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CONCOURS PACES SEMESTRE MARAICHERS CORRECTIONS DÉTAILLÉES RÉALISÉ PAR LE TUTORAT ASSOCIATIF TOULOUSAIN

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(1)

CONCOURS PACES

SEMESTRE 2 – 2015-2016 MARAICHERS

CORRECTIONS DÉTAILLÉES

RÉALISÉ PAR LE

TUTORAT ASSOCIATIF TOULOUSAIN

(2)

SOMMAIRE

UE3 bis – Biophysique / Physiologie…….p3 UE5 – Anatomie ………..………..…..p8 UE6 – Médicament ………..p13

UE7 – Santé Publique ……….p23

UE7 – SSH ………..….p28

UE8 – Recherche ………..….p29

UE8 – Spé Petit bassin ………..……….p33

UE8 – Spé Tête et cou …………..…………..p37

UE8 – Spé Odonthologie ……..………p44

UE8 – Spé UFP ……….p47

UE8 – Spé Pharmacie ……….p49

(3)

Correction réalisée par le Tutorat Associatif Toulousain à partir des feuilles de corrigé affichées l’an dernier.

En aucun cas les informations contenues dans cette correction ne pourront engager la responsabilité des facultés de médecine et de pharmacie, de mesdames et messieurs les professeurs ou du Tutorat.

Correction UE3 Bis – Biophyique / Physiologie

QCM1 : A. V B. V C. V

D. F, l'électrocardiogramme ne mesure pas les amplitudes de contraction mais l'activité électrique du cœur.

E. F, lors de l'influx nerveux les concentrations de calcium intracellulaires ont un impact essentiel sur la contractilité des cardiomyocytes.

QCM 2 : A. V

B. F, car l'osmolalité plasmatique est diminuée, ainsi les solutés sont plus dilués donc diminution des concentrations plasmatiques

C. V D. V E. V QCM 3 : A. V

B. F, car on voit que chez le sujet vieux le nombre d'essais nécessaires pour réussir un test cognitif est plus élevé.

C. V

D. F, il n'y a pas assez d'informations dans l'énoncé pour pouvoir répondre.

E. F voir le cours QCM 4 :

A. V

B. F, car la phase ascendante du pic sur le graphique est la même chez le sujet jeune et vieux.

C. V

D. F, car plus l'hyperpolarisation est importante plus le seuil de dépolarisation sera dur à atteindre.

E. F, la dépolarisation est la même donc la contraction sera identique chez le sujet jeune et vieux.

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QCM 5 : A. V B. V C. V D. V

E. F, les canaux potassiques voltage-dépendants n’ont qu’une seule porte, ce sont les canaux Na+ voltage dépendant qui ont 2 portes (activation, et inactivation)

QCM 6 :

A. F, car les unités motrices sont perdues une à une.

B. F, diminution du diamètre des fibres musculaires et pas des neurones ! C- V, il y a un switch vers les fibres de type I.

D- V, le switch vers les fibres de type I favorise donc la présence de fibres oxydatives lentes.

E- V, le fait d'alterner le type de fibres mobilisées permet une optimisation de l'endurance du muscle.

QCM 7 :

A. F, les capillaires discontinus permettent un meilleur passage des particules que les capillaires fenestrés, qui eux même permettent un meilleur passage que les capillaires continus.

B. F, ce n'est pas le cas des capillaires continus.

C. V, c'est le cas des capillaires discontinus.

D. V E. V QCM 8 : A. V

B. F, il existe plusieurs sous types de récepteurs donc les effets d’un neuromédiateur sont très variables

C. V

D. F, le GABA est un acide aminé, cependant il a bien un rôle inhibiteur E. V

QCM 9 :

A. F, le calcium est un cation B. V

C. V, une mole de calcium = 2 équivalents car la charge du calcium est de 2. [C] en mol

×valence= [C] en eq

D. V, car la parathormone est une hormone hypercalcémiante qui va permettre de réaugmenter la concentration du calcium dans le sang, elle est donc activée en cas d'hypocalcémie.

E. F, après la mort le RE perd son étanchéité et relargue le calcium en masse dans le cytoplasme ce qui crée des ponts entre l'actine et la myosine. De plus, l'absence d'ATP empêche ces ponts de se défaire et tout cela entraîne la rigidité cadavérique.

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QCM 10 :

A. F, la natrémie et la glycémie sont des concentrations, l'osmolarité plasmatique se calcule en additionnant les osmolarités des différents constituants du plasma (Na+,Cl-

,glucose,protéines...etc) B. V

C. F, le sodium attire l'eau et donc joue sur les équilibres osmotiques

D. F, le sodium attire l'eau donc une hypernatrémie plasmatique entraîne des mouvements d'eau du liquide interstitiel vers le plasma (diminution du risque de formation d'oedème interstitiel).

E. V QCM 11 : A. V

B. F, puisqu'il n'y a pas de mouvements de solvant entre les deux compartiments, les deux solutions sont isotoniques

C. F, puisqu'il n'y a pas de mouvements de solvant entre les deux compartiments, les deux solutions sont isotoniques

D. F, on est dans une solution isotonique puisqu'il n'y a pas de mouvements de solvant. Donc ca peut etre une solution de NaCl à 9g/L (0,9%)

E. F, une solution isotonique n'est pas forcément iso-osmolaire!

QCM 12 : A. V

B. V, effectivement la chromatographie utilise le phénomène d'adsorption physique.

C. F, la fixation par adsorption est réversible.

D. F, non le phénomène peut être important en quantité (exemple de certains médicaments presque totalement liés à des protéines plasmatiques!)

E. V, oui elle est limitée car elle dépend des sites de fixations eux même limités en nombre.

QCM 13 :

A. F, il s'agit ici d'un liquide newtonien donc la perte de charge dépend d'une part de la viscosité du liquide, d'autre part du taux de cisaillement qui dépend lui-même de la vitesse d'écoulement de liquide donc de la section du tuyau donc de son diamètre. Ainsi, les facteurs qui rentrent en jeu sont le diamètre du tuyau, et la viscosité du liquide. Le même liquide circulant dans un tuyau de même longueur et de même diamètre présentera la même perte de charge.

B. F (pas de justification trouvée...)

C. F, la pression dynamique est constante car la section du tuyau est constante

D. F, comme son nom l'indique la vitesse moyenne est une moyenne calculée sur l'ensemble du tuyau

E. V, car la pression dynamique est constante, la pression de pesanteur est minimale, donc la pression hydrostatique est maximale.

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QCM 14 :

A. F, formule des bases faibles : pH= 7 + 1/2 (pKa + logC) = 7 + 1/2(6,3 + log 0,1) = 7+ (7,3 / 2)

= 10,65

B. F, pKa2 > pKa1 + 2 donc on néglige l'équilibre (2) et pas le (1)

C. V, pH (7,4) > pKa1 donc la base prédomine donc hydrogénocarbonates prédominent ; pH

< pKa2 donc l'acide (hydrogénocarbonate) prédomine D. F, alcalose métabolique

E. V QCM 15 :

A. V, car l'insuline est une hormone hydrophile (peptidique), elle est donc stockée dans des vésicules après sa production et sécrétée par exocytose, suite à l'augmentation du Ca2+

intracellulaire.

B. V, voir schéma dans le diapo du Pr. Parini

C. V (L-Dopa --> Dopamine --> Noradrénaline --> adrénaline) D. V

E. F, elles sont sécrétées au niveau de réseau capillaire primaire, qui est ensuite relayé par le système porte hypothalamique.

QCM 16 :

A. F, il n'y a jamais de liaison directe entre le récepteur des homones hydrophiles (insuline = peptide donc hydrophile) qui est extracelullaire et l'ADN, mais une transduction du signal depuis la membrane vers le noyau, mettant en jeu de nombreux seconds messagers.

B. V, c'est la down-regulation (protection de la cellule)

C. V, toutes les hormones, quel que soit leur caractère hydrophile ou hydrophobe, peuvent induire des réponses cellulaires à court terme ET à long terme (modulation de l'expression génique)

D. V, car la LH est une hormone hydrophile (peptidique), elle a donc un récepteur extracelullaire

E. F, la corticolibérine (ou CRH) inhibe bien sa propre sécrétion par un mécanisme de rétro- contrôle négatif ultra-court sur les cellules de l'hypothalamus, mais étant un hydrophile (peptide), elle le fait via des récepteurs extracelullaires.

QCM 17 : A. V B. V

C. F, la neurohypophyse ne fait que stocker les hormones et non les synthétiser.

D. F, la mélatonine est libéré par l'épiphyse.

E. V QCM 18 :

A. F, la thermolyse s'effectue à 60% par radiation et à 22% par l'évaporation.

B. F, la thermogénèse alimentaire influence le métabolisme basal, c'est pour cela que lorsqu'on veut mesurer le métabolisme basal on doit être à jeun.

