• Aucun résultat trouvé

Spectrographe pour les spectres visible et ultra-violet. — Microscope de mesure, lampe a arc au mercure et bruleur au sodium (instru ments construits par la maison Zeiss)

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Spectrographe pour les spectres visible et ultra-violet. — Microscope de mesure, lampe a arc au mercure et bruleur au sodium (instru ments construits par la maison Zeiss)"

Copied!
12
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00241256

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241256

Submitted on 1 Jan 1907

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Spectrographe pour les spectres visible et ultra-violet. - Microscope de mesure, lampe a arc au mercure et bruleur au sodium (instru ments construits par la

maison Zeiss)

P. Culmann

To cite this version:

P. Culmann. Spectrographe pour les spectres visible et ultra-violet. - Microscope de mesure, lampe a arc au mercure et bruleur au sodium (instru ments construits par la maison Zeiss). J. Phys. Theor.

Appl., 1907, 6 (1), pp.820-830. �10.1051/jphystap:019070060082001�. �jpa-00241256�

(2)

820

au maniement des chiffres, reculent devant des opérations com- pliquées, qui ne seraient qu’un jeu pour un bureau de spécialistes;

par une singulière contradiction, c’est dans notre pays, les

mathématiques sont infiniment plus répandues que partout ailleurs, qu’elles sont peut-être le moins utilisées et qu’elles y trouvent le moins d’applications pratiques ; la création de l’établissement que

nous souhaitons contribuerait à faire disparaitre cette anomalie et à

nous rendre la place à laquelle nous avons droit dans les branches de l’industrie où les mathématiques jouent un rôle.

SPECTROGRAPHE POUR LES SPECTRES VISIBLE ET ULTRA-VIOLET. 2014 MICROSCOPE DE MESURE, LAMPE A ARC AU MERCURE ET BRULEUR AU SODIUM (INSTRU-

MENTS CONSTRUITS PAR LA MAISON ZEISS) ;

Par M. P. CULMANN (1).

1° Specirographe pour les spectres visible et ultra-violet, de

MM. C. Pulfrich et F. Lowe. - Cet instrument peut servir pour l’observation directe et pour la photographie. Pour l’observation visuelle directe, il est autocollimateur. Dans le dispositif autocolli-

mateur, la même lunette fait, comme on sait, office de collimateur et de lunette d’observation. Les rayons émanant de deux sources

lumineuses latérales pénètrent dans l’instrument par de petites

fenêtres :1), sont dirigés par des prismes à réflexion totale

(P,, P2, lîg. 2 et 3), placés devant la fente Sp, sur l’objectif 0 qui

les rend parallèles. En A, ils tombent sur le prisme composé, le

traversent, sont réfléchis sur la surface argentée BC, reviennent sur

leur chemin et forment une image dans le plan de la fente, image qui s’observe au moyen de l’oculaire 0~. Comme le montre la

fige 3, les prismes et la fente se trouvent dans la partie supérieure

du champ, les spectres des deux sources lumineuses se forment,

l’un au-dessous de l’autre, dans la partie inférieure.

(t) Communication faite à la Société française de Physique : séance du

15

mars

1907.

Article published online by EDP Sciences and available at

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019070060082001

(3)

821

FIG.1.

FIG. 2.

FIG. 3.

(4)

822

L’autocollimation a, suivant M. Pulfrich (), deux avantages sur la

méthode d’observation courante des spectres : 10 Elle permet de

réaliser très facilement le minimum de déviation par un dispositif mécanique susceptible de fonctionner avec divers prismes. Il suffit,

en effet, de faire tourner le prisme autour de la verticale passant par le point A l’axe de la lunette coupe la première face du prisme

pour que la raie qui se présente sur le réticule corresponde au mini-

mum de déviation; 20 A grossissement égal, l’instrument est plus petit et, par conséquent, plus maniable. En outre, les sources lumi-

neuses restent à la portée de l’observateur, qui se g arantit facilement

par de grands écrans contre leur rayonnement direct.

