LA FÉDÉRATION HORLOGERS SUISSE

Trente-deuxième Année. — N° 34 P r i x d u n u m é r o : 1 0 centime»

Mercredi 2 Mai 1917 ..- Bureaux : R u e d e l a S e r r e , 5 8

MMDMOTMOELOGEBE

ABONNEMENTS

Un an Six moli

Suisse . . . . Fr. 7.05 Fr. 3.55 Union postale » 15.— > 7.60 Compte de Chèques postaux IV b 4 2 6

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suisses 20 ct., offres et demandes de places 10 et. la ligne, étrangères 25 centimes la ligne

Les annonces se paient d'avance

Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal

Bureau des annonces : P U B L I G I T A S , Société anonyme suisse de Publicité, 22, rue Leopold Robert, La Chaux-de-Fonds.

.« Succursales et agences dans les principales villes suisses. Nombreux correspondants à l'Etranger.

A propos des négociations germano-suisses Les négociations avec l'Allemagne, con- cernant le renouvellement de la convention d'échange avec ce pays ne sont pas termi- nées. Comme le terme de la convention était le 30 avril, on peut admettre qu'elle sera prorogée jusqu'à la fin des pourpar- lers ; on dit même qu'il se pourrait qu'elle soit renouvelée sans changement aucun.

Ä ce propos, on lira avec intérêt les réflexions et les commentaires d'un publi- cist« suisse, qui recommande l'utilisation, pour l a c o n s o m m a t i o n . d e notre pays qui en a grand besoin, des énormes stocks d'approvisionnements accaparés p o u r le compte de l'Allemagne.

«Il y eut jadis une affaire dite des acca- pareurs qui causa un bruit énorme et pro- voqua une très vive émotion. Des arrêtés d'expulsion furent pris. Puis le scandale s'éteignit doucement et finit par se perdre dans les brouillards mystérieux de Berne.

Cependant, la constitution à Zurich d'u- ne société destinée à combattre les acca- parements et les dispositions édictées par le Conseil fédéral dans nn m ê m e b u t vin-

rent préciser et souligner la réalité du danger.

O n ne raréfie pas les denrées alimentai- r e s et les matières premières sans qu'il

ne se produise une répercussion immé- diate dans la vie économique du pays. Ce qui était acquis par les agents racoleurs privait d'autant n o t r e population et lui i m posait par surcroit une hausse anormale des prix d'achat.

Quelles sont exactement les quantités distraites de la sorte au profit des Alle- m a n d s et à notre d é t r i m e n t ? On n e l'a jamais su exactement et on ne le saura peut-être jamais. Néanmoins on peut dire, avec certitude, qu'elles sont considérables.

Croit-on sérieusement que s'il se fût agi de quelques tonnes de marchandises le gouvernement impérial aurait recouru à sa sommation comminatoire de juin 1916 et aurait mis une si pressante insistance pour

mis nécessaires aux exportations qu'il con- voitait.

O n se le rappelle, l'Allemagne menaçait de nous supprimer ses envois de fer et de charbon si nous n e lui livrions pas les stocks qu'elle s'était constitués chez n o u s . Dans les négociations qui suivirent, ces tentatives de chantage et qui aboutirent à la convention germano-suisse de septem- bre 1916,~la-GorrfbSei'ation renonçait, par l'article 4 de ce traité, à ses droits de ré- quisition, d'achat forcé et de séquestre en ce qui concernait les marchandises entre- posées en Suisse par les soins de l'Alle- magne. Cependant ces stocks ne devaient point sortir du territoire helvétique et ne pouvaient être livrés à destination qu'à la fin des hostilités. La raison en était que tous les articles accaparés rentraient dans les catégories des objets contingentés par la S. S. S.

Ceci prouve une fois de plus que les ac- caparements allemands portaient sur des quantités indispensables à l'existence de la Suisse, puisque précisément les contin- gents sont calculés sur les besoins exclu- sifs de la consommation indigène.

