OP11 - Réflexion totale
1°) Soit :
n sin(𝑖𝑖
1) = sin(𝑖𝑖
2) et sin(𝑖𝑖
1) = r
� r² + h² Or 𝑖𝑖
1< i
lim= 48,7° ⇒ sin(𝑖𝑖
1) <
𝑛𝑛1Donc :
sin(𝑖𝑖
1) = r
√r
2+ h
2< 1 𝑛𝑛
⇔ r²
r
2+ h
2< 1
𝑛𝑛² ⇔ r
2+ h
2> n²r² ⇔ h
2> n²r² − r²
⇒ h
0= r � n² − 1 ⇔ ℎ
0= 8,77cm
2°) On a h=10 cm, par conséquent la tête d’épingle est visible de l’extérieur. Celle-ci va définir un angle de 45° (triangle rectangle isocèle). Donc :
𝑖𝑖
0= 45° < 𝑖𝑖
1< i
lim= 48,7°
Laurent Pietri ~ 2 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP12 - Méthode de Bessel
1°) En adoptant les notations définies dans la relation de Descartes, 𝑝𝑝 = 𝑂𝑂𝑂𝑂 ���� 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑝𝑝
′= 𝑂𝑂𝑂𝑂′ ����� , on obtient deux équations :
1 𝑝𝑝′ −
1 𝑝𝑝 = 1
𝑓𝑓′ 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝐷𝐷 = 𝑂𝑂𝑂𝑂 �����
′= 𝑂𝑂𝑂𝑂 ���� + 𝑂𝑂𝑂𝑂 �����
′= 𝑝𝑝
′− 𝑝𝑝 D’où en combinant ces deux équations :
1 𝑝𝑝 + 𝐷𝐷 −
1 𝑝𝑝 = 1
𝑓𝑓′ ⇔ 𝑝𝑝 − (𝑝𝑝 + 𝐷𝐷) (𝑝𝑝 + 𝐷𝐷)𝑝𝑝 = 1
𝑓𝑓′ ⇔ −𝐷𝐷
𝑝𝑝² + 𝑝𝑝𝐷𝐷 = 1
⇔ − 𝐷𝐷𝑓𝑓
′− 𝑝𝑝² − 𝑝𝑝𝐷𝐷 = 0 ⇔ 𝑝𝑝² + 𝑝𝑝𝐷𝐷 + 𝐷𝐷𝑓𝑓
′= 0 𝑓𝑓′
Cette équation n'admet de solutions réelles que pour ∆>0 𝐷𝐷² − 4𝐷𝐷𝑓𝑓
′> 0
Pour former l'image réelle d'un objet réel par une lentille convergente il faut remplir la condition : 𝐷𝐷 > 4𝑓𝑓
′⇔ f
′<
D42°) Dans ce cas il existe deux racines et donc deux positions possibles de la lentille : 𝑝𝑝 = − 𝐷𝐷
2 ± �� D
2 �
2− Df′
Chacune de ces solutions correspond bien à une valeur de p' positive (image réelle) et inférieure à D (objet réel). Elles conviennent donc toutes les deux.
3°) Ils ont tous les deux un grandissement négatif mais l’un supérieur à un et l’autre inférieur à un.
En effet : 𝛾𝛾 =
𝑝𝑝𝑝𝑝′=
𝐷𝐷+𝑝𝑝p= 1 +
𝐷𝐷𝑝𝑝= 1 +
𝐷𝐷−𝐷𝐷2±��D2�2−Df′
= 1 +
1−12±��12�2−f′D
= 1 − 2
1 ± √1 − 4Df′ = 1 − 2 1 ± α
0<α<1Si on prend la solution « + » alors : −1 < 𝛾𝛾 < 0 .
Si on prend la solution « - » alors : −∞ < 𝛾𝛾 < −1.