Le prisme est un demi-prisme de Rutherford. Comme l’objectif 0,

il est taillé dans des verres très transparents pour les rayons violets.

Sa dispersion (double de l’angle de rotation du prisme) est de 110 1/2

entre 760 et 450 pp. On le fait tourner, à la main, au moyen de la

roue H et, micrométriquement, à l’aide de la vis m. Le cercle porte

deux graduations : l’une, sur un arc de 1050, en demi-degrés avec

vernier donnant la minute; l’autre, en longueurs d’onde. La réalisation de cette deuxième graduation présentait une certaine difficulté, parce que l’angle de rotation du prisme ne mesure que 5 à 6° pour tout le

spectre visible et qu’il semblait, au premier abord, difficile d’arriver à tracer une division utile dans un espace aussi restreint. M. Lôwe (2)

a tourné la difficulté en se basant sur un principe analogue à celui

du vernier. Un arc de cercle fixe de î 0° est gradué de 5 en 5 pp entre

410 et 760 Les intervalles de cette division sont égaux entre eux.

Supposons une raie ayant une longueur d’onde de 590 pp (en pra-

tique, on prend la raie la moins réfrangible 589,6 du sodium) amenée

à la croisée des fils. On tracera, en regard du trait 590, un index qui ne servira que pour cette longueur d’onde et portera le chiffre 590.

Admettons maintenant que, pour passer de la raie 590 à une autre

raie, 715 par exemple, il faille déplacer le cercle d’un degré, on

gravera l’index 713 sur le cercle mobile, un degré en avant du

trait 713 de la division fixe. En opérant d’une manière analogue pour toutes les longueurs d’onde marquées sur l’arc du cercle fixe, on obtiendra, sur le cercle mobile, une série d’index chiffrés formant

(1) C. PULFRICH, Gebel’ eine

neue

SpektJ’oslcop-Konstruktion (zeitschi-ift fü7°

Insl1’ulnentenkunde, XIY, p. ::>54; 1894).

(2) F. LOWE, Ein

neuel’

Spekl1’ogl’aph für sichtba?-es ultraviolettes Licht

(Zeitschrift für Insl1’u1nentenkunde, XXVI, p. 38~ ; 1906).

(5)

823

une deuxième division dont les intervalles augmentent vers le violet,

et il suffira, pour obtenir la longueur d’onde d’une raie quelconque,

d’amener celle-ci sur la croisée des fils et de chercher l’index qui se

trouve en regard d’un trait du même nom. Il va sans dire qu’une

division de ce genre ne peut être établie avec la même précision qu’une division en degrés et minutes. La division en longueurs d’onde

ne sert que pour les mesures approchées. Lorsqu’on veut atteindre

une précision plus grande, on mesure, en degrés et minutes, la

distance qui sépare la raie inconnue d’une raie voisine connue et on

transforme l’angle trouvé en longueurs d’onde à l’aide de la courbe de dispersion du prisme. Ce second procédé donne une approxi-

mation de 1/2 pp environ. Pour atteindre toute la précision que l’instrument est capable de donner, il faut rattacher, par interpo- lation, la longueur d’onde de la raie inconnue à celle de deux ou

trois raies voisines connues, en mesurant les distances au moyen de la vis micrométrique m. Un intervalle du tambour de cette vis

(dont la course est suffisante pour parcourir tout le spectre visible)

vaut 10 secondes.

FIG.4.

En guise de réticule, on a gravé sur un disque en verre, à 1~0°

l’un de l’autre, trois repères différentes 4) : une croix, un trait simple et un trait double. En faisant tourner le tube porte-oculaire

au moyen de la bagne molettée R 1), on amène successivement l’un ou l’autre de ces repères au milieu du spectre. Le premier sert

pour mettre au point sur le côté droit immobile de l’image de la

fente largement ouverte. Le second doit être placé au milieu d’une raie spectrale fine, la fente étant aussi étroite que possible. Le troi-

sième enfin encadre une raie noire (du spectre solaire par exemple)

sur fond clair.

