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Diagnostic et traitement de l ostéoporose. Karine Briot Service de Rhumatologie Hôpital Cochin, Université Paris Descartes, INSERM U 153 Paris

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(1)

Diagnostic et traitement de l’ostéoporose

Karine Briot

Service de Rhumatologie

Hôpital Cochin, Université Paris Descartes, INSERM U 153

Paris

(2)

DETERMINANTS DE LA FRACTURE

Environnement

Fonctions physiologiques

Risque de chute IMPACT Type de chute

FRACTURE

SOLIDITE DE L ’OS QUALITE

ARCHITECTURE QUANTITE

Ostéodensitométrie

(3)

DENSITOMETRIE OSSEUSE

(4)

• Patient centré sur la table

• Patient aligné dans l’axe du scanner

• Cuisses relevées par le coussin

RACHIS AP : POSITIONNEMENT

(5)

RACHIS AP : POSITIONNEMENT

(6)

• Rachis centré

• Rachis rectiligne

• - les deux crêtes iliaques

- la moitié supérieure de L5 - la moitié inférieure de T12 sont visibles

RACHIS AP : CRITERES DE QUALITE

(7)

RESULTATS NUMERIQUES : LE RACHIS

Ne pas tenir compte : T-scores de chaque

vertèbre

(8)

FEMUR : POSITIONNEMENT

• Utiliser le système de positionnement du

constructeur

• maintien de la rotation interne du membre inférieur

• Placer la diaphyse fémorale

dans l’axe du scan

(9)

FEMUR : CRITERES DE QUALITE

• Positionnement correct

• Bonne reconnaissance des contours

• La fenêtre d’analyse du col ne doit pas empiéter sur l’ischion

• Pas d’artéfact

(10)

POSITION DE LA REGION CERVICALE

LUNAR HOLOGIC

(11)

INDICATIONS PROPOSEES CHEZ LES PATIENTS

(hommes, femmes, enfants)

ayant des signes d’ostéopathie fragilisante

Découverte ou confirmation radiologique d’une fracture

vertébrale sans contexte traumatique ni tumoral, ou altération de la trame osseuse évocatrice d’ostéoporose

Antécédent personnel de fracture périphérique de fragilité.

(12)

INDICATIONS PROPOSES CHEZ LES PATIENTS

ayant une pathologie potentiellement inductrice d’une ostéopathie fragilisante

Antécédents documentés de pathologies inductrices d’ostéopathies fragilisantes : hypogonadisme prolongé, hyperthyroïdie évolutive non traitée, hypercorticisme, hyperparathyroïdie primitive, autres troubles du métabolisme phospho calcique.

Traitements favorisant la fragilité osseuse :

Corticothérapie systémique

Traitements induisant une carence en stéroïdes sexuels : anti-aromatases, agonistes de la GnRH…

(13)

DANS LE CAS PARTICULIER DE L’OSTEOPOROSE

POST-MENOPAUSIQUE

Recommandations chez les femmes ménopausées, y compris les femmes sous THS à faibles doses :

antécédent de fracture du col fémoral sans traumatisme majeur chez un parent au 1er degré

indice de masse corporelle < 19 kg/m2

ménopause avant 40 ans, quelle qu’en soit la cause

antécédent de prise de corticoïdes.

(14)

T  -2,5 : ostéoporose

OMS, 1997

DIAGNOSTIC DE L’OSTEOPOROSE

(15)

Schuit SCE, Bone 2004

7806 hommes et femmes de plus de 55 ans – suivi entre 1990/93 et 1999 (The Rotterdam Study)

Répartition des Fractures Non-Vertébrales selon le T-Score de la BMD Fémorale

Fracture chez des sujets ayant un T>-2,5

(16)

Actualisation 2018 des recommandations du traitement de l’ostéoporose post-

ménopausique

Karine Briot, chargée de projet

Revue du Rhumatisme 2018

(17)

