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Agadir, un paradis dérobé

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Le 10 février 1960, la ville côtière d’Agadir, plaque tournante décisive, fut détruite en quelques fractions de seconde.

Lorsque, cinquante ans après, à l’occasion de la commémoration du tremblement de terre, des milliers de personnes venues du monde entier se sont rendues à Agadir, l’auteur s’est retrouvé avec quelques amis sur les lieux de son enfance.

Un grand bouleversement intérieur l’attendait, comme un autre séisme.

Agadir, un paradis dérobé est l’histoire de la remontée dans la mémoire des premières années d’une vie magnifi que, dure et violente ; des années qui ont failli faire, du garçon dont les turbulences nous sont narrées, un véritable délinquant.

C’est la découverte du cinéma dans les salles obscures de sa ville qui le sauvera, éveillant en lui l’impérieuse vocation du cinéaste qu’il deviendra des années plus tard.

Haut en couleurs, ce récit s’inscrit sous le Protectorat français et survole bien des aspects de l’histoire du Maroc. Il s’arrête au moment où la révolte pour l’indépendance décide du départ de sa famille, loin des terres chaudes de ses ancêtres, vers le Canada, son pays depuis lors.

Jacques Bensimon naît à Agadir au Maroc. En 1958, il immigre avec sa famille au Canada puis poursuit des études de cinéma aux États-Unis. Il collabore à une trentaine de fi lms documentaires et en réalise plusieurs. Il participe à la création d’une chaîne éducative, TFO de TVOntario, qu’il gère pendant 15 ans. En 2001, il devient Président de l’Offi ce National du Film du Canada et Commissaire à la cinématographie. Il reçoit de la France le titre de Chevalier des Arts et des Lettres ; du Gouvernement canadien, le prix du Gouverneur général ; du Conseil de la langue française du Québec, le prix du « 3 juillet 1608 ».

La maladie dont Jacques Bensimon témoigne à la fi n de Agadir, un paradis dérobé vient de l’emporter, le jour même de ses 69 ans. Il lui aura manqué quelques semaines pour connaître la réaction de ses premiers lecteurs. Qu’ils sachent donc que ce texte, imprégné de la force créative qui continuait de l’animer, a accompagné de bout en bout cette ultime étape d’énergique combat.

Photo de l’auteur par Jonathan Bensimon.

Couverture : Chaises longues avec cabines, André Elbaz, huile sur toile, 1963.

Ja cq ue s B en si m on A ga di r, u n p ar ad is d ér ob é

Cette collection, consacrée essentiellement aux récits de vie et textes autobiographiques, s’ouvre également aux études historiques.

Graveurs de Mémoire

ISBN : 978-2-336-00212-5

Prix : 22 €

Agadir,

un paradis dérobé

Agadir, un paradis dérobé

Jacques Bensimon

G

Graveurs de Mémoire

Série : Récits de vie / Maghreb

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AGADIR,

UN PARADIS DÉROBÉ

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Graveurs de Mémoire

Cette collection, consacrée essentiellement aux récits de vie et textes autobiographiques,

s’ouvre également aux études historiques

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La liste des parutions, avec une courte présentation du contenu des ouvrages, peut être consultée

sur le site www.harmattan.fr

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Jacques Bensimon

AGADIR,

UN PARADIS DÉROBÉ

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Illustration en page couverture :

Peinture d’André Elbaz, Chaises longues avec cabines, Huile sur toile, 1963

© L'HARMATTAN, 2012

5-7, rue de l'École-Polytechnique, 75005 Paris http://www.librairieharmattan.com

diffusion.harmattan@wanadoo.fr harmattan1@wanadoo.fr ISBN : 978-2-336-00212-5

EAN : 9782336002125

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À la mémoire des victimes du séisme d’Agadir du 29 février 1960

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À Véra, Jonathan et David

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Remerciements

Toute ma gratitude à Françoise Elbaz, Véra Bensimon, André Elbaz, Sophie-Fortunée Cohen et Marie-Margaret Benhaïm pour leur apport précieux ;

À Jacques Godbout pour ses conseils littéraires ;

À Tom Perlmutter, Maurice Elmaleh et Léon Ouakine, mes amis et premiers lecteurs qui m’ont encouragé dans ma démarche.