C. F, la diminution du tonus musculaire et de l'activité physique participe à la thermolyse (et non la thermogénèse) lorsqu'on a une température ambiante supérieure à la zone de neutralité thermique.

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D. V

E. F, la stimulation de l'hypophyse par une baisse de température centrale va au contraire stimulée la thermogénèse chimique.

QCM 19 :

A. F, l'ouverture des valves aortique et pulmonaire est simultannée à partir du moment où la pression ventriculaire (dans le ventricule droit et gauche) est supérieure à la pression dans l'aorte et le tronc pulmonaire.

B. V

C. F, la contraction des oreillettes suit immédiatement leur dépolarisation avant même la dépolaisation des ventricules.

D. V, la post charge est la force contre laquelle le coeur doit lutter pour éjecter le sang, or s'il y a un rétrécissement de l'aorte (et que tous les autres facteurs sont fixes), la post charge augmentant, le coeur a du mal à éjecter le même volume systolique, donc le volume diminue.

E. V QCM 20 :

A. V, vitesse d'écoulement minimale pour faciliter les échanges.

B. V, oui vasoconstricteur et RCPG

C. F, les limitantes élastiques jouent sur la distensibilité D. F, méta artérioles, pas artérioles

E. F, pression veine cave inférieure < pression capillaire

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UE5 – Anatomie

QCM 1 : AC

A. Loin du coude proche du genou.

B. Elles en possèdent 2.

D. Ce muscle ne sera pas puissant mais mobilisateur (il réalisera un fort déplacement).

E. Le volume est constant.

QCM 2 : BDE

A. C'est le vestibule.

C. Elle n'est pas visible pluisqu'on voit du dessus.

QCM 3 : CDE

A. On ne peut en faire que lorsqu'il y a des fontanelles, autrement dit chez le nouveau-né. À 6 ans, il n'y a plus de fontanelles mais des sutures.

B. Elles sont présentes à proximité du sillon du sinus sagittal supérieur uniquement.

QCM 4 : BDE

B. Le cœur est dans le médiastin antéro inférieur : il est en avant et en bas dans la cavité thoracique, alors que le médiastin remonte jusqu’à la partie supérieure du sternum.

C. Les oreillettes ont une forme cubique.

En revanche les ventricules ont une forme pyramidale, et surtout le ventricule droit.

QCM 5 : ADE

B. C'est l'anastomose par inosculation qui réalise une arcade artérielle.

C. Il s'agit de la crosse de l'aorte.

QCM 6 : B A. C'est l'inverse

C. L'union de la veine mésentérique supérieure et du tronc spléno-mésentérique forme la veine porte qui se jette dans la veine cave caudale.

D. Il n'y en a pas dans le SNC ni dans les muscles par exemple.

E. Son origine est dans l'abdomen.

QCM 7 : ACDE

B. Il s'agit d'un espace virtuel, il n'y a rien à l'intérieur.

QCM 8 : ABCDE

C. VRAI Les cordons dorsaux sont occupés par les fibres afférentes de la substance blanche.

D. VRAI :La corne postérieure est séparée en deux zones : zone intermédiaire sensitivo- végétative (SNA) et zone postérieure somato-sensitive (SN cérébro-spinal).

E. VRAI : Par définition un myélomère est un centre réflexe segmentaire.

QCM 9 : ABCD

E. C'est le contraire, le nerf accesoire est le XI. Les nerfs craniaux sont classés par leur origine apparente, de cranial en caudal.

QCM 10 : D

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A: Le cervelet et le pont proviennent du métencéphale. Le myélencéphale est à l'origine de la moelle allongée.

B. Le sillon horizontal sépare le cervelet en deux parties : une supérieure et une inférieure.

Les hémisphères (droit et gauche) sont séparés par le vermis.

C. Les flocculus sont sous les pédonculles cérébelleux moyen (très en latéral).

D. VRAI : L'Archéo-cervelet contrôle l'équilibre, il est constitué du noyau Fastigial (entre autres). Le noyau Globulus (noyau interposé) est plus latéral que le noyau fastigial.

E. L'Archéo-cervelet est constitué du noyau fastigial, du Nodulus et des Flocculus couplés. Le Paléo-cervelet est constitué du noyau interposé (globulus, embolus), de la moitié antérieure du vermis (sauf nodulus) et de la moitié antérieure du cervelet couplés.

QCM 11 : BCE

A. Il est de 1,5 kg chez les hommes et de 1,4kg chez les femmes.

D. C'est la capsule interne qui est oblique en bas et en dedans.

QCM 12 : ACE

B. Il est situé en arrière. Dans la capsule interne, il y a une torsion : le tractus cortico- nucléaire passe en avant et en dedans du cortico-spinal.

D. Il repose sur le sillon cingulaire.

QCM 13 : AD

B : La surface de l’extrémité acromiale de la clavicule (à ne pas confondre avec l’extrémité de l’acromion) est orientée en bas et en dehors.

C : C’est la face inférieure qui porte le tubercule conoïde.

E : Elle est orientée en haut en arrière et en dehors.

QCM 14 : E

A : C’est l’olécrane qui surplombe (au-dessus) du processus coronoïde.

B : L’incisure radiale de l’ulna se trouve sur le processus coronoïde, sur sa partie latérale.

C : L’incisure trochléaire, comme l’indique son nom, s’articule avec la trochlée de l’humérus et non le capitulum.

D : L’ulna ne participe pas à l’articulation avec le carpe, seulement le radius y participe ; mais la tête ulnaire se trouve bien en regard du carpe.

QCM 15 : C

A : Le carpe est constitué de 8 os.

B : Le scaphoïde est latéral mais il se trouve sur la rangée proximale du carpe.

D : Le pisiforme s’articule seulement avec le triquétrum en arrière.

E : Le capitatum est encastré entre le trapézOÏDE et l’hamatum.

QCM 16 : BE

A. La surface articulaire de l'acétabulum n'est recouverte de cartilage QUE en périphérie au niveau de la surface semi-lunaire , attention au centre il y a la fosse acétabulaire qui est rugueuse (sans cartilage) car elle sert d'insertion pour le ligament de la tête fémorale et l'artère de la tête fémorale.

B. Vrai car l'angle dorso caudal c'est la tubérosité ischiatique et le bord caudal relie bien la

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C. Faux car la fovéa capitis se trouve sur le quadrant postéro-inférieur de la tête fémorale.

D. C'est le grand trochanter qui est palpable car très saillant , le petit est plus profond et moins saillant donc pas palpable.

QCM 17 : D

A. Faux le muscle tibial antérieur se fixe sur la face LATERALE du tibia.

B. Faux le tibia est l'os ventro-médial de la jambe donc c'est son bord latéral qui regarde vers la fibula et donc qui constitue le bord interosseux.

C. Faux comme son nom l'indique le ligament croisé antérieur se fixe dans la fosse intercondylaire antérieure.

D. Vrai la maléole fibulaire ou latérale descend plus bas que la tibiale , on dit donc qu'elle est plus distale.

E. Faux le sillon malléolaire fibulaire se trouve sur le bord DORSAL de la malléole fibulaire.

QCM 18 : AC

A. Vrai le talus est bien recouvert de cartilage à 60% seulement (cf cours).

B. Faux l'angle de déclinaison du talus est de 150°.

C. Vrai la surface articulaire de la face médiale du talus est une virgule à grosse extrémité ventrale (cf cours).

D. Faux c'est l'arche médiale (à l'intérieur du pied) qui est haute et souple car elle contient beaucoup plus d'articulations que la latérale qui est donc plus rigide et plus basse (extérieur du pied).

E. Faux la base des métatarsiens correspond à leur extrémité proximale et elle s'articule avec le tarse ventral/distal donc en formant les articulations tarso-métatarsiennes qui sont des articulations synoviales planes et donc les surfaces articulaires de la base des métatarsiens sont des surfaces planes et non ellispoïdes.

QCM 19 : ABCD

B : Vrai C’est en effet l’arc neural et plus précisément les lames qui ferment en arrière le foramen vertébral. Celles-ci fusionneront pur donner en arrière le processus epineux.

C : Vrai En effet, elles sont dans un plan sagittal de part et d’autre du spondyle. Elles s’articulent avec les biseaux de la vertèbre sous-jacente.

D : Vrai Contrairement aux foramens intervertébraux qui sont sagittaux les foramens sacraux pelviens sont frontaux.

E : Premièrement, le muscle psoas est un muscle lombaire et ne peut donc pas agir au niveau cervical. Deuxièmement, la lordose cervicale se forme lorsque le nourrisson relève la tête à partir du moment où il commence à se déplacer à quatre pattes.

