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Structuration sociale et spécialisation des tâches dans les Terramares (Italie).

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Noëlle Provenzano

S tru c tu ra tio n sociale

des tâches dans les

Noëlle Provenzano (UMR 5594 - Archéologie, cultures et sociétés, Université de Bourgogne)

La culture terram aricole im plantée en Italie septentrionale au Bronze M oyen e t Récent (XVIIe - d é b u t XIIe siècle av. J.-C.) a longtem ps été considérée co m m e une société égalitaire à assise territoriale, essentiellement en raison d e l'uniformité d e l'organisation des habitats e t de l'absence de différenciation dans les rites funéraires. Or, les travaux des ces dernières années c o m m e n ce n t à m ettre en lumière un paysage social b e a u co u p plus complexe, a v e c l'affirm ation croissante, à partir de la fin du Bronze m oyen, d 'u n e structuration sociale hiérarchisée p e rm e tta n t d'organiser e t de contrôler les activités d'intérêts communs.

Le paysage socio-politique

Les terram ares se sont im plantées sur un territoire quasiment vide d 'o c c u p a tio n , En l'espace de quelques générations, la plaine p a d a n e va être o c c u p é e par un dense réseau d e villages (distants en m oyenne de 5 km), colonisation et déforestation a c c o m p a g n a n t une fo rte a u g m e n ta tio n d é m o g ra p h iq u e . Ces hab ita ts ré p o n d e n t à un m odèle structurel très hom ogène, typique d e la c ulture des Terramares : d é ve lo p p é s sur 2 à 3 hectares maximum, les villages sont ceinturés d'un talus, d 'u n e palissade e t d 'u n fossé. À l'intérieur, on ne note aucune différenciation entre les habitations. En revanche, l'esp ace interne des villages est organisé a v e c l'im p la n ta tio n orthogon ale de ruelles e t la p la n ific a tio n des espaces com m uns (aires de battages, d e p a rc a g e des animaux, greniers, ...).

Après c e tte p é rio d e d 'im p la n ta tio n e t d'a ffirm a tion, les terramares vont continuer à se d évelop per de manière très im portante avec des changem ents conséquents.

Tout d 'a b o rd une profonde réorganisation des habitats va a c c o m p a g n e r une co n tin u e lle croissance dém ographique. Avec une rupture de l'h o m o g é n é ité des dimensions, les établissements v o n t être régulièrem en t restructurés e t agrandis jusqu'à décupler, Une série d e petits villages va disparaître alors q u e d 'a u tre s sites nouveaux apparaissent. De grands sites (co m m e celui d e Castione Marchesi qui atte in t 14 hectares) semblent assumer un rôle majeur, d 'a u tre s établissements (entre 1 e t 3 hectares) jou e n t un rôle secondaire, sans d o u te dépen dants des sites principaux.

Au cours du Bronze R écent (BR), la hiérarchisation du territoire s 'a c c e n tu e a v e c l'intensification d e l'o c c u p a tio n des sites d e hauteur en position d e c o n trô le stra té g iq u e d e vastes territoires e t d e voies com m erciales. Diverses terramares (Case C oconi-C am pegine, S. Rosa di Poviglio) laissent entrevoir égale m e n t l'im plantation d 'u n e organisation agraire com plexe a v e c contrôle hydraulique, Enfin, les échanges connaissent une forte impulsion, que l'on note, entre autres, au travers du matériel m étallurgique ou de l'am bre, mais aussi au travers de la diffusion de modèles apenniniques (peu nom breux) e t subapenniniques au XIIIe siècle.

On a égale m e n t dans une partie du territoire des indices d e co n ta cts a v e c le m onde mycénien.

Enfin, la diffusion des systèmes pondé ra ux m ontre un de g ré a v a n c é d e formalisation dans le dom aine des échanges, au moins pour certaines classes d e matériel.

Les premières phases du Bronze Moyen, au m om ent d e l'affirm ation des terramares, tém oignen t d 'u n d é ve lo p p e m e n t dém ograp hique exponentiel.

