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REVUE DE PRESSE DU 5 FEVRIER

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Academic year: 2022

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REVUE DE PRESSE DU 5 FEVRIER 2021

France 3

Édition Languedoc-Roussillon du 04/02/2021 :

>> Reportage à Béziers où une jeune fille a été giflée, humiliée et cognée par 3 autres jeunes filles. Les auteures de fait ont été mises en examen, la plus jeune a 13 ans.

>> Reprise du reportage sur le procès à Nîmes des deux agriculteurs

>> Reportage à Montpellier sur la manifestation organisée par plusieurs syndicats + GJ pour la défense de leur pouvoir d'achat

>> Reportage dans le Lot et Garonne sur les inondations et les moyens techniques mis en œuvre pour les prévenir

>> Reportage sur l'étape de l'Etoile de Béssèges Édition de proximité pays-gardois du 04/02/2021 :

>> Reportage au palais de justice de Nîmes sur le procès de 2 agriculteurs, auteurs de dégradation en mage d'une manifestation d'octobre 2019 (destruction portail DDFIP). De nombreux agriculteurs sont venus soutenir leur collègues.

>> Reportage sur la mobilisation des salariés de l'entreprise Crouzet d'Alès suite à l'annonce de la fermeture en raison de difficultés économiques (perte CA), cette entreprise

travaillant en lien avec le secteur aéronautique.

>> Reportage sur la manifestation organisée à Nîmes par plusieurs syndicats afin de demander la revalorisation des salaires, la baisse du temps de travail et le renforcement des services publics

>> Retour sur la match NO et PSG

>> Reportage sur la course l'étoile de Bessèges

Objectif Gard

FAIT DU JOUR Taki, histoire d’un miraculé qui a trouvé son havre de paix chez Ergosanté

Le statut de réfugié politique obtenu il y a cinq ans permet à Taki Mukanya de vivre une deuxième vie paisible d'employé dans une entreprise anduzienne en plein boom. Mais le jeune Congolais, violemment battu dans son pays et laissé pour mort, gardera à vie les séquelles d'une agression qui fait de lui un salarié en situation de handicap.

Lorsque Taki nous accueille au pied de son immeuble implanté dans le quartier de Rochebelle à Alès, c’est un petit bonhomme d’un mètre soixante cinq au regard inspirant la douceur qui nous fait face. Les présentations faites, Taki peine à se mouvoir dans les escaliers qui mènent jusqu’à son appartement situé au premier étage. Une démarche robotique causée par l’absence de fléchissement de ses membres inférieurs dont la raideur est le fruit d’un passage à tabac. Il

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faut remonter au début des années 2010 pour prendre la mesure de la souffrance endurée par ce trentenaire né au mois d’août 1987.

Membre d’une fratrie de cinq enfants, Taki Mukanya a vécu une enfance plutôt heureuse dans son village de Luvungi, à l’est de la République démocratique du Congo, non loin des

frontières rwandaises et burundaises. Sa vie bascule à la mort de sa mère et au choix de son père de se remarier à une femme « qui n’était pas de notre tribu. » Cette femme a de

nombreux frères et ces derniers sont des « rebelles » face auxquels l’armée congolaise a bien souvent montré ses limites.

« Ils m’ont amené dans la brousse et m’ont tous frappé »

« Mon papa avait pas mal d’argent, se souvient Taki. Il avait plusieurs commerces, possédait de nombreux biens. » Comme sa mère quelques années plus tôt, son père va « rejoindre le paradis » et laisser derrière lui un héritage lourd de conséquences. Taki évoque une répartition des biens « équitable » entre les membres de sa famille et la deuxième épouse de son paternel.

Sauf que celle-ci, qui n’a rien de la belle-mère idéale mais tout de la marâtre, n’avait pas l’intention de se contenter de sa seule part. Peut-être sous la pression de ses frères... Ces derniers ont entrepris de piller Taki et sa famille, mais le petit homme courageux s’est

interposé à plusieurs reprises. Les assaillants ont alors compris qu’ils n’obtiendraient rien tant qu'il serait encore en vie.

