• Aucun résultat trouvé

View of Premières questions

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "View of Premières questions"

Copied!
11
0
0

Texte intégral

(1)

PREMIÈRES QUESTIONS

Benoît P

EETERS

/ Jan B

AETENS

Jan, tu es la discrétion incarnée. On ne sait de toi que peu de choses, en dehors de ta bibliographie si riche et si diverse. Peux-tu évoquer ton éveil à la littérature et aux images,

pen-dant l’enfance et l’adolescence ?

La distinction entre « littérature » et « images », s’agissant des premières rencontres avec le monde de l’imaginaire, est peut-être un rien artificielle. Mes premières lectures étaient fort illustrées et la pratique du récit, outil essentiel de l’en-seignement d’antan, était déjà passablement hybride, pour utiliser un terme un peu anachronique. Je me rappelle très vivement par exemple une lecture à haute voix des Voyages

de Gulliver que le maître faisait en accompagnement d’une

série de diapositives, ou vice versa. Né en 1957, je fais aussi partie de la génération qui a vu entrer la télévision dans la vie quotidienne, même si mes parents n’étaient pas parmi les premiers acquéreurs d’un appareil. Or si j’ai peu grandi avec la télévision avant l’âge de douze ans, j’ai toujours lu énormément de bandes dessinées, qui voisinaient de plu-sieurs manières avec l’univers des livres, parfois très littéra-lement comme dans les livres d’aventures pour la jeunesse qui mélangeaient texte et bande dessinée, chaque chapitre étant suivi par un bref résumé sous forme dessinée. En

(2)

gé-néral, la culture de ces années-là était déjà incroyablement transmédiatique. Les mêmes personnages, les mêmes scé-narios, les mêmes situations, les mêmes décors passaient librement de la page à l’écran, mais aussi des cahiers d’école aux vitrines des magasins ou de la publicité aux dessins animés.

Toutes ces lectures et toutes ces images étaient « popu-laires ». C’étaient ce qu’on appelle des fictions de « genre » : romans de cape et d’épée, superhéros « réalistes » liés au monde du sport, romans historiques, westerns, avec Karl May occupant la même place que Jules Verne dans la culture francophone, enfin des romans policiers, mais aussi, et je n’en ai pas honte, romans-photos (de ma mère), voire romans pour jeunes filles (de ma sœur), le tout mélangé avec un amour très précoce du cinéma, grâce aux matinées offrant des programmes spécifiques pour les enfants. J’ai ainsi des souvenirs très forts de ma toute première visite à une vraie salle de cinéma, avec au programme un mélange de burlesques et de Charlot. Le trait commun à toutes ces lectures était sans conteste le divertissement. Ce qui comptait était mon plaisir, et rien d’autre. Mon ennui était monumental chaque fois qu’on essayait de me faire lire un livre « sérieux », en guise de transition vers la « vraie » litté-rature, que personne évidemment ne songeait à me mettre entre les mains. Bref, de douze à seize ans, si j’ai beaucoup lu, et toujours avec passion, je n’ai rien lu de « sérieux » (selon les normes de l’époque bien entendu).

Puis tout a basculé, quasiment d’un jour à l’autre, et il m’est possible de mettre un nom sur cette révolution : Faulkner. Mais de telles ruptures sont toujours fallacieuses. En fait, le bouleversement que m’a apporté le premier

(3)

Faulk-ner découvert un peu par hasard (c’était L’Intrus, et j’avoue que n’y comprenais pour ainsi dire rien, tout en étant fas-ciné par la soudaine révélation qu’une autre forme de lire et donc de vivre était possible), était préparé de longue date par les cours de latin et de grec, qui constituaient l’es-sentiel de ma filière, depuis longtemps enterrée, à l’école secondaire. En effet, autant l’enseignement littéraire des langues vivantes était décevant (aussi stérile que l’initiation « didactique » au cinéma comme « porteur de messages »),

