament toujours justice pour leurs pères tués un soir du mois d’octobre 1961. » et « les fils de harkis se vivent toujours comme des « oubliés de l’histoire » »

Octobre 1961, le « pogrom » dissimulé

Quelle est la définition de « pogrom » ? Massacre et pillage des juifs par le reste de la population (souvent encouragée par le pouvoir)

Comment un historien issu de la communauté juive peut-il employer ce terme de pogrom dans ce contexte, celui d’une manifestation 1) interdite, 2) organisée et encadrée par le FLN, organisation terroriste dissoute par décret du 29 juin 1957, après 2 ans et 8 mois de terrorisme ?

Rappelons le bilan officiel de la « répression » : 32 morts dont plusieurs victimes de règlements de compte entre FLN et MNA …

Apparemment, B. S. reprend l’expression de Jean-Paul Sartre dans Les Temps modernes et de Jean Lacouture « pogrom policier » (De Gaulle tome 3 Le Souverain 1986)

B. S. cite le journal Libération qui parle d’une autopsie … laquelle constatait « plaie au cuir chevelu, émasculation, deux balles dans le ventre » …

Une émasculation par des policiers français ? Ça ne vous rappelle pas plutôt les méthodes du FLN ? B. S. parle aussi d’un manifestant violé : par des policiers français ? Ou là aussi par le FLN ?

Pour ceux qui douteraient, souvenez-vous de Melouza !

Le 28 mai 1957, massacre de la population civile musulmane de Melouza par le FLN : 374 hommes, femmes et enfants massacrés, plus de 150 blessés. Des rescapés perdent la raison devant l’horreur qu’ils ont vécue. Sous prétexte que ce village soutenait le MNA, rival politique du FLN. Le FLN poussant même le vice jusqu’à accuser l’armée française de ce massacre !

Charonne : pas de sanction dans la récidive

B. S. cite Roger Frey (interview du 10 janvier 1963 au journal Notre République) : « Un commando de l’OAS, infiltré dans le service d’ordre par Curutchet*, s’est livré, en tenue de police, à ce bain de sang. »

* Le capitaine Jean-Marie Curutchet, chef, au sein de l'O.A.S. métropole de la branche O.E.O.

(organisation, renseignements, opérations).

Faut-il croire sur parole Roger Frey, ministre de l’Intérieur, à l’initiative des barbouzes ? On a vu le cas que font les gaullistes de la parole donnée !

B. S. : « Il faut bien reconnaître que les unités qui avaient chargé au métro Charonne … compagnies de district, très structurées … La possibilité de se glisser parmi eux était bien mince.

Ce thème de la pénétration par des éléments de l’OAS à l’intérieur de la police se trouve définitivement ruiné par une enquête de L’Express …

(3)

… l’ancien conseiller de Michel Debré à Matignon, Constantin Melnik*, qualifiera ces explications d’infiltrations de la police par l’OAS « d’inepties forgées par les gaullistes, afin de garder immaculée la sainte image du Général. »

* Constantin Melnik n’est pas qu’un simple conseiller, c’est LE coordinateur des services de renseignement auprès du Premier ministre français, Michel Debré, de 1959 à 1962.

Monsieur Stora oublie de signaler que l’homme à l’origine de la répression lors de la manifestation du 17 octobre 1961, Maurice Papon, déjà impliqué dans la déportation de nombreux juifs de Gironde en 1942, alors qu’il était secrétaire général de la Préfecture de Gironde, fut secrétaire de la Préfecture de police de Paris de de 1958 à 1966, sous le gouvernement (et la protection) du général de Gaulle …

Le transfert d’une mémoire : de l’ « Algérie française » au racisme anti-arabe (1999 édition 2016) 3 Mémoires du Sud autour de l’ « Algérie française »

« … les errements tragiques une nuit du mois d’octobre 1961 … Le roman (de Nabile Farès Mémoire de l’absent 1974) se veut hommage à un camarade disparu dans la Seine, le 17 octobre 1961 … la terrible soirée du 17 octobre 1961. Nacer Kettane, dans Le Sourire de Brahim (1985) : « Les berges de la Seine étaient jalonnées de cadavres … Hommes noyés, fusillés … » »

Comment Monsieur Stora peut-il citer de telles « affirmations » tirées de romans ? Lui, le spécialiste des archives, Il ne cite aucune source officielle !

