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Timsit Branchereau , R. Thuret , F. Kleinclauss ,M.-O. J. Urinary lithiasis in renal transplant recipient Lithiase urinaire chez le patient transplantérénal

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Lithiase urinaire chez le patient transplanté rénal

Urinary lithiasis in renal transplant recipient

J. Branchereau

a

, R. Thuret

b,c

, F. Kleinclauss

d,e,f

, M.-O. Timsit

g,∗,h

aServiced’urologieettransplantationrénale,CHUdeNantes,44000Nantes,France

bServiced’urologieettransplantationrénale,CHUdeMontpellier,34090Montpellier,France

cUniversitédeMontpellier,universitédeFranche-Comté,34090Montpellier,France

dServiced’urologieettransplantationrénale,CHRUdeBesanc¸on,25030Besanc¸on,France

eUniversitédeFranche-Comté,25030Besanc¸on,France

fInsermUMR1098,25030Besanc¸on,France

gServiced’urologie,hôpitaleuropéenGeorges-Pompidou,AP—HP,20,rueLeblanc,75015 Paris,France

hUniversitéParisDescartes,75006Paris,France

Rec¸ule15juillet2016 ;acceptéle22aoˆut2016 DisponiblesurInternetle16septembre2016

MOTSCLÉS Lithiase; Calcul; Transplantation rénale

Résumé

Objectif.—Réaliserunemiseaupointdesconnaissancesdelamaladielithiasiqueetdelaprise enchargedescalculsdel’appareilurinairedutransplantaumomentduprélèvementrénalou aprèstransplantationrénale.

Matérieletméthodes.—Une recherche bibliographique exhaustive à partir de Medline (http://www.ncbi.nlm.nih.gov) etEmbase (http://www.embase.com)aété réaliséeen uti- lisantlesmotsclés(MeSH)suivantsseulsouencombinaison:«lithiase,calcul,transplantation rénale».Lesarticlesobtenusontensuiteétésélectionnéssurleurméthodologie,leurlangue depublication(anglais/franc¸ais),leurpertinenceparrapportausujettraitéetleurdatede publication(10dernièresannées).Seulesdesétudesprospectivesetrétrospectivesenanglais etenfranc¸ais,articlesderevue,deméta-analyseouderecommandationsontétésélection- nées.Cetterecherchearetrouvé58articles. Aprèssélection enfonctiondu titreet/ou du résumé,37articlesontétéretenusetanalysés.Lasélectionfinaledesarticless’estfaiteen fonctiondeleurpertinence.

Cetarticlefaitpartieintégrantedurapport«Lesurologuesetlatransplantationrénale»du110econgrèsdel’Associationfranc¸aise d’urologierédigésousladirectiondeFranc¸oisKleinclauss.

Auteurcorrespondant.

Adressee-mail:marc-olivier.timsit@aphp.fr(M.-O.Timsit).

http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2016.08.012

1166-7087/©2016ElsevierMassonSAS.Tousdroitseserv´es.

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Résultats.—Lapathologielithiasiquechezletransplantérénaln’estpasplusfréquenteque danslapopulationgénérale. Sasymptomatologieest minimiséeparl’absenced’innervation dutransplant,mais sagravitéest majorée parl’immunosuppressionetlecaractèreunique dutransplant.Lediagnosticestfréquemmentfortuitdufaitd’unesurveillancesystématique accruechezcespatientstransplantés.Lapriseenchargeestsimilaireàcellesurdescalculs surreinsnatifs.

Conclusions.—Lalithiasesurtransplantnécessiteunepriseenchargeurologiqueadaptéedu faitdesapotentiellegravitéchezunpatientimmunodépriméavecreinunique.

©2016ElsevierMassonSAS.Tousdroitsr´eserv´es.

KEYWORDS Lithiasis;

Stone;

Kidney

transplantation

Summary

Objectives.—Toreportepidemiologyandcharacteristicsofurinarylithiasisanditsmanagement inkidneyallograftatthetimeoforganprocurementorafterkidneytransplantation.

Material and methods.—An exhaustive systematic review of the scientific literature was performed in the Medline database (http://www.ncbi.nlm.nih.gov) and Embase (http://www.embase.com)usingdifferentassociationsofthefollowingkeywords(MESH):uri- narylithiasis, stone, kidney transplantation.Publications obtained were selected based on methodology, language, date ofpublication (last 10 years) andrelevance. Prospective and retrospectivestudies,inEnglishorFrench,reviewarticles;meta-analysisandguidelineswere selectedandanalyzed.Thissearchfound58articles.Afterreading,37wereincludedinthe textbasedontheirrelevance.