Tout le dispositif décrit jusqu’à présent sert pour la vision. Lors-

qu’on veut photographier le spectre, la lunette est uniquement em-

ployée comme collimateur, le demi-prisme de Rutherford est rem-

(6)

824

placé par un prisme complet comportant trois prismes simples accolés, et une chambre en métal léger 5) est assujettie sur

l’axe du cercle au moyen du support B muni du contrepoids G. Le

châssis de la chambre se déplace par crémaillère dans la direction

verticale, ce qui permet de faire dix spectres successifs sur la même

plaque (format 6 X 9 ou 6 1/2 X 9 centimètres). L’objectif de la

chambre est semblable à celui de la lunette, mais on pourra prochai-

nement le remplacer par un téléobjectif à foyer deux fois plus long

FIG. 5.

qui donnera une dispersion deux fois plus grande permettant de sé-

parer les lignes D sur la plaque, comme on le fait facilement par l’observation visuelle au moyen de l’oculaire.

Tout en étant très transparente pour le violet, l’optique décrite jusqu’à présent ne permet cependant pas de dépasser 360 pp environ.

Au delà de cette limite, il faut recourir au quartz pour le prisme et

au quartz combiné avec la fluorine pour les objectifs (les prismes PI, P2, ainsi que les cuves d’absorption et les lentilles du condensa- teur servant avec les tubes de Geissler, sont naturellement aussi taillés dans le quartz). Pour les prismes, on a adopté le montage in-

diqué par M. Young. Les deux moitiés d’un prisme de Cornu sont

(7)

825

montées, l’une sur le collimateur, l’autre sur l’objectif de la chambre,

comme l’indique la 6. La raie dont l’image tombe sur l’axe de

la chambre est alors formée par des rayons ayant traversé les prismes parallèlement à leur base, c’est-à-dire au minimum de déviation, quelle que soit la position de la chambre. Il suffit, par conséquent,

F’1G. 6.

de déplacer la chambre pour photographier successivement, dans

les meilleures conditions, les diverses régions du spectre. Les objec-

tifs ( f

=

250 millimètres, ouverture fl12) sont sertis dans des tubes coulants qui s’échangent facilement. Le spectre est net quand

les tubes sont poussés à fond. L’angle des prismes en quartz a été

choisi de manière à ce que le milieu du spectre ultra-violet (275 pp) corresponde à la ligne F du spectre solaire, ce qui permet de pho- tographier les régions principales du spectre visible et du spectre

ultra-violet sans changer la position de la chambre.

On peut naturellement remplacer les prismes livrés avec l’appa-

reil par d’autres prismes ou par un réseau.

La division angulaire permet de faire certaines mesures goniomé- triques avec l’instrument.

21 Microscope de mesure de 111. Il. L6we. - Cet instrument

(fig. 7) donne une précision intermédiaire entre celle de la règle

divisée et celle de la machine à diviser ou du comparateur. Le mi-

croscope à réticule, avec la crémaillère de mise au point, est monté

sur un chariot qui se déplace de 20 millimètres au moyen d’une vis micrométrique. Le pas de cette vis est de 1 millimètre, et son

tambour est divisé en 100 parties. Un intervalle du tambour corres-

pond, par conséquent, à un déplacement de 1 centième de millimètre.

(8)

826

L’instrument affecte diverses formes suivant les buts auxquels il

est destiné (mesures des empreintes formées par des sphères d’acier

sur les plaques de métaux, mesures des diamètres des tubes capil-

1°1.. ;.

laires, etc.). Le modèle représenté par la figure est destiné à la

mensuration des négatifs spectroscopiques des formats 6 M 9 et 6 1/2 X 9 centimètres, mais il peut s’adapter à d’autres dimensions.

