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Texte intégral

(1)

MASTER

NEGA TIVE

NO. 91-80391-17

(2)

MCROFILMED 1991

COLUMBL^ UMVERSITY LIBR.^iRIES./NEW YORK

as part of the

'Toundations of Western Civilization Présentation Project"

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NATION.^L ENDOVvOvlENT FOR THE HUMA^TTIES

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accept a copy order if, in its judgement, fulfillment of the order

would involve violation of the copyright law.

(4)

AUTHOR:

DANGIBEAUD, EUTROPE

TITLE:

ETUDES HISTORIQUES

PLACE:

EVREUX

DA TE :

1863

(5)

Restrictions on Use:

COLUMBiA i:Nl\'i[l<SYYY lAimMUES

PRI'SiiKVAfKJN DiirAKlMliNr juin i()CRAFnic:Mf([{oi()K\rrAiu.fT

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(10)

ÉTUDES HISTORIQUES

SAINTES AU XVr SIÈCLE

(11)

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ETUDES

AU XVr SIÈCLE

LA COMMUNE —

L'ATELIER

DE

PALISSY

LA COUR DE

JUSTICE

PAR

M. DANGIBEAUD

AVEC ANNOTATIONS DR

M.

DE LA MORINERIE

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EVREUX

DE

L'IMPRIMERIE

D'AUGUSTE HÉRISSEY

1863

(12)

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La

Société archéologique de Saintes a disparu sans avoir publié

même

lescomptes rendus de sesséances. Il

reste d'elle un règlement, lesouvenir de quelques-uns de ses travaux, et surtout la

mémoire

de plusieurs de ses

membres.

La Commission

desarts et

monuments

de laCharente- Inférieure aprisla placedelaSociété archéologique.

La

nouvelleinstitution, sous lesauspicesde l'administration etavecleconcoursdes

hommes

dévouésquil'ontfondée, poursuit latâche

commencée

parsa devancière. C'est

son rôle

, et nous aimonsàconstater qu'elles'enacquitte avec tout le succèset toute l'autorité possibles; mais

un

héritage imposedes devoirs, et, parmices devoirs, il en est un dont nous saluerionsl'accomplissement de grand

cœur. Au nom

de la solidarité qui l'attache àlaSociété

276844

(13)

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-ifithî .4^ :Htii^i:»4i's voudrions

que

la

Commission

des Irtl.}fi^sf

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î'irdyë* bulletins,consacrât le souvenir de la ba\aille

compagnie

disparue; qu'elle en prît les tra- vaux, jusqu'à ce jour inédits, sous son patronage, les signalât particulièrement à l'attention des amateurs de notre histoire locale, appelât sureux l'intérêt qu'ils

mé-

ritent, et par ses

recommandations

inspirât le désir de leur publication,si elle ne les pouvaitéditer elle-même.

Ce

vœu

nous est suggéré par la

communication

de divers

mémoires que M.

Dangibeaud, juge au tribunalde Saintes, a lus, de 1841 à 1843, à la Société archéolo- gique, dontil était

un

des

membres

lesplusassidus.

Ces études historiques se distinguent par le

bon

aloi de l'érudition,l'élégance

du

style et la finesse des aper- çus; elles nous ont paru dignes d'être mises en lumière et nous avons songé à les livrer à l'impression.

Sur

notre

demande,

le fils de l'auteur, M.

Edouard

Dangi-

beaud, —

quineperdait cependantpasl'idée depublier

un

jour cesétudes avecd'autresmanuscrits de sonpère

,

nousa autorisé à prendre

un

telsoin *.

*Dans lapensée qu'une annotation detous lesnomsdel'Échevinage de Saintes qui figurent dans les mémoires deM. Dangibeaudpourrait offrirdel'intérêt,nous avons, autant que nosrecherchesfont permis, donné un souvenir àchacun des anciens administrateurs de la ville, jetant aussiçàetquelquesnotes de critiqueetdebibliographie.

3

11'fo

Cefaisant, nous entrons le premier dans lavoie

que

nousinriiauionsplus haut.

Le chemin

parcouru,

un

livre nousresteentreles

mains

: nous en faisonstout naturel- lement

hommage

à la

Commission

desarts.

Maintenant, quelqueslignesàla

mémoire

del'écrivain.

Nous

n'avons pas eu l'honneur de le connaître, mais la voix publique nous a souvent entretenu de lui, et nous

sommes un écho

répétantla note universelle.