Results.—Frequencyofurinarylithiasisinrenaltransplantrecipientissimilartothoseobserved inthegeneralpopulation.Generally,urinarylithiasisofthegraftisasymptomaticbecauseof renaldenervationafter organprocurementandtransplantation.Nevertheless,thissituation maybeathighriskduetotheimmunosuppressedstateoftherecipientwithauniquefunctioning kidney.Mostofthetime,thediagnosisisincidentalduringroutinepost-transplantationfollow- up.Managementofurolithiasis inrenal transplantrecipient issimilar to thatperformedin generalpopulation.

Conclusion.—Duetoitspotentialseverityintransplantedimmunosuppressedpatientswitha solekidney,urolithiasisrequiresexperturologicalmanagement.

©2016ElsevierMassonSAS.Allrightsreserved.

Introduction

Lalithiase chezle patient transplantéest une pathologie raremaiscomplexequinécessiteunepriseenchargeadap- téedufaitdurisquedecomplicationspourlepatientcomme pourletransplant.L’objectifdecetarticledefaireunétat del’artdelapathologielithiasiquesurtransplantrénal,son épidémiologie,sescaractéristiquesetlesprincipalesstraté- giesdepriseencharge.

Matériel et méthodes

Une recherche bibliographique exhaustive à partir de Medline (http://www.ncbi.nlm.nih.gov) et Embase (http://www.embase.com) a été réaliséeen mai 2016 en utilisantlesmotscléssuivants(MeSH)seulsouencombinai- son:«lithiase,calcul,transplantationrénale».Lesarticles obtenus ont ensuite été sélectionnés sur leur métho- dologie, leur langue de publication (anglais/franc¸ais),

leur pertinence par rapport au sujet traité et leur date de publication (10 dernières années). Seules des études prospectives et rétrospectives en anglais et en franc¸ais, articlesderevue,deméta-analyseouderecommandations ontétésélectionnées.

Cetterecherchearetrouvé202articles.Aprèssélection enfonction dutitre et/ou durésumé,58 articlesont été retenusetanalysés.Lesréférencesincluesdanscesarticles ontétérevuesetanalyséesselonleurpertinenceLasélec- tionfinaledes37articlesincluss’est faiteenfonctionde leurpertinence.

Résultats Épidémiologie

Lapathologielithiasiquechezlepatienttransplantérénal estrare(moinsde1%)etsapriseenchargen’estpasclaire- mentcodifiée[1—4].Lafaibleincidencedecettepathologie expliquele nombrerestreint d’articles dans la littérature

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surlesujetrapportantprincipalementdessériesmonocen- triquesetbaséessurdesfaibleseffectifs.

Lithogenèse chez le patient transplanté

Lalithogenèsechezlepatienttransplantépeutêtrefavori- séepardesfacteursmédicaux,commel’hyperparathyroïdie acquise,desinfectionsurinairesrépétées,oudesanomalies métaboliquestellesqu’unehypercalciurie,unehyperuricu- rie, une hypocitraturie, ou encore une hyperoxalaturie à l’origine de dépôts oxalo-calciques [4—6]. La lithogenèse peutaussiêtrefavoriséepardesfacteursliésàl’actechirur- gicaldelatransplantationrénalecommel’existenced’une sténose de l’anastomoseurinaire, la présence de fils chi- rurgicauxrésorbablesounonencontactavecl’urine[7,8]

oulaprésenced’endoprothèseurétérale[9].Lesimmuno- suppresseurs ontaussi été impliquésdans la survenue de calculschezlespatientstransplantés.Ainsi,lesinhibiteurs descalcineurinespeuventêtreàl’origined’hyperoxalaturie et d’hypocitraturie pouvant favoriser la lithogenèse [10]

etlaciclosporine a étédécritecommeresponsable d’une hyperuricémie[11,12].Lescorticoïdesontuneactionhyper- calcémiante et ont été décrits comme pouvant favoriser lalithogenèse chezles patientsatteints delamaladie de Cushing[13].Lesautrestraitementsmédicamenteuxadmi- nistrés chez les patients transplantés peuvent également précipiter dans les voies urinaires et former des calculs.

AinsiGuitardetal.ontdécrituneinsuffisancerénaleaiguë surcalculdesulfadiazinechezunpatienttraitépourtoxo- plasmose[14].

Le transplant, issu d’un donneur vivant comme d’un donneur décédépeut aussi être transplanté avec un cal- culenplacediagnostiquéounonavantlatransplantation.