La plaque est assujettie

au

moyen de deux pinces-valets sur un

cadre mobile PP formant surplatine. Ce cadre coulisse d’avant en

arrière sur la platine proprement dite Q et s’immobilise à volonté à l’aide du bouton N. Ce mouvement perpendiculaire à la direction de

la vis micrométrique facilite la comparaison des régions correspon-

dantes des divers spectres photographiés sur une même plaque.

(9)

827 Deux échelles perpendiculaires l’une à l’autre permettent de retrou-

ver aisément un point donné de la plaque.

Après avoir desserré le bouton K et enlevé la goupille qui se voit

sur le devant de la douille H, on peut retirer de la monture le mi-

FIG. 8.

croscope avec le chariot et la vis micrométrique. L’instrument sert

alors, sur un support quelconque, par exemple sur celui de la fig. 8,

ou sur un banc d’optique, aux mesures courantes du laboratoire. Il se

prête parfaitement sous cette forme à la mesure des images optiques,

des cercles de Ramsden, etc. Le support, représenté est muni de vis

calantes qui facilitent la réalisation du parallélisme entre la longueur

à mesurer et la direction de mouvement du microscope.

3° Lampe à arc au mercure de M. H. Siedentopf (fiq. 9).

-

Cette

lampe comporte deux parties : un vase en verre contenant le mercure

(10)

828

et une boîte métallique qui l’entoure. Comme dans la lampe Pérot

et Fabry, les pôles b et c sont concentriques, le pôle positif c étant placé à l’intérieur. Pour éviter l’épuisementdu mercure en c, on a fait

communiquer c avec un vase plus grand a.

FIG. 9.

a La lumière émise par le cratère positif c et par une partie des

vapeurs de l’arc est reçue par une lentille biconvexe H faisant corps

avec le couvercle de la boîte métailique, passe par un diaphragme-

iris (non représenté sur la figure), puis tombe sur un miroir S ré- glable en hauteur et en inclinaison. Celui-ci la renvoie dans une di- rection horizontale. L’ensemble de ce dispositif permet d’obtenir un faisceau rond de lumière monochromatique intense dont le diamètre est réglable à volonté.

Immédiatement au-dessus de l’arc se trouve une ampoule en verre h

dans laquelle le vide a été fait. Protégée contre un refroidissement trop intense, la paroi intérieure de cette ampoule reste suffisamment chaude pour ne pas condenser les vapeurs de mercure quilabaignent.

Il est bon, - dans l’intérêt de la durée de la lampe, --- de remplir la

boîte métallique d’eau distillée, mais il faut veiller à ce que le vase en

verre ne dépasse jamais le niveau de l’eau. Si la lampe doit brûler

plus d’une heure de suite, on établit une circulation d’eau au moyen

des tubulures A et E.

(11)

829 Le courant est amené au vase de verre par des fils entourés de tubes de caoutchouc D. La lampe repose sur une lame de caoutchouc L et

est retenue en place par des ressorts garnis de caoutchouc. Sur la

figure, la lampe est fixe; mais, dans le dernier modèle, elle est

montée sur une bascule à ressort actionnée par un bouton placé sur

le couvercle, ce qui facilite l’allumage. Un autre bouton V commande

FIG. 10.

un ressort flexible qui sert à chasser les bulles d’air formées sous la lentille H.

La lampe fonctionne normalement à 18 volts et 8 ampères. Elle peut être poussée pendant quelque temps à 20 ampères, mais ce régime abrège considérablement sa vie et donne lieu à un arc moins stable.