4°) Soit 𝑑𝑑 = |𝑝𝑝
1− 𝑝𝑝
2| = �𝐷𝐷² − 4𝐷𝐷𝑓𝑓′ ⇒ 𝑓𝑓
′=
𝐷𝐷²−𝑑𝑑²4𝐷𝐷OP13 - Optique de l’œil
Laurent Pietri ~ 4 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP14 - Aberrations chromatiques d’une lentille simple
OP15 - La loupe
OP16 - Association lentille-miroir plan
OP17 - Incidence de Brewster
Soit :
On a :
𝑛𝑛
1sin(𝑖𝑖
1) = 𝑛𝑛
2sin(𝑖𝑖
2) ⇔ sin(𝑖𝑖
1) = n sin(𝑖𝑖
2) Or 𝑖𝑖
1+ 𝑖𝑖
2=
π2d’où sin(𝑖𝑖
1) = n sin �
π2− 𝑖𝑖
1�
⇒ tan(𝑖𝑖
1) = n = 1,5
⇒ 𝑖𝑖
1= 56°
Laurent Pietri ~ 6 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP18 - Agrandisseur-Réducteur d’image
OP19 - Déplacement d’un rayon lumineux
La construction montre que le rayon sort de la lame sans avoir été dévié, mais décalé de la distance d.
Sur le schéma notons d=CB alors :
𝑑𝑑 = 𝑂𝑂𝐴𝐴𝐴𝐴𝑖𝑖𝑛𝑛(𝑖𝑖 − 𝑟𝑟) 𝑜𝑜ù 𝑟𝑟 = 𝑖𝑖
2tel que sin(𝑖𝑖
1) = nsin(𝑖𝑖
2) De plus : 𝑂𝑂𝐴𝐴 =
cos (𝑖𝑖𝑒𝑒2)
D’où :
𝑑𝑑 = 𝑒𝑒 sin (𝑖𝑖
1− 𝑖𝑖
2)
cos (𝑖𝑖
2) = 1,65 𝑚𝑚𝑚𝑚
OP110 - Fibre optique
En I, il faut qu’il y est réflexion totale d’où : sin(𝑖𝑖) >
𝑛𝑛𝑛𝑛2Or 𝑖𝑖 + θ
1=
𝜋𝜋2 1𝑑𝑑
′𝑜𝑜ù cos( θ
1) = sin (𝑖𝑖) ⇔ �1 − 𝐴𝐴𝑖𝑖𝑛𝑛²( θ
1) > 𝑛𝑛
2𝑛𝑛
1⇔ 𝐴𝐴𝑖𝑖𝑛𝑛
2( θ
1) > � 𝑛𝑛
2𝑛𝑛
1�
2− 1 De plus : n
1sin( θ
1) = sin( θ
0)
Donc
𝑠𝑠𝑖𝑖𝑛𝑛²(n θ0)1²
> �
𝑛𝑛𝑛𝑛21
�
2− 1 ⇔ n
1² − 𝑛𝑛
2² > 𝐴𝐴𝑖𝑖𝑛𝑛²( θ
0)
⇒ 0 < θ
0< θ
𝑓𝑓𝑜𝑜ù θ
𝑓𝑓= 𝑂𝑂𝑟𝑟𝐴𝐴𝐴𝐴𝑖𝑖𝑛𝑛�𝑛𝑛
12− 𝑛𝑛
22OP111 - Prisme de petit angle sous faible incidence
1°) A l’aide la figure on voit que :
• Dans PRM : π=A+(π-r-r’)⇒A=r+r’
• Dans PQM : π-D+(i-r)+(i’-r’)=π ⇒ D=i+i’-A
Les lois de Descartes en M et P donnent les deux dernières relations :
• En M : sin(i)=nsin(r)