DES RECOMMANDATIONS BASEES SUR LA SEVERITE

Le concept de fracture « sévère »

< 75 ans 75 ans

Bliuc D et al, JAMA 2009

Extrémité supérieure du fémur (FESF), Extrémité supérieure de l’humérus (FESH), Vertèbre, Pelvis, Fémur distal, 3 côtes simultanées, Tibia proximal

(18)

Bliuc D et al, J Bone Miner Res 2013

ROLE DES RECIDIVES FRACTURAIRES DANS

L’EXCES DE MORTALITE

(19)

Van Geel et al, ARD 2009

NOUS SAVONS QUAND TRAITER

(20)

Les outils d

• Age

• Antécédent personnel de fracture

• Mesure de la densité minérale osseuse

• Evaluation du risque de chutes (> 70 ans)

LES OUTILS DE PREDICTION

(21)

EVALUATION MORPHOLOGIQUE DU RACHIS (radiographies, VFA)

• En cas de rachialgies

• ou si un des critères suivants est présent :

– perte de taille  4 cm (mesure de la taille comparée à la taille rapportée à l’âge de 20 ans),

– perte de taille prospective  2 cm (mesure répétée de la taille au cours du suivi),

– antécédent de fracture vertébrale

– maladies chroniques et traitements (corticothérapie,

inhibiteurs de l’aromatase) avec risque important de fracture vertébrale

Accord professionnel ISCD 2015 www.iscd.org

(22)
(23)
(24)

1/4 des FV incidentes dans FIT1

1/3 dans cohorte Rochester2 et la plupart des études MAIS Dépend de la définition utilisée pour le diagnostic de Fracture Vertébrale

1 Fink HA et al: JBMR 2005

2 Cooper C et al: JBMR 1997

PROPORTION DES FRACTURES

VERTEBRALES SYMPTOMATIQUES

(25)

La mesure de la densité minérale osseuse

• Nécessaire avant toute décision thérapeutique

• Quantifier la perte osseuse sous-jacente

• Estimer le caractère dit de fragilité de la fracture lorsque le T-score est peu abaissé et en fonction du site de fracture

• Valeur pronostique de la valeur de T score après fracture

(26)

1. La recherche d’un antécédent de chute dans les 3 à 6 mois précédents 2. En l’absence de chute

- Tests simples lors de la consultation:

« Get up and go » test (> 14 sec), test de l’appui unipodal, test de la poussée sternale

3. Consultation gériatrique (> 70 ans)

4. Evaluation de la DMO chez les sujets à risque de chutes

EVALUATION DU RISQUE DE CHUTES

http://www.americangeriatrics.org/healthcareprofessionals/clinicalpractice/clinicalguide linesrecommendations/2010

Blain H, et al. J Nutr Health Aging. 2016;20:647-52.

(27)
(28)

Les outils d

DANS LES SITUATIONS DIFFICILES:

le FRAX

INUTILE quand l’indication de traiter est évidente (Accord professionnel) :

- antécédent de fracture sévère

-antécédent fracture non sévère et T≤-2

- en l’absence de fracture: T -3 à l’un des 2 sites

UTILE dans les autres situations (Accord professionnel) : - fractures non sévères et T-score > -2 et ≤ -1

- en l’absence de fracture T-score entre -2 et -3

(29)

VALEURS SEUIL DU FRAX

Briot et al. Joint Bone Spine 2012

(30)

STRATEGIES THERAPEUTIQUES

(31)

Justification des examens biologiques

(32)

Démarche diagnostique devant une ostéopathie fragilisante

Maligne ? métabolique ?

ostéoporose Secondaire ?

- Médicaments : CORTISONE - Endocrinopathies

- Maladies inflammatoires - Autres

- Génotypiques

Primitive ?

(Post-ménopausique) myélome

Ca, Ph, Créat

(33)

Quel bilan ?