L'extraordinaire q u a n tité e t h o m o g é n é ité des

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Spécialisation des tâches e t sociétés

habitats suggèrent un investissement d e la c o m m u n a u té dans un travail c o lle c tif pour leur construction mais é galem en t pour leur entretien. Par ailleurs, on note la présence de sites frontières en positions opposées sur les rives des fleuves et une série quasi ininterrom pue d 'h a b ita ts sur le p ié m o n t apenninique, en position d e défense e t de contrôle du territoire padan. Tous ces aspects indiquent une société d e typ e com m unautaire, mais déjà organisée sur une base territoriale (d o n c a v e c un système politique qui réunit d é jà un certain nom bre de villages). Mais, en raison d e l'h o m o g é n é ité a p p a re n te des sites, il ne semble pas qu'il y ait déjà une organisation territoriale d e type hiérarchique, m êm e si quelques villages co m m e n ce n t à assumer un rôle particulier pa r la présence d e quelques productions artisanales spécialisées.

Le term e d e com m unautaire ne signifie pas pour a u ta n t société simple ou privée d e to u te différenciation sociale interne. On dispose, pour le Bronze moyen, d e quelques tém oignages d'artisanat spécialisé e t d'é lém ents d e prestige co m m e les éléments d e harnachem ent, l'am b re ou les boutons d e faïence. Mais les données les plus notables in d iq u a n t une d iffé re n c ia tio n sociale é ta b lie proviennent des inhumations. Au sud du Pô, toutes les sépultures sont à crém ation e t n 'o n t fourni quasiment aucun mobilier funéraire, c e qui a longtem ps fait penser à une société égalitaire. En fait, il s'agit d'u n réflexe du m o n d e sym bolique e t non d 'u n e représentation du m onde réel. Au nord du Pô, zone qui p a rtic ip e d e la m êm e culture p a la fittic o - terram aricole mais où les rites funéraires sont mixtes, les nécropoles de Povegliano Veronese e t de Olmo di Nogara o n t livré, des tom bes de guerriers a ve c épées et poignards et des tom bes féminines a ve c épingles e t fermoirs en bronze e t des têtes d 'é p in g le en ambre. Ces éléments dém ontrent le statut social élevé d e certains individus, élites néanm oins enterrées au milieu des plus humbles.

Les terramaricoles du Bronze Moyen 2 (BM2) sont d o n c organisés en société com m unautaire de ty p e tribal. Ils vo n t d é v e lo p p e r une d ynam ique historique assez com plexe qui les portera à la fin de leur histoire au seuil d 'u n autre m ode d'organisation e t de production, mais qu'ils ne rejoindront jamais pleinem ent. Les mutations intervenues au Bronze R écent m e tte n t en é v id e n c e une société plus com plexe d e type chefferie évoluée : form e de hiérarchisation e t d'organisation évoluée du territoire, présence d e système d e parcellaire agraire et de form e d e co n trô le hydraulique, existence d 'u n e p ro d u c tio n artisanale a rticu lé e e t com plexe, attestation de systèmes pondéraux codifiés...

Organisation de la production et spécialisation des tâches

Peu d e travaux o n t é té m enés sur c e tte problém atique e t les données d o n t on dispose sont pour l'instant assez inégales e t souvent insuffisantes.

Du Bronze Moyen au Bronze Récent, on assiste à une production générale de plus en plus e ffic a c e et organisée. Si on arrive à déterm iner un certain nom bre d e productions spécialisées, on est encore loin d 'a p p ré h e n d e r la structure e t l'organisation de ces productions. On en est d o n c souvent pour l'instant au stade des hypothèses que l'on cherche à valide ou à affiner. Le grand trait général que l'on reconnaît est une intensification e t une plus grande e ffica cité des productions, du BM2 vers le BR.

Au BM2, on a essentiellement une production dom estique qui va s 'a cco m p a g n e r peu à peu d'u ne surproduction d e type spécialisé. Les seuls cas de productions spécialisées avérées sont les productions métalliques e t lithiques. Les objets en bronze sont très peu nombreux à c e tte période : ch a q u e site a livré un très p e tit nom bre d'o bjets e t seules quelques terramares (Castione Marchesi, M ontale) tém oignent d 'u n travail in situ par la présence d e moules de fusion e t d e scories. Q uant aux productions lithiques, elles d é m o n tre n t e ffe c tiv e m e n t une hyper­

spécialisation, puisqu'elles ne concernen t plus que deux types d'o bjets : les pointes d e flèches e t les éléments d e faucille. Mais ces productions ne sont pas le fa it des terramaricoles, elles sont fournies par les ateliers véronais du M onte Lesini e t les terramares ne sont plus que des clients.