4 Se mesurer au « sudisme » (1992-1999)

« … le refus de reconnaître ce que furent les dures réalités coloniales, en particulier les massacres ayant suivi le 8 mai 1945 à Sétif en Algérie, et celui du 17 octobre 1961 à Paris. »

Le mystère de Gaulle (2009)

Benjamin Stora évoque à nouveau la manifestation du 17 octobre 1961 : « Il faut, pour s'approcher de la vérité de ce massacre nocturne, multiplier par 50 le nombre de morts et compter des centaines voire des milliers de blessés. »

Curieux ! Dans aucun de ces trois ouvrages, Benjamin Stora ne donne de chiffres !

(4)

« Intermède » bibliographique

Dans Libération du 17 octobre 1981, le journaliste Jean-Louis Péninou consacre un long article à la manifestation du 17 octobre 1961.

En 1984, l’écrivain Didier Daeninckx publie un roman Meurtres pour mémoire, qui évoque sans le nommer Maurice Papon, en liant un ancien collaborateur au « massacre » de 1961.

En 1985, Michel Levine publie Les Ratonnades d'octobre : Un meurtre collectif à Paris en 1961.

(5)

Deuxième partie : historique du 17 octobre 1961 par le Comité VERITAS

Ce n’est qu’en 1986, 24 ans après la manifestation, qu’un ancien responsable de la fédération du FLN en métropole, Ali Haroun, publia un livre écrit « à la gloire du FLN en France » : La Wilaya VII ou la guerre du FLN en France (1954/1962).

Le roman noir débutait, mais c’est seulement …

… en 1991 qu’il acquit sa notoriété avec le livre du marxiste Jean-Luc Einaudi directement inspiré de celui d’Ali Haroun, commenté et amplifié : La bataille de Paris - Octobre 1961.

L’auteur relaie directement la propagande d’Alger et accuse la police française d’avoir assassiné, en cette nuit du 17 octobre 1961, 300 Algériens, tandis que 2.300 d’entre eux étaient blessés. C’est à partir de ce livre que des sympathisants français, appelés aujourd’hui « Les frères des frères » par le FLN, organisent, chaque année, une cérémonie à la mémoire des « martyrs algériens du 17 octobre », lesquels n’ont jamais existé que dans l’imagination de leurs créateurs, comme le souligne Bernard Lugan, auteur de la revue « L’Afrique réelle ». (voir plus loin)

Pourquoi le FLN et ses complices parisiens ont-ils attendu aussi longtemps avant de lancer leurs accusations ?

En l’an 2000, année, ou début, de la grande offensive de calomnie contre la France, à la suite du premier voyage retentissant de Bouteflika en France (reçu avec solennité à l’Assemblée Nationale à majorité socialo-communiste) est créée l’association « 17 octobre 1961 contre l’oubli » dont le Président, Olivier Lecour Grandmaison, est bientôt appuyé par Pierre Vidal-Naquet, Maspéro, Marcel Péju, et toute l’équipe marxiste du Paris intellectuel.

Le 17 octobre 2001, le maire (socialiste) de Paris Bertrand Delanoë inaugure une plaque en souvenir de ce « massacre », exprimant le repentir de la France et mettant gravement en cause la responsabilité de la police parisienne (gardiens de la paix, gendarmes mobiles, CRS et forces de police auxiliaires composée de Harkis).