QCM 20 : Tout faux

A : Ce n'est pas du cartilage de croissance mais du cartilage articulaire

B : C'est l'épaisseur des disques intervertébraux qui conditionnent les mouvements

C : La fovéa articulaire caudale d'Atlas est plane dans un plan frontal et convexe dans un plan sagittal

D : Les lamelles de l'annulus sont concentriques

E : Le ligament transverso-axoïdien est plus dorsal que la membrane atlando-axoïdienne ventrale.

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QCM 21 : ABCE

A : Vrai Deux muscles sont dits synergiques si ils travaillent en même temps pour maitriser ou renforcer leur action. Ici, les transversaires épineux et les obliques externes réalisent tous deux une rotation controlatérale. On peut donc les qualifier de muscles synergiques.

B : Vrai Il s’insère des tubercules antérieures des processus transverses de C3 à C6 jusqu’à la partie basilaire de l’occipital.

C : Vrai Ceci est le poids maximal. Néanmoins, selon les positions que prendra le patient (assis, couché, debout, …) ce poids ne sera pas le même.

D : L5 a plutôt tendance à glisser vers l’avant notamment du fait de l’orientation du plateau sacré. A terme, de trop grandes contraintes peuvent provoquer un spondylesthésis.

E : Vrai En effet, au niveau thoracique, on observe 40° d’extension et 30° de flexion.

QCM 22 : AC

B. Elle est plus craniale (voir schémas poly).

D. C'est l'inverse, le bord dorsal est plus long.

E. Le diaphragme s'abaisse lorsqu'il se contracte, ainsi la paralysie d'un nerf phrénique empêche l'abaissement de la coupole diaphragmatique homologue.

QCM 23 : E

A. Le mésovarium s'insère sur le bord inférieur de l'ovaire.

B. Le myomètre du corps de l'utérus et non pas du col.

C. L'antéflexion définit la flexion du corps de l'utérus sur le col de l'utérus.

D. Les césariennes sont réalisées au niveau de l'isthme de l'utérus.

QCM 24 : -

A. Il est situé du col jusqu'aux 2/3 postérieurs de la côte. Au 1/3 antérieur, ce sillon s'applatit.

B. La membrane intercostale externe sépare le muscle du sternum.

C. Il chemine au niveau du bord supérieur des côtes. C'est le pédicule principal qui chemine dans le sillon costal.

D. Il possède aussi des orifices musculaires par exemple, comme au niveau du hiatus oesophagien.

E. De la deuxième à la sixième côte, cette articulation est une synoviale ellipsoïde et de la septième à la dixième côte il s'agit d'une synoviale plane.

QCM 25 : -

A. Il sépare la cavité abdominale du pelvis (lui même divisé en grand bassin, petit bassin et périnée).

B. Elles sont dirigées en haut, en avant et en DEDANS.

C. Il s'agit de L1.

D. Le nerf fémoral est dans la lacune musculaire.

E. Il est limité par le muscle oblique EXTERNE.

QCM 26 : BD

A. L'uvule est une dépendance du palais mou.

C. Il est en arrière de la trachée.

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QCM 27 : DE

A. Il fait partie du foie gauche, mais du lobe droit. (Ne pas confondre la limite fonctionnelle passant par la veine cave caudale et la vésicule biliaire et qui donne un foie droit et un foie gauche de la limite anatomique passant par le ligament falciforme et donnant elle un LOBE droit et un lobe gauche.)

B. Il passe en arrière du pancréas.

C. Elle s'ouvre dans le deuxième duodénum.

QCM 28 : AC

B. La veine rénale gauche se termine dans la veine cave caudale tout comme la veine rénale droite.

D. Le col de l'utérus est en rapport avec la face postérieure de la vessie. C'est le corps de l'utérus qui est en rapport avec la face supérieure.

E. L'urètre féminin mesure 3cm.

QCM 29 : AC

B. Le cordon spermatique est l'ensemble du canal déférent, nerfs, artères et veines spermatiques. Il est compris entre l'orifice inguinal profond et superficiel.

D. L'utricule est un résidu du canal paramésonéphrotique (canal de Müller) E. Il n'existe qu'un corps spongieux il n'est donc pas pair !

QCM 30 : BC

A. Il y en a davantage dans la zone centrale (proche de la macula et de la fovéa centralis) et moins en périphérie.

D. Elle est au niveau de l'oreille moyenne.

E. Elle comprend 2 tours et demi de spires.

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Correction UE6 - ICM

QCM 1 : ABCE

A.Les substances vénéneuses sont classées en 3 catégories :

Liste I : produits toxiques ou présentant un risque élevé pour la santé

Liste II : produis nocifs ou présentant un risque limité pour la santé

Stupéfiants : produits engendrant une dépendance (ordonnance filigranée, sécurisée)

A. Statuts : liste I, liste II, stupéfiants

B. Les dispositifs médicaux sont classés en fonction de leur dangerosité : classe I (risuqe faible) è classe III (risque très élevé)

C. La fixation du prix dépend de l’ASMR

D. « lorsque l’intérêt de la santé du patient lui paraît l’exiger le pharmacien doit refuser de dispenser un médicament »

QCM 2 : DE

A. Un médicament falsifié comporte une fausse préparation de son identité (emballage, étiquetage, dénomination), de sa source (fabricant…) ou de son historique

(documents d’enregistrements…). Ici, mise en évidence de particules de verre correspondant surement à un défaut non intentionnel.

B. Le rappel de lots est une des missions de l’ANSM (police sanitaire) pas de la HAS.

C. Il s’agit d’une spécialité pharmaceutique. Elle est soumise aux Bonnes Pratiques de Préparation.

D. Parmi les décisions de police sanitaire de l’ANSM se trouvent :

Retrait ou suspension d’AMM

Autorisation d’essais cliniques

Retrait de produits/lots

Interdiction de Dispositifs Médicaux sur le marché français

E. Procédure communautaire centralisée : EMA ou Commission Européenne. Mais l’EMA ne peut pas retirer l’AMM.

QCM 3 : BD

A. La procédure communautaire centralisée (EMA) est obligatoire pour certaines catégories de médicaments uniquement.

B. L’ANSM possède un champ de compétences sur :

Les produits à finalité sanitaire destinés à l’homme seulement

Les produits à finalité cosmétique (produits biocides et produis de tatouage) A. L’ANSM est l’Agence Nationale de sécurité du médicament donc les substituts

nicotiniques, les produits stables dérivés du sang, les antidotes militaires, les produits de contraste sont sous sa tutelle. Les amalgames dentaires ne sont pas sous tutelle de l’ANSM. Par ailleurs, elle possède un champ de compétence pour les produits destinés à l’homme seulement.

B. Les médicaments et les dispositifs médicaux sont sous tutelle de l’ANSM puisque pour être commercialisés en France les Dispositifs Médicaux doivent faire l’objet d’une déclaration à l’ANSM.

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C. Les compléments alimentaires ne sont pas sous tutelle de l’ANSM. Ils doivent néanmoins faire l’objet d’une Allégation de Santé Autorisée, faire référence aux apports journaliers recommandés et porter l’étiquetage compléments alimentaires.

QCM 4 : A

A.Le SMR est évalué grâce à :

L’efficacité ou les effets indésirables du médicament

La place dans la stratégie thérapeutique

Le caractère préventif, curatif ou symptomatique du traitement

Son intérêt pour la santé publique

La gravité de l’affection

A. L’ASMR quantifie le progrès thérapeutique (majeur, important, modeste, mineur, absence d’amélioration)

B. La fixation du prix par le CEPS tient compte de l’ASMR.

C. La marge officinale d’une spécialité pharmaceutique remboursable dépend du pourcentage fabricant hors taxe, du forfait hors taxe du conditionnement et éventuellement des honoraires.

D. Les droits de substitution par un générique sont soumis à condition :

Spécialité du même groupe générique du répertoire de l’ANSM

Pas d’opposition du prescripteur

Pas d’opposition du patient

Prudence avec les excipients à effets notoires

Neutralité financière pour l’Assurance Maladie

Inscription sur l’ordonnance de la spécialité pharmaceutique délivrée au patient

QCM 5 : ABDE

A. Les produits cosmétiques appartiennent au champ de l’hygiène et de la propreté.

Les produits alimentaires appartiennent au champ de l’alimentation « Denrées alimentaires dont le but est de compléter le régime alimentaire normal et qui constituent une source concentrée de nutriments ou d’autres substances ayant un effet nutritionnel (…).

B. Ils sont tous deux évalués par l’HAS :

Les spécialités pharmaceutiques font l’objet d’une évaluation par la Commission de Transparence.

Les dispositifs médicaux dont l’objet d’une évaluation par la Commission Nationale d’évaluation des dispositifs médicaux et des technologies de santé.

