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Rapport de Russell sur la gestion active

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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La hausse de Valeant Pharmaceuticals complique la tâche des gestionnaires de placements axés sur la valeur et de ceux axés sur les dividendes :

■ Seulement 39 % des gestionnaires axés sur la valeur et 34 % des gestion- naires axés sur les dividendes ont battu l’indice de référence pour le premier trimestre de 2015 ; contre 75 % des gestionnaires axés sur la croissance.

■ Les gestionnaires axés sur la croissance ont surpassé leurs homologues axés sur la valeur pour le quatrième trimestre consécutif.

■ Un premier coup d’œil au T2 de 2015 montre, dans le cas des gestionnaires actifs, des résultats mitigés, semblant dépendre de la sélection de titres.

Alors que 2015 a débuté sur une note saine en ce qui concerne l’indice composé S&P/TSX, qui a gagné 2,6 % au premier trimestre après deux trimestres négatifs, et la majorité des gestionnaires de titres à grande capitalisation au Canada ont fait face à un défi additionnel dans le secteur pharmaceutique. Valeant

Pharmaceuticals International a bondi de 50 % au cours du trimestre et a représenté plus de la moitié du gain de l’indice de référence, mais seulement 35 % des gestionnaires de titres à grande capitalisation au Canada détenaient du Valeant au début de 2015. Malgré cet obstacle, 53 % des gestionnaires canadiens de titres à grande capitalisation ont battu l’indice de référence au premier trimestre, comparativement à 65 % au quatrième trimestre de 2014. De plus, le gestionnaire médian de titres à grande capitalisation a inscrit un rendement de 2,9 %, surpassant légèrement l’indice de référence.

Kathleen Wylie Responsable de la recherche sur les actions canadiennes Investissements Russell Canada Limitée Mme Kathleen Wylie, responsable de la recherche sur les actions canadiennes pour Investissements Russell Canada, est membre d’une vaste équipe mondiale d’analystes, qui suit de près la performance des gestionnaires actifs.

Le Rapport de Russell sur la gestion active au Canada est basé sur les données récemment publiées par 150 gestionnaires de portefeuilles institutionnels (les données sont exprimées avant le prélèvement des frais).

MAI 2015

Rapport de Russell sur la gestion active

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T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3

Source: Investissements Russell Canada Limitée Moyenne à long terme

Un meilleur début d’année par rapport à l’an dernière

19992000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015

% DES GESTIONNAIRES À GRANDE CAPITALISATION QUI ONT OBTENU DES RENDEMENTS SUPÉRIEURS

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Le marché canadien est sensible aux questions de concentration. Par exemple, le cas de Nortel dans les années 1998 et 1999 et, ces dernières années, le poids important des titres des ressources, des services financiers et des aurifères dans l’indice ont compliqué le travail des gestionnaires à différentes reprises. Valeant est le plus récent problème de concentration, car il s’agit du troisième plus gros titre dans l’indice avec un poids relatif de plus de 4 %. Certains trimestres, la concentration complique la tâche des gestionnaires actifs s’efforçant de battre l’indice de référence alors qu’un des plus gros titres ou secteurs de l’indice monte en flèche.

Malgré ces obstacles, en moyenne, 58 % des gestionnaires de titres à grande capitalisation ont battu l’indice de référence ces cinq dernières années, le gestionnaire médian devançant l’indice de plus de 40 points de base en moyenne par trimestre. Ces 10 dernières années en moyenne par trimestre, 54 % des gestionnaires de titres à grande capitalisation ont battu l’indice de référence, alors que le rendement médian se situait à près de 20 points de base au-dessus de celui-ci et que le gestionnaire du premier quartile avait environ 150 points de base d’avance.

Voilà pourquoi nous pensons que les gestionnaires actifs accomplis peuvent ajouter de la valeur sur le long terme.