Par hypothèse, les stocks en question doivent se trouver encore sur notre sol.

Q u e vont-ils d e v e n i r ? Les engagements pris à leur égard au mois de septembre dernier deviennent caducs à l'expiration du contrat, le 30 avril 1917. D'autre part, notre situation n'est plus aujourd'hui ce qu'elle était alors. La guerre sous-marine à outrance n'existait pas, l'Amérique ne parlait pas de nous couper les vivres, n o u s n'avions pas la carte de sucre, nous ne prévoyions pas celle du pain ; nous ne connaissions pas non plus le carême fédé- ral et nous savions encore le goût des p o m m e s de terre. Nos industries n'étaient pas menacées par le manque de matières premières. Notre c o m m e r c e , sans être florissant, pouvait vivre honnêtement.

Q u e feront nos négociateurs? Ils ont sous la main des approvisionnements im- portants de toutes espèces, approvisionne- ments qui certes se sont accrus, car jamais

été ni très active, ni très sévère. Se laisse- ront-ils encore ligoter les m a i n s ? Le m o - ment n'est plus de faire du sentiment. Il faut penser à n o u s avant tout, à notre propre existence, car si n o u s omettons ce devoir, p e r s o n n e n'y songera. Le café, le thé, le sucre, le riz, la graisse, l'huile, lé savon, le coton razziés p o u r le compte de l'Allemagne n o u s sont utiles, bientôt ils nous seront indispensables. Q u ' o n les r é - quisitionne donc ou que tout au moins on se r é s e r r e le droit de Je faire, le j o u r où la chose deviendra nécessaire. Et qu'à Ja fin de la guerre on en d o n n e , comme il con- vient; la contre-valeur à l'Allemagne ou qu'on les lui restitue en m ê m e quantité et en m ê m e qualité.

P o u r q u o i garder chez n o u s des denrées qui ne servent à rien q u a n d notre ravitail- lement est en danger? Nous avons le droit de nous en servir. Ce faisant n o u s ne nui- sons nullement à l'Allemagne puisqu'il lui est interdit d'exporter ce que n o u s déte- n o n s , et n o u s pouvons remédier, dans une certaine mesure, aux restrictions sans cesse plus n o m b r e u s e s qui n o u s menacent dans notre vie économique.

E s p é r o n s que les négociateurs de la nou- velle convention germano-suisse auront songé à ce problème et qu'ils l'auront ré- solu de la manière la plus simple et la meilleure. »

que nous obtenions de l'Entente les per-'fia répression contre les accapareurs n'a

L'invasion

M. Gygax, rédacteur de la partie commer- ciale de la Gazette de Zurich, a fait l'autre soir à Berne une fort intéressante conférence sur l'invasion économique de notre pays. Ce fut un vigoureux réquisitoire contre les so- ciétés de «guerre» et les innombrables agents de spéculation dont nous sommes inondés.

L'orateur a été tout spécialement applaudi lorsqu'il a appelé instamment l'attention du Conseil fédéral sur «ces étrangers qui peu- plent la rue de la Gare à Zurich et qui té- moignent de leur reconnaissance pour la pro- tection que leur assurent les baïonnettes suisses, en accaparant les matières premières et les denrées nécessaires à notre existence ! »

Le passé, a ajouté M. Gygax, doit être pour nous un salutaire avertissement. L'Etat ne doit plus tolérer qu'on élude les droits de douane pour inonder notre marché. De l'avis

i l W l f r l ' l ' . . " . ' • I I " Il I g I ' I I . I • - ' • ' " ! ' • I ' ! ' - i M . l l l r i I | | i - | I" i • , -HT, B) i-rii

262 LA F E D E R A T I O N H O R L O G Ê R E SUISSE de M. Gygax, les pouvoirs publics devraient

exclure les maisons étrangères de toutes leurs commandes et reviser les traités d'établisse- ment, afin d'empêcher que les étrangers soient favorisés aux dépens des nationaux. Il s'agit là d'une question de tourte importance pour l'avenir de notre pays.