A. Pour être commercialisés, les spécialités pharmaceutiques doivent avoir l’AMM.

Quant aux Dispositifs Médicaux, ils doivent juste faire l’objet d’une déclaration auprès de l’ANSM.

B. Les spécialités pharmaceutiques sont soumises aux Bonnes Pratiques de Fabrication et à la Pharmacopée. Les dispositifs médicaux doivent respecter les « Conformités aux exigences essentielles ».

C. Pour chaque classe de produits de santé, l’ANSM est organisée en 5 directions métiers :

Evaluation

Surveillance

(15)

Inspection

Contrôle

Affaires juridiques et complémentaires QCM 6 : ABC

A. Ils sont présentés comme ayant une visée éclaircissante ou blanchissante de la peau.

B. L’AMM est nécessaire à la commercialisation d’une spécialité pharmaceutique :

Elle n’est octroyée que si la règle des 3 critères est respectée : Qualité, Innocuité, Efficacité.

Elle est suspendue ou retirée si le rapport bénéfice risque n’est pas favorable A.L’AMM est suspendue dans les cas suivants :

Le médicament est nocif è Pas de respect de la règle d’Innocuité è Mise en danger des utilisateurs

Le médicament ne permet pas d’obtenir les résultats thérapeutiques è Pas de respect de la règle d’Efficacité

La balance bénéfice risque n’est pas favorable

La spécialité n’a pas la composition quantitative et qualitative déclarée è Pas de respect de la règle de Qualité.

Le titulaire de l’AMM ne respecte pas les conditions d’octroi de cette autorisation è Manquement aux 3 règles

A. Seul le Directeur de l’ANSM peut décider de l’exécution de la décision de suspension de mise sur le marché

B. Ce sont des médicaments destinés à être administrés par voie intramusculaire ou intraveineuse ou par perfusion donc ils sont soumis à prescription et ne peuvent donc pas être dispensés par internet.

QCM 7 : ACE

A. Ils doivent avoir la même composition qualitative et quantitative en principe actif donc deux sels différents du même principe actif entrent dans cette définition B. Le dossier de demande d’AMM est allégée pour les spécialités génériques des

modules 4 et 5 (respectivement sur la Sécurité et l’Efficacité)

C. Une spécialité pharmaceutique générique et sa spécialité pharmaceutique de référence possèdent le même statut de délivrance (liste I, liste II, stupéfiants) D. Les conditions du droit de substitution sont les suivantes :

Spécialité du même groupe générique du répertoire de l’ANSM

Pas d’opposition du prescripteur

Pas d’opposition du patient

Neutralité financière avec l’Assurance Maladie

Inscription sur l’ordonnance de la spécialité pharmaceutique délivrée au patient

A.Une spécialité pharmaceutique générique et sa spécialité pharmaceutique de référence possèdent le même taux de remboursement.

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QCM 8 : ACDE

A. La récepteur à la vasopressine est couplé à une protéine GQ. Elle est activée et provoque le recrutement et l’activation de la phospholipase grâce à la sous-unité αQ. La PLC transforme le PIP2 en DAG et IP3.

B. La β-arrestine phosphoryle la partie Cterm du récepteur par un kinase et se fixe sur la protéine G avec laquelle le récepteur ne peut plus se coupler.

C. Une mutation inactivatrice de la protéine GI entraine une activation de la protéine GS. La protéine αs-GTP interagit avec l’Adénylate Cyclase et l’active entrainant une augmentation de la concentration en AMPc. L’AMPs active la PKA phosphorylant la TG lipase (ou la phosphorylase B kinase).

D. La transphosphorylation du récepteur à activité tyrosine-kinase entraine son activation donc sa capacité à recruter et à activer les effecteurs. Ces derniers se dissocient des récepteurs. Il y a transduction du signal : génération + amplification via la génération de seconds messagers. Le récepteur est ensuite internalisé puis recyclé ou dégradé par voie lysosomale.

E. A l’arrivée du signal d’une cytokine à la membrane plasmique, les protéines STAT au repos dans le cytoplasme sont phosphorylées par les tyrosine-kinases JAK. Elles se dimérisent et migrent dans le noyau où elles stimulent la transcription de gènes cibles spécifiques.

QCM 9 : ABC

A. La fixation de l’acylcholine ou de la varénicline sur le récepteur nicotinique à l’acétylcholine entraine l’entrée de sodium et la sortie de potassium.

B. L’activation du récepteur au glutamate se fait en deux étapes :

Départ de Mg2+

Entrée de Na+, Ca2+, Sortie de K+

A. Les glucosides digitaliques permettent l’augmentation du Ca2+ intracellulaire en se fixant sur la pompe Na/K. Leur effet est indirect : en inhibant la Na/K ATPase elles entrainent une augmentation de la concentration intracellulaire de Na et inversent le sens de fonctionnement de l’échangeur NCX (qui se met à faire sortir 3 Na+ en

échange d’1 Ca2+ ).

B. L’action des anesthésiques locaux comme la lidocaïne sur les canaux sodiques bloquent l’entrée de sodium dans la cellule donc augmente la concentration extracellulaire en sodium.

C. L’action de la protéine kinase A sur le récepteur à la ryanodine entraine une augmentation de la concentration en Ca2+ intracellulaire.

QCM 10 : AE

A. Environ 50% des récepteurs nucléaires sont des récepteurs orphelins donc ils n’ont pas de ligands endogènes connus.

B. C’est le complexe ligand/récepteur dimérisé qui joue le rôle de facteur de transcription

C. Ce sont les corticoïdes de synthèse (agonistes) qui sont utilisés dans le traitement de fond de l’asthme.

D. Le levonorgestrel est un agoniste de synthèse du récepteur de la progestérone utilisé dans la contraception post-coïtale d’urgence

(17)

QCM 11 : AC

A. Le sunitinib (Stuten®) est un inhibiteur de l’activité tyrosine kinase indiqué dans le traitement du carcinome rénal.

B. Le Pegvisomant (Somavert®) est un antagoniste de l’hormone de croissance indiqué dans le traitement de l’acromégalie.

C. Les anticorps monoclonaux sont protéiques, ils ne traversent pas la membrane plasmique et ne peuvent donc pas se fixer sur des tyrosine-kinase cytosoliques.

D. Il faudrait utiliser des anticorps se fixant à l’insuline pas au récepteur.

E. Anticorps anti-TNFa : adalimumab (Humira®) indiqué dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde.

QCM 12 : ADE

A. Oui, car la droite de l’expérience B correspond à l’expérience réalisée en présence du ligand compétiteur C.

B. Bmax (B) = Bmax (A) : correspond à l’intersection des droites avec l’axe des abscisses.

C. Sur la courbe B, l’intersection avec l’axe des ordonnées représente D’où !"#$%& = 10 avec Bmax = 50 donc KD = 50/10 = 5 nM

D. En présence d’inhibiteur le ligand endogène se lie au récepteur mais dans des proportions moindres puisqu’il y a compétition entre le ligand endogène et

l’inhibiteur. Il y a donc un équilibre (déplacé) entre les complexes ligand/récepteur et les complexes inhibiteur/récepteur ce qui traduction une interaction réversible.

QCM 13 : BC

A. La théorie d’Ariens établit une relation de proportionnalité entre l’effet de l’agoniste et sa capacité à former un complexe ligand-récepteur.

B. La puissance est caractérisée par la CE50 ou la DE50. Finalement, plus la courbe d’un agoniste est déplacée vers la gauche plus il est puissant. Un agoniste partiel peut être plus puissant qu’un agoniste plein (il peut en falloir moins pour produire 50% de l’effet maximal).

C. Puissance : caractérisée par la DE50 ou la CE50. Plus la DE50 ou la CE50 est faible, plus la puissance de la substance est grande.

D. Efficacité : caractérisée par l’effet maximum (Emax) induit. Plus grand sera l’effet maximal, plus efficace sera la substance.

E. Puissance et agonisme n’ont pas de relation

(18)

QCM 14 : ACE A.Oui

B.Les propriétés anti-ulcéreuses de l’oméprazole (Mopral®) résultent de son action inhibitrice de la pompe H+/K+.

C.Les digitaliques permettent l’augmentation du Ca2+ intracellulaire en se fixant sur la pompe Na/K. En inhibant la Na/K ATPase ils entrainent une augmentation de la

concentration intracellulaire de Na et inversent le sens de fonctionnement de l’échangeur NCX (qui se met à faire sortir 3 Na+ en échange d’1 Ca2+ ).

D.La cocaïne bloque le transporteur présynaptique de la noradrénaline (et de la dopamine) traduisant une augmentation de la concentration de la noradrénaline (et de la dopamine) dans la fente synaptique puisqu’elle ne peut plus être recaptée par le neurone pré-

synaptique.