Laréalisationsystématiqueetrecommandéed’unscanner abdominopelvienchezle donneur vivant[15], commeson utilisationdeplusenplusfréquentechezlesdonneurscada- vériquespermetlamiseenévidencedecalculsquiétaient probablementignorésauparavant.

Diagnostic

Lepatienttransplantéestpardéfinitionunpatientaurein uniquefonctionnel,cequifaittoutelagravitédelapatho- logielithiasiquedanscettepopulation.Lasymptomatologie d’uneobstructionurinairesuruntransplant,pardéfinition non innervé, est limitée. La symptomatologie typique de coliquenéphrétiqueest absenteetlessymptômescomme ladouleurabdominaleoul’empâtementdelalogedutrans- plant sont nonspécifiques. Le diagnostic est doncfait de manière souvent tardive à l’occasion d’une altération de la fonction rénale, d’un sepsis urinaire, d’une hématurie macroscopique,oud’unedilatation pyélocaliciellesurune échographiedecontrôle.Encasdesuspiciondecalculsur transplant, l’échographie permet de mettre en évidence ladilatationpyélocalicielle.Latomodensitométrieavecou sans injection si la fonction rénale le permet, précise la topographie,latailleetladensitéducalcul(Fig.1et2).

Transplantation d’un rein avec un calcul

Laprésenced’uncalculchezledonneurvivantnecontre- indiquepasledonsil’ons’assuredel’absenced’anomalies

Figure1. Calculdel’uretèredutransplantrénal.

métaboliquesetbiologiqueschezledonneur[16].Noussug- géronslaplusgrandeprudencesiledonneurprésentedes calculsmultiples,uni-oubilatéraux.

Si le diagnostic d’un calcul au sein du transplant est poséavant même latransplantation, souventà l’occasion d’une tomodensitométrie réalisée chez le donneur, il est possibledetraiterlecalculinvivochezledonneuravantla néphrectomie.Ilestégalementpossiblederetirerlecalcul exvivoenprétransplantation,ouencoredetraitercecal- culinvivoenpost-transplantationchezlereceveur[17,18].

Dans ce dernier cas de figure, il est recommandé de ne pastraiter lespatientsimmédiatement etd’attendreque l’immunosuppressioninitialedelapérioded’inductionsoit réduite[19].Rashidetal.[18]ontrapporté en2004,une sériede 10transplants (issus de donneursvivants) traités parurétéroscopiesexvivoréaliséesdans dusérumphysio- logiquerefroidi[20].Ilmontreainsilafaisabilité decette technique,9des10transplants ayantpuêtre débarrassés ducalculsoitparsimpleablationàlapincepanier,soitpar fragmentationlaserinsituaupréalable.DemêmeOlsburgh etal. rapportentunesérie de17transplantsexploréspar urétéroscopieexvivo,10procéduresontpermisderetirer lecalcul,6nonpasretrouvédecalculetunes‘estsoldépar unéchectechnique[18,21].

Figure2. Calcul pyéliquenon obstructif d’untransplant rénal (aprèstransplantationcombinéerein/pancréas).

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La décision de traiter le calcul avant ou aprèsle pré- lèvement repose sur un faisceau d’argument : risques anesthésiques chez le patient, taille du calcul, et locali- sation.Demême, le délaiavant latransplantation est un élémentpertinentàprendre en considération: sile don- neur est sélectionnéet diagnostiqué plusieurs mois avant leprélèvement, ilpeut sembler pluslogique detraiter le calculpréalablement à la transplantation. Par ailleurs, si lereceveurestpédiatrique,ilfautimpérativementchoisir detraiter le calculavant le prélèvement ouex vivo mais éviterabsolumentdeletraiteraprèsafindenepasexpo- seràl’enfantàdemultiplesprocéduresquiserontd’autant plusdifficilesàréaliserquel’enfantestjeune(diamètredes endoscopes,etc.).

Le calcul sur transplant « de novo »

Kimetal.rapportentundélaimoyeninférieur de18mois [22].Lediagnosticestengénéralfortuitdufaitdeladéner- vation du transplant rénal. La radiographie standard de l’abdomenne permet pas engénéral de mettrele calcul enévidencecarsalocalisationsesuperposerégulièrement aveclesosdubassin.Lesexamensradiologiquespermettant lediagnosticducalculsurtransplantsontl’échographie,la tomodensitométrieoumoinsfréquemmentl’IRM.

Les principales séries de patients avec un calcul sur transplant rénal montrent la faisabilité des techniques conventionnellesde prise en charge des calculs sur reins natifs[3,23].

La surveillance

La surveillance est proposée dans la littérature pour les calculsdemoinsde5mmasymptomatique[4,6].Cettesur- veillancedoitêtrenonseulementcliniquemaiségalement biologiqueetradiologiquedufaitdel’absenced’innervation dutransplant.