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L'emprunt allemand

A la Commission principale du Reichstag, le comte Reedern, secrétaire d'État du Trésor, a fait les déclarations suivantes concernant le résultat du dernier emprunt de guerre :

« Jusqu'à présent, le résultat des souscrip- tions ascende à 12,978,940,700 mark*. Le dé- b i ï p o u r les souscripteurs faisant campagne expirant au milieu de mai, il est certain que la somme de 13 milliards sera atteinte pour le sixième emprunt de guerre.

« Pour l'es six premiers emprunts, le résul- tat des souscriptions s'élève à environ 60 mil- lions 195.200 millo marks. Suivant les prévi- sions de la Reichsbank, le chiffre des sous- cripteurs dépassera sensiblement celui du dernier emprunt. »

Interdiction allemande d'exportation

< et de transit

Par ordonnance du 18 avril 1917, concer- nant l'interdiction d'exportation et de transit d'articles du chapitre 16 du tarif douanier al- lemand (matières précieuses et objets compo- sés de celles-ci) sont soumis à nouveau les articles suivants à l'interdiction d'exporta- t i o n :

Métaux en platine (iridium, osmium, palla- dium, rhodium, ruthénium) non alliés, bruts ou fondus, déchets et rognures, métaux en platine, alliés, laminés, étirés, de la pos. n"

• 769 e. ;

Objets entièrement ou partiellement com- posés de métaux en platine, de la pos. n ' 771 c.

A propos de l'interdiction russe d'importation

Il a été publié dernièrement dans le Board of Trade Journal britannique que l'interdiction russe d'importation relative aux marchandises de luxe est applicable également à la Finlande.

E u réponse à une demande tendant à savoir si cette publication était exacte, Ja Légation de Suisse à Pélrograde a, par té- légramme du 25 de ce mois, c o m m u n i q u é ce qui suit :

«Votre télégramme 16. Ministère Affaires Etrangères confirme qu'aucunes mesures nouvelles furent prises concernant impor- tations en Finlande. Ministère reçut télé- gramme Légation russe Berne informant que Légation vise à nouveau certificats origine pour F i n l a n d e . »

M. Schulthess parle des conséquences économiques de la guerre

Le parti radical du district d'Aarau s'est réuni pour discuter le projet de loi can- tonale d'assurance des biens mobiliers et le projet sur l'impôt fédéral du timbre.

M. le conseiller fédéral Schulthess a pro- n o n c é un discours dans lequel il a exposé

la situation de la Suisse pendant la guerre.

L'orateur a m o n t r é les effets qu'exerce sur notre indépendance commerciale la guerre économique que se font les belligérants, et dont les conséquences seront sensibles p o u r nous pendant les années après la guerre.

La Suisse doit observer une stricte neu- tralité p o u r conserver son indépendance politique, si elle veut pouvoir s'affirmer économiquement. P o u r vaincre les diffi-

cultés du ravitaillement, la volonté du p e u - ple tout entier, sa sobriété et son écono- mie feront plus que toutes les interventions de l'Etat. Le rationnement du pain et de la viande, demandé de différents côtés, et qui est difficile pratiquement à réaliser, s'est heurté, dans tous les milieux aux- quels le Conseil fédéral a demandé des conseils, à de l'opposition.

E n terminant, M. Schulthess a déclaré que la guerre entraînerait en Suisse des modifications sociales, car l'Etal sera obligé d'assumer an faveur des classes populaires les plus faibles économiquement, certaines lâches communistes.

Etant d o n n é la dette croissante de la Confédération, les citoyens devront se dé- cider à faire pour l'Etat des sacrifices, afin de lui fournir les moyens nécessaires pour vivre.