• En P : sin(i’)=nsin(r’)
2°) Si A est petit et si l’incidence est rasante : i petit on peut utilise les approximations des petits angles d’où :
D=i+i’-A=nr+nr’-A=(n-1)A
Laurent Pietri ~ 8 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP21 – Accord de phase sur un dioptre
OP22 – Lentille et chemins optiques
Les surfaces d’ondes sont des sphères de centre S’. Soit H le point sur l’axe (Ox) appartenant à la même surface d’onde tel que :
𝑂𝑂𝑂𝑂 ������⃗ = 𝑂𝑂𝑂𝑂′ ������⃗ + 𝑂𝑂′𝑂𝑂 ������⃗ = 3𝑓𝑓
′𝑢𝑢 ����⃗ − �(𝑥𝑥
𝑥𝑥 ′− 3𝑓𝑓
′)
2+ (𝑦𝑦
′− 0)
2𝑢𝑢 ����⃗
𝑥𝑥Or (𝑂𝑂𝑀𝑀
′) = (𝑂𝑂𝑂𝑂) = 𝑛𝑛
𝑎𝑎𝑖𝑖𝑎𝑎𝑂𝑂𝑂𝑂 + (𝑛𝑛 − 𝑛𝑛
𝑎𝑎𝑖𝑖𝑎𝑎)𝑒𝑒 avec 𝑂𝑂𝑂𝑂 �����⃗ = 𝑂𝑂𝑂𝑂 �����⃗ + 𝑂𝑂𝑂𝑂 ������⃗
⇒ (𝑂𝑂𝑀𝑀
′) = 𝑛𝑛
𝑎𝑎𝑖𝑖𝑎𝑎� 9𝑓𝑓
′2 − �(𝑥𝑥
′− 3𝑓𝑓
′)
2+ 𝑦𝑦
′2� + (𝑛𝑛 − 𝑛𝑛
𝑎𝑎𝑖𝑖𝑎𝑎)
Laurent Pietri ~ 10 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP23 – Lame de verre avec défaut d’épaisseur
OP24 – Raie quasi-monochromatique
1°) Soit :
𝐿𝐿
𝑐𝑐= 𝐴𝐴 τ
𝑐𝑐= 𝐴𝐴
∆υ 𝐴𝐴𝑐𝑐𝑟𝑟 τ
𝑐𝑐∆υ = 1 Or :
𝛥𝛥𝜈𝜈 = ∆ � 𝐴𝐴
λ � = 𝐴𝐴 ∆λ
λ
0𝑚𝑚2𝐴𝐴𝑐𝑐𝑟𝑟 𝛥𝛥𝜆𝜆 ≪ 𝜆𝜆
0𝑚𝑚⇒ 𝐿𝐿
𝑐𝑐= λ
0𝑚𝑚2∆λ
2°) C’est une raie rouge telle que : 𝐿𝐿
𝑐𝑐=
λ∆λ0𝑚𝑚2= 32𝐴𝐴𝑚𝑚 et 𝑁𝑁 =
𝜆𝜆𝐿𝐿𝑐𝑐0𝑚𝑚
≈ 5.10
5OP31 – Méthode de Fresnel
1°)
Soit les deux signaux : 𝐴𝐴
1(𝑒𝑒) = 𝑂𝑂
1𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴( ω 𝑒𝑒 + ϕ
1) 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝐴𝐴
2(𝑒𝑒) = 𝑂𝑂
2𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴( ω 𝑒𝑒 + ϕ
2) . On se rappelle que les normes des vecteurs 𝑂𝑂 ���⃗
1𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑂𝑂 ���⃗
2sont égales aux amplitudes des signaux.