E.La fluoxétine (Prozac®) est un inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine par le neurone pré-synaptique.

QCM 15 : BE

A. Les oléogels ou gels huileux sont gélifiés avec des gélifiants tels que de la silice mais la gélification ne dépend pas du pH mais plutôt de la concentration en silice ou de la température.

B. La lanoline est insoluble dans l’eau. Elle peut émulsionner 2 fois son poids en eau formant ainsi de la lanoline hydratée.

C. Le PEG 400 est un liquide incolore visqueux (300<PM<600)

D. Le talc n’est pas une poudre grasse. C’est une poudre blanche et douce, particules constituées de feuillets reliés par des forces faibles de Van Der Waals, en touchant les particules les feuillets glissent entre eux ce qui donne la douceur au toucher. S’il y a trop de friction, les feuillets glissent les uns contre les autres ce qui favorisent l’écoulement. Il est utilisé comme régulateur d’écoulement et non comme anti- friction dans la fabrication des comprimés.

E. C’est un viscosifiant. Les alginates sont des polymères issus des algues ayant besoin d’ions calcium pour constituer leur réseau : formation du gel de plus en plus

consistant.

(19)

QCM 16 : BC

A. Les oléogels ou gels hydrophobes sont constitués d’une majorité d’excipients hydrophobes ne leur permettant pas d’être nettoyés simplement avec de l’eau.

B. Vrai. Ce type d’émulsions est particulièrement utilisé en cosmétique.

C. Les microémulsions sont de faible viscosité, généralement transparentes ou translucides et thermodynamiquement stables.

D. Les pâtes contiennent une grande quantité de poudres finement broyées.

E. Les oléogels sont occlusifs pour la peau.

QCM 17 : CE

A. Toutes les pénicillines n’ont pas un coefficient de biodisponibilité proche de 100%

par voie orale. Le pH acide de l’estomac est responsable de la dégradation des pénicillines G.

B. Les aminosides possèdent un coefficient de biodisponibilité par voie orale proche de 0%.

C. Le coefficient de biodisponibilité des AVK est proche de 100%.

D. Le coefficient de biodisponibilité de la morphine est de 25% mais elle n’est pas faiblement résorbée.

E. Lors de la prise de la levodopa au cours d’un repas, les acides aminés apportés par l’alimentation entrent en compétition avec cette dernière limitant ainsi sa

biodisponibilité par voie orale.

QCM 18 : BD

A. La diffusion passive est non saturable. Elle dépend du gradient de concentration entre 2 compartiments.

B. Plus le Poids Moléculaire du médicament augmente plus sa diffusion à l’intérieur de la membrane diminue.

C. Plus le coefficient de partage augmente, plus la molécule est lipophile donc mieux elle diffuse dans la membrane.

D. Plus le gradient de concentration entre la lumière du tube digestif et les entérocytes augmente plus la diffusion augmente.

E. Il n’y a pas de phénomènes de compétition dans la diffusion car elle ne met pas en jeu de transporteurs sélectifs actifs.

QCM 19 : CD

A. La barrière placentaire est franchie par la plupart des médicaments.

B. Les médicaments hydrophiles ne franchissent pas la BHE car justement ils sont hydrophiles (même principe que pour la diffusion). En revanche, les médicaments lipophiles passent la BHE et sont ressortis via les ABC transporteurs dont la PgP.

C. Le phénomène de distribution se déroulera plus rapidement et plus intensément au niveau des organes les plus vascularisés.

D. Le passage du médicament du plasma vers le compartiment extracellulaire des différents organes ou tissus se déroule au niveau des espaces intercellulaires de l’endothélium des capillaires sanguins ; espaces intercellulaires suffisamment grands pour permettre le passage de la quasi-totalité des médicaments.

E. Plus un médicament est lié aux protéines plasmatiques, plus la valeur de son volume

(20)

QCM 20 : CD

A. La constante d’élimination k dépend de la clairance CL et du volume de distribution Vd donc elle varie entre les patients.

B. Elle est égale : ( = *+,-..- &/é1+"+2#,+32 4(,)

C. Cf B

D. Elle est égale : k = 7&89 E. Cf D

QCM 21 : DE

A. A.Son volume de distribution plasmatique est égal a Vd = Dose/C0 = 250/5 = 50L B. On utilise l'équation fondamentale : T1/2 =ln2 x (Vd/CL) donc k = CL/Vd

On détermine T1/2 graphiquement : c'est le temps nécessaire pour que Cmax (ou Co) soit diminuée de moitié : donc en prenant Co= 5 donc C/2= 2,5mg/L on rapporte sur la courbe et on fait correspondre sur l'axe des abscisses on trouve une valeur T1/2 = 0,5 jour

De plus on sait que k = ln2/(T1/2) donc k = 0,7/0,5= 0,7 x / (½) = 0,7 x 2 = 1,4 j-1 On isole CL de l 'équation ci-dessus : CL = Vd x k = 50 x 1,4 = 70 L/J

C. Cf calcul précédent k = 1,4 J-1, de plus ce n'est pas la bonne unité on est en jour pas en heure

D. On atteint l'état d'équilibre au bout d'un temps t égal à 3,3 x T1/2

Ici t= 3,3 x 0,5 = 1,65 j donc (cf courbe) on est déjà à l'état d’équilibre avant la deuxième injection (qui se fait à 2h)

Rq : on a pas besoin de faire le calcul, on voit que 3,3 x 0,5 < 2

On peut aussi calculer le nombre d'injection nécessaire pour atteindre cet état avec la formule : n > 3,3 x (T1/2)/ t = 1,65 (avec t intervalle de temps entre les injection = 1j)

E. Pour une perfusion continue : Css = R0 /CL (cf cours) avec R0 vitesse de perfusion = 140 mg/J et CL = 70L/J Donc Css= 140/70 = 2 mg/L

QCM 22 : AE

Le métoprolol est métabolisé par le foie par le CYP2D6. Les doses optimales du métoprolol ne seront pas les mêmes suivant les facteurs génétiques.

A. Chez les patients homozygotes mutés le CYP2D6 est non fonctionnel donc le coefficient d’extraction hépatique sera inférieur puisque c’est un médicament essentiellement métabolisé par le foie.

B. La clairance métabolique hépatique est proportionnelle au coefficient d’extraction hépatique donc si ce dernier diminue alors la clairance métabolique hépatique diminue également.

Formule : CLmtb hep= EH x QH

C. F = 1 – EH donc si EH diminue alors F augmente

D. C’est un médicament normalement métabolisé par le foie donc sa clairance rénale ne change pas.

E. Puisqu’il sera moins métabolisé par ces patients, le métoprolol possèdera un temps de demi-vie supérieur.

(21)

QCM 23 : AC

A. Les médicaments bases faibles se lient au niveau de l’alpha-1 glycoprotéine acide.

B. Un médicament base faible est le substrat des OCT.

D.CLFG = fu.DFG

E. La réabsorption tubulaire se fait au niveau du tube contourné distal du néphron.

QCM 24 : BCE

A : Les essais de phase 1 sont réalisés pour mesurer la tolérance et la toxicité chez des sujets sains. C’est au cours de cette phase que l’on définit la DMT.

D : c’est le Promotteur qui prend en charges ces frais.

QCM 25 : ACD

B : Contrairement à un effet indésirable un effet secondaire n’est pas nécessairement nocif mais il est non recherché.

E : Tous les effets indésirables de type A (attendu) et B (inattendu) doivent être signalés au CRPV.

QCM 26 : DE

A : Il faut tester la voie utilisée chez l’homme, ici c’est une voie orale donc la seule étude de la voie intraveineuse chez le chien ne suffira pas lors des essais pré-cliniques.

B : les souris pourront être traitée pendant une durée maximale de 6 mois.

C : On plafonne les doses à 2g/Kg chez les ciens et à 1 g /Kg chez les souris QCM 27 : E

A : Les complications cliniques ne sont pas évalués, les critères évalués sont la glycémie et la perte de poids. Ainsi on ne peut pas dire que l’empaglifozine diminue les complications cliniques de façon significative.

B lors de cet essai c’est l’utilisation seul de l’empaglifozine qui est étudié, ainsi les patients pourront bénéficier de ce traitement mais pas en l’associant à la metformine. Cette association n’a pas fait l’objet d’essai clinique et peut donc s’avérer dangereuse.

C :

D : Cet essai montre que l’empaglifozine permet une perte de poids statistiquement

supérieur au placebo auquel on le compare, mais on ne compare pas cette perte de poids à celle que l’on observe suite à la prise d’un sulfamide hypoglycémiants.