autant l’apprentissage du latin et du grec s’appuyait sur les grands textes, très différents de la littérature bien-pensante, soi-disant adaptée à notre âge, qu’on nous servait dans d’autres cours. Cette expérience des classiques a été déci-sive. C’était à la fois une initiation à la vraie vie (avoir lu Homère et Tacite à seize et dix-sept ans est quelque chose qui me laisse des traces jusqu’à aujourd’hui) et la prise de conscience d’une difficulté ou plus exactement d’un défi interminable (car on lisait les classiques « dans le texte » et chaque vers, chaque phrase me forçait à me rendre compte de mes propres limites). J’ai dû me faire très vite à la na-ture profondément ambivalente de toute création, à la fois écueil et tremplin : le fait de ne pas tout comprendre, puis la certitude qu’il serait impossible de jamais venir à bout de toutes les énigmes d’un texte, enfin l’incitation à s’y lancer quand même, qu’il s’agisse de Faulkner ou de Tacite, sont toujours restés au cœur de mon contact avec les œuvres (et sans doute aussi les langues).

Ta langue maternelle est le néerlandais. Quelles ont été, tous genres confondus, tes premières lectures marquantes dans cette langue ?

(4)

Comme je l’ai dit, d’abord rien que des « bêtises », mais qui m’ont sûrement formé, avec en tête les westerns, puis les romans policiers (souvent des traductions, probable-ment pas toujours très bonnes). Un des héros de mon ado-lescence était Edgar Wallace, aujourd’hui quasi oublié mais à l’époque aussi populaire qu’Agatha Christie, que j’ai éga-lement beaucoup pratiquée. En bande dessinée, j’étais peu attiré par Tintin, trop sérieux et réaliste à mon goût, mais je connaissais par cœur la totalité de la production de l’écu-rie Vandersteen, dont la sél’écu-rie western Bessy. Contemporain de ma découverte de Faulkner, mon passage à la littérature adulte en langue néerlandaise fut relativement bref, sauf pour ce qui est de la poésie. En prose, je me suis tourné relativement vite vers le roman français (le roman, pas la poésie). En poésie, par contre, j’ai toujours continué à lire et à suivre la production en néerlandais, que je crois être d’un niveau international (pour la prose, j’en suis moins sûr). Cela dit, comme mes connaissances en littérature néerlandophone (flamande aussi bien que néerlandaise, les deux domaines étaient beaucoup plus séparés qu’on ne se l’imagine à l’étranger) restent malgré tout assez limitées, mes lectures sont ici très classiques et sages. Oui, Gezelle ; oui, Van Ostaijen – avec dans le cas de ce dernier l’amer regret de la traduction ratée, par Maurice Carême, de ce qui est pour moi un des plus beaux poèmes de la littérature flamande, « Le vieil homme ».

Quand et comment ton amour de la langue française t’est-il venu ? Par l’école, par des proches, par des lectures ?

(5)

Je crois qu’ici il faut donner une réponse « collective ». Certes, il y a eu des éléments très personnels qui ont joué un grand rôle, essentiellement ma découverte du Nouveau Roman (à travers un essai en langue néerlandaise !), qui a décidé de mon choix d’études. Mon grand rêve était de devenir archéologue (le livre de chevet de mes 12-15 ans était Des dieux, des tombeaux, des savants de C.W. Ceram), mais les Nouveaux Romanciers m’ont fait dévier vers la littérature française. Je me suis inscrit à l’université avec la ferme idée de faire un mémoire sur Claude Simon (c’est finalement devenu un travail sur Pinget, plus précisément sur son roman Passacaille). Mais ces éléments quasi privés ne doivent pas faire écran à quelque chose de plus fonda-mental, sans quoi mon évolution personnelle n’aurait pas été possible. J’ai grandi en effet dans une sorte de « monde d’hier », pour détourner le titre (et le livre superbe) de Stefan Zweig, un monde où la présence du français était encore très forte, même dans des milieux strictement néer-landophones, loin de Bruxelles. Dans la Flandre de ces an-nées-là, personne ou presque n’était anti-francophone : la chanson française était sur toutes les ondes, mes parents étaient abonnés à Paris-Match, on regardait régulièrement la RTBF (voire « Lille », ancien nom de France 3, où l’on donnait des matchs de catch le samedi soir !), lire un jour-nal francophone de temps à autre était considéré normal, faire des études de français n’avait rien de déshonorant, la « grande » culture n’était pas encore anglo-saxonne mais française, et en général les contacts avec les Belges franco-phones, qui pratiquaient peu le néerlandais (aujourd’hui on dirait que c’est l’inverse !), étaient fréquents et natu-rels, notamment dans le contexte des vacances, du service