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« Au milieu de l'hiver,

j'ai découvert en moi un invincible été » Albert Camus

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1 — Prologue

ES pneus de l’avion de la Royal Air Maroc crissent sur le tarmac de la piste principale d’Agadir. Une hôtesse équipée d’une lampe de poche nous dirige dans la nuit vers le hall désert de l’aéroport. Il est minuit. Pour nous conduire à notre hôtel, le chauffeur de taxi profite de l’heure tardive pour exiger un prix exorbitant. Exténués par 35 heures de voyage, nous n’avons aucune envie de négocier. Nous embarquons dans une vieille Mercedes bringuebalante, mon épouse et moi. À peine de retour dans mon bled, je me fais arnaquer par un chauffeur du Nord qui me prend pour un touriste… Le taxi roule dans la nuit, sur des routes désertes et mal éclairées. À mesure que nous approchons du centre- ville, les rues s’animent quelques commerces, illuminés par des torches à gaz, sont encore ouverts. Je ne reconnais rien.

L’hôtel a l’avantage d’être confortable et bien situé. Il appartient à mon meilleur ami d’enfance, Gérard, dit

« Gégé », devenu l’un des hommes d’affaires prospères de la ville. La nuit est courte. Engourdi par le sommeil, mais incapable de fermer l’œil, j’entrevois, à travers les rideaux transparents, le soleil qui se lève sur Agadir. Autour de la piscine, où le petit déjeuner est servi, la plupart de mes anciens amis sont là, assis autour de Gégé, le maître des lieux. « Monsieur » Gégé est chauve, souriant, assumant pleinement l’embonpoint des hommes qui ont réussi. Ce sont de grandes effusions. Nous tombons dans les bras les uns des autres dans une euphorie grisante, celle-là même de notre préadolescence. J’ai quelque mal à reconnaître mes amis d’autrefois, devenus, comme moi d’ailleurs, des croulants à la retraite… On croirait se retrouver dans une réunion

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d’anciens combattants. Les conversations portent sur nos épouses, nos familles, nos enfants, puis nous passons en revue nos divers bobos, le diabète de celui-ci, la prostate de celui-là, les infarctus des uns, les hémorroïdes des autres…

Dans ce décor féerique, j’observe mes anciens complices, mes amis : Claude, dit « Claudius », aujourd’hui médecin à la retraite, qui a gardé son sourire d’enfant timide, Samuel, dit

« Samy », bedonnant lui aussi, représentant de commerce qui sillonne les routes de France et de Navarre. Ariel, dit « Riel », est un retraité d’Hydro-Québec à Montréal. Edmond, surnommé « Momo », pratique encore son métier de dentiste. Polo, avec sa tête de patriarche grisonnant, est devenu un peintre célèbre en France. Et mon cousin Jacquot, après avoir vécu à Paris, est retourné s’établir à Essaouira, au Maroc, comme investisseur immobilier…

Ceux qui ne sont pas là ont été empêchés par des conflits de dates ou des ennuis de santé.

C’est en plein hiver à Montréal qu’a germé l’idée de nous retrouver en février 2010 à Agadir pour le 50e anniversaire de la destruction de notre ville. Nous avons planifié ce voyage pendant plusieurs mois et avons usé de tous les moyens (Internet, emails, courriers, téléphone) pour reconstituer notre bande, éparpillée dans différents pays du monde. Pour commencer, nous nous sommes régulièrement rencontrés au restaurant d’Albert. Puis, sous l’impulsion de Maurice, nous avons créé l’Association des anciens d’Agadir.

Nous nous sommes ensuite réparti les tâches afin de retrouver les Gadiris dispersés à travers le Canada, les États- Unis, la France, l’Amérique du Sud ou Israël… Et pour réussir ce tour de force, de nous retrouver tous au Maroc, un demi-siècle après, nous nous sommes improvisés agents de voyages. Car un demi-siècle s’est écoulé depuis qu’à 5,7 sur l’échelle de Richter, Agadir a sombré, en quinze secondes, sous le tremblement de terre qui a emporté notre ville à jamais.

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Le jour des retrouvailles, notre première activité a été de mobiliser un autobus pour aller nous recueillir auprès des nôtres dans leur dernière demeure. Traversant la ville au milieu des hordes de touristes et de leurs guides, le bus emprunte le chemin du cimetière en slalomant au milieu des pierres et des décombres, et s’arrête enfin au bout de la piste.

Les cimetières juif, musulman et chrétien sont côte à côte, comme pour rappeler que dans la mort, comme devant Dieu, nous sommes tous égaux… Dans la rosée matinale de février, une odeur agréable émane des amandiers en fleur. À notre entrée au cimetière, des chiens se mettent à aboyer, un peu plus loin, on entend un âne braire, tandis que dans un coin des poules gloussent, entourées de leurs poussins. Le pèlerinage est émouvant chacun se dirige d’instinct vers les tombes des siens. Le gardien, assailli par des familles, ne sait où donner de la tête pour répondre à leurs questions.