La nuit était en train de tomber et il s’apprêtait à regagner le domicile familial après « une bonne partie de foot » lorsque sept hommes munis de lances, de couteaux et de fusils l’ont kidnappé derrière l’école du village. « Ils m’ont amené dans la brousse et m’ont tous frappé avec leurs armes », raconte le Franco-Congolais. Un déchaînement de violence qui va durer d’interminables minutes jusqu’à l’ordre final pour le moins radical. « Finissez-le ! », a réclamé le plus âgé des frères, chef du groupe de rebelles.

Inconscient, Taki ne bouge plus et les sept agresseurs le laissent pour mort. La victime gît au milieu de nulle part mais par chance, des habitants du village, qui s’apprêtaient à « faire brûler des briques » loin des habitations, lui portent assistance. Mais Taki est amené dans un hôpital trop vétuste qui ne possède pas le matériel nécessaire à sa prise en charge. Le médecin le transfère donc vers un autre hôpital mieux équipé et là le couperet tombe : le jeune homme ne marchera sans doute plus jamais.

Deux ans dans une église et un séjour en prison

« Je ne pouvais plus bouger mes orteils et je ne sentais plus mes membres inférieurs », se remémore le natif de Luvungi. À sa sortie de l’hôpital, Taki se sait menacé car ses agresseurs voudront à coup sûr "finir le travail". Il y a un lieu qu’il connaît mieux que tous les autres et qui lui inspire une confiance qu’aucun autre n’est en mesure de lui offrir : l’église. Sa foi est inébranlable et Taki, guitariste, y joue des concerts chaque dimanche avec un petit groupe, faisant de lui un habitant apprécié.

« J’ai dormi pendant deux ans dans l’église, sans sortir et sans pouvoir bouger », relate-t-il sans qu’on ne perçoive une once de misérabilisme. À grands renforts de pommades et de remèdes locaux, les villageois se succèdent pour lui rendre visite et tenter de le remettre sur pied en le massant régulièrement. « Petit à petit, j’ai commencé à pouvoir me redresser et à changer de position tout seul. Je suis redevenu un bébé en suivant toutes les étapes de l'apprentissage de la marche », s'amuse Taki.

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Le musicien, qui s’est fait briser une vertèbre le jour de l’agression, n’a pas encore subi d’opération mais parvient à remarcher difficilement avec l’aide d’une canne. Il trouve ensuite refuge « chez un ami de papa », mais se sait encore dans le viseur des rebelles. Un soir, alors qu’il est en train de jouer avec un ami, plusieurs coups de feu retentissent. Son frère aîné vient d’être assassiné et Taki en est persuadé : ces balles lui étaient destinées.

En pleine nuit, il regroupe le peu d’affaires qu’il est en mesure de réunir dans un sac et fuit vers le Burundi. Ce qui s’apparente à un passeur lui propose de l’amener en bateau jusqu’aux Comores à condition qu’il paie. Taki s’exécute. Quelques heures plus tard, l’homme

l’abandonne, le livrant aux mains de la police comorienne qui le cueille et le met en prison pendant sept mois, à tort. « En voyant que j’avais la nationalité congolaise, les policiers croyaient que j’étais un mercenaire qui voulait participer au coup d’État », justifie le trentenaire.

Taki, radio en mains, sur laquelle on aperçoit sa vertèbre brisée. (Photo Corentin Migoule) Sorti de prison, à l’aide d’une pirogue, il rejoint Mayotte et fait d’emblée une demande d’asile politique, aussitôt acceptée. La France, pays dont il ne connaît rien, l’accueille à bras ouverts et, plusieurs années après sa terrible agression, va le soigner. Au terme d’une opération éprouvante qui aura duré 12 heures. À l’hôpital de Montpellier le docteur Nicolas Lonjon remplace sa vertèbre cassée par une vertèbre artificielle. « Je le remercie à chaque

consultation », promet Taki, désormais suivi régulièrement par des médecins.