M.

Dangibeaud

(Eutrope-Louis) naquit à Saintes le 13 fructidoran IX(30 août 1801).

Sa

famille,

que

latra- dition faitoriginaire d'Albanie, sereicontreà Saintesdès

la seconde moitié

du

xvi^ siècle, depuis François Angi- baut *, lieutenant

du

prévôt de Saintonge sous Henri IV.

Elle a occupé ensuite pendant quatre générations la

charge de prévôt de la province **, etplusieurs de ses

membres

ont rempli les fonctions judiciaires et

muni-

cipales.

*Ontrouvelenomécritoriginairement Angibaut, Angibault, Angi- baud, puis d'Angibaud et enfin Dangibaud ou Dangibeaud avec la

soudure delaparticule.

*

C'estpourPund'euxqued'Hozier,à VArmoriaideFrancede 1696 (GénéralitédelaRochelle), a réglélesarmoiries suivantes: De simple

alacroix d'or. '

(14)

Après

avoirfaitses études dedroità Poitiers, M.

Dan-

gibeaiid fut inscriten

1824

au barreau de Saintes; il s'y fit

remarquer

dès ses débuts par une instruction solide, une argumentation nourrie et

une

parole à la foissobre et élégante.

Son

penchant, aussi bien

que

le désir de continuer d'honorables traditions, l'attirait vers la car- rière de la magistrature. 11 fut successivement

nommé

près le tribunal civilde Saintes : juge auditeur en 1827, substitut en 1830, juge en

1833,

enfin, juge d'instruc- tion en 1844.

A

ce poste il borna toute son ambition, et cependant l'estime

que

les chefs de la cour de Poitiers professaientpour son talent et pour soncaractère lui eût facilité enplusieurs occasions, s'ilavait consenti à enpro- fiter,l'accès à des postes supérieurs; mais l'attachement qu'il portaitàsavillenatale et diverses considérationsde famille et deposition lui firent toujours préférerde rester à Saintes.

Le

souvenir de cet éminent magistrat est trop vivant encore

parmi

ses concitoyens pour

que nous

croyions nécessairederappelerici

combien

ilsut toujours faire preuve, dans l'exercice de ses devoirs,

de

haute raison, de vraie dignitéet de consciencieux

dévouement.

En

1833, M.

Dangibeaud

fut élu

membre

du conseil d'arrondissement de Saintes, et y

marqua

sa place, soit dansla discussion desintérêtsencause, parl'impartialité deses appréciations, soit dansl'exercice deses fonctions desecrétaire, par la lucidité de ses rapports. Il futplu-

sieurs foisquestion delui poursiégerau conseilgénéral;

mais il ne se mit jamais sur les rangs : il était danssa natured'éviterleplus possible lessituations qui devaient le placeren dehors du théâtrede son existence modeste.

Ajoutons qu'il fit longtemps partie

du

conseil municipal dela villedeSaintes,dont ilétudiait lesressourceset les besoinsavec la plusconstantesollicitude.

A

ses heures de loisir,

comme

délassement aux tra- vaux

du

tribunal et de l'administration, M.

Dangibeaud

s'occupaitde recherches sur Thistoire de la Saintonge et de l'ancienne

commune

de Saintes en particulier. Ses goûts et son érudition lefirent toutnaturellement entrer en 1839 dans la Société archéologique de cette ville.

11 a écritpour elleles

mémoires

pleinsd'intérêt

que

nous publionsence

moment*. Pendant

lecours del'année1839,

le baron Lemercier, alors maire par intérim, désigna M. Dangibeaud pour faire partie d'une commission de cinq

membres

chargée d'explorerlesarchives dela ville et d'en extraireles principaux

documents

historiques qui pouvaient s'y rencontrer **.

M. Dangibeaud

eut pour

* Nous les publions sans le moindre changement; laissant

même

à l'écrivain la responsabilité de l'orthographede ses citationsque nous n'avonspas contrôlée surlesoriginaux.

**LesautresmembresdecettecommissionétaientMM.lecomtePierre deVaudreuil,président;Moreau,bibliothécairede la ville,vice-prési- dent;xMoutlet, principalducollège; l'abbé Lacurie, secrétaire. Usfai- saientégalementpartiedelaSociété archéologique.

(15)

6 --

mission spéciale de

compulser

lesregistresdela Maison

Commune

àl'époque des guerres dereligion.