• NFS, VS

• Calcémie, Phosphorémie, Alb

• Calciurie 24h (+-)

• PAL, créatinémie

• Electrophorèse des protéines sériques

• T4, TSH

• 25 OH vit D (D2+D3)

• PTH (+ -)

Femmes ménopausées: pas de consensus

(34)

A RETENIR …

Ca Ph

 

 

 

 

Ostéolyse maligne Intox vit D ?

HPT

Hypoparathyroïdie Ins rénale

Ostéomalacie

(35)

• Un traitement est recommandé quel que soit l’âge après une fracture sévère de faible traumatisme si le T score < -1 (Accord professionnel)

• Il faut réaliser une ostéodensitométrie

• pour quantifier la fragilité osseuse sous-jacente et vérifier que le T- score est inférieur à -1,

• pour planifier pour le suivi thérapeutique.

• En cas de T-score > -1, l’avis d’un spécialiste et l’usage d’outils de prédiction (FRAX, TBS, marqueurs du remodelage osseux), peut être recommandé.

EN CAS DE FRACTURE SEVERE

(36)

• L’ostéodensitométrie est nécessaire avant toute décision thérapeutique (Grade A).

• Compte tenu du gradient de risque entre une valeur abaissée de DMO à au moins un des sites (rachis ou fémur) et une augmentation du

risque de fracture, les indications thérapeutiques, dépendent du T score (Accord professionnel):

- Si T ≤ -2, traitement recommandé.

- Si -1> T > -2, l’avis d’un spécialiste et l’usage d’outils de

prédiction (FRAX, TBS, marqueurs du remodelage osseux), peut être recommandé.

- Si T >-1, traitement non recommandé.

EN CAS DE FRACTURE NON SEVERE

(poignet, cheville, côte, etc …)

(37)

• L’ostéodensitométrie est nécessaire avant toute décision thérapeutique (Grade A).

• Compte tenu du gradient de risque entre une valeur abaissée de DMO à au moins un des sites (rachis ou fémur) et une augmentation du

risque de fracture, les indications thérapeutiques, dépendent du T score (Accord professionnel):

- Si T ≤ -3, traitement recommandé.

- Si -2> T > -3, l’avis d’un spécialiste et l’usage d’outils de

prédiction (FRAX, TBS, marqueurs du remodelage osseux), peut être recommandé.

- Si T >-2, traitement non recommandé.

EN L’ABSENCE DE FRACTURE

(38)

INDICATIONS THERAPEUTIQUES

En fonction du T score (au site le plus bas)

Fractures sévères (fémur, vertèbres, humérus,

bassin)

Fractures non sévères

Absence de fracture et facteurs de risque d’ostéoporose ou de

chutes multiples T> -1 Avis du spécialiste Pas de traitement Pas de traitement

T≤-1 et >-2 Traitement Avis du spécialiste Pas de traitement

T≤-2 et >-3 Traitement Traitement Avis du spécialiste

T≤-3 Traitement Traitement Traitement

(39)

• RALOXIFENE

• BISPHOSPHONATES

•DENOSUMAB

FORMATION RESORPTION

• TERIPARATIDE

QUEL TRAITEMENT DE L’OSTEOPOROSE?

(40)

1. Chez les patients ayant une fracture de l’ESF, l’acide zolédronique est à considérer en première intention car il est le seul traitement ayant montré un effet anti-fracturaire dans une telle population (Grade A).

2. Chez les patients ayant deux fractures vertébrales prévalentes : le tériparatide peut être prescrit en première intention au moment du diagnostic (Grade A).

3. Chez des femmes de moins de 65 ans avec une ostéoporose nécessitant un traitement, le raloxifène est recommandé si le risque de fracture non vertébrale est faible, notamment en

l’absence des éléments suivants:

T-score bas à la hanche, facteurs de risque de chute et antécédent de fracture non vertébrale (Grade A).

RECOMMANDATIONS DE TRAITEMENT

(41)

4. Chez une femme âgée de moins de 60 ans ayant des troubles climatériques et une ostéoporose sans fracture sévère, un THM peut être envisagé (Grade A).