Étendue des secteurs moins grande au premier trimestre

L’étendue des secteurs a été légèrement moins favorable au premier trimestre de 2015, avec six secteurs sur 10 qui ont surpassé l’indice de référence, un recul par rapport à huit au quatrième trimestre de 2014. En outre, les gestionnaires de titres à grande capitalisation ont été favorablement positionnés dans six des secteurs, aidés principalement par leurs surpondérations moyennes aux secteurs dépassant l’indice de référence – technologies de l’information, consommation discrétionnaire et consommation de base – et de leurs sous-pondéra- tions dans les trois secteurs les plus en retard sur la référence : les télécommunications, les services financiers et l’énergie. Quant aux métaux précieux, ils ont monté de 3,9 % au premier trimestre après un recul de près de 14 % au quatrième.

Les gestionnaires de titres à grande capitalisation ont en moyenne débuté le trimestre en sous-pondération de 2,2 % dans les aurifères, et la vigueur des titres de ce secteur a donc nui dans une certaine mesure à leur rendement par rapport à leur référence.

Cette sous-pondération chez les gestionnaires est la plus faible depuis que Russell a commencé à suivre les données de près. Le poids des actions du secteur de l’or dans l’indice a commencé le trimestre à 4,2 %, sensiblement en baisse par rapport à une pointe de 14 % en 2011, quand les gestionnaires de titres à grande capitalisation étaient sous-pondérés de près de 6 % en moyenne.

Les gestionnaires axés sur la valeur et ceux axés sur les dividendes ont souffert le plus durant le trimestre

La poussée de Valeant durant le trimestre a eu le plus grand effet négatif sur les gestionnaires axés sur la valeur et sur ceux axés sur les dividendes, dont beaucoup ne détenaient pas ce titre. Seuls 13 % des gestionnaires axés sur la valeur et 11 % des gestionnaires axés sur les dividendes détenaient du Valeant au début du trimestre, et cela a compliqué toute tentative de leur part de battre l’indice de référence. Seulement 39 % des gestionnaires axés sur la valeur et 34 % des gestionnaires axés sur les dividendes ont réussi à battre l’indice de référence au premier trimestre, une baisse par rapport à 52 % et 57 % au quatrième trimestre de 2014. Les gestion- naires axés sur la valeur et ceux axés sur les dividendes auraient également été pénalisés par la hausse des aurifères. En moyenne, les gestionnaires axés sur la valeur étaient sous-pondérés de 2,8 % dans les aurifères au début du trimestre et les gestionnaires axés sur les dividendes étaient sous-pondérés de 3,1 %.

Valeur moyenne à long terme (10 ans) = 51 % Source : Investissements Russell Canada Limitée

utilisant les données de l’univers Russell

2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015

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39 % des gestionnaires de valeur surclassé l’indice au T1

% DES GESTIONNAIRES DE TITRES À GRANDE CAP.

AXÉS SUR LA VALEUR QUI ONT DÉPASSÉ L’INDICE

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Moyenne depuis le T4 2008 = 56 % Source: Investissements Russell Canada Limitée

à partir des données de l’univers Russell

34 % des gestionnaires axés sur les dividendes en avance au T1

2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015

% DES GESTIONNAIRES À GRANDE CAPITALISATION AXÉS SUR LES DIVIDENDES QUI ONT OBTENU DES RENDEMENTS SUPÉRIEURS

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Rapport de Russell sur la gestion active 3

D’autre part, 75 % des gestionnaires axés sur la croissance ont battu l’indice de référence au premier trimestre. Les gestion- naires axés sur la croissance étaient moins sous-pondérés dans les aurifères, de 1,4 % seulement en moyenne, et la majorité d’entre eux (67 %) détenaient du Valeant, ce qui a contribué aussi à leur résultat par rapport à l’indice de référence. Le rende- ment du gestionnaire médian axé sur la croissance a été de 4,3 %, comparativement à seulement 1,5 % pour les gestionnaires axés sur la valeur et 1,6 % pour ceux axés sur les dividendes au premier trimestre.