La Société suisse des imprimeurs A l'occasion de la Foire suisse d'échan- tillons, la Société suisse des imprimeurs a tenu à Bàle sa 48^ma assemblée générale.

Elle s'est occupée de diverses questions, telles que le tarif des salaires, revision du tarif des douanes, fixation des conditions générales de livraison, elc.

1

Le tabac

La Commission s'est prononcée contre le monopole, mais pour l'impôt.

La Commission du Conseil national char- gée d'examiner le nouvel article constitution- nel concernant l'imposition du tabac, s'est réunie le 23 avril, à Lugano, sous la prési- dence du conseiller national Blumer, de Gla- r i s ; M. le conseiller fédéral Motta assistait à la séance. La Commission, procédant au vole sur l'entrée en matière, a donné 10 voix pour et 10 voix contre lo projet du Conseil fédéral qui prévoit le monopole du tabac.

Cette Commission s'est prononcée en faveur de la proposition de MM. Gaudard et con- sorts, tendant à no pas entrer en matière et à inviter le Conseil fédéral à soumettre aux Chambres, dans le plus bref délai, le projet d'imposition du tabac, avec l'élévation des droits d'entrée, ce qui rapporterait à la Con- fédération une augmentation de receltes d'au moins 10 millions. Dans la discussion de dé- tail du projet du Conseil fédéral, la disposi- tion d'après laquelle la Confédération pourrait remettre, entièrement qu en partie, à une so- ciété par actions, le droit exclusif de la manu- facture du tabac et de la vente des produit!

de la fabrication, a été supprimée, ainsi qu'une autre disposition d'après laquelle on ferait annuellement un versement du produit du monopole du tabac à des buts d'ordre social.

La Commission a été d'avisqu'il ne convenait pas de s'engager par la. loi. Elle s'est rendue un jour à Chiasso pour visiter les fabriques de cigares et se réunira'de nouveau le 18 mai à Berne pour discuter le projet que MM.

Gaudard et consorts soumettront à la Com- mission et basé sur leur proposition. La Com- mission arrêtera alors définitivement les pro- positions à soumettre1 au Conseil national dans la session de juin.

Examens suisses de fin d'apprentissage dans les arts et metiers

Le rapport de 1916 de l'Union suisse des Arts et Métiers sur les-examens de fin d'ap- prentissage vient de paraître, et s'occupe en- tre autres de l'organisation de ces épreuve», des procédés d'examen et des résultats obte- nus, de la législation cantonale y relative, des directions données quant au choix d'un mé- tier, et des mesures prises pour assurer aux arts et métiers un recrutement suffisant d'ou- vriers du pays. Il y est constaté à nouveau que, partout bientôt, les examens de fin d'ap- prentissage, autrefois facultatifs et dépendant exclusivement de l'initiative privée, consti-

tuent aujourd'hui une organisation de l'Etat en vertu de lois cantonales, et qu'ils sont obligatoires pour tous les apprentis, ce qui est une preuve convaincante de la raisou d'être et de l'utilité de cette institution.

Les examens do fin d'apprentissage dans les arts et métiers sont maintenant introduits dans tous les cantons, sous la direction géné- rale de l'Union suisse des Arts et Métiers, par l'entremise de laquelle ils sont subven- tionnés par la Confédération. La participa- tion totale a atteint en 1916 le chiffre de 7427 apprentis examinés (comparativement à 7600 l'année précédente), et ces apprentis appar- tiennent à 200 métiers différents. De ce nom- bre, 2927 = 39 pour cent ont fréquenté une école moyenne, et 6038 = 81 pour cent des cours complémentaires ou une école profes- sionnelle. La subvention fédérale a été de 44,000 fr., les subsides des cantons de 143,882 francs au total, et les receltes d'autre nature de 6593 fr. Les recettes totales de tous les ar- rondissements d'examens accusent un mon- tant de 153,289 fr. et les dépenses de 158,285 francs. Jusqu'à épuisement de la provision disponible, le rapport peut être demandé au Secrétariat de l'Union suisse des Arts et Mé- tiers, à Berne.