(6)

De nombreuses communes font de même

(7)

Troisième partie : le 17 octobre 1961 par le colonel Montaner

Dans la revue « l’Afrique réelle » de l’automne 2001 (N° 33), le colonel Raymond Montaner, commandant de la Force Auxiliaire des Harkis de Paris dont il avait pris le commandement en 1959 (unité destiné à protéger les Algériens de la capitale et des banlieues voisines contre la vaste entreprise de racket du FLN pour lever « l’impôt révolutionnaire ») rétablit la vérité :

Tout récalcitrant s’exposait aux couteaux des égorgeurs dont le grand chef, Salah Louanchi, responsable de la fédération FLN de France, avait longtemps échappé à la police grâce à la complicité d’un réseau de chrétiens progressistes groupés autour d’André Mandouze.

Sa longue expérience à la tête de SAS en milieu rural, mais aussi et surtout, en milieu urbain au Clos Salembier à Alger, avait préparé le lieutenant-colonel Montaner à faire face, très efficacement, au terrorisme perpétré par les agents du FLN dans la région parisienne.

Lors de la fameuse nuit du 17 octobre 1961, Montaner se trouvait à pied d’œuvre, avec ses Harkis parisiens et ses deux principaux adjoints, le capitaine de Roujoux et le lieutenant Champsavin.

L’agitation politico-médiatique, à la suite de ces manifestations, fut sans lendemain : il fallut bien reconnaître l’échec total du FLN dans son intention de soulever les Algériens de la région parisienne et de saboter les installations pétrolières visées.

1. « Il ne s’agissait pas d’une manifestation pacifique, mais d’une double action minutieusement montée par le FLN. Tandis que des groupes armés devaient saboter et incendier des installations vulnérables dont le port pétrolier de Gennevilliers et le complexe pétrolier de Melun, d’autres manifestants, mobilisés souvent de force, sous la menace, devaient envahir le centre de Paris, principalement vers la place de l’Opéra, de la République, et converger vers les Champs Elysées pour y déployer le drapeau FLN. A cette époque, toute manifestation de ce type était interdite dans la capitale.

»

2. « La police parisienne semble avoir été surprise par ces manifestations. Environ 1.300 hommes répartis en petits groupes de 25 policiers étaient disséminés dans les zones sensibles, sans grande coordination. Un premier affrontement eu lieu, dès 19h30, au pont de Neuilly, une quinzaine de policiers se retrouvèrent opposés à plusieurs centaines de manifestants. Cependant, aucun coup de feu ne fut tiré. Les forces de l’ordre se replièrent vers d’autres points d’appui. Rapidement, la police reprit la situation en main. »

3. « On découvrit alors un fait étonnant : l’extrême rapidité avec laquelle, devant le regroupement des policiers qui avaient reçu des renforts, les manifestants se débandèrent, ou se laissèrent appréhender.

Conduits au Palais des Sports et au stade de Coubertin, l’immense majorité des Algériens arrêtés avouèrent qu’ils avaient été mobilisés sous la menace de mort par les agents recruteurs du FLN, ou menacés de représailles sur leurs familles pour ceux qui auraient refusé de se joindre à ce « rassemblement patriotique ». La plupart furent renvoyés chez eux, après vérification d’identité … » 4. « Le vrai bilan, entre le 17 et le 21 octobre 1961, s’établissait à 7 morts, dont 2 seulement attribués directement à la police : Achour Belkacem et Amar Malek, tous deux agents du FLN. 5 autres morts seront décomptés, dont un Français, Guy Chevalier, et 4 Algériens, vraisemblablement victimes de règlement de compte. ».

(8)

L’auteur précise :

1. Alors que se déroulait, en plein cœur de la capitale, un soi-disant massacre d’Algériens, aucune intervention des pompiers, ni de police secours, ni de la Croix Rouge, ni d’aucun service d’ambulance anormal, lors de cette nuit, ou des jours suivants, n’ont laissé de traces.