Pour un quatrième trimestre consécutif, les gestionnaires axés sur la croissance ont surclassé les gestionnaires axés sur la valeur.

Les gestionnaires axés sur la croissance ont peiné pendant la crise financière, en particulier en 2011 et 2012, lorsque le marché récompensait le plus les gestionnaires axés sur la valeur et ceux axés sur les dividendes, mais la marée semble avoir changé de direction l’an dernier. Nous avons observé que les styles de placement peuvent « avoir la cote » puis la perdre et cela explique pourquoi une approche multi-styles, multi-gestionnaires est essentielle pour aider à réduire la volatilité.

Rendements négatifs des banques diversifiées durant le trimestre

Le rendement des banques diversifiées a aussi eu un impact sur celui des gestionnaires de titres à grande capitalisation durant le trimestre. Ensemble, elles ont chuté de 3,9 %, cinq des six plus grandes banques se classant parmi les 10 plus grands titres ayant produit une contribution négative. Bien que les gestionnaires de titres à grande capitalisation aient globalement sous-pondéré ce groupe de 4,1 % au début du trimestre, trois de ces banques — la Banque Royale, la Banque de Nouvelle-Écosse et la Banque Toronto-Dominion — étaient détenues par au moins 80 % des gestionnaires de titres à grande capitalisation, de sorte que leur rendement a influencé négativement les résultats par rapport à l’indice de référence. Ces trois titres étaient aussi plus largement détenus par les gestionnaires axés sur les dividendes, ce qui a contribué à expliquer pourquoi les gestionnaires axés sur les divi- dendes sont arrivés sous l’indice de référence.

Les gestionnaires de titres à petite capitalisation rebondissent après avoir pris du retard en 2014

Le rendement du gestionnaire médian de titres à petite capitalisation a été de 3,5 % au premier trimestre de 2015, devançant de 2,9

% le gestionnaire médian de titres à grande capitalisation. Les gestionnaires de titres à petite capitalisation avaient pris du retard par rapport à leurs homologues des titres à grande capitalisation dans les deux derniers trimestres de 2014, après les avoir devancés pen- dant 6 trimestres consécutifs. Les petites capitalisations ont été devancées par les grandes capitalisations, le rendement de -0,3 % de l’indice des titres à petite capitalisation S&P/TSX étant devancé par celui de 2,6 % de l’indice composé S&P/TSX.

Le rendement du gestionnaire médian de titres à petite capitalisation a été bien supérieur à celui de l’indice de référence au premier trimestre, car 80 % des gestionnaires de la catégorie ont battu le rendement de l’indice des titres à petite capitalisation S&P/TSX. L’étendue de la répar- tition sectorielle a été modeste, six des 10 secteurs battant l’indice de référence. Comme dans le volet des grandes capitalisations, le secteur des soins de santé a été le plus performant et le plus fort contributeur au rendement de l’indice, ce qui aurait nui aux gestionnaires de titres

à petite capitalisation qui étaient en moyenne sous-pondérés dans ce secteur. Dans l’ensemble, les gestionnaires de titres à petite capitalisation ont été avantagés en surpondérant les services financiers, la consommation discrétionnaire et les services de télécommunications, qui ont surpassé l’indice. Le plus grand contributeur à leur rendement par rapport à l’indice a été le secteur des matières, qui a été le deuxième secteur le moins performant et dans lequel ils étaient sous-pondérés de 15 %. L’énergie a été le secteur le moins performant, mais les gestionnaires de titres à petite capitalisation étaient légèrement surpondérés. L’énergie ne représente que 13 % du poids de l’indice des petites capitalisations, contre 23 % dans l’indice composé S&P/TSX.

Bien que les rendements des gestionnaires de titres à petite capitalisation puissent être volatils, ils ont ajouté avec le temps une valeur appréciable par rapport à l’indice et par rapport aux gestionnaires de titres à grande capitalisation. Ces dix dernières années, le rendement du gestionnaire médian de titres à petite capitalisation a devancé l’indice de référence de 165 points de base en moyenne par trimestre et a battu celui du gestionnaire médian de titres à grande capitalisation d’environ 50 points de base en moyenne par trimestre.

