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M. E.-MEYER.— Ueber die Durchlassigkeit des Argons für ultra-violette Strahlung (Sur la perm de largon relativement aux rayonnements ultra-violets. —Memoire presenté à la Société allemande de Physique, séance du 9 décembre 1904

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00241095

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241095

Submitted on 1 Jan 1906

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M. E.-MEYER.- Ueber die Durchlassigkeit des Argons für ultra-violette Strahlung (Sur la perm de largon relativement aux rayonnements ultra-violets. -Memoire presenté à la Société allemande de Physique, séance du 9

décembre 1904

A. Gradenwitz

To cite this version:

A. Gradenwitz. M. E.-MEYER.- Ueber die Durchlassigkeit des Argons für ultra-violette Strahlung (Sur la perm de largon relativement aux rayonnements ultra-violets. -Memoire presenté à la Société allemande de Physique, séance du 9 décembre 1904. J. Phys. Theor. Appl., 1906, 5 (1), pp.154-155.

�10.1051/jphystap:019060050015401�. �jpa-00241095�

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de plusieurs expérimentateurs faisaient en effet prévoir des modifi- catiolm générales qui accompagneraient une modification dans la méthode de produire la luminescence. :B1. Gehrcke s’est servi de

plusieurs tubes druits ayant des sections d’environ i millimètre de tlidlJ};,t 1’B’ intérieur. Des couches de feuilles d’étain disposées à

1 ! voient d’électrodes ; un circuit vibratoire analogue à

cehii I:t ~1. Lilil’llfl’1J et actionné par une bobine d’induction servait

Comme excitateur, et un spectroscope à interférence, du type indiqué

par l’auteur et NI. Lunimer, était employé dans ces recherches, por- tant sur les spectres (1’ ltyJrogène, d’hélium, de sodium, d’argon et

de mercure, et dont voici les résultats : Les raies spectrales, étant plus ou moins bien définies dans le cas d’une effluve ordinaire, s’élar-

gissent d’une façon frappante si l’excitation est due au circuit vibra-

toire ; cet élargissement est maximum dans le cas d’hydrogène.

L’explication qui se présente à l’esprit est que la température du

gaz au moment du passage des oscillations subirait une augmenta-

tion. En admettant encore que l’élargissement des raies serait dîi exclusivement au principe de Doppler, on pourrait calculer une limite

inférieure de la température. Les calculs de l’auteur donneraient

comme limite inférieure de la température du gaz rendu lumines-

cent sous l’influence des oscillations électriques, une température

d’environ 17.000°, température fort élevée en comparaison de celle

de la lumière positive dans la décharge lumineuse ordinaire. Aussi

paraît-il probable que d’autres causes, telles que la rotation dit centre d’émission ou la décomposition de l’atome en sous-atomes,

jouent également un rôle dans les pl~énomènes dont il vient d’ètre

question .

A. GRANDENWITZ

M. E.-MEYER.2014 Ueber die Durchlassigkeit des Argons für ultra-violette Strahlung (Sur la perm de largon relativement aux rayonnements ultra-violets. 2014Memoire presente à la Société allemande de Physique,

séance du 9 décembre 1904.

L auteur ~e ~(’I.t n’nn appareil identique à celui clu’il vient d’em-

pl>j >1 1;iii, Il) Cd"" 1 1‘«ic>rm, et qui J’ailleurs n’est autre qiie le plio-

ton1t>tre l~ln ~t~ ~~~~1~~~~t ni~ lm~ indiqué par B1. Il. iireussler(A>i>ialen der

~’~//~/.B t. B’1, y. ~ 1 ’ ; 190~.. Un tube de verre de 21nn,2 de longueur

,.t t d’ ~ ’",9de diamètre, fermé li ses bouts par des plaques de quartz

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019060050015401

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(~’en~’ll’Q11 f millimétrés d’épaisseur, est employé comme tub’’ d’ab-

sorption. 4Bprt’S av oir rempli le tube d’un mélange d’argon et d nzotB

l’auteur mt .~l;w l’ixtinction du rayonnement en insérait et "’ reti-

rant a tour de rôle le tube à gaz. Ces résultats font voir que 1 argon

ne présente aucune absorption appréciable relativement aux rayonne- ments ultra-violets entre i, = l8fi pp et 1. = 300 jxp ; cette absorption

ne saurait dépasser 3,2 0/0 dans les conditions de Fexpt ri’ m~t~.

Comme l’air atmosphérique renferme environ 1 0, 0 d’argon, ce der-

nier ne saurait guère joner de rôle sensible dans l’absorption ,1,;

rayons du soleil de courte longueur d’onde. Aussi convient-il d’erartcr

l’hypothèse de XI. Ilartly suivant laquelle la substance renfermée dans

l’atmosphère et à laquelle est due la fin brusque du spectre solaire

pour À _ 293 yjx serait identique à l’argon.

A. GRADENWITZ.

D.-C. STEINBERG. 2014 0 termoelektriceskom razziadiè (Sur la decharge thermo-

électrique).

-

Mémoire présenté à la Société physico-chimique russe, Saint- Pétersbourg; voir le Journal de cette dernière, 8; 1904.

L’été dernier, lors de ses recherches sur la conductivité électrique

que prend l’air sous l’influence d’un corps échauffé, l’auteur eut

l’occasion d’observer un intéressant phénomène qui pourrait s’ap- peler décharge tlre~~moéLec~rique.

Voici en quoi ce phénomène consiste : l’électricité positive se dégage librement d’un corps solide et chauffé à travers l’air environ-

nant, tandis que ce dernier se montre parfaitement non conùul’tpur vis-à-vis de toute charge négative du corps, toutes les circonstances étant d’ailleurs identiques.

Dans ses recherches, ~’1. Steinberg s’est servi du dispositif sui-

vant : une spirale de fil de platine, reliée à la sphère d’un électro- scope ordinaire à feuilles d’or, est chauffée sur une lampe à alcool

ou à essence, puis on retire cette dernière, après quoi l’électroscope reçoit immédiatement une charge positive. Après s’être repoussas d’abord, les feuilles retombent très vite (après une demi-seconde ou une seconde). En répétant cette même expérience sur des feuilles d’un électroscope chargées négativement et déviées d’un angle donné, on a vu ces dernières rester immobiles.

Si dans cette même expérience on place un autre électroscope au

voisinage du corps échauffé à une distance de 3 ou 7 centimètres,

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