2. Aucun des services hospitaliers d’urgence de Paris, ou de la banlieue parisienne, n’a vu un afflux anormal de blessés : pourtant, 2.300 blessés en une nuit, cela laisse des traces … Où sont passés ces blessés ? Se sont-ils évaporés ?

3. A l’objection de la propagande FLN selon laquelle tous les corps (morts et blessés) auraient été « jetés dans la Seine », l’auteur répond en signalant que rien n’a été retrouvé de tous ces corps dans les barrages sur la Seine en aval de Paris. Près de 2.500 corps en une seule nuit dans un fleuve et aucune trace les jours suivants ? Où sont-ils passés ? Se sont-ils dissous ?

(9)

Quatrième partie : le 17 octobre 1961 par Roger Soncarrieu

Le 19 octobre 2011, Roger Soncarrieu, auteur de « Ma vérité sur la guerre d’Algérie » et « Guerre d’Algérie : j’en ai assez » (éditions Dualpha), écrit une lettre ouverte au président de la République :

« Que ce soit dans les salles de cinéma ou à la télévision, les films concernant la période de la guerre d’Algérie, mais vue uniquement du côté algérien, ont le vent en poupe. Après, le film « Hors-la-loi » (et d’autres, comme « Les porteuses de feu »), voici que sont proposés aux Français deux nouveaux films :

« Ici on noie les Algériens, 17 octobre 1961 » (film de Yasmina Adi) et « Octobre à Paris » (film de Jacques Panijel) : c’est tout simplement consternant !

Dans le même temps, le film historique de Charly Cassan et Marie Havenel, « La valise ou le cercueil, l’Algérie de 1830 à nos jours », se voit refuser une diffusion sur nos chaînes de télévision. Sans doute pour cause de trop grande objectivité par rapport aux événements d’Algérie. « Ce film ne correspond pas aux exigences de notre ligne éditoriale », voilà ce que répond la chaîne Arte ! Quant aux autres chaînes, c’est une question de programmation (?) et ce film arrive trop tard …

Jacques Panijel a été signataire du « manifeste des 121 » pour le droit à l’insoumission en Algérie, le 6 septembre 1960, et son film, « Octobre à Paris », a été interdit pendant un certain nombre d’années (jusqu’en 1973). Cela prouve qu’en France, un film peut fort bien être interdit de diffusion. Alors pourquoi des films anti-français, à la gloire du FLN, des poseuses de bombes et autres porteurs de valises sont-ils autorisés aujourd’hui ?

Quand on présente des chiffres de morts ou de blessés multipliés par dix, par cent ou par mille, comme cela est le cas pour les événements de Sétif en 1945 ou la manifestation du 17 octobre 1961 à Paris, ce n’est plus de l’information, c’est (permettez-moi l’expression) du « bourrage de crâne », visant à faire de la France un pays toujours plus repentant.

Le 17 octobre 1961 a été une manifestation (qui n’avait rien de vraiment pacifique) organisée pour défier la France, où le FLN a enrôlé de force des milliers de participants qui ne souhaitaient pas spécialement participer.

Quant aux Algériens qui auraient été jetés dans la Seine (soi-disant plusieurs centaines), personne – semble-t-il – n’a jamais retrouvé les corps. Question par ailleurs : ceux des Algériens qui auraient été jetés dans la Seine, l’ont-ils été vraiment par des policiers, ou par le FLN, dont les règlements de compte avec le MNA de Messali Hadj ont été nombreux ? Les chiffres officiels indiquent, quant à eux, entre 2 et 7 morts, et pas forcément à mettre au compte de la police.

Voilà même qu’une proposition de loi vient d’être déposée il y a quelques jours au Sénat, tendant à la reconnaissance de la répression d’une manifestation à Paris le 17 octobre 1961. Un groupe de sénateurs voudrait que la France reconnaisse « le massacre de centaines d’Algériens, perpétré par la police française sur ordre de ses supérieurs, lors de la manifestation du 17 octobre 1961 à Paris ».

