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Théorie microscopique des noyaux exotiques légers. Modèles en couches avec couplage au continuum

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Academic year: 2021

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Théorie microscopique des noyaux exotiques légers.

Modèles en couches avec couplage au continuum

K. Bennaceur

To cite this version:

K. Bennaceur. Théorie microscopique des noyaux exotiques légers. Modèles en couches avec couplage

au continuum. Physique Nucléaire Théorique [nucl-th]. Université Louis Pasteur - Strasbourg I, 1999.

Français. �tel-00817911�

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4.2.

17

Fet

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O 71 l'

15

O,à lan de ette haîne,rejointle y le

CN O

I.Ce type de y le, dit y le

CN O

haud(

HCN O

),nepeutpassedévelopperdansdesétoiles omparablesau soleil.Ilpeutnéanmoinsapparaîtredansdenombreuxautressitesastrophysiques,

tels lesétoiles super massives dont la masse est de l'ordre de 10 à 100 fois elle

du soleil, les novæ ou les supernovæ [33, 34℄. La réa tion de apture radiative :

16

O

(p, γ)

17

F,etle y le

HCN O

pré édent,sontessentielspourla ompréhension de la synthèse des élémentsplus lourds ar dans lesmilieuxtrès hauds, ilssont

pointdedépartdenouveaux y lesetpro essus, ommeles y lesNeNaetMgAl.

4.2.2 Intera tion ee tive dans l'espa e

0p1s0d

Pour étudierles noyaux de

17

Fet d'

17

O , il fautse pla er dans l'espa e

on-struitàpartirdesdeux ou hesmajeuresd'os illateur

0p

et

1s0d

.Pour etespa e, nous avons utilisé une intera tion onstituée de trois parties:

 l'intera tionde Cohen-Kurath [58℄ entre lesétats de la ou he

0p

;  l'intera tionde Brown-Wildenthal [86, 87, 88, 89℄dans la ou he

1s0d

;  enn l'intera tion de Kahana, Lee et S ott [90℄, onstruite à partir d'une

matri e

G

, pour lesélémentsde matri eentre les deux ou hes.

Nous avons modié de manière phénoménologique la dernière partie de ette

intera tion. Nous avons pro édé de la façon suivante : les énergies des états

in-dividuels de la ou he

1s0d

ont été obtenues à partir d'une formule, donnée par Gemo, ajustée sur toute la table de masse [91℄. Ensuite, nous avons ajusté les

monoples roisés de manière à reproduire les spe tres de l'

15

N, de l'

15

O et du

17

F.Pouréviterquelessolutionssoientpolluéesparlesétatspropresdu entrede

masse, nous avons utilisée laméthode standard proposée par Gloe kner-Lawson

[31℄qui onsisteàajouter àl'hamiltonienun terme inétiquedu entre demasse.

Les états de parité naturelle (positive) sont onstruits en ne prenant en ompte

quelesex itations

0¯hω

, euxdepariténonnaturelle ommedesex itationspures

1¯hω

. On saitbien évidemment que le noyau d'

16

O (et de

17

F,

17

O) aune

pro-portionnonnégligeable d'ex itation

2p − 2h

(

3p − 2h

)et

4p − 4h

(

5p − 4h

)même dans lesniveaux de basse énergie[92, 93℄. Maisla prise en ompte des mélanges

ave es ongurations omplexesn'estpastriviale.Toutd'abord,lessolutionsde

modèleen ou hes prenanten omptedes ex itations

N

¯hω

onvergentlentement ave

N

. Si onse limite à

N

= 2

par exemple, on onstate que les ongurations

0¯hω

a quièrent trop d'énergie de liaison, e i étant dû àl'appariement

2¯hω

déjà présent de manière ee tive dans les ongurations pures

0p − 0h

. On peut or-rigerarti iellement eteeten modiantlesmonoplesdemanièreàabaisserles

ongurations

N

¯hω

, mais la prise en ompte de orrélations d'ordres supérieurs poseraitensuitelemêmeproblème.Ensuite,lepointdedépartdenotre al ulest

une asso iation de deux intera tions

0¯hω

dans les ou hes

0p

et

1s0d

, es inter-a tionprenantdéjàen omptedemanièreee tiveleseets dusaux orrélations

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