Son

analyse, faite avec

beaucoup

de soin,

comprend

les registres de

1570

à1600. Jurisconsulteetarchéologuetout àla fois, il s'est également livré à l'étude du droit coutumier de la

province, et il alaissé sur cette matière des manuscrits qu'ilserait désirable devoir publiés.

M.

Dangibeaud

était

doué

d'une grande sensibilité et d'une bonté à touteépreuve; il étaitserviablepourtous, et aussisévère

pour lui-même que

porté à l'indulgence à l'égard d'autrui. Il fut cruellement frappéparla mort de sa

femme,

survenue en 183G, etdix ansplus tard parla pertede l'une deses fdles.

La

douleur

que

lui causèrent ces

événements

fut si vive que, jointe aux fatiguesde travaux excessifs devant lesquels son zèle nerecula ja- mais, elle altéra progressivementsasanté.

M.

Dangibeaud

est

mort

à Saintes le 5

mars

1849, etdes regrets

unanimes,

encoreprésents, ontconsacréla

mémoire

decet

homme

debien, dansla personne duquel se trouvaient réunis au

suprême

degré la probité et le

désintéressement, l'amour

du

devoir et l'austérité des principes.

>1

IMLiNL DE SAINTES

PREMIER MÉMOIRE

LUA LA SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DESAINTES,DANSLA SÉANCE DU3JUIN iSki

LA MAISON COMMUNE — LES ÉCHEVINS

Je désire avant tout fixer lavaleur

du

titre

donné

àcet article, etvous dire dans quellepenséeje l'airédigé.

Je n'ai pas entendu faire l'histoire de la

Commune

de Saintes;je saiscequ'ilnem'est paspermisd'entreprendre;

d'ailleurs lesmatériauxm'auraient

manqué.

Mais quelques recherches danslesarchivesdel'Hôtelde Ville ontmis entre

mes

mains des documents qui peuvent ne pas êtresans intérêt,soitpourl'histoirede notre loca-

lité, soitpourcelledelaprovince, soit enfinpourl'histoire générale du pays. Et, à vrai dire, les

mêmes

éléments conviennent souvent à l'histoire envisagée sous ce triple pointdevue,tantontétégravesles événements accomplis à certaines époques dans l'ancienne province de Sain- tonge.

Un beau

travail surcetteprovince,

œuvre

detalent etde conscience, vient d'être

récemment

terminé. Son auteur,

(16)

i

qu'il

me

soit permis de le dire sans faire suspecter

mon

amitiépourlui,méritela reconnaissancedesamis de l'his- toire

K

Cependant, quelque longues qu'aient été ses veilles, quelquevariées qu'aient été ses investij^ations, l'historien peut rarement s'applaudir d'avoir tout découvert, d'avoir tout divulgué. Lessources de l'histoiresontsi

nombreuses

et si diverses!... ellessontsifécondes!... qui pourrait se flatterdelesavoir épuisées? D'ailleursl'histoirenedoitpas tout dire ; elle veut

marcher

rapidement; elle ne saurait s'arrêter à de médiocres détails, et son caractère grave éloigned'elle unefoule de faits auxquels elle peut recon- naître

un

mériterelatif sans consentir à les enregistrer.

Mais ces faits, ces détails nesont pas perdus pour les localités qu'ils intéressent. Les notices, les dissertations, les mémoires, aux formes moinssévères, aux alluresplus familières et plus libres, à la

marche

moins pressée, s'en emparent, et, toujours auxiliaires de l'histoire, ils recueillent ce que, parfois, celle-ci n'a pas découvert, ou développent ce qu'elle n'a fait qu'indiquer.

Nos archives municipales ont été, je crois,

peu

inter- rogéesjusqu'à ce jour, ou,

du

moins, leur explorationn'a pas laisséde traces durables. Elles sont

malheureusement

* M. Dangibeaiid parle ici de l'ouvrage de son beaii-frère, M. D. Massiou:

Histoire politique,civile etreligieusedelaSaiîitongeetde l'Autiis...6vol.in-8°:

les ier,2%3« et6«,Paris,Pannier, 1838;lesA' et5%Paris,Lance,etlaRochelle, Lacurie, 1836. C'estsanscontredituneœuvrede talent: lanarrationen est vive et attachante;maisécrit-onavecjusticeetavecimpartialitél'histoire des siècles etdes institutionspassés sous l'inspirationdes idées politiques de son propre temps? Unécrivain,avec detellesdispositionsd'esprit,commeartiste etcomme

juge, risquedeperdrelo tonet le sentiment de l'époquedontiltracelaligneet peintlaphysionomie.

bien incomplètes.Le temps,lesguerres,lesrévolutions ont exercé sur elles d'irréparables outrages. Des

documents

précieux ont disparu.Cependant elles doivent en posséder encore, et si la louable pensée de l'administration locale n'est pas

abandonnée,

le classement et le dépouillement des registres de notre ancien Échevinage révéleront des richesses encore ignorées2.