Cela alors que la proposition de loi du 29 avril 2010 est toujours en attente (pour examen) à la commission de la défense nationale et des forces armées ; il est pourtant, là, très facile à la France de reconnaître « les souffrances subies par les citoyens français d’Algérie victimes de crimes contre l’humanité commis du 19 mars 1962 au 31 décembre 1963 du fait de leur appartenance ethnique, religieuse ou politique ».

(10)

Monsieur le président de la République, je vous le demande, quand allons-nous cesser de nous battre la coulpe et arrêter d’autoriser (ou de ne pas interdire) tout ce qui a un caractère anti-français («

Marseillaise » sifflée, drapeaux brûlés, rappeurs aux paroles provocatrices, etc.) ?

Quand allons-nous cesser de recevoir gentiment, tant à Paris (au Sénat et ailleurs) qu’à Marseille, une Mme Zohra Drif-Bitat, certes aujourd’hui vice-président du Conseil de la nation algérienne, mais hier poseuse de bombes en Algérie. C’est elle, notamment, qui a posé une bombe au Milk-Bar à Alger, bombe qui a fait trois morts et une douzaine de blessés (amputés), dont plusieurs enfants. C’est, là aussi, plus que consternant !

Imaginons, simplement un instant, un film montrant les enlèvements et les massacres des Harkis et des Pieds-noirs, après les accords d’Evian et l’indépendance de l’Algérie. Quel serait l’accueil d’un tel film de la part des autorités algériennes si, d’aventure, ce documentaire montrant les exactions du FLN était programmé dans les salles de cinéma en Algérie ?

Je vous prie d’agréer, Monsieur le président de la République, l’expression de mes salutations distinguées. »

(11)

Epilogue

Malheureusement, le 15 mai 2012, le socialiste François Hollande est élu président de la République

Le 17 octobre 2012, il publie un communiqué :

« Le 17 octobre 1961, des Algériens qui manifestaient pour le droit à l'indépendance ont été tués lors d'une sanglante répression. La République reconnaît avec lucidité ces faits. Cinquante et un ans après cette tragédie, je rends hommage à la mémoire des victimes. »

Le mercredi 20 janvier 2021, Benjamin Stora rend son rapport au président de la République Emmanuel Macron :

Il y préconise la constitution d’une Commission « Mémoires et vérité » qui pourrait proposer « la commémoration de la date du 17 octobre 1961, à propos de la répression des travailleurs algériens en France. »

(12)

Le 4 décembre 1961, rapport de Roger Wuillaume, inspecteur général de l’administration

Références

Documents relatifs

En effet, non seulement l’”Essai sur les éléments de philosophie” n’est pas un ouvrage à proprement parler, puisqu’il constitue le quatrième volume

L’intervention de l’AFD dans le secteur de l’éducation, de la formation professionnelle et de l’emploi vise à favoriser la cohésion sociale, lutter contre les

Il aide le groupe à se doter de stratégies de raisonnement opérantes pour chacun..

• Jean-Luc Einaudi, auteur de La Bataille de Paris, 17 octobre 1961, Seuil, 1991 ; Octobre 1961, Seuil, 2001 et Scènes de la guerre d’Algérie en France, Automne 1961, Cherche

«L'Etat polonais n'est pas souverain ( ... ) un accroissement de la souveraineté de la nation à l'intérieur de l'Etat conduirait à un degré de souveraineté plus important

Belle pour les uns, sans beauté, sans fraîcheur pour les autres, tour à tour brune, châtain ou blonde, elle attire ou déçoit comme la femme qui hante les rêves du poète..

Pour faire connaître ses lois et donner à chacun le témoi- gnage de son activité, l'Assemblée fonde trois organes pério- diques officiels : 1° Le Bulletin de la Convention,

petitjean dans Le combat pour sauver les Etats-Unis et le monde libre vient tout juste de commencer Hagdik dans Audrey Pulvar : « La loi climat est une vaste blague ». petitjean dans