L’alcalinisation des urines

L’alcalinisationdesurinesestunealternativethérapeutique encasdelithiaseuriqueetdoitêtrealorsproposéeenpre- mièreintention[24,25].

La lithotritie extracorporelle

La lithotritie extracorporelle est une option valide sous réservedetrouverunepositionadéquateàlaprocédure,en décubitus ventral le plus souvent [26]. La superposition des os du bassin complique le repérage radiologique des calculs [23] et absorbent une partie des ondes de chocs [27,28]. Klinger et al. [4], Ferreira et al. [29] et Challa- combeetal.[3]recommandentlalithotritieextracorporelle pourdes calculs de5 à15mmsans pose systématiquede sondeendo-urétérale aupréalablesousréserve d’unesur- veillancepostopératoireafindedétecterprécocement les empierrementsurétéraux.

L’urétéroscopie sur transplant

DelPizzoetal.ontrapportélafaisabilitétechniqueavecune sériede14casd’urétéroscopiesurtransplant[30].Letype d’anastomoseurinaireconditionnelaréalisationtechnique del’urétéroscopie.Basirietal.rapportentuntauxd’échec

de23%d’échec[27]dufaitd’undéfautderepérageendo- scopiquedel’anastomoseouencoredel’impossibilité d’y monterunguide[31].L’anastomoseurinaireestleplussou- vent urétérovésicale, ce qui ne facilite pas la réalisation d’urétéroscopie alors qu’une anastomose pyélo-urétérale facilitegrandementlaréalisationdesmanipulationsendo- urologiques [32]. Malgré l’absence de données robustes, le bon sens chirurgical suggère defavoriser la réalisation d’uneanastomosepyélo-urétéralelorsquel’ontransplante ungreffon porteurd’une lithiase caliciellenon retiréeex vivo.

Les néphrolithotomies percutanées

Lesnéphrolithotomiespercutanéessurtransplantsontrares et font l’objet de cases reports ou de séries limitées [19,28,33,34]. La première néphrolithotomie percutanée décrite remonteà1985 [33].Cette procéduredécrite par Crooketal.commethéoriquementplusdifficiledufait:

• de la localisation extra-anatomique du transplant qui engendredesrisquesdeblessuresdutubedigestif;

• dela formation d’une capsule inflammatoire autourdu transplantquilimiteladistensionpyélocalicielle;

• d’unefibrosedusiteopératoirequilimiteainsilesmou- vementspossiblesdunéphroscope[35].

Cependant, pour certains auteurs la ponction rénale apparaîtcommeplussimpledufaitdelasituationsuperfi- cielledutransplant[3,23].Krambecketal.rapportentune série de13 néphrolithotomiespercutanées (endoscope de 27Fr)surreins transplantés,10procéduresontpermisde retirerlatotalitédeslithiasesenunseultempsopératoire et3ontnécessitéunsecondtempsendoscopique[28].La néphrolithotomiepercutanéemini-invasiveaicitrèsproba- blementtoutesaplace,entraitantavecsuccèsdespatients avecunaccèsdeseulement16Fr[36].Dufaitd’une sur- veillancerégulièreéchographiquedespatientstransplantés, ilestrared’avoiràprendre encharge devolumineuxcal- culs ;Romero-Vargasetal.ont récemmentrapportésleur expériencedanslapriseenchargededeuxcalculscoralli- formessurtransplant,lepremiercalculaétéinitialement traitéparuneséancedelithotritieextracorporellequis’est suivie d’une pertede transplantet d’une transplantecto- mie [37].Le second aégalementété traitéparlithotritie extracorporelleavecunebonneévolution.

La chirurgie ouverte

Lachirurgieouverteresteunealternativederecoursenpour descalculsdegrosvolume.Lacicatrisationestrenduedif- ficiledufaitdestraitementsimmunosuppresseursavecun risqueaccrudefistuleurinaire.

Conclusion

La pathologie lithiasique chez le transplanté rénal n’est pas plus fréquente que dans la population géné- rale. Sa symptomatologie est minimisée par l’absence d’innervation du transplant, mais sa gravité est majo- rée par l’immunosuppression et le caractère unique du transplant. Le diagnostic est fréquemment fortuit du fait d’une surveillance systématiqueaccrue chezces patients

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transplantés.Lapriseenchargesemblepouvoirêtresimi- laireàcellesurdescalculssurreinsnatifs.

Déclaration de liens d’intérêts

Lesauteursdéclarentnepasavoirdeliensd’intérêts.

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