(6)

militaire, mais aussi des relations familiales (dans la plu-part des familles il y avait des couples linguistiquement mixtes). Aujourd’hui, il ne reste strictement rien de tout cela, mais à l’époque l’ouverture à la culture, à la langue et, « logiquement », à la littérature françaises était, je le répète, parfaitement naturelle. J’ai fait un petit pas de plus en commençant à écrire aussi en français, mais j’étais loin d’être une exception. Aujourd’hui, beaucoup de jeunes s’expriment, travaillent, écrivent « spontanément » en an-glais, moins par choix conscient que par simple imprégna-tion, et je crois que mon amour du français s’explique aussi par le relatif bilinguisme implicite dans lequel j’ai été élevé, comme tant d’autres je le répète. Certes, il y a eu d’autres éléments, mais on se trompe toujours en mettant trop l’ac-cent sur les considérations proprement privées.

Alors que tant d’écrivains sont monolingues, tu te promènes avec aisance entre les langues. L’anglais et l’espagnol ont-ils beaucoup compté dans ton éveil littéraire ?

Euh, je ne trouve pas que je me promène avec « aisance » entre les langues. Toutes proportions gardées, je me trouve face aux langues vivantes que je pratique comme je me trouvais face au grec et au latin, avec un mélange de per-plexité, d’angoisse et de gratitude. J’ai toujours pensé que c’est un immense privilège d’avoir accès à d’autres langues, si lacunaire qu’en soit ma connaissance (j’accepte ces li-mites parce que je ne crois pas qu’il soit possible pour moi de jamais « vraiment » maîtriser une langue, quelle qu’elle soit : le néerlandais que j’écris, par exemple, est quelque chose qui a toujours fait s’esclaffer mes collègues hollandais

(7)

dans les années où j’ai travaillé aux Pays-Bas). Il est vrai que ces langues, sans pour autant « se contaminer » l’une l’autre, car je ne suis pas un inconditionnel du franglais, communiquent fortement sur le plan littéraire. Je trouve donc dans la poésie de langue anglaise des tons, des thèmes, des styles qui font défaut en français, notamment pour des raisons proprement linguistiques (l’anglais a davantage de mots monosyllabiques, ce qui change « tout » en poésie, de même cette langue a aussi un vocabulaire plus riche ; par contre le français a une architecture syntaxique à laquelle je suis très sensible, et ainsi de suite ; quant à l’espagnol, il continue à me faire rêver de la langue qui a tout mis en marche, le latin – et qui pour moi n’était pas seulement une langue, mais aussi une réalité matérielle, une langue inscrite dans les pierres des collections archéologiques qui m’ont toujours fasciné).

Ce qu’on appelait la modernité, en France, dans les années 1970 a joué un grand rôle dans ton parcours. Il y eut Robert Pinget, auquel tu consacras ton travail de fin d’études, puis Jean Ricardou, le Renaud Camus des « Églogues » et quelques

autres.