Telle est. Messieurs, l'impression qui m'est restée de recherches bien incomplètes encore. J'ai voulu vous en rendre juges et, sij'obtiens votre approbation, ajouter à d'importants travaux d'ensemble quelques faits isolés, qui pourront servirsoità lescompléter, soit àles faire

mieux

comprendre. Ceserad'ailleurspourmoi un

moyen

depayer

mon

tribut à l'affermissement et à la prospérité de notre Société.

Permettez-moide

commencer

par redire enpeu de mots ce que nous savons déjà des franchises municipales de la

Commune

de Saintes. C'est, je crois,

un

point de départ utile à établir ; peut-être éclairera-t-il quelques-uns des faits dontje

me

propose de vous rendre compte.

La

date précise del'érection de la

Commune

de Saintes n'estpas

connue

;mais toutporte àpenserquel'affranchis- sementdesbourgeoisde l'anciennemétropoledes Santons

* Rapprocher decepassagenotre Rapport sur les anciennes archives dela MairieetduPalaisde Justice de Saintes,imprimé dansleRecueildesDélibéra- tionsduConseilgénéraldelaCharente-Inférieure;session de 1862.LaRochelle, Mareschal, 1862,in-8°.Cerapport a ététiréà part,émondédeses fautes typogra- phiqueslesplus saillantes:Évreux,Hérissey, 1862,in-8°.

(17)

_

10 -™

futcontemporain

du mouvement

socialqui, au

commence- ment

duxii«siècle,enfanta,pleinesd'avenir,les

nombreuses

fédérationsdémocratiques

du moyen

âge3.

Cecis'induitdelacharte d'Aliénor d'Aquitaine, premier

monument

écrit des libertés

communales

de la ville de Saintes. Cette charte fut

donnée

à Niort, l'an

du

Verbe incarné 1199.

Ces libertés furent confirmées par Phihppe de Valois

,

parLouis XI qui, en1482, substitualacharge de Maireà celle des

deux

Jurés qui, jusquelà, avaient gouverné la ville 4.

3VoirlaMonographie de lavillede Saintes, par M. l'alibé Lacuric, dansle Hecueil des Actesde laCommissiondesArtsetMonumentsdelaCharente-Infé- rieure^ Saintes,Hus,in-8";tomeI^"-,5.Dan.^ cetteétudeintéressante,M.Lacurie retrace les originesdelaCommunedeSaintes entéesur lomunicipe romain.Il

est regrettablequenotresavantabbén'aitpassurveillédeprèslacorrectiondes épreuves de son travail; un peuplus d'attention lui eût faitrectifier biendes erreursdenoms.

4Cet alinéacontient quelquesinexactitudesque nous devonsrelever; ilexige deplusun complément.

D'Aliénor à LouisXIleslibertéscommunalesn'ontpas étéconfirmée^-' seulement parPhilippedeValois (1333. 1338. 1347); elles l'avaient été précédemmentpar PhilippeleHardi(1^9)etpar PhilippeleBel (1302);elles lefurent plus tardpar les Rois CharlesV,Charles VIet Charles VII,etpar Charles,duc de Guyenne.

QuantàLouisXI,illesconfirma en 1476eten1482.Direquec'est luiquisubstitua lacharge de Maireàcelledesdeux Jurésquijusqueavaientgouverné laVille estune doubleerreur,égalementreproduiteparM. LacuriedanssaMonographie.

L'administrationmunicipaleà Saintes n'apas toujours été exercée pardosJurés.

Avant l'époque citéepar M.Dangibeaud. le Corps deVille aeu des Mairesàsa tète.Nous ne voulons en donner quelespreuvessuivantes:lacharte octroyéepar PhilippedeValois,endécembre1347, porteexpressément: «Philippus, etc concedimus degracia speciali,quod ipsi etsuccessores suideceterocorpuset communitatem seu universitatem spectantibushabeant majorem quem quociens fueritet eis placuerit auctoritatepropria eligant et constituant proutmajor et scabini,burgenses et habitatoresvillenostrede Rupella,ipsiscommunitate, libertatibusetjuribusadeamspectantibusutipossunt...