5. En cas de DMO très abaissée (T ≤ - 3) avec ou sans fracture, des moyens thérapeutiques injectables peuvent être utilisés pour atteindre une cible densitométrique (au minimum T > - 2.5 à -2 à la hanche) en fin de séquence : acide zolédronique, dénosumab ou séquence thérapeutique tériparatide suivi d’un antirésorbeur (Accord professionnel).

RECOMMANDATIONS DE TRAITEMENT

(42)

• Les apports quotidiens optimaux doivent être d’au moins 1000 mg à 1200mg chez les femmes ménopausées âgées de plus de 50 ans (PNNS).

• Privilégier les apports alimentaires (Accord professionnel)

• Evaluer les apports alimentaires par un auto-questionnaire fréquentiel disponible en ligne (www.grio.org)

• Pas de démonstration de l’efficacité de la supplémentation calcique administrée seule pour prévenir les fractures ostéoporotiques

PRE-REQUIS: APPORTS

VITAMINOCALCIQUES

(43)

Indications du dosage

 Dans les situations où l’objectif est d’obtenir un taux optimal

 Les principales situations à retenir sont : ostéoporose, maladie favorisant l’ostéoporose, mise en route d’un traitement, chutes à répétition

Objectif: taux de 25OHD ≥30 ng/mL (75 nmol/L)

 L’existence d’un taux cible nécessite parfois le suivi du taux de vitamine D au cours du suivi

- en particulier dans les populations à risque

(malabsorption, difficulté à atteindre l’objectif thérapeutique, insuffisance profonde < 10 ng/ml en vitamine D…). (Accord professionnel).

DOSAGE DE LA VITAMINE D

(44)

PREVENTION DES CHUTES

• Mesures adaptées chez les patients âgés à risque de chute (Grade A) :

– activité physique permettant de renforcer l’équilibre – supplémentation en vitamine D en cas d’insuffisance, – réduction des médicaments pourvoyeurs de chute

(psychotropes en particulier),

– réduction des dangers environnementaux, amélioration de la vision,

• Collaboration avec les réseaux de soins (filières fractures et orthogériatriques) avec les services de rééducation et les équipes de gériatrie.

(45)

SUIVI DES TRAITEMENTS

• L’effet bénéfique du traitement anti-ostéoporotique doit être évalué 2 à 3 ans après son initiation (Accord professionnel). Cette

réévaluation ne signifie pas l’interruption du traitement:

• Clinique

• DMO

• ± Evaluation morphologique du rachis (Accord professionnel)

• La poursuite d’un traitement (le même ou un autre) dépend du risque initial et des résultats de la réévaluation

(Accord professionnel)

(46)

SUIVI DES TRAITEMENTS:

utilisation de la DMO

(47)

• Une métanalyse récente basée sur les

données individuelles de 91 779 patients retrouve un lien positif entre

gain densitométrique à 2 ans (hanche et/ou rachis) et réduction risque fracturaire.

• L’amélioration densitométrique à la hanche expliquerait de 44 à 67 % de l’effet antifracturaire

1. Black DM et al. Lancet Diabetes Endocrinol 2020

SUIVI DES TRAITEMENTS:

utilisation de la DMO

(48)

CIBLE DENSITOMETRIQUE

• Valeur de densité osseuse pour laquelle le risque fracturaire est réduit à un niveau admissible.

• L’absence de perte osseuse (variation de la DMO ≤0,03g/cm²) est l’objectif minimal pour tous les patients.

• Chez les patientes avec une DMO fémorale très basse, l’objectif est une augmentation significative de la DMO, au minimum au- dessus de T> -2,5 voire >-2 au site fémoral.

(Bauer DC, et al. AMA Intern Med. 2014)

(Cosman F, J Clin Endocrinol Metab. 2014;99:4546-54 (Ferrari S, Osteoporos Int. 2015)

(49)

QUAND ARRETER LE TRAITEMENT?