Je ne sais plus très bien quel fut le premier Nouveau Ro-man que j’ai lu. Peut-être Les Gommes. Peut-être La

Modi-fication. Peut-être La Route des Flandres. C’était un choc du

type Faulkner, mais au carré. En tout cas, la fiction a précé-dé la théorie, littéraire et autre, qui m’a également passion-né. Et plus tard sont venues des œuvres qui brouillaient les frontières entre théorie et fiction. Tout cela n’existait pas en langue néerlandaise (du moins pas à ma connaissance)

(8)

et mon émancipation intellectuelle (disons plus modeste-ment : mon désir d’émancipation intellectuelle) n’aurait jamais été possible sans l’aide de ces penseurs et créateurs, auxquels il faut ajouter aussi les cinéastes de la Nouvelle Vague (Godard, Antonioni). Aujourd’hui mes goûts ont inévitablement évolué (davantage en littérature qu’au ci-néma, d’ailleurs), mais il serait malhonnête de me désoli-dariser de ce qui a eu pour moi une importance capitale. Sans les noms que tu cites et beaucoup d’autres, je n’aurais jamais eu le courage de mettre à écrire. La leçon essentielle de ces écrivains, au-delà des qualités intrinsèques de leur travail, était de montrer qu’il était possible de « construire » un texte ou une œuvre, c’est-à-dire de dépasser la phase juvénile d’un « quelque chose à dire » (et je me suis long-temps demandé si j’avais vraiment quelque chose à dire) au profit d’un « quelque chose à faire » (la formule, heureuse, est de Jean Ricardou). Je crois aujourd’hui qu’il est impor-tant d’avoir quelque chose à « dire », mais pas en dehors d’une certaine charpente préconstruite.

Par-delà toutes les remises en cause, le roman est resté le genre majeur pour beaucoup d’écrivains. Mais pour toi, à côté de l’essai, c’est la poésie qui s’est imposée. Depuis quand en lisais-tu et quelles étaient tes références majeures de ce côté ?

À vrai dire, la poésie a été pour moi une vocation plutôt tardive. J’ai publié mon premier recueil à presque quarante ans et pendant de très longues années mes lectures étaient tournées presque exclusivement vers la prose. Cela dit, certains de ces textes en prose, tout « anti-poétiques » qu’ils pouvaient être, me procuraient souvent des expériences de

(9)

type poétique – et je n’entends pas par là quelque chose de « flou » ou de « vague », ni de « profond » ou que sais-je, mais un travail sur la langue produisant un maximum d’effets avec un minimum de moyens. En ce sens, La

Ja-lousie de Robbe-Grillet est un texte éminemment poétique

(au même titre, par exemple, que les meilleurs textes en prose d’un Larbaud ou d’un Fargue, par ailleurs excellents poètes). Au début, mon évolution de la prose à la poésie tenait sans doute à quelque chose de très stupide, à savoir la difficulté de « construire » un véritable roman. Je ne m’en sentais ni la force ni les moyens et la poésie, qui n’est évi-demment pas plus facile que le roman mais qui demande un autre type d’effort et d’organisation, me paraissait le seul moyen de réellement « finir » quelque chose. C’est donc en essayant d’en écrire que le goût de la poésie m’est venu, pour ne plus me quitter. Mais il y a poésie et poésie et je suis loin d’aimer la poésie « en général » ou de manière exclusive. Mes préférences sont éclectiques, mais fortes (je veux dire par là : les textes que j’aime me donnent l’im-pression qu’ils ont vraiment changé ma vie). Ponge, Eliot, Queneau, Williams, par exemple, et aujourd’hui Alferi ou Hocquard – mais pas toujours « tout » de ces auteurs : en poésie, on a le luxe de pouvoir être sélectifs et je ne m’en prive pas.

Dans tes premiers recueils et dans de nombreux textes théo-riques, l’idée de contrainte a joué un rôle déterminant. On se souvient notamment de la revue Formules. Les contraintes – au sens formel, quasi oulipien du terme – comptent-elles

(10)