Les considérantsdelachartede LouisXI du moisd'août1476 expliquentcom- mentpeuàpeuesttombé en désuétudel'office de Maire : Saintes, y est-ildit,

11

Elles le furent encore successivementpar CharlesVIII5,

François I^r 6^ Henri II 7, Charles IX 8, Henri III 9, HenriIVi<>, quiconsacraexpressément enfaveur desMaire

et Échevins le titrede noblesse

demeuré

incertainjusqu'à lui, et enfin par Louis XIII ^^

Lesfranchisesmunicipales delaVilleyCitéetFaubourgs de Saintessontrappeléesdansles lettrespatentesdeCharlesIX

du

moisd'avril 1561. Elles attribuaient au Corps deVille, entre autres beauxprivilèges : « la charge de lajustice et

« police deladiteville, connaissanceetjuridictionsur tous

«aeueletempspassé corps, colliege etcommunité;c'estassavoir,maire, pers et eschevins...,etjusques a ce que aumoyendes grans guerresquiletemps passé onteu coursaudit pays,ladictevilleetpaysd'environ ont esté dépopulez, diminuezetdesnuez dehabitans

,pourlaquellecausefurent despieçaaulieududit maire,ordonnezcertains jurez qui depuis onteu semblablementl'auctoritéqueavoit leditmaire,lesquelz jurez depuis, tantparnousque par nos prédécesseurs Roys de France,ont esteconfermez »

Et Charles VIII, plus explicite encore, dans le préambule de sacharte de mai 1492,après avoir rappelélesprivilègesaccordéspar ses ancêtres,s'exprime ainsi : «Nos prédeccesseurs... obmisdrentetlaissèrentde mectre exprimeret particulariser les previleiges, libertez... au lieu dudit maire, qu'ilz avoient faculté d'avoir, misdrentetordonnèrentdeuxjurés jaçois ce qu'ilz eneussent l)onnes Chartresetlettrespatentesetaucteniicques...»

L'autreerreurque noussignalonsetqui faitl'objetdenotreseconde remarque est celle-ci:ce n'estpas LouisXI,maisCharles VIII qui, serendant auxsollici- tations réitéréesdeshabitants,rétablit leMaireàlaplacedesJurés.

sCharlesVIII(1483. 1484.1492)etaussiLouis XII (1498).

6FrançoisI"(1517).

7 HenriII(1547).

8 CharlesIX(1561).

9HenriIII(1576).

•0Henri IV(1597).CeRoiaccordaeffectivementleprivilègedeNoblesseau Corps deVille,qui, à diverses reprisespendantle xvi« siècle, l'avaitsollicité;mais ce droit, toujours contesté,nereçutjamais qu'uneapplication précdire.Ilexistedes arrêtsduConseil d'Étatentièrementcontradictoires,lesunsfavorables,lesautres opposésaudit privilège. LouisXIV tranchalaquestion parla négative.

" Louis XIII (1612).

(18)

12

(( leshabitants

demeurant

en icollcetesfaubourgs;coher-

(( tion et contrainte touchant les guets, gardes et répa- a rations d'iceiles; ensemble la gardedes clefs des portes

(( deladite villedenuit etdejour, et de faire statuts,or-

(( donnances, cris etproclamations, inhibitions etdéfenses

(( publiques enladiteville etfaubourgs pourlebien, police

(( et

gouvernement

d'icelle, avec toute connaissance des

« denréesetmarchandises y venduesetexposées envente,

(( et de mulcter, le cas échéant, jusqu'à la

somme

de

(( 60 sous tournois et au-dessous; lesdites mulctes appli-

« cables au profit et affaires

communes

de laditeville; et

(( que lesdits Maire, Échevinset Pairsseraient perpétuel-

(( lement exempts et déchargés de toutes commissions

« publiques; aussi qu'ilspourroient acquérir,franchement

« de toutes finances et indemnité,fiefs, choses noblesou

« parties d'iccux,de gens nobles et autres.»

