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Désintégrations de 2 états du tellure 115 1/2+ (T 1/2 = 7,5 min) et 7/2+ (T1/2 = 6,0 min)

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00208205

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00208205

Submitted on 1 Jan 1974

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Désintégrations de 2 états du tellure 115 1/2+ (T 1/2 = 7,5 min) et 7/2+ (T1/2 = 6,0 min)

A. Charvet, R. Chery, Do Huu Phuoc, R. Duffait, M. Morgue

To cite this version:

A. Charvet, R. Chery, Do Huu Phuoc, R. Duffait, M. Morgue. Désintégrations de 2 états du tellure 115 1/2+ (T 1/2 = 7,5 min) et 7/2+ (T1/2 = 6,0 min). Journal de Physique, 1974, 35 (11), pp.805-811.

�10.1051/jphys:019740035011080500�. �jpa-00208205�

(2)

DÉSINTÉGRATIONS DE 2 ÉTATS DU TELLURE 115

1/2+ (T1/2

=

7,5 min) ET 7/2+ (T1/2

=

6,0 min)

A.

CHARVET,

R.

CHERY,

DO HUU

PHUOC,

R. DUFFAIT et M. MORGUE Institut de

Physique Nucléaire,

Université Claude-Bernard de

Lyon

et Institut National de

Physique

Nucléaire et de

Physique

des Particules

43,

bd du

11-Novembre-1918,

69621

Villeurbanne,

France

1((Reçu

le 20 mai

1974)

Résumé. 2014 L’étude de la

désintégration

du 115Te a

permis

de mettre en

évidence,

deux activités

distinctes de

périodes

7,5 ± 0,3 min et

6,0 ± 0,2

min. Au moyen de détecteurs

Ge(Li)

nous avons

mesuré les spectres 03B3 directs et en coïncidence. Nous avons établi un schéma de niveaux du 115Sb permettant de

placer

29 des 38 transitions 03B3 identifiées. Les résultats sont discutés dans le cadre du modèle des couches et les deux activités sont attribuées aux désexcitations des états

1/2+ (7,5 min)

et

7/2+ (6 min).

Nous n’avons pas pu mettre en évidence de transition

isomérique

entre ces 2 états.

Abstract. 2014 In a

study

of the

decay

of 115Te two activities with half-lives of 7.5 ± 0.3 min and 6.0 ± 0.2 min have been observed. By means of

Ge(Li)

detectors, both

single

and

coincidence 03B3

spectra have been measured. Of the 38

transitions,

which have been

identified,

29 can be

placed

in the level scheme of 115Sb. The data are discussed in the framework of the shell model. The activities are

assigned

to

1/2+ (7.5 min)

and

7/2+ (6 min)

states. There was no evidence for the

isomeric transition between these two states.

Classification Physics Abstracts

4. 220 - 4 . 240 - 4 . 460

1. Introduction. - La nature de l’état fondamental du

lISTe

n’est pas établie

jusqu’à présent

de

façon

certaine. D’une

part,

l’étude de la

désintégration

d’un

état

isomérique 11/2-,

de

période

6 ps, conduit

Brinckmann, Fromm, Heiser, Rotter, Clark,

Han-

sen et Peterson

[1]

et

Vajda, Iordachescu,

Ivanov et Pascovici

[2]

à

proposer un

état fondamen-

tal

7/2+.

D’autre

part,

l’étude de la

désintégration p+

+ EC

liSTe -+ 1ISSb,

de

période

6

min,

par

,Reising

et Pate

[3]

et Shilin et Burmistrov

[4]

suggère

le

spin 1/2+

pour le même état. Le modèle des couches

prévoit,

par

ailleurs,

que les états du 63e neutron 3s

1/2

et

Ig 7/2

sont

probablement

très

proches.

Nous avons donc

repris

l’étude de la

désintégration

du

"5Te

afin de lever ce désac- cord en contrôlant très

précisément

les

périodes

et en faisant varier les conditions de

production

du

" 5Te.

2. Méthodes

expérimentales.