En rentrant à l’hôtel, je retrouve mon fils qui vient d’arriver du Canada. Depuis le début, c’est avec Jonathan que j’ai toujours eu l’intention de filmer ces retrouvailles. Je ne sais pas encore quelle forme prendra le film, mais je tiens à le tourner comme un film intimiste, presque un film de famille, et je suis heureux que mon aîné ait pu se joindre à nous, malgré ses multiples obligations de cinéaste professionnel.

Nous avons commencé à travailler dès le lendemain. Un jeune chauffeur de taxi, avec qui nous avions négocié une somme forfaitaire pour la journée, nous conduit dans une petite Fiat sur les divers lieux de tournage.

Nous avons d’abord filmé le plateau de Talborjt et ce qui reste d’encore reconnaissable du vieil Agadir. Une grande complicité s’établit rapidement entre Jonathan et moi. Le courant que nous n’avons pas eu l’occasion d’éprouver depuis longtemps passe immédiatement, et j’ai l’impression de retrouver l’époque où j’inventais des jeux pour transmettre à mes deux enfants ma passion du cinéma.

Quelle n’est pas ma fierté de voir Jonathan me suivre

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pleinement dans mes démarches, mes déambulations dans ma ville natale ! Le jeune chauffeur berbère nous regarde amusé, mais surtout médusé, de nous voir filmer des pierres, des ruines d’immeubles, des routes démolies. Là où lui ne voit que terrains vagues, c’est « mon » Agadir qui se reconstitue doucement dans ma tête : l’Agadir dont je connaissais parfaitement le moindre recoin, le moindre immeuble, les rues, les souks, les mosquées, les marchés, les synagogues. Alors que mon fils me suit avec sa caméra, une ville renaît, s’anime sous mes yeux. J’entre doucement dans les lieux de mon enfance, et me voilà parti pour un long périple.

Mes douze premières années vécues à Agadir sont des années exceptionnelles, formatrices et marquantes, dont ma mémoire et mon cœur resteront toujours imprégnés de façon indélébile. Cinquante ans après, je peux dire qu’il ne se passe pas un jour sans que surgisse en moi l’Agadir d’avant le séisme. Ces douze années tranchent avec le reste de mon existence. C’est comme si elles s’étaient passées sur une autre planète, dans un autre temps, ou plutôt en dehors du temps.

Car justement, aucune notion de « temps » n’intervient quand je pense à cette époque. Mes expériences s’enchevêtrent les unes avec les autres sans que je puisse clairement distinguer ce que j’ai vécu à quatre ou à douze ans. Ces douze années sont un entrelacement de minutes, d’heures, d’années qui se succèdent et se chevauchent dans un désordre anarchique. Rien n’y est successif ou cumulatif.

Elles se déroulent comme un seul et même événement, sans chronologie. Évocations, odeurs, émotions peuvent tout à coup resurgir à n’importe quel coin d’une rue du bout du monde. À ces moments-là, le sentiment d’avoir déjà vécu des instants similaires dans mon enfance m’envahit. Des liens s’établissent, des rapprochements entre le présent et le passé surgissent : je viens de comprimer le temps. Alors que je me perds parmi les Cariocas d’une plage du Brésil, je crois fouler le sable de la plage d’Agadir. Un bâtiment d’une rue

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de Narbonne et son architecture me renvoient dans le Talborjt de mes premières années. Le goût d’un fruit me rend la saveur de celui que j’ai croqué plus de cinquante ans plus tôt ! Le temps est une collision incessante entre ce que je vis ici ou là au jour le jour et les moments ineffaçables de ma petite enfance…

Même si cette histoire s’inscrit totalement dans la réalité, j’insiste pour que ce livre soit classé sous la rubrique

« fiction ». En l’écrivant, je me suis inspiré des perceptions, des sensations de ma propre vie, mais j’ai également pris certaines libertés, plaçant des personnages réels dans des situations romancées, introduisant des personnages inventés dans des contextes réels. J’espère que les Gadiris de mon époque me pardonneront ces petits détournements qui visent à rendre l’atmosphère d’Agadir. Si l’on se souvient que j’ai passé l’essentiel de ma carrière professionnelle dans le documentaire, on comprendra la démarche qui m’amène à commettre ici un « roman vrai » ou une « réalité romancée ».

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2 — La terre a tremblé en ce 29 février 1960

E sors timidement la main du lit pour allumer le poste de radio en plastique vert. Je tourne le cadran au hasard. La musique, diffusée de la bande AM, me renvoie presque aussitôt dans un demi-sommeil langoureux. Je me tourne dans mon lit, emmitouflé sous les couvertures. Notre appartement étant petit, je dors dans la salle à manger. Nous sommes à notre deuxième hiver au Canada. J’ai 16 ans.