On a représenté aussi le vecteur de Fresnel du signal somme 𝐴𝐴(𝑒𝑒) 𝑝𝑝𝑐𝑐𝑟𝑟 𝑂𝑂⃗ tel que : 𝑂𝑂² = �𝑂𝑂 ���⃗
1+ 𝑂𝑂 ���⃗�² =
2𝑂𝑂
12+ 𝑂𝑂
22+ 2𝑂𝑂 ���⃗
1. 𝑂𝑂 ���⃗
2= 𝑂𝑂
12+ 𝑂𝑂
22+ 2𝑂𝑂
1. 𝑂𝑂
2cos ( ϕ
2− ϕ
1) Donc :
𝑂𝑂
2= 𝑂𝑂
12+ 𝑂𝑂
22+ 2𝑂𝑂
1𝑂𝑂
2𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴 ( ϕ
2− ϕ
1) 2°)
On a :
𝑂𝑂
2= 2𝑂𝑂
12�1 + 𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴� ϕ
2− ϕ
1�� = 4𝑂𝑂
12𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴
2�ϕ2−2 �ϕ1⇒ 𝑂𝑂 = 2𝑂𝑂
1𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴 � ϕ
2− ϕ
12 �
Soit 𝐴𝐴(𝑒𝑒) = 𝐴𝐴
1(𝑒𝑒) + 𝐴𝐴
2(𝑒𝑒) = 𝑂𝑂�cos� ω t + ϕ
1� + A cos( ω t + ϕ
2)�
= 2𝑂𝑂𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴 � 2 ω t + ϕ
1+ ϕ
22 � 𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴 � ϕ
2− ϕ
12 �
𝐴𝐴𝑐𝑐𝑟𝑟 𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴𝑝𝑝 + 𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴𝑐𝑐 = 2𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴 � 𝑝𝑝 + 𝑐𝑐
2 � 𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴 � 𝑝𝑝 − 𝑐𝑐 2 � 𝐷𝐷
′𝑜𝑜ù 𝐴𝐴(𝑒𝑒) = 2𝑂𝑂𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴 � ϕ
2− ϕ
12 �
�����������
𝐴𝐴
cos ( ω t + ϕ
m)
Laurent Pietri ~ 12 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP32 – Interférences
Soit :
𝐼𝐼(𝑀𝑀) = 𝐾𝐾� 𝐴𝐴 𝐴𝐴
∗�
= 𝐾𝐾 �𝑐𝑐
1𝑒𝑒
𝑗𝑗�ω𝑡𝑡−ϕ1(𝑥𝑥)�+ 𝑐𝑐
2𝑒𝑒
𝑗𝑗�ω𝑡𝑡−ϕ2(𝑥𝑥)�� �𝑐𝑐
1𝑒𝑒
−𝑗𝑗�ω𝑡𝑡−ϕ1(𝑥𝑥)�+ 𝑐𝑐
2𝑒𝑒
−𝑗𝑗�ω𝑡𝑡−ϕ2(𝑥𝑥)��
= 𝐾𝐾𝑐𝑐
12+ 𝐾𝐾𝑐𝑐
22+ 𝐾𝐾𝑐𝑐
1𝑐𝑐
2�𝑒𝑒
𝑗𝑗�ϕ1(𝑥𝑥)−ϕ2(𝑥𝑥)�+ 𝑒𝑒
−𝑗𝑗�ϕ1(𝑥𝑥)−ϕ2(𝑥𝑥)��
= 𝐾𝐾𝑐𝑐
12+ 𝐾𝐾𝑐𝑐
22+ 2𝐾𝐾𝑐𝑐
1𝑐𝑐
2cos � ϕ
2(𝑥𝑥) − ϕ
1(𝑥𝑥)�
D’où
𝐼𝐼
1+ 𝐼𝐼
2+ 2�𝐼𝐼
1𝐼𝐼
2cos� ∆ϕ (𝑀𝑀)�
2°) Or :
𝐼𝐼
𝑚𝑚𝑎𝑎𝑥𝑥= 𝐼𝐼
1+ 𝐼𝐼
2+ 2�𝐼𝐼
1𝐼𝐼
2𝑒𝑒𝑒𝑒 𝐼𝐼
𝑚𝑚𝑖𝑖𝑛𝑛= 𝐼𝐼
1+ 𝐼𝐼
2− 2�𝐼𝐼
1𝐼𝐼
2Tel que :
3°) On a : 𝐶𝐶 =