40 BrÛleur au sodiurn de M. F. ( fcg. 10.

-

Un large bec plat C est monté sur un bec Bunsen et fournit une flamme ayant envi-

ron 5 centimètres de large. Cette flamme est alimentée de sel par une

(12)

830

longue plaque de pierre ponce E imbibée de sel. Laplaque est retenue

par le ressort F, et sa distance à la flamme est réglée au moyen du bouton J. Devant la flamme se trouve un écran K qui la limite, afin

de masquer ses contours à l’ 0153il et d’éviter ainsi la fatigue résultant

des changements continuels de la forme extérieure de la flamme.

Ce brûleur est surtout destiné à servir avec les réfractomètres à réflexion totale ou à incidence rasante qui exigent une source lumi-

neuse monochromatique de grande dimension.

DES POINTS DE FUSION DU TANTALE ET DU TUNGSTÈNE ;

Par MM. C.-W. WAIDNER et G.-K. BURGESS (1).

Les échelles de températures sont, en général, repérées au moyen des températures de fusion et d’ébullition des corps purs et surtout des éléments chimiques. Un nombre considérable de ces tempéra-

tures a été établi de façon satisfaisante au-dessous de 1 200° C., et on

a fait certains progrès de 1 2000 à ~ 800°, notamment dans de récents

travaux (2) sur les points de fusion du palladium et du platine. Au-

dessus de 1800°, nous n’avons pas encore de points de repère satis-

faisants. Dans cette région, les seules températures qui aient été approximativement obtenues sont : le point de fusion de l’iridium (3)

et la température de l’arc élect,rique (’). Il y a quelques corps

simples dont les points de fusion se trouvent entre ces deux der- nières températures; parmi eux sont le tantale et le tungstène. Leur

récente préparation en filaments à l’usag e des lampes à incandes-

cence nous procure ces éléments sous une forme commode pour l’es - timation de leur point de fusion. Pour que l’on puisse détermine r le point de fusion d’un métal converti en filament et placé dans le vide, il faut que ce métal ait une basse tension de vapeur, afin qu’il

ne se désagrège pas avant la fusion, comme le fait le carbone, par

exemple.

(~) Communication faite à la Société française de Physique : séance du 7 juin 1901.

(2) NERNST und WARTENBERG, Verh. Deutsch. hys. Ges., 8, p. ~8 ; 1906 ;

-

HOLBORN und VALEXTINER, Ann. deI’ Physik, 22, p. 1; lc’07;

-

WAInNER and BURGESS, Bull.

Bureau of Standards, 3, p. ’163 ; 1907.

(3) NERNST, Phys. Zs. , 4, p. i33 ; 1903.

(4) WAlDNER and BURGESS, Bull. BU1Teau o f Standar°ds, 1, p. 109 ; 1904.

Références

Documents relatifs

Les chiffres significatifs d'une valeur numérique sont tous les chiffres présents excepté les 0 situés à gauche de ce nombre; on ne prend pas en compte les puissances

Le Mali a su également tirer profit du Cadre intégré renforcé (CIR) grâce à l'opérationnalisation de son Unité de mise en oeuvre, à travers laquelle

Mais toute sa vie elle aspire à un ailleurs mythique et quand, enfin, le docteur, à l’indépendance, propose de lui donner sa maison, elle refuse le cadeau malgré

Les connaissances phonologiques et plus particulièrement la conscience phonémique associées à l’acquisition des premières connaissances alphabétiques (connaissance des

Avant de rentrer dans les détails, commençons en disant que les deux grandeurs caractéristiques d'une molécule en spectroscopie UV-visible seront sa longueur

Si on hésite entre deux lignes du bas qui ne sont ni l’une ni l’autre parfaitement alignées avec une ligne du bas, alors on prend celle de gauche et on ajoute 5 comme

FOUCAULT distingue quatre seuils qu’un savoir peut franchir pour prétendre être une science : un seuil de « positivité » ou « moment à partir duquel une

Supposons qu'on place le réseau sur la plate-forme du goniomètre, de manière que la face striée passe par l'axe de l'instrument, que les traits du réseau, la fente du collimateur et