- 2. 1 PRODUCTION

DES SOURCES. - Les sources sont

produites

par réac- tion

(a, n)

sur des cibles

métalliques

enrichies à 80

%

en

112Sn

au

Synchrocyclotron

de l’Institut de

Phy- sique

Nucléaire. Un absorbant d’aluminium est inter-

posé

afin de réduire

l’énergie

des

particules

a de

54 MeV à une

énergie correspondant

au maximum

de

production

du

lISTe

aux alentours de 20 MeV.

2.2 SPECTRES y DIRECTS ET EN COÏNCIDENCE. - Nous avons utilisé deux détecteurs

Ge(Li),

l’un de

4

cm’

et de 2 keV de résolution sur la raie de 1 332 keV du

6°Co,

l’autre de 66

cm’

et de

3,1

keV de résolution

sur la même raie.

L’énergie

des transitions y est mesurée en deux

temps :

a)

les transitions les

plus

intenses sont mesurées

simultanément avec des raies de sources

étalons, b)

ces transitions nous servent d’étalons lors d’un 2e

comptage

du

"5Te

seul.

Les

spectres

y ont été traités sur ordinateur MULTI-8

Intertechnique

et

également

sur un ordinateur

CDC 6600 à l’aide du programme SAMPO

[5].

Les

spectres

y en coïncidence sont réalisés entre les 2 détec- teurs

précédemment

décrits.

La

figure

1

présente

le

spectre

y direct obtenu avec

le détecteur de 66

cm’

à une

énergie

d’irradiation moyenne de 16 MeV.

2.3 MESURES DE PÉRIODES ET RAPPORT DE PRO- DUCTION. - L’intensité de la transition de

770,45

keV

obtenue avec une irradiation à la valeur moyenne de 23

MeV,

est apparue très différente de celle obtenue par Shilin et Burmistrov

[4].

La mesure

précise

de

la

période

de cette transition conduit à la valeur de

7,5 ± 0,3

min indiscutablement différente de celle

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019740035011080500

(3)

806

FIG. 1. - Spectre y direct enregistré avec le détecteur de 66 cm3.

des transitions de

723,57, 1 098,62, 1 326,84

et

1 380,58

keV

égale

à

6,0

±

0,2

min.

Il fallait d’abord s’assurer que cette transition était bien due à la réaction

(a, n)

sur

112Sn.

Pour

cela,

nous avons irradié de l’étain naturel

(1 % de 112Sn)

dans les mêmes conditions et vérifié

qu’elle

était pro- duite dans le même

rapport

que les transitions de

période 6,0

min. De

plus,

nous avons contrôlé que cette même transition

n’apparaît

pas par réaction

116Sn(d, 3n)

et n’est donc pas due à un isomère éven- tuel

de 115 Sb.

Elle

n’apparaît

pas non

plus

par réac-

tion 116Sn(a, 4n)

à 54 MeV et

n’appartient

donc pas à un isomère

du 116Te.

Cette transition de

770,45

keV

appartient

donc

bien à la

désintégration

d’un état du

11 sTe

différent de celui de

période 6,0

min. Nous avons alors étudié

le

spectre

y à différentes

énergies

d’irradiation par

interposition

d’absorbants d’aluminium de

0,7

mm

à 1 mm

d’épaisseur correspondant

à des

énergies

moyennes de 29 à 12 MeV. Le tableau 1 donne le

rapport il 770 111 1380

pour diverses

énergies Ea.

La

TABLEAU 1

Rapport

des intensités des transitions de

770,4

et

1 380,6

keV

en fonction

de

l’énergie

d’irradiation

transition de

1 380,6

keV a été utilisée de

préférence

à celle de

723,6

keV car cette dernière

devient

progres- sivement

complexe-raie

de 718 keV de

114Sb -

à

énergie Ea plus

élevée. L’évolution de ce

rapport suggère

que la transition de 770 keV

appartient

à

la

désintégration

d’un état de

spin plus

bas que

celui

de l’état de

période 6,0

min.

Les tableaux II et III donnent les

énergies

et inten-

(4)

sités des transitions y

appartenant

aux 2

désintégra-

tions. Le tableau IV donne les intensités des électrons de conversion mesurées par

Gonsior, Potempa

et

Senyavski [6]

et utilisées par Shilin et Burmistrov

[4].