𝐼𝐼𝐼𝐼𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚−𝐼𝐼𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚+𝐼𝐼𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚
=
2(𝐼𝐼4�𝐼𝐼1𝐼𝐼21+𝐼𝐼2)
Or : 𝐶𝐶 =
2(𝐼𝐼4�𝐼𝐼1𝐼𝐼21+𝐼𝐼2)
= 2
1+𝑢𝑢√𝑢𝑢𝑜𝑜ù 𝑢𝑢 =
𝐼𝐼𝐼𝐼2D’où :
1𝐶𝐶
′(𝑢𝑢) = 2 � 1
2 √𝑢𝑢 (1 + 𝑢𝑢) − √𝑢𝑢�
(1 + 𝑢𝑢)
2= 2 � 1
2√𝑢𝑢 − √𝑢𝑢 2 �
(1 + 𝑢𝑢)
2= √𝑢𝑢 � 1 𝑢𝑢 − 1�
(1 + 𝑢𝑢)
2Donc C est extrêmal pour u=1
4°) On a : ∆ϕ (𝑀𝑀) =
2λπδ5°) Soit : 𝛿𝛿 = (𝑂𝑂
2𝑀𝑀) – (𝑂𝑂
1𝑀𝑀) Or :
⎩ ⎪
⎨
⎪ ⎧
𝑂𝑂
2𝑀𝑀 = ��𝑥𝑥 + 𝑐𝑐
2 �
2+ 𝐷𝐷² + 𝑦𝑦² = 𝐷𝐷�1 + 𝑦𝑦
2𝐷𝐷
2+ � 𝑥𝑥
𝐷𝐷 + 𝑐𝑐 2𝐷𝐷� ² 𝑂𝑂
1𝑀𝑀 = ��𝑥𝑥 − 𝑐𝑐
2 �
2+ 𝐷𝐷² + 𝑦𝑦² = 𝐷𝐷�1 + 𝑦𝑦
2𝐷𝐷
2+ � 𝑥𝑥
𝐷𝐷 − 𝑐𝑐 2𝐷𝐷� ²
⇔
⎩ ⎪
⎨
⎪ ⎧ 𝑂𝑂
2𝑀𝑀~𝐷𝐷 �1 + 1 2 � 𝑐𝑐𝑥𝑥
𝐷𝐷
2+ 𝑦𝑦
2𝐷𝐷
2+ 𝑐𝑐
24𝐷𝐷
2+ 𝑥𝑥
2𝐷𝐷
2��
𝑂𝑂
1𝑀𝑀~𝐷𝐷 �1 + 1 2 �− 𝑐𝑐𝑥𝑥
𝐷𝐷
2+ 𝑦𝑦
2𝐷𝐷
2+ 𝑐𝑐
24𝐷𝐷
2+ 𝑥𝑥
2𝐷𝐷
2��
Donc :
𝛿𝛿 ∼ 𝐷𝐷 × 𝑐𝑐𝑥𝑥 𝐷𝐷
2⇒ 𝛿𝛿 = 𝑐𝑐𝑥𝑥 𝐷𝐷
⇒ ∆ϕ (𝑀𝑀) = 2 π
λ
0δ = 2 π λ
0𝑐𝑐𝑥𝑥
𝐷𝐷
⇒ 𝐼𝐼(𝑀𝑀) = 2𝐼𝐼
0�1 + cos � 2 π λ
0𝑐𝑐𝑥𝑥
𝐷𝐷 ��
Laurent Pietri ~ 14 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP33 – Superposition d’ondes
OP34 – Tube de Kundt
OP35 - Accord d’un piano
Laurent Pietri ~ 16 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP36 - Ecoute musicale et interférences
OP37 - Anharmonicité d’une corde de piano
1°) 𝑂𝑂𝑜𝑜𝑖𝑖𝑒𝑒 𝐴𝐴 = [𝜔𝜔]
[𝑘𝑘] donc c est une vitesse
Le terme sous la racine est sans dimension donc α à la dimension de
𝑘𝑘²1soit [𝛼𝛼] = 𝑇𝑇²
OP41 – Etoiles à l’infini
Laurent Pietri ~ 18 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP42 – Fentes d’Young et lame
Laurent Pietri ~ 20 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP43 – Miroirs de Lloyd
OP44 – Trois trous d’Young
1°) Les trois ondes qui interfèrent en M sont issues d’une même source ponctuelle qui émet une radiation supposée parfaitement monochromatique. Elles sont donc cohérentes.