Les productions spécialisées du Bronze Récent sont en revanche b e a u co u p plus nombreuses e t plus affirmées : elles sont attestées dans la métallurgie, dans la céram ique, dans le lithique, dans les matières dures animales e t dans le tissage. Ce sont là des dom aines pour lesquels on est sûr d 'a v o ir au moins en partie une production spécialisée. Il est évident qu'il d e va it y avoir d'autres types d'artisanats spécialisés, n o ta m m e n t dans la charpenterie pour construire toutes ces superstructures en bois, mais on ne dispose pour l'instant d 'a u c u n e indication fiable.

Les productions m étallurgiques

À partir du Bronze Récent, on assiste à une

« d é b a u c h e » d e matériel en bronze e t on reconnaît au moins deux niveaux de spécialisation dans la chaîne de production métallurgique, Tout d 'a b o rd , la m étallurgie primaire (qui correspond à l'extraction et à la réduction) est surtout individualisée dans l'aire alpine : le Trentin pour l'extraction et la Vénétie pour

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Noëlle Provenzano

la réduction. M êm e si des mines de cuivres sont connues dans les Apennins, dans c e tte première phase, les terramaricoles sont essentiellement des clients du m onde alpin. En revanche, la production s e co n d a ire est la rg e m e n t a tte sté e dans les terramares. Tous les sites ont livré de très grandes quantités d'o bjets (aussi bien des armes, que des outils ou d e la parure) et les preuves du travail in situ du bronze sont très fréquentes, m êm e si tous les sites n'e n sont pas pourvus. On constante d o n c que les artisans spécialisés se sont répandus à travers la plaine.

En plus d e c e tte prod u ctio n locale, il est p ro b a b le qu'il existe un établissement très spécialisé (en dehors d e la zone terram aricole classique) : le site de Peschiera, sur la rive sud du lac d e Garde, qui inonde to u te l'Italie septentrionale e t où l'o n a recueilli plus d e 6000 objets en bronze d o n t la typologie se retrouve dans to u te l'Italie, aussi bien continentale que péninsulaire.

Les productions c é ra m iq u e s

Un des faits fra p p a n ts de la culture terram aricole est l'incroyable, voire épouvantable, q uantité de céram ique, quantité qui semble aller bien a u -d e là des besoins d e la pop u la tio n . Néanm oins les constatatio ns a rchéolog iques sem blent indiquer un usage dom estique e t local de c e tte céram ique. Divers éléments indiquent qu'u n e partie d e c e tte céram ique, ne pe u t être que le fruit d 'u n artisanat spécialisé qui œ uvre pour la com m unauté. D 'une part, une telle quantité ne peut être le reflet d e l'a ctivité dom estique e t d 'a u tre part, les grandes jarres biconiques typiques du Bronze Récent ap p e lle n t un haut niveau technolo gique de spécialisation, aussi bien pour leur m ontage que pour leur cuisson. Il fa u t préciser q u 'a u cu n e structure de cuisson d e céram ique n 'a jamais été repérée dans l'e n ce in te des terramares e t la seule structure connue pour l'instant à é té déco u ve rte loin des habitats et proches des sources d e combustible.

Une autre production céram ique qui semble ê tre l'o b je t d 'u n e a c tiv ité spécialisée est la céram ique funéraire d o n t les caractéristiques sont d 'ê tre esthétique mais non fonctionnelle (elle est toujours mal cuite e t d o té e d 'u n e perforation à cru sur le fo n d ) et d e répéter des typologies archaïques : les pots sont munis d'anses en ruban de type BM2 alors que les couvercles sont d e type Bronze Récent (les plus anciennes nécropoles connues sont attribuées au BM3).