Une partie de sa rééducation se déroule à Anduze où il fait une rencontre déterminante en 2016 dans les locaux d’une association. Celle de Mickaël Corgne, frère de Samuel, gérant de l’entreprise Ergosanté. Les deux hommes se lient d’amitié, Taki trouvant en Mickaël un repère dans une région où il apprécie la douceur du climat, lui qui « ne supporte pas le froid », responsable d’une aggravation de ses douleurs. Lorsque la société anduzienne obtient le label

"entreprise adaptée", Mickaël Corgne lui propose d’intégrer l’équipe. Taki se forme et y obtient un mi-temps thérapeutique en janvier 2020.

Taki au travail sous les yeux du boss, Samuel Corgne, lors de la visite du préfet de Région le 29 janvier dernier. (Photo Corentin Migoule)

Son poste de travail adapté lui permet de fabriquer sans souffrir des appui-têtes, des dossiers et des sièges. « Irréprochable au travail », doté d’une « grande dextérité », Taki est «

l’employé qui fait beaucoup de bien à l’équipe car il a toujours le sourire », d’après Mickaël Corgne, qui l’a aidé pour ses différents déménagements à Alès où il loge depuis 2017. Entre- temps, le Congolais s’est aussi marié « le 17 octobre 2019 au Rwanda. » Mais Taki n’a pas beaucoup eu l’occasion de serrer dans ses bras Lukogo Jeanne, son épouse.

Contrairement à lui, celle-ci n’a aucune raison de recevoir le statut de réfugiée politique et est donc privée de résidence en France. Mais son courageux mari a fait de son rapatriement une affaire personnelle. Vendredi dernier, lors de la visite d’une grande délégation chez Ergosanté (lire ici), son patron n’a pas hésité à interpeller le préfet du Gard, Didier Lauga, lui demandant d’examiner « un dossier important. »

En plus de lui manquer intensément, sa femme lui serait d’un immense secours pour les tâches de la vie quotidienne. « Souvent quand je rentre après le travail je suis fatigué, mais je dois encore faire le ménage et cuisiner. Or je ne peux pas rester plus de trente minutes debout car ça devient trop douloureux pour mon dos », explique Taki, qui se soulage avec de la

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morphine et des séances de kiné. Dans le Gard, le Congolais s’est fait de nombreux amis et on comprend aisément pourquoi. Pour y être définitivement heureux, il rêve d’y vivre à deux.

OCCITANIE La Région relance la donne et innove avec un nouveau fonds

Depuis le début de la pandémie de covid-19, Carole Delga, présidente de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, et Alain Di Crescenzo, président de la Chambre de commerce et d'industrie d'Occitanie travaillent en partenariat et se mobilisent afin d'accompagner les entreprises du territoire et leurs salariés.

La stratégie mise en place pour accompagner les activités d'exportations en cette période de crise sanitaire et économique est cruciale. Par ailleurs, la Région Occitanie s'est engagée pour l'avenir du territoire en accompagnant notamment les entreprises dans la relocalisation

d'activité. Sa présidente, Carole Delga, présentera la stratégie régionale déployée à travers l'Agence régionale d'investissements stratégiques et annoncera le lancement d'un portail régional de financement participatif et citoyen au service des porteurs de projets régionaux.

" Cette crise est sans précédent et très forte en inégalités géographiques et sectorielles. Il en va de même en Occitanie car ici le tourisme, l'industrie et la viticulture souffrent. En matière d'emplois, on s'en sort mieux qu'ailleurs ! ", rappelle Alain Di Crescenzo. En 2020, 50 500 entreprises ont été aidées par la Région. Cela représente 353 millions d'euros et 250 000 salariés. En gros, c'est quatre fois plus qu'habituellement ! Tous les secteurs confondus, l'Occitanie a perdu 22 000 emplois en 2020. Sont venues en plus de toutes ces aides, les idées comme Tous Occitariens ou Acheter dans ma zone. Des aides sur tous les secteurs, y compris pour 5 462 associations du territoire.