2°) On retrouve le même calcul que pour les trous d’Young d’où :
⎩ ⎨
⎧𝛿𝛿
12= − 𝑐𝑐𝑥𝑥
𝑓𝑓
′⇒ ϕ
12= − 2 π 𝑐𝑐𝑥𝑥 λ 𝑓𝑓
′= − ϕ 𝛿𝛿
32= 𝑐𝑐𝑥𝑥
𝑓𝑓
′⇒ ϕ
32= 2 π 𝑐𝑐𝑥𝑥 λ 𝑓𝑓
′= ϕ 3°) a)
Soit : 𝐴𝐴 = �𝑐𝑐
1𝑒𝑒
𝑗𝑗�ω𝑡𝑡−ϕ1(𝑀𝑀)�+ 𝑐𝑐
2𝑒𝑒
𝑗𝑗�ω𝑡𝑡−ϕ2(𝑀𝑀)��
⇒ 𝐼𝐼(𝑀𝑀) = 1
2 𝐾𝐾 �𝑐𝑐
1𝑒𝑒
𝑗𝑗�ω𝑡𝑡−ϕ1(𝑀𝑀)�+ 𝑐𝑐
2𝑒𝑒
𝑗𝑗�ω𝑡𝑡−ϕ2(𝑀𝑀)�� �𝑐𝑐
1𝑒𝑒
−𝑗𝑗�ω𝑡𝑡−ϕ1(𝑀𝑀)�+ 𝑐𝑐
2𝑒𝑒
−𝑗𝑗�ω𝑡𝑡−ϕ2(𝑀𝑀)��
⇒ 𝐼𝐼(𝑀𝑀) = 1
2 𝐾𝐾𝑐𝑐
12+ 1
2 𝐾𝐾𝑐𝑐
22+ 𝐾𝐾𝑐𝑐
1𝑐𝑐
2�𝑒𝑒
𝑗𝑗�ϕ2(𝑀𝑀)−ϕ1(𝑀𝑀)�+ 𝑒𝑒
−𝑗𝑗�ϕ2(𝑀𝑀)−ϕ1(𝑀𝑀)��
⇒ 𝐼𝐼(𝑀𝑀) = 1
2 𝐾𝐾𝑐𝑐
12+ 1
2 𝐾𝐾𝑐𝑐
22+ 2𝐾𝐾𝑐𝑐
1𝑐𝑐
2𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴 � ϕ
2(𝑀𝑀) − ϕ
1(𝑀𝑀)�
⇒ 𝐼𝐼(𝑀𝑀) = 𝐼𝐼
1+ 𝐼𝐼
2+ 2�𝐼𝐼
1𝐼𝐼
2𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴( ∆ϕ ) 3°) b) On a :
𝐴𝐴
3= 𝐴𝐴
2𝑒𝑒
𝑗𝑗ϕ𝑒𝑒𝑒𝑒 𝐴𝐴
1= 𝐴𝐴
2𝑒𝑒
−𝑗𝑗ϕ⇒ 𝐴𝐴 = 𝐴𝐴
2�1 + 𝑒𝑒
𝑗𝑗ϕ+ 𝑒𝑒
−𝑗𝑗ϕ�
⇒ 𝐴𝐴 = 𝐴𝐴
2(1 + 2 cos( ϕ ))
⇒ (1 + 2 cos( ϕ ))
2Laurent Pietri ~ 22 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP45 – Trous d’Young et largeur de source
Laurent Pietri ~ 24 ~ Lycée Joffre - Montpellier
Laurent Pietri ~ 26 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP46 – Frange achromatique
OP47 – Méthode de Michelson et Pease
Laurent Pietri ~ 28 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP51 – Michelson en lame d’air
Laurent Pietri ~ 30 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP52 – Michelson et doublet du sodium
Laurent Pietri ~ 32 ~ Lycée Joffre - Montpellier
Laurent Pietri ~ 34 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP53 – Profil de raie rectangulaire
Laurent Pietri ~ 36 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP54 – Interféromètre de Michelson avec miroir sphérique
Laurent Pietri ~ 38 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP55 – Michelson en coin d’air
Laurent Pietri ~ 40 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP56 – Détermination de l’indice de l’air