Oui et non. Aujourd’hui, l’écriture à contrainte ne me sert plus de moteur, comme elle l’a fait au début, quand il me fallait vraiment un tel support, oserais-je dire une telle béquille, pour oser me lancer. Sans l’exemple de la mouvance oulipienne, je ne serais jamais parvenu à pro-duire quelque chose et ma reconnaissance à son égard reste intacte. Mais très vite j’ai fait un usage plutôt libre de la contrainte, que j’ai toujours vu comme un moyen, non comme une fin en soi. Plus tard encore, je me suis senti suffisamment confiant pour aller vers d’autres types d’écriture. Toutefois, et c’est peut-être le résultat le plus durable de mon passage par la contrainte, je me méfie de toute forme de spontanéité ou d’authenticité. Du moins en ce qui concerne ma propre écriture, ces mots sont sy-nonymes de trivialité. Je sais que rien de valable ne peut résulter d’un travail d’écriture sans travail, c’est-à-dire de préparation solide et de multiples réécritures et corrections. Il faut continuer à faire ses gammes avant de s’y mettre et ne jamais accepter de premier jet. Même après avoir re-noncé à l’esthétique de la contrainte, il ne me viendrait pas à l’esprit de me mettre à écrire « comme ça ». Il me faut un vrai projet, une réflexion sur la forme à adopter, une série d’essais et de repentirs. Ces lenteurs, ces artifices, ces détours n’interdisent nullement l’émotion, qui dans mon cas doit être celle du lecteur, non la mienne. Et au fond, mon amour profond de la poésie, même la plus lyrique qui soit, vient peut-être de là : à la différence de ce qui se passe en prose, le « je » d’un texte poétique cesse d’être celui de l’auteur pour devenir celui du lecteur – et tel est bien mon rapport idéal à la littérature : on n’écrit pas uniquement

(11)

pour soi, mais pour se faire relayer par quelqu’un d’autre, qui devient le nouvel auteur du texte.

Ton travail a croisé multiplement les images, comme pro-fesseur, essayiste et écrivain. Tu as écrit sur (et avec) la bande dessinée, la photographie, le cinéma. Quel est pour toi le sens de ces compagnonnages ?

Je suis éclectique en matière de littérature mais tout au-tant dans le domaine de l’art en général. Ici encore, les cloi-sonnements sont moins stricts qu’on ne le dit parfois. Mon approche de la littérature est par exemple très marquée par mon intérêt pour la dimension visuelle de la chose écrite : sans être bibliophile, je me sens très attiré par une belle mise en pages, éventuellement de belles illustrations, beauté signifiant ici « justesse » (et en cela, un « beau livre » n’est pas un livre « cher », mais un livre dont tous les éléments s’accordent bien les uns aux autres – certains volumes de la collection de semi-poche L’Imaginaire touchent pour moi à cette perfection). Inversement, les images sont pour moi aussi des objets littéraires. Non seulement parce qu’elles sont souvent à même de faire naître un désir de récit ou de commentaire, mais aussi parce qu’elles se prêtent à des analyses mettant en jeu des outils et des critères textuels. L’image est parfois la preuve par neuf de certaines règles ou hypothèses littéraires. Mais ici encore, la part du plaisir est capitale (ce n’est sans doute pas un hasard si j’utilise régu-lièrement des mots comme « beau » ou « beauté »).

Références

Documents relatifs

Domaine 1 : les langages pour penser et communiquer Domaine 2 : les méthodes et outils pour apprendre Domaine 3 : la formation de la personne et du citoyen Domaine 4 : les

Now Scottish citizens, many of them long resentful of what they see as English cultural, political, and economic dominance, are set to vote in a 2014 referendum to decide

Il faut pour cela en comprendre la structure et non pas vouloir plaquer à tout prix des mots de liaison quand ceux-ci sont superflus, voire contre- productifs.. Outre

Des jeunes filles du village, Penda était la plus belle et, loin de se montrer difficile, comme chacun pouvait s’y attendre, elle ne demandait qu’à trouver un mari, car elle

03/2018 25th International Conference of Europeanists, Chicago Communication : ‘When soft law matters: understanding changes in EU instruments and domestic

Encyclopaedia  of  Occupational  Health  and  Safety... Martindale:  The  extra

Au contraire de ce qu’on peut dire de l’anglais, on peut parler pour le français d’une domination du masculin 10 étendue (les genres dit masculin et féminin concernent

commerce de détail de cacao, chocolats et produits de confiserie ; autres commerces de détail alimentaires en magasin spécialisé ; commerce de détail de carburants