Ces privilèges furentaussi confirmés parLouis XIV, en 1644; mais, à leurgrandedouleur,leMaireetlesÉchevins nefurent pasmaintenus dans l'exemption dudroitd'aides, et ils furent privés du titre de noblesse pour lequel, à diverses époques,ils avaient fait tantde

démarches

etde sacrifices, ainsiquel'attestentplusieurs délibérationsécrites danslesregistresde l'Échevinage.

LesÉchevins s'assemblaientenla Maison

Commune

pour

y

traiterdesaffaires publiques, souslaprésidence

du Maire

et Capitaine dela FilleetCité.

Cette maison, à l'époque d'où partent

mes

recherches, c'est-à-direvers 1570, était.Messieurs,celle où vous venez de disposer votre

musée;

elle avait

une

salle basse et

une

sallehauteque nousreconnaissons très-biendansla dispo- sitionactuelle

du

local.Maislatourque vous voyezaujour-

13

d'hui n'existait pas alors. C'est dans le courant de 1587 que sa construction, entreprise

peu

d'années avant, fut terminée. Ildevait cependant en existerdéjàune, car, à Saintes

comme

ailleurs, lesÉchevins s'assemblaientau son dela campane, et lacloche qui, de nosjours encore, sertà rappelerauxhabitants certainsavismunicipaux, estd'une époqueantérieure,ainsiquel'attestel'inscriptionsuivante:

« Je fus faiete estant

Maire

Jehan Relyon, Van 155^ »2. » D'ailleurs, lebeflroi étant

un

desattributsdes

communes

,

cellede Saintes en possédaitnécessairementun.

Mais il est probable que l'ancienne touravait été gran-

dement endommagée

lors

du

siège de 1570,

comme

le furent les autres parties de l'Hôtel de Ville. Les nobles Échevins résolurent donc d'en construire une nouvelle.

Déjà, dans les premiers mois de 1584, ilsavaient décidé l'édification «d'un beau ethonnestepourtaildevantladicte

« Maison,

les armoyries

du

Roy, celles deladicte Ville

(( et pareillementcelles de

M^

leMaireseroient ».

Didier Vitry, maistre

maçon,

futchargé d'éleverle nou- veaubeffroi

communal,

qui devaitêtre

composé

d'une tour divisée danssahauteur par

deux

voûtes, d'une viset d'un

dôme

couronné par une lanterne.Ces quelques mots sont ladescriptionaussiexacteque complète delatouractuelle;

Jehan Relyon,contrôleurdestaillesenl'ÉlectiondeSaintes,Maire dela ville en 1552eten1569.

Probablementlemêmeque Jehan Relyon, devenuensuite présidentdel'Élection, etquiétaiten1576leseconddesÉchevinspar ancienneté.Le Corps deVillel'envoya cetteannéeavec sondoyend'âge,M delaClocheterie,auprès duRoideNavarre, alorsà Brouage.Au moisd'août1578, Relyon fitpartie d'une députation,com- poséeenoutrede Prahec,deleBreton,de GrelaudetdeHuon

,qui se rendit à Cognac au-devant desReines;celles-ci arrivèrent à Saintes le 2septembre. Ce furentRelyoo,Aymar, PrahecetSenne queleCorps municipaldésignapourporter lepoêle.Relyon comptait encore parmilesÉchevins on1.596.

(19)

14

ilne peut donc pasy avoirde doute sur son identité. Les Échevins s'étaient engagés à fournir les matériaux saîis discontinuation de l'œuvreafinquelabesougne futprorrjpte-

ment

terminée. Mais, à cetteépoque de détresse générale,

ils ne purent, faute d'argent, tenir leur promesse. Vitry leur adressa une

sommation

; il se plaignit « de ce qu'il

(( n'étoit fourni d'estoffes nécessaires pour le parachève-

«

ment

de latour » et protesta de ses dommages-intérêts.

Des mesures furent priseset le travailachevé. Le maistre maçonrequtdixécusd'indemnitéetperdit

néanmoins

trente écus dans son entreprise, ce qui, si nous en croyons la' supplique qu'il présenta alors aux Échevins, fut sa totale ruyne.