Dehors, derrière la fenêtre, j’aperçois un soleil timide qui joue à cache-cache à travers les branches nues d’un arbre noir. En ce 1er mars 1960, l’hiver maintient son emprise sur ce vaste pays qui devient le mien. Je sais que je devrais m’extirper du lit pour aller à l’école, mais je prolonge l’instant, pris entre la paresse et le sommeil. Radio Canada annonce les coups de 8 heures. Je dois me lever, quand un mot capte mon attention, un nom que je connais bien. Je me redresse sur le lit, monte le volume. J’ai bien entendu : Agadir ! Pourquoi parle-t-on de chez moi ? Pourquoi, dans ce pays en hibernation, mentionne-t-on cette ville parmi tant d’autres ? J’attrape d’autres mots au vol : Catastrophe ! Tremblement de terre ! 5000 morts ! Des morts ? Chez moi ! À l’autre bout de la terre ! Je crie j’ameute ma famille. Ma mère, qui s’apprête à aller au travail, est comme aimantée par la voix qui sort de la radio. Mes trois sœurs referment la porte de l’appartement et reviennent sur leurs pas ! Mon père a déjà quitté la maison. Nous sommes tous suspendus aux lèvres du commentateur. Sur le visage de ma mère, je lis le drame et la panique ! Je ne sais comment réagir. Tous nos proches sont là-bas ; mes meilleurs amis y vivent encore ! Le

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radio journal nous laisse anéantis. Que faire ? Où se tourner pour avoir des nouvelles ? Nous trouvons dans l’annuaire le numéro de téléphone de la Croix-Rouge et nous appelons l’ambassade de France. La maisonnée se transforme en QG.

Les mauvaises nouvelles se succèdent. On ne parle plus de 5.000, mais de 15.000 morts. On évoque les immeubles détruits, les édifices écroulés comme des châteaux de cartes, une ville à feu et à sang. On annonce l’intervention de l’armée, de la marine française, de volontaires hollandais. Le monde entier semble se précipiter au chevet d’Agadir. Pour l’adolescent que je suis, l’expression « tremblement de terre » prend un sens nouveau.

« Tremblement »… Quel terme inoffensif, si l’on songe à la violence soudaine qui, en 15 secondes, a fauché à jamais une ville et annihilé des vies entières ! Dans les nuits qui suivent, personne ne ferme l’œil chez nous. On ne mange plus ; ma mère semble avoir épuisé toutes les larmes de son corps. Mon père tente de maîtriser ses émotions en s’activant auprès de ceux qui peuvent nous renseigner.

Chaque jour nous apporte des nouvelles désastreuses. On parle de typhus, de choléra, d’évacuation, de pillage, de survivants retrouvés plusieurs jours après le séisme vivants, sonnés, sortis des décombres ou coincés sous des dalles de béton. Derrière les chiffres et les statistiques, nous essayons de compter les pertes des nôtres. À peine avons-nous le temps de pleurer la mort de l’un, que la mort de l’autre nous accable. Dans ce Montréal en hibernation, le deuil nous assiège ; il nous ronge. Nous sommes une cellule de crise qui tente par tous les moyens d’établir un contact avec le Maroc.

Des images commencent à nous parvenir par voie de presse.

Paris-Match, sensationnaliste et aguicheur, nous apporte les premières photos de la ville détruite, en décomposition. Une image grotesque de l’hôtel Saada — qui s’est affaissé comme un soufflet — nous saute à la figure : des rues désertes jonchées de cadavres mêlés à des pans de murs. Le quartier de Talborjt où j’ai vécu mon enfance est rayé de la carte.

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Après une semaine d’épuisement, je suis assailli de cauchemars aussitôt que je m’affale sur mon lit. Ils hantent mon sommeil. Je me réveille en sueur au milieu de la nuit.

Les jours suivants, je retourne enfin à l’école, et d’horribles crampes d’estomac me saisissent. J’ai du mal à expliquer ces paniques soudaines. Dans Montréal, qui s’apprête à accueillir un printemps frileux, mon esprit reste assombri par l’incompréhension. Avec ce tremblement de terre, ma vie semble s’être arrêtée le 29 février 1960… Une partie de moi est comme anéantie.

Ce séisme a détruit une ville unique au monde, celle où j’ai vécu, et je veux aujourd’hui témoigner de cette époque qui ne subsiste plus que dans mon cœur et dans mon esprit.

Je veux inscrire ce bonheur que les pierres, les rues, les visages n’incarnent plus désormais. Je veux fixer cette vie, afin de préserver la mémoire de ce lieu.

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