-4 % -2 % 0 % 2 % 4 % 6 % 8 % 10 %

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Alpha moyen à long terme (10 ans) = 1,64 % Source: Investissements Russell Canada Limitée

à partir des données de l’univers Russell

Les gestionnaires à petite capitalisation affichent encore une nette avance au T1

2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015

ALPHA DES GESTIONNAIRES DE TITRES À PETITE CAP.

(RENDEMENT MÉDIAN DES GESTIONNAIRES MOINS INDICE S&P/TSX PETITES CAP.)

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Gestion active... mitigée jusqu’à présent au second trimestre

Le marché prend un départ solide au second trimestre avec une hausse de 2,4 % de l’indice composé S&P/TSX pour le mois d’avril. Pourtant, l’environnement de la gestion active semble moins favorable, avec seulement quatre des 10 secteurs en avance sur l’indice de référence (par rapport à six sur 10 au premier trimestre), et l’énergie et les matières étant les secteurs les plus performants. Dans l’ensemble, les gestionnaires de titres à grande capitalisation semblent être favorablement positionnés dans seulement deux des 10 secteurs, mais la sélection de titres a également un impact significatif au deuxième trimestre. L’énergie est le secteur le plus performant et bien que les gestionnaires de titres à grande capitalisation sous-pondèrent le secteur en moyenne, Canadian Natural Resources et Suncor sont encore détenus largement et surpassent l’indice de référence jusqu’ici ce trimestre. Compensant cela en partie, il y a eu Encana — le deuxième plus fort contributeur du secteur de l’énergie en avril — en hausse de 21 % et détenu par moins de 40 % des gestionnaires de titres à grande capitalisation.

Les gestionnaires continuent aussi d’être malmenés par la vigueur de Valeant Pharmaceuticals et des aurifères, qui ont damé le pion à leur indice respectif en avril. Sur une note positive, les actions des banques diversifiées rebondissent ce trimestre, à l’exemple de la Banque Royale, de la Banque de Nouvelle-Écosse et de la Banque Toronto-Dominion.

Il est toujours difficile de repérer si tôt dans le trimestre le style qui va surpasser les autres. Sur la base du positionnement de l’ensemble des secteurs et compte tenu de la vigueur des aurifères et de Valeant, les gestionnaires axés sur la croissance devraient surpasser leur indice à nouveau. Cela dit, les gestionnaires axés sur les dividendes étant ceux qui détiennent plus largement les titres bancaires les plus performants, cela pourrait aider leur rendement. Il est trop tôt pour se prononcer en faveur d’un style, car la situation change de jour en jour. Cela tiendra à la sélection des titres.

Les gestionnaires axés sur la croissance présentent actuellement leurs plus fortes surpondérations dans les secteurs des tech- nologies de l’information et de la consommation discrétionnaire et leurs principales sous-pondérations dans les services finan- ciers et les télécommunications. Les gestionnaires axés sur la valeur ont eux aussi leurs principales surpondérations dans les secteurs des technologies de l’information et de la consommation discrétionnaire et leurs principales sous-pondérations dans les services financiers et l’énergie. Les gestionnaires axés sur les dividendes détiennent leurs plus fortes surpondérations dans les services publics et la consommation discrétionnaire et leurs principales sous-pondérations dans l’énergie et les matières.

2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015

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Croissance moyenne à long terme (10 ans) = 54 % Source: Investissements Russell Canada Limitée

à partir des données de l’univers Russell

75 % des gestionnaires de croissance ont surclassé l’indice au T1

% DES GESTIONNAIRES DE CROISSANCE À GRANDE CAPITALISATION QUI ONT OBTENU DES RENDEMENTS SUPÉRIEURS

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CORP-2015-05-04-0002 (EXP-05-2016)

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