Nous avons recalculé les coefficients de conversion

avec nos valeurs d’intensité y en

supposant

la nature M 1 de la transition de

723,6

keV. Cette

hypothèse

est

basée sur la nature - discutée au

paragraphe

3.4 -

d’états de

particules

2d

5/2

et

1 g 7/2

des niveaux fonda- mental et à

723,6

keV. Un éventuel

mélange

Ml + E2

modifierait de moins de 15

%

les coefficients de conver-

sion ainsi déterminés.

3. Etablissement des schémas de

désintégration

et

discussion. - 3.1 SCHÉMAS DE DÉSINTÉGRATION. - A

partir

des résultats des coïncidences y-y

(Tableau V),

il est

possible

de construire 2 schémas de

désintégra-

tion

permettant

de

placer

23 des 31 transitions de

période

6 min et 6 des 7 transitions de

période 7,5

min.

Ces schémas sont

présentés

sur les

figures

2 et 3. Nous

retrouvons certains des niveaux établis par

Shilin

et Burmistrov

[4] : 722,7, 771, 1 098, 1 326, 1 380,

2 320 et 2 387 keV. Par contre, nous infirmons les niveaux à

1 354,

2 207 et 2 689 keV et le

placement

des transitions de 374 à 427 keV. De

plus,

nous établis-

sons les

niveaux à 1071,6,1755, 2104,0 et 3 411,8 keV.

Il

apparaît qu’il

n’existe aucune alimentation directe de l’état fondamental du

11 sSb

de nature

5/2 + [7].

Nous avons vérifié

expérimentalement

ce fait à

partir

de l’intensité de la raie d’annihilation de 511 keV

(5)

808

TABLEAU III

Liste des raies y de l’activité de

période 7,5

min :

a)

la valeur

1 (770,44)

= 20 est

prise

comme intensité

de

référence. Cette

valeur

correspond

à son intensité

dans les unités du tableau II

lorsque l’énergie

d’irra-

diation est de 16

MeV ; b)

transitions

pouvant posséder

une

faible composante

de

période

6 min.

d’une

part

et de l’étude du

spectre p+

d’autre

part.

Ce

spectre enregistré

à l’aide d’un détecteur

Si(Li) présente

une

énergie fi’

maximum de 2 680 ± 50 keV=

(Fig. 4)

en accord avec

Reising

et Pate

[3]

et les

tables de masse de

Wapstra

et Gove

[8]

et de

Garvey, Gerace, Jafi’e,

Talmi et Kelson

[9]

à condition de consi-

dérer que la branche

fi’ d’énergie

maximum alimente

le niveau à

723,6

keV. Une même valeur de diffé-

rence de masse de 4 420 keV a été

prise

pour déter- miner les

log ft

des 2

désintégrations.

Cette

approxi-

mation est

justifiée

au

paragraphe

3.3.

3.2 NATURE DES ÉTATS

DU "5Te. -

Brinckmann

et al.

[1]

et

Vajda et

al.

[2]

ont étudié un niveau iso-

mérique du "’Te

de

période

6 J.1S attribué à l’état

11/2- qui

se désexcite par une transition M2 de 280 keV

sur un niveau

7/2+

que ces auteurs considèrent comme

étant l’état fondamental. Le modèle des couches et la

comparaison

avec les noyaux de Tellure

impairs

voisins

(voir Fig. 5),

nous conduisent à

envisager

l’existence d’un état 3s

1/2 proche

de l’état

1g 7/2.

TABLEAU IV

Coefficients

de conversion et

multipolarités

des transitions déduits des mesures

d’électrons

de Gonsior

[6]

et de nos valeurs d’intensité y

TABLEAU V

Résultats des

expériences

de coïncidences y -- y

Nous identifierons l’activité de

période 6,0

min à

l’état de haut

spin 7/2+

et l’activité de

période 7,5

min

à l’état de bas

spin 1 /2 + .

Cette

interprétation

est cohérente avec l’absence

d’alimentations directes vers l’état fondamental du

11 s Sb

de nature d

5/2.

Pour l’état

1 /2 +,

cela corres-

pond

à une transition interdite du 2e

ordre ;

pour l’état

7/2+,

cela

correspond

à une transition interdite 1 : g

7/2 -

d

5/2.

On retrouve cette même interdiction dans les

désintégrations

des noyaux voisins de

113Sb

et

111Sb [10].

(6)

FIG. 2. - Schéma de désintégration du 115Te de période 6 min.