Plusieurs pistes

La crise liée à la pandémie de covid-19 a aussi profondément remis en question la pérennité de l’appareil productif français, confronté à des manques stratégiques dans les chaînes de valeur industrielles, et exposé aux difficultés d’approvisionnement et aux restrictions de circulation.

Afin de répondre à ces enjeux forts, la Région Occitanie a créé l’Agence régionale des investissements stratégiques (ARIS), afin d’investir dans les entreprises régionales en

accompagnant des projets d’intérêt stratégique qui concourent notamment à l’autonomie et la souveraineté régionale, à la relocalisation d’activités et de savoir-faire, à la transformation vers une économie plus vertueuse et à l’anticipation des usages de demain. " Nous sommes en équipe, à l'écoute et au service ", ajoute Alain Di Crescenzo qui pense que la relance

économique ne fonctionne jamais avec des incantations.

Carole Delga et Alain Di Crescenzo (Capture d'écran).

La Région innove en créant, et c'est une première en France, un portail régional du financement participatif citoyen. En effet, l'épargne des ménages a cru de façon très

importante pendant les premiers mois de la crise et la Région souhaite mobiliser cette épargne afin de contribuer au financement de l’économie et des entreprises régionales. " On a fait un sprint important depuis le début de la crise. Nous sommes à présent en plein marathon " sourit Alain Di Crescenzo.

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Précieuse épargne locale

" L'épargne n'a jamais été aussi importante en France mais elle ne fait pas partie de l'économie directe ", explique Carole Delga. Dans cette optique, la Région et la Chambre de commerce et d’industrie Occitanie lanceront, en avril prochain, le portail régional du financement

participatif et citoyen des porteurs de projets occitans. Cette plateforme (issue d’une société de projets entre la Région, l’AREC, la CCI Occitanie et des partenaires privés) est destinée à rassurer et à inciter les habitants d’Occitanie à investir dans l’économie réelle.

" Nous analysons les prix, les pratiques et l'approche. L'épargne dort et doit être le catalyseur de certaines entreprises. L'économie citoyenne va soutenir 200 projets par an ", souligne Carole Delga qui croit en ce nouveau portail. Ces projets bénéficieront non seulement d’une visibilité accrue grâce au portail régional mais également d’un " coup de pouce " financier. La Région interviendra en complément des fonds levés auprès des particuliers mais également pour garantir le projet en assurant que cet investissement citoyen ne sera pas fait à fonds perdu.

Quand on sait qu'un milliard d'euros injecté dans l'économie représente la création 15 000 emplois, ça donne envie de voir rapidement investis deux milliards d'euros par les habitants d'Occitanie ! Ce fonds est fait pour être pérenne, au-delà des élections à venir.

NÎMES MÉTROPOLE Hausse d’impôt : la Ville pas vraiment d’accord avec l’Agglo…

Dans le cadre de l'élaboration de budget 2021, l’Agglo nîmoise prévoit une hausse de la taxe des ordures ménagères ainsi que la création d’un nouvel impôt pour lutter contre les

inondations. Ces mesures pourraient faire augmenter la taxe foncière de 50 à 70€ par an.

Actuellement, le président de Nîmes métropole et ses équipes travaillent à la construction du prochain budget. Sur la table, la prévision des recettes et des dépenses pour 2021. Cet exercice est le premier du président Franck Proust, élu en juillet dernier. En proie à des difficultés financières, il a déjà fait voter en septembre le principe de création d’une taxe GEMAPI (Gestion des milieux aquatiques et protections contre les inondations). Additionnel à la taxe foncière, ce nouvel impôt devrait être fixé à un point. De quoi rapporter à Nîmes métropole entre 4 et 5 M€ par an.

L'Agglo prévoit aussi d’augmenter la Teom (Taxe d'enlèvement des ordures ménagères).

L’exécutif soutient que l’ancien président centriste, Yvan Lachaud, l’avait trop baissée, notamment pour des raisons électorales. D’autres pensent surtout que cette baisse a permis de faire disparaître les excédants de taxe que payaient les Nîmois. Qu'importe, aujourd'hui, l'exécutif envisage là-aussi d'augmenter d'un point cette taxe, ce qui rapporterait entre 3 et 4 M€ par an.