• Une interruption du traitement après 3 à 5 ans est

recommandée si les conditions suivantes sont réunies (Accord professionnel):

- pas de fracture sous traitement,

- pas de nouveaux facteurs de risque,

- pas de diminution significative de la DMO - T score fémoral supérieur à -2,5, voire -2

• Une réévaluation après l’arrêt du traitement est recommandée

après 2 ans d’interruption.

(50)

N=208

Xu et al. OI 2016

Xu et al. OI 2016 Mignot et al. OI 2017

N=183 (après 3 à 5 ans de bisphosphonates)

Etudes rétrospectives observationnelles

IMPACT DES VACANCES SUR L’OS

(51)

Impact de la durée d’arrêt des BPs sur le risque de fracture de hanche

Curtis et al. ACR 2017.

Échantillon de Medicare (2006-2014)

Utilisation des IV? Observance?

(52)

SEQUENCES THERAPEUTIQUES

• Certains traitements doivent être intégrés dans des

séquences

thérapeutiques (grade B):

- Tériparatide suivi d’un traitement anti-résorbeur (bisphosphonates ou denosumab)

- Denosumab suivi par bisphosphonates pendant 1an

• Il n’a pas été montré d’efficacité densitométrique dans les relais entre bisphosphonates sous réserve d’une bonne observance

(grade A).

Lindsay R, et al. Arch Intern Med 2004 Prince R, et al. J Bone Miner Res 2005 Leder BZ, el al. Lancet. 2015.

Freemantle N,et al; Osteoporos Int. 2012

(53)

Bone H et al. JCEM 2011; 972 – 980

BMD and bone turnover marker effects of discontinuing denosumab

RESULTS

BMD: Bone Mineral Density; VFx: Vertebral Fracture

Effet rebond à l’arrêt du denosumab

(54)

• Population à risque de fractures vertébrales à l’arrêt du denosumab :

• Fractures vertébrales prévalentes

• Durée du traitement (seuil de 2,5 ans)

• Gain de densité osseuse à la hanche

• Perte osseuse à la hanche à l’arrêt

• Principe : administration de bisphosphonates post-denosumab pour contrôler ce rebond

• A quel moment et comment ?

• 6 mois après la dernière injection de denosumab pour la perfusion d’acide zolédronique

• Évaluer les marqueurs du remodelage osseux pour définir le schéma optimal

Tsourdi E et al., J Clin Endocrinol Metab . 2020 Oct 26;dgaa756

Comment arrêter le denosumab?

(55)

Modalités d’arrêt du denosumab:

Proposition de la société savante européenne ECTS

Tsourdi E et al., J Clin Endocrinol Metab . 2020 Oct 26;dgaa756

Patiente jeune à faible risque de fracture

Le traitement par denosumab n’est en général pas recommandé

Traitement court (<2,5 ans) par denosumab et un risque de fracture faible

Poursuivre par 12 à 24 mois de traitement par bisphosphonates peros ou zoledronate iv selon la ré-évaluation densitométrique et les marqueurs de remodelage osseux

Traitement long (>2,5 ans) par denosumab et/ou un risque de fracture élevé

Soit poursuivre le denosumab jusqu’à 10 ans (et décision individuelle après)

Soit switcher pour le zoledronate : Débuter 6 mois après la dernière injection de denosumab

Si marqueurs de remodelage osseux toujours élevés à 3 et 6 mois : envisager poursuite zoledronate

En l’absence de marqueurs, répéter injection zolédronate à 6 et 12 mois Si intolérance ou refus de la patiente, traiter avec BP peros pendant 12 à 24 mois

suivi par densitométrie et marqueurs

(56)

• Simplification des indications thérapeutiques pour améliorer la prise en charge des patients

• A risque élevé de traitement

• Devant bénéficier prioritairement d’un traitement

• Traitement à la fois pharmacologique et non pharmacologique

• Envisager d’emblée les différentes séquences thérapeutiques

CONCLUSION

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