QCM 28 :ACE

B : lors d’une analyse per-protocole on ne prend en compte que les résultats des patients ayant respecté scrupuleusement le protocole contrairement à l’analyse en intention de traiter qui prend en compte les résultats de l’intégralité des patients.

D : Les résultats ne permettent pas de conclure sur l’augmentation ou la diminution du risque de cancer du pancreas car l’intervalle de confiance contient des velurs inférieur et supérieur à 1. Pour que les résultats soient siginficatif il faut que les valeurs de l’IC soient toutes supérieurs ou toutes inférieurs à 1 :

Par exemple : IC (0,2-0,9) => diminution du risque de cancer du pancreas IC (1,1-1,5) => augmentation du risque du cancer du pancreas

Sinon on ne peut pas conclure.

(22)

QCM 29 : ACD

B : Il s’agit d’une étude monocentrique il n’ya donc pas d’envoi dans d’autres centres investigateurs.

E : il faut impérativement attendre l’obtention de l’avis favorable du CPP avnt de commencer les essais cliniques.

QCM 30 : AD QCM 31 : ABCD

E Seulement un tiers des évenements iatrogènes sont médicamenteux QCM 32 : -

A : le traitement de la dégénerescence maculaire liée à l’âge par le bévacizumab fait l’objet d’une RTU qui est un référentiel de bon usage. Son utilisation n’est donc pas hors référentiel.

B : Les publications sont par définitions des observations donc à faibles niveaux de preuve : Niveau 4

C : l’utilisation du bévacizumab dans le traitement des glioblastome en rechute est hors référentiels. Puisque cette utilisation ne détient ni de RCP, ni de fiche de bon suage de la HAS, ni de ATU ni de RTU.

D : L bvacizumab ne peut pas bénéficier d’une ATU pour le traitement des glioblastome en rechute car ce médicament a déjà obtenue l’AMM, il faut donc se tourner vers l’obtention d’une RTU.

E : L’hemmoragie est un événement iatrogène inévitable car elle n’est pas la cons »-équnce d’une erreur. Il faut donc la notifié à la pharmacovigilance.

(23)

Correction UE7 – Santé Publique

QCM 1 : DE

A. Taux de survie à 5 ans du cancer colorectal en 2007 : 63%. Taux de survie à 5 ans du cancer du sein en 2007 : 87%.

B. Taux de survie à 5 ans du cancer du poumon en 2007 : 17%. Taux de survie à 5 ans du cancer colorectal en 2007 : 63%.

C. La prévalence de l'obésité chez l'enfant est en augmentation jusqu'au début des années 2000 et en léger recul pour les plus jeunes (5-6 ans).

D. En 2012, la proportion d'accouchements multiples est de 17/1000 femmes ayant accouché.

E. En 2015, l'âge moyen des mères à l'accouchement était de 30,4 ans.

QCM 2 : CD

A. Avant l’âge de 65 ans.

B. C'est le cancer du sein.

C. Vrai, avec comme deuxième cause de décès les suicides.

D. Vrai, et pour les femmes de 65 ou plus, ce sont les maladies cardiovasculaires.

E. C'est l’hypertension artérielle sévère isolée qui a été retirée de la liste des ALD en 2011, la lèpre en fait toujours bien partie.

QCM 3 : ABDE

A. Vrai, voir définition dans le cours B. Vrai, voir définition du cours.

C. Faux, en 2013 le taux de dépense de protection sociale était de 33,8% et le taux de.

Socialisation des revenus était de 39%.

D. Il était de 39%.

E. Il était de 31,7%.

QCM 4 : BC

A. Il était de 57% du PIB.

B. La moyenne des pays de l'Europe est de 50% du PIB.

C. Vrai voir cours.

D. Elle était de 95,3% en 2014 et de 97,2% en 2015.

E. Faux, voir définition dans le cours.

QCM 5 : BCD

A. Faux : le tarif journalier date de 1983, la T2A établit le tarif des activités et finance les 5 domaines (cf. Item C).

B. Vrai : le PMSI classe les patients en groupe homogène de maladie et fait correspondre un T2A qui va classer les patients en groupe homogène de séjours hospitaliers.

C. Vrai : les GHS font partie des 5 financements rémunérés par le T2A liés à l'activité de l'hôpital (récapitulatif : les GHS, les actes externes/urgences/réa, les médicaments/DMI, les forfaits annuels urgences et les MIGAC.

D. Vrai.

(24)

E. Faux : plan hôpital 2007 pour le financement, c'est différent de la loi HPST 2009 qui ne concerne pas les finances.

QCM 6 : BE

A. Dépense Courante de Santé [au sens international] (2013) = Dépense Courante de Santé (National) -Indemnités Journalières - Une partie des dépenses de prévention (DCS

International : 10,9 % PIB) - Dépenses de recherche et de formation médicales + Certaines dépenses sociales (handicap/dépendance).

C. Faux voir définition de la DCS dans l'item A.

D. Faux voir la définition de la DCS dans l'item A.

QCM 7 : BD

A. Troisième poste derrière les soins hospitaliers et les soins ambulatoires.

B. 7,2% des dépenses.

C. 17,8% des dépenses.

D. 46,5% des dépenses.

E. 2,3% des dépenses.

QCM 8 : CDE

A. Elle est la plus élevée pour les soins hospitaliers.

B. Médicaments 66% et soins ambulatoires 63% donc plus faible pour les soins ambulatoires.

C. Environ 76,6% du financement.

D. Autour de 90% des dépenses.

E. Environ 66% des dépenses.

QCM 9 : AC

A. Effectivement ce gaz est inodore donc cela ne permet pas de le détecter.

B. Elle provoque 8000 intoxications par an ! C. Elle provoque 150 à 200 décès.

D. Au contraire elle concerne surtout les jeunes. 30% des intoxications ont lieu chez les moins de 14 ans.

E. 80% des intoxications ont lieu dans le nord de la France.

QCM 10 : ABDE

A. Les transports sont les principales sources mobiles.

B. Tels que le vent ou les UV.

C. Dans le cours on nous donne l'exemple du phénomène de cuvette.

D. Elle n'a pas d'effets directs chez le sujet sain.

E. Même si elle n'a pas d'effets directs elle augmente les allergies respiratoires.

QCM 11 : CE

A. Faux, d’après les cours 2015-2016 (pas dans les diapos cette année) 40 % des personnes âgées qui perçoivent l’APA vivent en établissement.

B. Faux, d’après les cours 2015-2016 (pas dans les diapos cette année) 696 000 personnes âgées de 60 ans et plus perçoivent l’APA.

C. Vrai, d’après les cours 2015-2016 (pas dans les diapos cette année) 20 % sont évalués comme très dépendants en groupe isoressouces (GIR) 1 ou 2.

(25)

D. Faux, moins de 12 % : en 2016, le taux de 75 ans et plus représente 9,1 %.

E. Vrai, en 2016, les moins de 20 ans représentent 24,5 %.

QCM 12 : BE

A. Faux, l’écart d’espérance de vie à la naissance, observé entre les hommes et les femmes, a actuellement tendance à diminuer. Cet écart a atteint 8 ans il y a environ 30 ans pour

diminuer.

B. Vrai, en 2016, elle est de 85,4 ans à la naissance.

C. Faux, en 2016, elle est de 79,3 ans à la naissance.

D. Faux, la prévalence de la perte d’autonomie/dépendance chez les personnes âgées de 60 ans et plus étant supérieure à 7,8 %.

E. Vrai, le nombre moyen d’affections ppersonnes âgées de plus de 75 ans est supérieur à 7,9.

QCM 13 : D

A. Le ticket modérateur est la partie des dépenses de santé qui reste à la charge du patient.

Donc c'est l'inverse, c'est la hausse du taux du ticket modérateur.

B. Cela relève de la régulation budgétaire.

C. Et non ! C’est un facteur lié à la demande. Le vieillissement de la population entraîne plus de consommation médicale et donc une demande accrue.

E. Cela fait partie de la régulation budgétaire : la fixation à priori d'un taux de croissance des dépenses avec sanctions ou reversement si dépassement.

QCM 14 : E

A. C'est de la régulation médicalisée.

B. L'efficience c'est choisir pour un même service rendu le moins couteux, l'efficacité c'est produire le plus de santé.

C. Et non justement, la loi des rendements décroissants démontre que le service rendu n'augmente pas forcément avec la quantité d'argent injectée dans le système de santé. (cf.

états unis).

D. L'économie de la santé a pour but : l'optimisation de l'allocation des ressources. Elle recherche un équilibre entre 3 objectifs : efficacité, équité, efficience.

QCM 15 : BCDE

A. Le risque relatif fait intervenir une notion de temps que l’étude épidémiologique transversale ne fait pas intervenir.