Laurent Pietri ~ 42 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP57 – Vélocimétrie Laser
Laurent Pietri ~ 44 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP61 – Fente rectiligne
Laurent Pietri ~ 46 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP62 – Diffraction par un réseau
Laurent Pietri ~ 48 ~ Lycée Joffre - Montpellier
Laurent Pietri ~ 50 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP63 – Traits parallèles équidistants
Laurent Pietri ~ 52 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP65 – Filtrage optique
OP66 – Filtrage d’une mire sinusoïdale
1°) L’objet est une mire sinusoïdale de période a de transmittance : 𝑒𝑒(𝑥𝑥) = 1
2 �1 + cos � 2 π 𝑥𝑥
𝑐𝑐 �� = 1 2 +
1
4 𝑒𝑒
𝑖𝑖2𝑎𝑎π𝑥𝑥+ 1
4 𝑒𝑒
− 𝑖𝑖2𝑎𝑎π𝑥𝑥D’où les fréquences spatiales :
𝑢𝑢 = �− 1 𝑐𝑐 , 0, 1
𝑐𝑐 � Les tâches spatiales dans le plan de Fourier sont donc :
𝑋𝑋 = �− λ 𝑓𝑓
′𝑐𝑐 , 0, λ 𝑓𝑓
′𝑐𝑐 � 2°) Dans le plan image :
𝐴𝐴 = 𝐴𝐴
0𝑒𝑒(𝑥𝑥) ⇒ 𝐼𝐼 = 𝐴𝐴
024 �1 + cos � 2 π 𝑥𝑥
𝑐𝑐 ��
2⇒ 𝐼𝐼 = 𝐴𝐴
024 �1 + 2 cos � 2 π 𝑥𝑥
𝑐𝑐 � + cos
2� 2 π 𝑥𝑥 𝑐𝑐 ��
⇒ 𝐼𝐼 = 𝐴𝐴
024 � 3
2 + 2 cos � 2 π 𝑥𝑥 𝑐𝑐 � + 1
2 cos � 4 π 𝑥𝑥 𝑐𝑐 ��
D’où le spectre du plan image :
{− 2 𝑐𝑐 , − 1
𝑐𝑐 , 0, 1 𝑐𝑐 , 2
𝑐𝑐 }
3°) Pour que l’intensité ne soit pas nulle il faut au moins laisser passer les fréquences ±
𝑎𝑎1. Donc 𝑟𝑟
𝐷𝐷<
λ𝑓𝑓′
Dans ce cas il reste dans le plan de Fourier deux sources cohérentes car elles proviennent d’une même
𝑎𝑎source. On se retrouve dans la même situation que les trous d’Young tel que : 𝐴𝐴 = 𝐴𝐴
0�1 + 𝑒𝑒
𝑖𝑖2λπδ� 𝑜𝑜ù δ = aX
D = 2 λ 𝑓𝑓
′𝑐𝑐 . 𝑥𝑥
𝑓𝑓
′= 2𝑥𝑥𝑓𝑓
′𝑐𝑐 ⇒ 𝐴𝐴 = 𝐴𝐴
0�1 + 𝑒𝑒
𝑖𝑖4𝑎𝑎π𝑥𝑥�
⇒ 𝐴𝐴 = 𝐴𝐴
0𝑒𝑒
𝑖𝑖2𝑎𝑎π𝑥𝑥�𝑒𝑒
− 𝑖𝑖2𝑎𝑎π𝑥𝑥+ 𝑒𝑒
𝑖𝑖2𝑎𝑎π𝑥𝑥� ⇒ 𝐴𝐴 = 2𝐴𝐴
0𝑒𝑒
𝑖𝑖2𝑎𝑎π𝑥𝑥cos � 2 π 𝑥𝑥 𝑐𝑐 � 4°) D’où l’intensité est :
𝐼𝐼 = 4𝐴𝐴
02cos
2� 2 π 𝑥𝑥 𝑐𝑐 �
⇒ 𝐼𝐼 = 2𝐴𝐴
02(1 + 𝐴𝐴𝑜𝑜𝐴𝐴 � 4 π 𝑥𝑥 𝑐𝑐 �
Les fréquences spatiales sont donc doubles que l’objet : �−
2𝑎𝑎, 0 ,
2𝑎𝑎�. On a réalisé un doubleur de
fréquence.