Les Échevinsseréunissaient tous les samedis, à l'heure de midi:ilsétaient avertisparlesonde lacloche;leGager deVille chargé dela sonnerétait

condamné

àla prison s'il

y

manquait. Mais ilfautbienlereconnaitre, sansprétendre cependantvaloir

mieux

aujourd'hui que nos nobles aïeux municipaux,l'exactitude n'étaitpas leurpremièrevertu.Le Corps deVille étaitrarement au complet; souventaussi le Conseil seséparaitsans avoirrienfait, fautede voix suffi- santes pour opiner. Aprèsle siège de 1570, les choses en étaient venues à ce point que le procureur du Roise vit

dans l'obHgation de fairedesréquisitions à ce sujet. 11ex- posa « qu'aucundesÉchevins, dont la plupart étoient ab-

(( sents,neseimmisçoitynefsejprésentoitàfairesondebvoir.

(( Les portes de la ville étoient ouvertes touteslesnuitset

(( l'on yentroit

comme

dans

un

village; la brèche

demeu-

« roitsansêtre redressée; les remparts sedémolissoientet

« les bois étoient emportés; les rues étoient tellement

(i infectes qu'il étoit impossible, sanspéril et offensede sa

15

(( personne, d aulcund'allerparifelles;ilyavoit enla ville

(( infiniesmaladies, etceuxquivenoientdes

champs

étoient

(( incontinentinfectéset saisisdes dictesmaladies;toutesles

(( autres choses concernant la police étoientassezmalré-

(( glées.»Le procureur

du

Roi requiten conséquence qu'il fut enjoint aux Maire, soubz-Maire et Échevins « de se

« retirer

promptement

en la villeet des'assembler enla

« Maison

Commune

d'icelle, pour donnerordreetpourvoir

(( eschoses susdictes, tellementqu'iln'en advint inconvé-

(( nientaulcunetqueleshabitants n'en fussent

endomma-

« gés; et ce sous peine de mille livresetde répondre en

(( leurs privez

noms

des inconvénients qui pourroient ad-

(( venir. »

Cette injonction fut en effet donnée. Gardrat, sergent royal,reçut ordredelasignifierà

Simon Goy

^3,pris

comme

Procureur delaVille;maiscelui-cidéclinalaqualitéqu'on

luidonnait,et lasignification fut faiteà François Pichon,le plus ancien des PairsetÉchevins^^.

13 Simon Goy,S""delaBesneet delaVallée.Nouslevoyonssurles listesde l'Échevinage d^s 1570. Il professait le culte réformé, et,avecses collèguesde cette religion,ilfut écartéprovisoirement du Corps deVilleen1572et remplacé paruncalholique;maissa réintégration eutlieupeu de temps après.\\figurait encore parmilesÉchevins en1592.

Lafamille Gcyadonné trois Maires à laVille, toustrois S'»de laBesne, savoir:Pierre Goy,en 1553et en1562; Etienne, en 1603, et Jehan, en1624et en1631. Cedernier était procureur duRoiauPrésidial;il avaitépouséM"^ de Montaigne, delamaison del'illustreauteur des Essais.

14 François Pichonrésignasonofficed'Échevinen 1571. Ilappartenaità une famille quiaoccupé avecdistinctionlesplus hautescharges dela magistrature, soitauPrésidial,soitàl'Élection.Und'entreeux, JehanPichon,avocatauParle- mentde Bordeaux,futMaire en1637,en 1641et1642.Nousle retrouvons plus tardavec lesqualificationsdeS''de Coursion,conseillerduRoi, éluenl'Élection deSaintes,Maire en 1651,nommédenouveau en 1652 aprèslestroublesdela Fronde,etcontinuéen1653et1654.

Les Pichon, S"delaGord, de Richemond, de Saint-Thomas, de Magezi, dela

(20)

16

-~

Les Échevinsrentrèrentdans la ville,maisilsn'en furent pasplus exactsàfaim leurdebvoir, ainsi quel'attestent de

nombreuses

délibérations.

Cependantles statutsdelaVilleavaientdes peines contre les défaillants. Ils prononçaient cinq sous

d'amende

par

chaque

défaut. Mais

un nouveau

règlement,

du

14 jan- vier1581, éleval'amendeà dix sous pourle seconddéfaut, età vingt sous pourletroisième. Cesdéfauts devaientêtre payésàlapremière

sommation

, à peinede double, et les Échevinsrenonçaient

au

bénéfice d'appel.Ilfutarrêté aussi que ceux qui ne paieraient pas l'amende encourue n'au- raientpas voix délibérative auConseil.

La

présencedesÉchevinsétaitsurtoutimportantelejour desélections;aussiceuxqui s'abstenaient

un

teljourétaient- ilspunisde soixante sousd'amende.

La

déchéancepouvait

même

êtreprononcéecontrel'Éche- vin dont les absences s'étaient succédé trop longtemps.

