• Aucun résultat trouvé

1. concours général 1990 - exercice 2 énoncé

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "1. concours général 1990 - exercice 2 énoncé"

Copied!
5
0
0

Texte intégral

(1)

Énoncé

Indications solution

Page d’accueil

Page de Titre

JJ II

J I

Page1de5

Retour

Full Screen

1. concours général 1990 - exercice 2 énoncé

Un jeu est constitué de pièces en forme de tétraèdres réguliers d’arêtes de longueur 1.

Toutes ces pièces ont été peintes à l’aide d’une palette de ncouleurs : chaque face d’un tétraèdre est peinte d’une seule couleur et on précise que les quatre faces d’un tétraèdre ne sont pas nécessairement de couleurs distinctes. Déterminer le nombre maximum de pièces de ce jeu sachant que le jeu ne contient pas deux pièces identiques.

(2)

Énoncé Indications solution

Page d’accueil

Page de Titre

JJ II

J I

Page2de5

Retour

Full Screen

Fermer

Quitter

2. concours général 1990 - exercice 2 Solution 1

Soitf(n)le nombre de bifaces différents peints avec une palettes de ncouleurs.

Soita1, ..., an les couleurs d’oùf(n) =n+f(n−1) orf(1) = 1 nombre de facesan nombre de bifaces différents

2 1 1 n−1 0 f(n−1)

d’où

n

P

k=2

(f(k)−f(k−1)) =

n

P

k=2

k=n(n+1)2 −1 =f(n)−f(1)

d’oùf(n) = n(n+1)2 soit g(n)le nombre de"trifaces "( tétraèdre régulier dont on banalise une face ) différents peints avecncouleurs :

nombre de facesan nombre de ” trifaces ” différents 3 1

2 n−1 1 f(n−1) 0 g(n−1)

(3)

Énoncé Indications solution

Page d’accueil

Page de Titre

JJ II

J I

Page3de5

Retour

Full Screen

Fermer

d’où

g(n) = n+f(n+ 1) +g(n−1)

= 2n+n(n+ 1

2 +g(n−1)

= n(n+ 1)

2 +g(n+ 1) donc

n

X

k=2

(g(k)−g(k−1)) = 1 2

n

X

k=2

(k2+k)

= g(n)−g(1)or g(1) = 1

= 1

2(n(n+ 1)(2n+ 1

6 +n(n+ 1) 2 −2) d’où

g(n) = n(n+ 1)(2n+ 1)

12 +n(n+ 1) 4

= 1

12[n(n+ 1)(2n+ 1 + 3)]

= n(n+ 1)(n+ 2) 6

(4)

Énoncé Indications solution

Page d’accueil

Page de Titre

JJ II

J I

Page4de5

Retour

Full Screen

Fermer

Quitter

nombre de facesan nombre de tétraèdres réguliers peints 4 1

3 n−1 2 f(n−1) 1 g(n−1) 0 h(n−1)

h(n) =n+f(n−1) +g(n−1) +h(n−1)

h(n)−h(n−1) = n+n(n−1)

2 +n(n−1)(n+ 1) 6

= n(n+ 1)

2 +n(n+ 1) 2 .n−1

3

= n(n+ 1)

2 (1 +n−1 3 )

= n(n+ 1)(n+ 2) 6

= 1

6 n3+ 3n2+ 2n

(5)

Énoncé Indications solution

Page d’accueil

Page de Titre

JJ II

J I

Page5de5

Retour

Full Screen

donc

h(n)−h(1) =

n

X

k=2

(h(k)−h(k−1))

= 1

6

n

X

k=2

k3+1 2

n

X

k=2

k2+1 3

n

X

k=2

k

= 1

24n2(n+ 1)2+ 1

12n(n+ 1)(2n+ 1) + 1

16n(n+ 1)−3 orh(1) = 3 d’où

h(n) = 1 24

n2(n+ 1)2+ 2n(n+ 1)(2n+ 1) + 2n(n+ 1)

= 1

24n(n+ 1) [n(n+ 1) + 4n+ 2 + 4]

= 1

24n(n+ 1)(n+ 2)(n+ 3)

= (n+ 3)!

4!(n−1)!

= Cn+34

Références

Documents relatifs

Il existe autant de boîte de poids que de décompositions de de la masse totale en somme (non ordonnée) d’entiers ≥ 1.. On peut voir que les boîtes 3 et 4 le sont aussi en

Il suffit de constater que f est un polynôme en x de degré 3 et de penser que deux polynômes distincts de degré 3 ne peuvent prendre la même valeur qu’en au plus trois points, car

Démontrer qu’il existe une infinité d’entiers n pour lesquels I n vaut 3 et donner le plus petit

Soit Σ une demi-sphère et P le plan contenant son cercle

Une projection oblique conserve aussi les propriétés affines ; le début de cette question peut alors être raccourci en construisant un triangle équilatéral sur un des côtés

[r]

Pour que les six sommets D, E, F, G, H et I de nos carrés soient cocycliques, on exprime les mêmes conditions en chaque sommet du triangle, soit le triangle est isocèle en ce

Remarquons que pour obtenir la plus petite période P, il faut sélectionner le deux premiers termes égaux de rang distinct de la suite (u n ) n∈ N , et que notre démonstration ne