B. C’est le risque de développer une maladie sur une période déterminée (voir cours).

C. La mortalité = cas de décès/population totale.

D. Le taux d’attaque = nouveaux cas de maladies/ population à risque sur une courte période.

E. La prévalence = tous les cas de maladie/population totale et cas existant et la létalité = cas de décès/sujets malades.

QCM 16 : ABCDE

A. Il vise à traiter au plus tôt la maladie avant même quelle ne soit symptomatique dans certains cas.

(26)

C. Rapport de vraisemblance = (sensibilité)/ (1-spécificité) donc le rapport de vraisemblance augmente quand la sensibilité augmente.

D. Rapport de vraisemblance = (sensibilité)/ (1-spécificité) pas d’intervention de la prévalence.

E. Voir cours.

QCM 17 : BDE

A. FAUX : le Comité d'Hygiène et de Sécurité des Conditions de Travail doit être constitué dans les établissements d'au moins 50 salariés (cf. diapo 11 cours 2017).

B. VRAI : une des missions du CHSCT est l'amélioration des Conditions de travail (cf. diapo 11 cours 2017).

Pour information, les autres missions sont la participation à l'évaluation des risques professionnels, veiller à l'observation des prescriptions législatives et réglementaires, participer aux enquêtes AT/MP, peuvent solliciter d'autres compétences (appel à des experts...) et le devoir d'alerte en cas d'atteinte à la santé physique ou mentale des salariés liée aux conditions de travail.

C. FAUX : le CHSCT a un devoir d'alerte en cas d'atteinte à la santé physique ou mentale des salariés liée aux conditions de travail mais, la déclaration de l'inaptitude se fera par un médecin (diapo 11 cours 2017).

D. VRAI : Une des missions du CHSCT est le "devoir d'alerte en cas d'atteinte à la santé physique ou mentale des salariés liée aux conditions de travail" (diapo 11 cours 2017).

E. VRAI : Une des missions du CHSCT est de "participer aux Enquêtes concernant les AT (Accidents de Travail) et les MP (Maladies Professionnelles)" → toujours diapo 11 cours 2017.

QCM 18 : BCE

A. FAUX, les travailleurs exposés aux charges lourdes ont un suivi individuel « classique » concernant les salariés « HORS POSTE A RISQUE » car ce n'est pas un poste à risque particulier selon la diapo 21 du cours 2017.

B. VRAI : les postes qui exposent les salariés à des rayonnements ionisants sont considérés comme postes à risque particulier donc, nécessitent une surveillance médicale renforcée (diapo 21 cours 2017).

C. VRAI : Certes, les travailleurs handicapés n'exercent pas forcément un poste à risque mais, selon la diapo 19 (cours 2017), il y a une surveillance médicale "renforcée". En effet, la périodicité d'un suivi individuel classique est de 5 ans alors que le délai pour les travailleurs handicapés est de 3 ans.

D. FAUX : Selon la diapo 21 (cours 2017) ce ne sont que les agents cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction qui sont dénommés comme "Postes à risque particulier"

donc, cela ne concerne pas TOUS types de produits cancérogènes.

E. VRAI : l'exposition à l'amiante est considéré comme un poste à risque particulier donc, ces travailleurs bénéficient d'une surveillance médicale renforcée (diapo 21 cours 2017).

QCM 19 : ABC

A. Déficiences motrices : 13,4%

Déficiences sensorielles : 11,4%.

B. Forte disparité entre les sexes ; déficiences sensorielles H > F.

C. Au delà de 80 ans, on a 1 chance sur 2 d'avoir une déficience.

(27)

D. Gravité variable : les déficits moteurs sont majoritairement des incapacités modérées, seulement moins de 9% sont graves (hémiplégie, tétraplégie...).

E. Forte disparité entre les sexes : déficiences motrices F > H.

QCM 20 : BCD

A. Les MPDH sont sous la direction des Conseils Généraux.

D. CDAPH qui gère les champs du travail, de la vie en institution, des revenus, des différentes cartes et des prestations de compensation du handicap.

E. Elles sont gérées par le Conseil Général.

(28)

UE7 – SSH

Le troisième œil

Résumé (question 1) :

Au cours de l’évolution des espèces (1), certaines parties du corps ou des fonctions ont pu disparaître (0.75) ou être réattribuées (0.75). Par exemple, l’œil pinéal (1), ou troisième œil, servait autrefois aux prémammaliens (1), nos ancêtres (0.25), dans la régulation du cycle du nycthémère (0.75), de la reproduction (0.75) ou dans la régulation de la température du corps (0.75). Il a aujourd’hui disparu et ses fonctions ont été réattribuées à nos yeux (1), qui envoient l’information à la glande pinéale (1) via les nerfs optiques. Cette évolution est étudiée grâce aux fossiles (1). Cet œil pinéal n’a pas complètement disparu, puisqu’il est encore retrouvé chez les lézards.

(100 mots)

Question 2 :

Les arguments en faveur de l’existence d’un troisième œil sont multiples. Cet œil est souvent présent chez les vertébrés fossiles (2), tout particulièrement chez les prémmamaliens (0.5).

On retrouve quelques gènes dans notre ADN (2).

La glande pinéale (2) elle-même est un argument en faveur de l’œil pinéal. De plus elle assure les mêmes fonctions (1.25) (régulation du cycle nycthémère, reproduction, régulation de la température corporelle 3 x 0.75).

Question 3 :

L’évolution (1.25) est la transformation des espèces vivantes. Tout évolue, tout est instable.

Elle se manifeste par des changements génétiques et morphologiques (1.25) au cours des générations que se succèdent. Quelques indices nous permettent d’appuyer cette théorie :

- indices morphologiques (1.5) :

§ Os vestigiaux (0.5) des membres chez les balénoptères : les baleines sont des mammifères terrestres qui sont retournés dans l’eau.

§ Pièces buccales (0.5) des insectes qui sont très diverses en fonction de leur alimentation.

§ Modes de reproduction des reptiles et des oiseaux : ils pondent des œufs. Il reste aujourd’hui encore 5 espèces de mammifères qui pondent des œufs.

- Indices moléculaires (1.5) :

§ L’ensemble du vivant a le même outil de stockage de l’information : l’ADN (0.75) ! La même molécule fait l’unité de tous les êtres vivants.

§ Le code génétique (0.5) est universel (0.25).

§ Le séquençage des gènes fait apparaître des familles.

- Indices comportementaux (1.5) :

§ Conservation du comportement d’accouplement (0.5) chez les espèces parthénogénétiques (mode de reproduction monoparental, à partir d’un gamète femelle non fécondé).

Correction proposée par des tuteurs de SSH, ne correspond en aucun cas à une correction officielle faite par les professeurs du module SSH.

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UE8 - Recherche

QCM 1 : BC

A. C'est le Paclitaxel qui est présent en faible teneur dans l'écorce. Le Docétaxel est un intermédiaire de synthèse in vitro du Paclitaxel.

B. C'est vrai, voir diapo 24/40 du cours : on réalise 2 à 3 cycles d'assemblage / désassemblage, et on sépare la tubuline libre de la tubuline assemblée par ultracentrifugation.

C. Vrai, c'est le mode d'action du Paclitaxel, qui interrompt ainsi la mitose et la réplication cellulaire. Les taxoïdes se lient à la tubuline et favorisent son assemblage en microtubules.

D. Faux. A l'époque, de nombreuses molécules avaient été purifiées pour tenter de déceler de nouvelles molécules aux propriétés anti-cancéreuses. L'essai in vitro sur la tubuline n'a rien à voir. Il permet de tester l'effet des taxoïdes sur l'assemblage des microtubules.

E. Au contraire ils sont plus hydrosolubles.

QCM 2 : AD

A. Vrai, on parle de clonage non orienté quand on digère un vecteur (plasmide) et un ADNc avec une seule et même enzyme de restriction. Les extrémités seront toutes compatibles, et l'ADNc pourra alors s'insérer dans les deux sens : on pourra donc avoir un vecteur vide (qui n'a pas inséré l'ADNc), un vecteur sens (avec l'ADNc dans le sens du promoteur), ou un vecteur anti-sens (avec l'ADNc dans le sens inverse).

B. Faux, il comprend aussi ce qu'il y a avant et ce qu'il y a après.

C. Non car le site de clivage par HindIII est situé exactement au milieu de l'ADNc. Donc après clivage, la taille des segments obtenus sera la même, quelque soit l'orientation de l'ADNc dans le plasmide.

D. Oui car l'ADNc codant la résistance à la zéocine est précédé d'un promoteur eucaryote.

E. Non, l'interleukine n'est jamais retrouvée dans le noyau : sont ARNm est exporté dans le cytoplasme où il va y avoir traduction, et l'interleukine va finalement être secrétée par la cellule (en extracellulaire donc).