3. 3 RECHERCHE DE LA TRANSITION

ISOMÉRIQUE.

- On

peut

s’attendre entre les états

7/2+

et

1/2+

à une

transition

isomérique

M3

représentant

une

partie

de

la

désintégration

du niveau le

plus

élevé. Nous avons

recherché dans le

spectre d’électrons,

mesuré avec un

détecteur

Si(Li)

de

3,7

keV de résolution sur la raie K - 1 063 keV du

207 Bi,

une transition de très basse

énergie

fortement convertie. Nous n’avons pas pu mettre en évidence de raie

électronique d’énergie supérieure

à 15 keV

correspondant

à cette éventuelle

transition

isomérique.

Nous en déduisons que la différence

d’énergie

entre les 2 états du

’15Te

est inférieure à 20 keV. En

conséquence, compte

tenu

de la

systématique

des facteurs de retard des transi-

tions

M3,

la transition

isomérique

ne

représenterait qu’une

faible

partie

de la

désintégration

du niveau

le

plus

élevé. C’est

ainsi,

par

exemple,

que dans le noyau voisin

de 113 Sn qui possède également

63 neu-

trons,

une transition M3 de 79 keV a

déjà

une

période partielle

de 22 min.

Cette faible intensité de la transition

isomérique

est d’ailleurs

confirmée

par la décroissance

parfaite-

ment

exponentielle

- dans les limites d’incertitude - des transitions de

723,6

et

770,4

keV.

Il ne nous est donc pas

possible

de déterminer la

position

relative des 2 états

1/2+

et

7/2+.

(7)

810

FIG. 3. - Schéma de désintégration du 115Te de période 7,5 min.

FIG. 4. - Droite de Kurie du spectre fl+ enregistré avec un détecteur Si(Li).

3.4 INTERPRÉTATION DES NIVEAUX

DU 115Sb. -

Les

spins

de niveaux

du 115Sb indiqués

sur les

figures

2

et 3 sont cohérents avec les valeurs des

log ft

et avec

FIG. 5. - Niveaux des noyaux de tellure impairs

(réf.

[1 ] et

[11 ]).

les coefficients de conversion des transitions. Le noyau

du 115Sb compte

64 neutrons et 51

protons

soit

1

proton

au-delà de la couche fermée à 50. Les pre- miers niveaux vont donc

représenter

les états du

modèle des couches soit successivement 2d

5/2 (fonda- mental) lg 7/2 (723 keV)

3s

1/2 (770 keV)

et 2d

3/2 (1 071 keV).

L’état 1 h

11 /2

n’est pas alimenté par la

désintégration

du tellure.

Ces

interprétations

sont

parfaitement

cohérentes

avec l’étude par réaction

(d, p)

de

Bassani, Conjeaud, Gastebois, Harar, Laget,

Picard et

Cassagnou [12]

dont les résultats sont confrontés à nos résultats par radioactivité sur les

figures

6a et 6b.

FIG. 6. - Premiers états excités du 11$Sb. a) Nos résultats par radioactivité. b) Résultats obtenus par réaction (p, d) [12].

Les niveaux

d’énergie comprise

entre 1 et

1,5

MeV

de

spin 5/2, 7/2, 9/2

résultent

probablement

du cou-

plage

entre l’état de

particule

d

5/2

et le coeur

pair- pair

vibrationnel

de 114Sn

dont le

premier phonon 2+

est à 1 299 keV. Plus

haut,

nous trouvons des niveaux

pouvant provenir

de

couplages

tels que

Il serait dans ces conditions intéressant d’effectuer

un calcul dans le cadre du

couplage

intermédiaire pour le noyau de

1 "Sb

comme cela a

déjà

été fait

pour d’autres noyaux

possédant

un nucléon en

plus

ou en moins d’une couche fermée.

(8)

[1] BRINCKMANN, H. F., FROMM, W. D., HEISER, C., ROTTER, H., CLARK, D. D., HANSEN, N. J. S. and PEDERSEN, J., Nucl. Phys. A 193 (1972) 236.

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[12] BASSANI, G., CONJEAUD, M., GASTEBOIS, J., HARAR, S., LAGET, J. M., PICARD, J. et CASSAGNOU, Y., Nucl.

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