Laurent Pietri ~ 54 ~ Lycée Joffre - Montpellier
OP67 – Fentes d’Young
1°) On a donc :
𝑒𝑒(𝑥𝑥) = � 1, − 𝑏𝑏 2 ±
𝑐𝑐
2 < 𝑥𝑥 < 𝑏𝑏 2 ±
𝑐𝑐 0, 𝑐𝑐𝑖𝑖𝑎𝑎𝑎𝑎𝑒𝑒𝑢𝑢𝑟𝑟𝐴𝐴 2
Les grandeurs caractéristiques sont les largeurs des fentes et la distance entre elles d’où les fréquences spatiales :
1𝑎𝑎𝑒𝑒𝑒𝑒
1𝑏𝑏2°) 𝑇𝑇(𝑢𝑢) = 𝑇𝑇𝑇𝑇�𝑒𝑒(𝑥𝑥)� = ∫ 𝑒𝑒 (𝑥𝑥) 𝑒𝑒
−𝑖𝑖2π𝑢𝑢𝑥𝑥𝑑𝑑𝑥𝑥
= � 𝑒𝑒
−𝑖𝑖2π𝑢𝑢𝑥𝑥𝑑𝑑𝑥𝑥
𝑏𝑏2−𝑎𝑎 2
−𝑏𝑏2−𝑎𝑎 2
+ � 𝑒𝑒
−𝑖𝑖2𝑢𝑢𝑥𝑥𝑑𝑑𝑥𝑥
𝑏𝑏2+𝑎𝑎 2
−𝑏𝑏2+𝑎𝑎 2
= � 𝑒𝑒
−𝑖𝑖2𝜋𝜋𝑢𝑢𝑥𝑥−𝑖𝑖2𝜋𝜋𝑢𝑢 �
−𝑏𝑏2−𝑎𝑎 2 𝑏𝑏2−𝑎𝑎
2
+ � 𝑒𝑒
−𝑖𝑖2𝜋𝜋𝑢𝑢𝑥𝑥−𝑖𝑖2𝜋𝜋𝑢𝑢 �
−𝑏𝑏2+𝑎𝑎 2 𝑏𝑏2+𝑎𝑎
2
= � 𝑒𝑒
−𝑖𝑖2𝜋𝜋𝑢𝑢𝑥𝑥−𝑖𝑖2𝜋𝜋𝑢𝑢 �
−𝑏𝑏2−𝑎𝑎 2 𝑏𝑏2−𝑎𝑎
2
+ � 𝑒𝑒
−𝑖𝑖2𝜋𝜋𝑢𝑢𝑥𝑥−𝑖𝑖2𝜋𝜋𝑢𝑢 �
−𝑏𝑏2+𝑎𝑎 2 𝑏𝑏2+𝑎𝑎
2
= 1
𝑖𝑖2𝜋𝜋𝑢𝑢 �−𝑒𝑒
−𝑖𝑖2𝜋𝜋𝑢𝑢�𝑏𝑏2−𝑎𝑎2�
+ 𝑒𝑒
−𝑖𝑖2𝜋𝜋𝑢𝑢�−𝑏𝑏2−𝑎𝑎2�
+ 𝑒𝑒
−𝑖𝑖2𝜋𝜋𝑢𝑢�−𝑏𝑏2+𝑎𝑎2