Les productions sur M atières Dures A nim ales

Dans le dom aine des matières dures animales on assiste au m êm e phéno m è ne d'intensification et de spécialisation de la production. La quantité de matériel recueilli reste considérable e t m êm e si la part d e l'a rtisa n a t d o m e stiq u e d e m e u re e n co re im portante, une production spécialisée se m et en p la c e dès la fin du Bronze moyen. Le volum e et les m odalités restent e n c o re à définir, mais ces productions spécialisées s'orientent surtout vers une m atière première presque exclusivement en bois de c e rf et vers des produits non fonctionnels, plutôt destinés au prestige ou à la parure,

Les productions dans le d o m a in e du tissage

Enfin, une dernière activité montre égalem ent les signes d 'u n e spécialisation a c c ru e d e la production : celle du tissage. Déjà, au Bronze Moyen, la grande quantité de fusaioles indiquait une activité soutenue d e filage d e la laine e t/o u du lin. La présence d e poids d e m étier à tisser indiq u a it é galem en t le tissage in situ. Au Bronze Récent, les poids de m étier à tisser sont non seulement d 'u n e taille plus im portante mais sont é galem en t retrouvés en plus grand nom bre e t dans une zone limitée de l'h a b ita t sem blant indique r une aire d 'a c tiv ité spécialisée.

De plus, c e tte activité s 'a c c o m p a g n e dans toutes les terram ares d 'u n e spécialisation dans l'é le va g e essentiellement dirigée vers les ovicaprinés, à l'inverse d e c e qui est observé ailleurs où le b œ u f dom ine largement.

Interactions entre spécialisation des tâches et structuration sociale.

Le trop faible nom bre d e données fiables e f de travaux sur c e tte thém a tiq u e interdisent pour l'instant d 'a lle r très a v a n t dans l'in te rp ré ta tio n e t la caractérisation des interactions entre spécialisation e t structuration sociale dans la culture terramaricole.

On observe, dès le d é b u t des terramares, une division des rôles. Certains individus se d é ta c h e n t des autres : on les reconnaît dans les inhumations à leurs épées e t à leurs joyaux, Ce sont probable m ent aussi ceux qui utilisaient les chevaux. On note qu'ils ont sans d oute un rôle différent : ils sont enterrés parmi les leurs, com m e s'ils continua ient à les protéger.

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Spécialisation des tâches e t sociétés

L'organisation d e la société q u e les terram aricoles dévelop pent, l'intensification réelle des productions e t des com pétences im pliquent non plus seulement un consensus mais la présence de personnages capables d e donner des ordres. Ces personnages d e rang ne m anifestent en revanche pas leur pouvoir en m ode très a p p a re n t ca r on n 'a pas d e m anifestation criante d e privilèges, ce ci non seulement dans le m onde funéraire (qui est régi par une idéologie différente) mais aussi dans la vie réelle : on n 'a quasim ent aucu n é lé m e n t d e prestige, aucune différenciation dans l'h a b ita t... Il ne semble pas que l'élite soutienne le d é ve lo p p e m e n t d e la production com m e on peut l'observer par ailleurs. On constate simplement une croissance générale. Si on regarde la répartition des bronzes dans l'h a b ita t (e t ils sont très nombreux), on constate qu'ils sont présents dans toutes les maisons (e t jamais dans les aires réputées d e service). On a d o n c une élite qui semble ne m anifester a u c u n e richesse dans la vie quotidienne. Ce constat d e m a n d e néanmoins à être nuancé ca r on a récem m ent individualisé quelques maisons dans la terram are de Poviglio qui to u t en ne présentant aucune différence architecturale a v e c les autres sont c e p e n d a n t dotées d 'u n m obilier nette m e n t plus riche.

En fait, c e qu e l'o n observe dans les terramares, c 'e s t l'inverse d e c e à quoi l'on pourrait s'attendre. Dans le reste d e l'Italie péninsulaire, qui connaît le m êm e d é velop pem ent é conom iqu e et social, on assiste à la mise en p la ce d 'u n système

b e a u co u p plus aristocratique : on a des maisons plus grandes e t plus prestigieuses très différenciées des autres, des mobiliers funéraires impressionnants e t l'on assiste vraim ent à l'é m e rg e n ce d e « princes » à l'intérieur d e la co m m u n a u té . La co m p le xité à la quelle é ta it arrivée la société terram aricole im pliquait un fort pouvoir décisionnel e t la direction coercitive d 'u n e élite, transformation qui ne s'est pas réellem ent opérée, lis sont restés dans un système politique app a re m m e n t en partie de consensus et, lorsque la société a dû affronter divers problèmes (d o n t une plus g ra n d e c o n flic tu a lité interne et externe), il semblerait que le système ait implosé. On n 'a aucune idée d e l'évé nem ent traum atique qui a pu survenir, mais la structure politique n 'a pas pu s'a d a p te r e t la société terram aricole a disparu.

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