Lundi s’est tenu le bureau communautaire, préalable au débat d'orientation budgétaire, le 8 février. Plusieurs communes de Nîmes métropole - dont Nîmes - ne sont pas follement emballées à l’idée de voir les taxes augmenter de 50€ à 70€. « Pour un premier budget, c’est un mauvais signe », commente l’une de nos sources. Un autre élu propose « de reverser une partie de l’excédent du budget principal pour financer les ouvrages de protection contre les inondations. » Cela impliquerait notamment « d'aller plus loin en matière d’économies. »

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NÎMES Ils entretiennent bénévolement les tombes,

espérant que cette même action fleurisse dans tout le Gard

Trois jeunes hommes originaires du Chemin-Bas d'Avignon mènent depuis la mi-janvier une action de solidarité au cimetière du Pont-de-Justice à Nîmes. Rejoints par une cinquantaine de personnes, ils entretiennent bénévolement les tombes, espérant que cette même initiative fleurisse un peu partout dans le département.

Réservés, presque gênés, Sofiane, Fouad et Megdi nous accueillent au carré musulman du cimetière du Pont-de-Justice à Nîmes. Une dizaine de personnes s'affaire autour des tombes.

Tous ici sont des bénévoles venus donner un coup de main pour restaurer, avec l'autorisation des familles, les sépultures abîmées par le temps, par les aléas météorologiques.

"Au mois de décembre, il y a eu de fortes intempéries. Certaines tombes, qui n'ont pas de construction en marbre, se sont affaissées, explique Fouad. D'autres étaient carrément devenues invisibles. Et le risque qu'on y marche dessus sans même s'en rendre compte était fort." Le jeune homme originaire du Chemin-Bas d'Avignon et deux de ses amis, Sofiane et Megdi, ont alors décidé d'agir. Et parce que l'union fait la force, ils ont lancé un appel sur les réseaux sociaux.

"Nous voulons donner une autre image des jeunes de quartier. Une image positive." (Photo : Stéphanie Marin/Objectif Gard)

Tous les jeudis et les vendredis entre la mi-janvier et ce début du mois de février, une cinquantaine de bénévoles s'est retroussée les manches aux côtés du trio. "Des Nîmois, des gens de Vauvert, de La Calmette, d'Uzès. Le plus jeune a 16 ans, le plus âgé la cinquantaine et tous se sont côtoyés et ont travaillé ensemble", se satisfait Sofiane.

Et puis, il y a aussi ceux qui ont participé à cette initiative en prêtant du matériel, en offrant un repas à ces travailleurs bénévoles. "On a reçu de nombreux mercis aussi. C'est là notre plus belle récompense, notre salaire", ajoute Megdi. S'ils acceptent volontiers les remerciements, ces trois jeunes hommes ne veulent pas se faire mousser, d'où leur gêne au moment de nous accueillir.

(Photo : DR/)

C'est pourtant le trio qui a fait le premier pas vers notre rédaction en portant à notre connaissance cette initiative. "Nous vous avons contacté pour deux raisons. La première : nous espérons qu'en voyant ce que nous faisons, d'autres jeunes, dans d'autres villes,

reproduiront ce genre d'actions", lance Fouad. La deuxième, "nous voulons donner une autre image des jeunes de quartier. Une image positive."

Et c'est au tour des trois amis d'adresser leurs remerciements, "à toute l'équipe du cimetière notamment, qui fait un super travail et qui nous a vraiment facilité les choses pour que nous puissions faire ce travail." Un travail qui a dépassé les limites du carré musulman, car Fouad, Sofiane, Megdi et leurs compères ont répondu aux sollicitations de personnes d'autres

confessions religieuses. Arrivés au bout de leur tâche, les bénévoles devraient ranger pelles et brouettes demain en fin d'après-midi. "Mais d'autres actions devraient voir le jour très

prochainement", averti Fouad.

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Références

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