C'est ce qui arriva à Jacques-Jehan Baudet ^^. Mais cette déchéancen'eutpasdesuiteparcequ'il justifiaqu'uncréan- cier,

évidemment

plus soucieuxde ses intérêts qu'ami de

laliberté municipale, s'étaitavisé de le faire emprisonner pour

une

dettede cinq centslivres,au

moment même

il

serendait àl'HôteldeVille.

Chapelle, de Monteraut, de Coursion, etc.,anoblisen1700, ont votéen 1789à l'Assemblée delaNoblesse deSaintes, convoquée pourlesÉtatsGénéraux.Cette famillene nousparaîtpas devoir se rattacher aux Pichon deLongueville etde Parempuyre. Nousn'enconnaissonspointles armoiries.

16Danslaséance dui3 janvier 1571,leCorps deVilleprononçaladéchéance de Baudet,parlemotifque,depuis longtemps,celui-ci n'assistaitplus auxassem- blées.Contrairementà l'opinion deM. Dangibeaud, nous pensons queladécisiondu Conseil eut une suite;carnous nevoyons plus l'ÉchevinBaudetsurles listes de1572,etnous savonsqu'ilfutremplacé par Guillaume Martineaule49janvier deladiteannée.Aureste,ilavaitpu donnersadémission aprèss'être justifié.

17

A

l'inexactitude des Échevins venait souvent aussi se joindrelanégligencedans l'exécutiondesdécisions.Aussi, Senne, Maire et Capitaine de la Ville en 1574 '^,avait-il écrit ce titre accusateur en tête de l'un des registres des délibérations :« Papier des délibérationsde la noble Mai-

« son delaville deXaintes, proposéeset

non

exécutées, ut

« fieri solet.»

Les Échevins pourvoyaient par l'élection aux places vacantes dans le Corps deVille, après avoir juré en leur conscience

au Maire

de eslire un des habitants de la ville

homme

capable,suffisant etidoine.

16YthierSenné,S'delaFourest,procureur auPrésidial,Maire en1574,Échevin avant 1568etjusqu'en 1590.Ilexerça longtempsl'officedeGreffier du Corps de Ville.

OntrouvedanslaNotice:RestaurationàSaintes de l'Eglise deSainte-Colombe, parl'abbéBriand..

.,laRochelle, 1850,br. in-8°, letexted'une inscription relative àFranzoisedelaValade, damoizelle,femmedenoble Hoffitierserfme sievrde Ladovr,désedeele30 mars1588 enl'âgede87ans.Cenobleofficier nousavait toujoursparuassez étrange et nousdoutions quelevénérableabbéeûtconvena- blementdéchiffrél'inscription. M. Louis Audiattrouve àlaplace:NobleHomme

YtierSenné, sieurde Ladovr, et ilconjecture qu'il s'agitdu Maire de Saintes en1574. Laleçonde M. Audiatestévidemmentexcellente;seulement nous nous permettronsdeluidire,d'une part,que Ladovr, entenantcompte desabréviations dustylelapidaire,doit êtreLa Fovrest,etde l'autreque nous avonsun peu de peine à croire qu'Ythier Senné, leMaire de i574, soit le mêmeque celuide l'inscription:ilaurait alorsoccupélapremière chargemunicipale àun âgesingu- lièrementavancé,sionse reporteaux87ansque comptaitFrançoisedelaValade au moment de son décès, et si on songe que notreÉchevin siégea dansles assemblées dela ville jusqu'en 1590.Ilest vrai que dès 1584Sennéavait prisle prétexte de son âge pourobtenirlafaveurdesefaireaiderparsongendre pour latenue desdélibérations.Lapierre tumulaire estornéed'unécusson enlosange danslequelM. Audiat découvreunchevron,accompagnéen chef d'unepommede pin àdextre^etd'unferàchevalà senestrCyetenpointed'une moitié depomme

depinetd'unemoitié deferàcheval.D'après ce blason,lafemmed'YthierSenné n'appartiendraitpasà l'ancienne famille noble deslaValade,quiadonné sonnom

à Saint-Georges delaValade, prèsde Saintes, etdontlesarmoiries, suivantle Nobiliaire de la Rochelle,parLaine,étaient:D'azur,auchevrond'or,accompagné 3croissants d'argent,2et1. (Ne serait-ce paspourtant cellesdesGuillier?)

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