QCM 3 : ABDE

A. L'immunoempreinte ( = western blot) consiste à faire premièrement une séparation électrophorétique par masse moléculaire, puis un transfert sur membrane, et enfin de marquer par anticorps afin de repérer la présence des protéines d'intérêt.

L'Elisa permet un dosage spécifique et nécessite aussi des anticorps.

B. Oui, même si ils l'expriment en très faible quantité.

C.On trouve en effet de l'IL-8 dans les cellules modifiées (comme le montre la bande en immunoempreinte), mais elle est surtout secrétée (d'où le pic en Élisa)

D. Oui, (cf Immunoempreinte), et en même quantité que celles non modifiées

E. Oui car comme on constate sur la figure du QCM précédent, le plasmide transfecté contient un ADNc codant la GFP précédé d'un promoteur eucaryote. La GFP sera donc exprimée par ces fibroblastes en culture, et visible en microscopie à fluorescence.

QCM 4 : ADE

A. Vrai car il y a au niveau du plasmide deux sites de clivage par Pvu1, situés de part et

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B. Pour la transgenèse additive, on recueille des œufs fécondés.

C. Faux

D.Vrai car l'expression n'est pas spécifique d'un tissu.

E. Vrai car il y a présence d'une séquence codant un peptide signal de sécrétion sur l'ADNc.

QCM 5 : AB

C. D. E : Ce n’est pas suffisant il faut que ce soit aussi sans risque chez l’Homme.

QCM 6 : BE

A. Pas de modification post traductionnelle chez les procaryotes.

C. Le sel stabilise les liaisons hydrophobes. L’élution est réalisée par diminution de la force ionique.

D. C’est une méthode très résolutive permettant de séparer des protéines de structures très proches (ex : séparation d’une protéine avec phosphate d’une sans)

QCM 7 : BCE

A. L’electrophorèse ne permet pas la purification mais seulement de séparer les protéines par taille.

B. pH = 8 > pI = 4,5 donc la protéine est chargée négativement. Une colonne échangeuse d’anion veut dire que la résine est positive donc la protéine pourra se fixer.

C. Le trimère sortira avant le monomère.

D. Ce ne sont pas des liaisons covalentes sinon on ne pourrait pas les décrocher.

QCM 8 : BDE

A. l’analyse de MDM2 dans les lysats montre bien dans la bande « anti-MDM2 » qu’il n’y a pas la même quantité de MDM2 dans les deux conditions expérimentales vu que la bande avec irradiation possède un taux plus élevé de MDM2 vu que la bande est plus épaisse. Il faut regarder l’actine.

B. VRAI : en comparant les lysats avec et sans irradiation dans la ligne avec « anti-P53 » on observe que la bande est plus épaisse avec irradiation donc que les UV induisent une augmentation de l’expression de P53.

C. FAUX : lors de l’immunoprécipitation, le fragment Fab de l’anticorps anti-MDM2 reconnaît la protéine MDM2 qui sera ou non accrochée à la protéine p53.

D. VRAI : en observant dans les immunoprécipitats des cellules non irradiées, on note la présence à la fois de la protéine p53 et de la protéine MDM2 par présence de bandes dans les deux lignes. Les deux protéines interagissent donc entre elles.

E. VRAI : dans les immunoprécipitats des cellules irradiées on note la disparition de la bande pour la protéine p53 elle n’interagit donc plus avec la protéine MDM2.

QCM 9 : ADE

A. VRAI : en effet d’après le texte les deux AC utilisés proviennent de la souris donc de la même espèce ce qui correspond à l’isotypie.

B. FAUX : le paratope correspond à la partie de l’AC qui reconnaît l’épitope. Les deux AC utilisés ne reconnaissent pas la même chose, l’un est contrôle et l’autre dirigé contre le CMH- 1 donc les deux AC n’ont pas le même paratope.

C. FAUX : le fragment Fab contient le paratope qui reconnaît l’épitope ; comme pour la question précédente les deux AC ne reconnaissent pas la même chose donc ils n’ont pas le

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même fragment Fab.

D. VRAI : d’après le texte, les souris utilisées pour produire les deux AC différents possèdent le même fond génétique donc les deux AC utilisés ont le même déterminant allotypique.

E. VRAI : d’après la cytométrie du mélanome B, l’IgG anti CMH-1 est présent ce qui n’est pas le cas pour le mélanome B. Cet IgG reconnaît spécifiquement le CMH-1 donc seuls les mélanomes B expriment le CMH-1.

QCM 10 : ABDE

A. VRAI : en observant la première colonne (IgG contrôle) correspondant à l’absence

d’inhibition de la population lymphocytaire, le mélanome B exprime d’avantage la caspase 3 active ce qui est un signe d’apoptose donc les cellules sont sensibles à l’apoptose induite par les lymphocytes T.

B. VRAI : les IgG anti-CD8 ciblent spécifiquement les lymphocytes T exprimant le CD8. L’ajout de complément entraîne une destruction et la mort des lymphocytes T par les IgG.

C. FAUX : en observant les colonnes avec ajout d’IgG contrôle et IgG anti-CD4, on observe des résultats similaires donc on ne peut pas conclure que l’IgG anti-CD4 induit la mort des

cellules de mélanome puisque même en son absence les cellules de mélanome B meurent.

D. VRAI : on observe qu’en présence d’IgG anti-CD8 (ce qui fait disparaître les LT CD8) les caspases ne sont pas activées donc l’apoptose ne se fait pas alors qu’en présence d’IgG contrôle (présence de LT CD8) les caspases sont activées pour le mélanome B donc les LT CD8 sont capables de tuer les cellules de mélanome B.

E. VRAI : comme la question précédente, la caspase 3 n’est pas d’avantage activée pour l’IgG contrôle ‘présence de LT CD8) que pour l’IgG anti-CD8 (absence de LT CD8) pour le

mélanome A donc on peut conclure que les LT CD8 n’activent pas la caspase 3 dans les cellules de mélanome A.

QCM 11 : ABDE

A. VRAI : en comparant les deux traits en pointillés on observe que le mélanome B a une croissance augmentée chez les souris CDK8 KO (tableau de droite) par rapport aux souris sauvages (tableau de gauche).

B. VRAI : en regardant le tableau de gauche uniquement (souris sauvages), le mélanome A possède une croissance tumorale significativement supérieure à celle du mélanome B d’où le symbole « * ».

C. FAUX : c’est le contraire, en absence de CD8 la croissance tumorale est plus importante donc le CD8 inhibe la croissance tumorale des cellules de mélanome A.

D. VRAI : en comparant les deux schémas, le mélanome B se développe moins bien chez les cellules sauvages donc qui possèdent un lymphocyte T exprimant le CD8.

E. VRAI : c’est une hypothèse, les deux mélanomes ne croient pas à la même vitesse chez les souris sauvages ce qui pourrait être lié à une différente sensibilité.

QCM 12 : C

A. Les siRNA empêchent la traduction, et non la transcription du gène

B. Le marquage à l’iodure de propidium (IP), est caractéristique de la nécrose cellulaire C. Augmentation du marquage IP après incubation avec le TNF (tumor necrosis factor) D. Faux, les cellules siRNA TNF-R2 (sans le récepteur 2), sont quand même capable d’activer cette voie, alors qu’avec les siRNA TNF-R1, les cellules en présence de TNF ne nécrosent pas.

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QCM 13 : BD

A. L’excès énantiomérique (ee) du b : 150 000 => 100 % ee soit 50 000 => 33,3 % (1/3 de b qui correspond à S)

B. Rapport énatiomérique : avec E(-) + E(+) = 100 % on a E(-) - E(+) =33,3 % donc on a 2E(-) = 133,3 % soit E(-) = 66,6 % et E(+) = 33,3% donc 66,6 / 33,3 = 2 donc on a 2S : 1R

C. Le pouvoir rotatoire de la solution b) est de -10°g/ml/dm, car ee= 1/3 donc 1/3 du pouvoir rotatoire de la solution a

E.150 000 comme la solution a), qui est son énantiomère QCM 14 : ACD

B. La polarimétrie permet de quantifier la proportionner de chaque énantiomère, pas leur résolution

C. Vrai compensation intermoléculaire des deux énantionmères D. Avec -150 => 100 % ee on a -142,5 => 95% ee

E. Aucun rapport !!!!

QCM 15 : BCD

A. faux, il est obtenu à partir d’un réactif achirale par synthèse asymétrique

B. Le DiPAMP est l’auxiliaire de chiralité (donc chorale) qui va permettre la synthèse C. Notation sens inverse des aiguilles d’une montre => S

D. La stéréochimie du produit dépend de celui de l’auxiliaire de chiralité

E. La stratégie de dédoublement est la séparation des énantiomère par la formation d’intermédiaires diastéréoisomérie

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