Pour nos soldats malades

La guerre, qui jusqu'à présent n'a touché la Suisse qu'indirectement, a néanmoins, de par les fatigues endurées par les troupes qui gar- dent nos frontières, fait plus d'une victime.

La tuberculose, en particulier, a causé bien des ravages. En 1915, une clinique militaire fut ouverte à Leysin. Pour permettre aux in- fortunés soldats malades d'occuper leurs heu- res de. loisirs forcés, tout en réalisant un gain modeste, M. le docteur Rollier, leur médecin en chef, conçut l'idée d'un atelier où seraient fabriqués par eux des jouets et divers autres travaux: broderies, tissages, tapis et sculp- ture sur boit.

Pour les convalescents, il a été bâti, à côté de la clinique militaire, une annexe, qui per- met d'installer un atelier au parterre, et leur dortoir aux deux étages supérieurs.

La vente de la brochure du D^r Rollier:

« La cure de soleil et de trapail à la Clinique militaire suisse de Leysin », doit leur per- mettre de compléter une installation som- maire. Cette brochure, illustrée de 21 photo- graphies, initie chacun à la vie et au travail des soldats suisses à Leysin.

Elle ne saurait manquer d'intéresser tous ceux qui se souviennent de notre vieille de- vise helvétique : « Un pour tous, tous pour un ».

Cet album, au prix modique de I fr. 50, est en vente dans toutes les librairies, ou auprès du fusilier Ramseyer, u/i«, Clinique militaire suisse, Annexe B, Leysin (Vaud).

Commerce des déchets d'or, d'argent et de platine

Le Département suisse des finances, Bureau des matières d'or et d'argent, a autorisé, en date du 24 avril 1917, la maison Karl Huber, orfèvre, à Appenzell, à faire le commerce des matières d'or, d'argent et de platine.

Registre du commerce Modifications :

13 avril 1917. — La maison Richard Schur- gast & Co, Import-Haus, bijouterie, etc., indique comme siège des locaux : Yolkmar- strasse 6, Zurich 6.

14 avril 1917. — La maison M. Silberer, Zu- rich I, agence, etc., bracelets cuir pour montres, etc., indique comme domicile : Freiestrasse 163, Zurich y.

16 avril 1917. — L'assemblée générale extra- ordinaire du 10 avril 1917 de la «Société d'exportation de produits métallurgiques ouvragés suisses (Sepmos) », société anony- me, a modifié ses statuts, en ce sens que la raison sociale devient Société d'exportation de produits métallurgiques et d'ouvrages suisses (Sepmos), Genève, et a pour but : Commerce en Suisse et à l'étranger de tous produits métallurgiques ouvragés suisses,

LA FÉDÉRATION HORLOGERS SUISSE

ainsi q u e d ' o u v r a g e s d S - b o i s , s p é c i a l e m e n t les semelles en b o i s pour galoches et a u t r e s p r o d u i t s q u e l c o n q u e s de fabrication suisse.

18 a v r i l 1917, -*> Les locatix de la^ m a i s o n / / . Weill fils « m o n t r e s Orlando•».'•'Genève, s o n t : 7, R u e de la Cloche.

20 a v r i l 1917. — La « F a b r i q u e de boites de m o n t r e s p l a q u é e s or S. A.-»%Tj St-Ursanne, est d i s s o u t e ; la l i q u i d a t i o n sera opérée p a r Léon D é n i v e l l e , de Heims, à G e n è v e , sous la r a i s o n Fabrique de boîtes de montres plaquées or S. A., en liq.

R a d i a t i o n s :

18 m a r s 1917. — Fabrique des Longines, Francillon &. Co, en l i q u i d a t i o n , Sl-Imier.

4 a v r i l 1 9 1 7 . — Kustner & Relor, en liq., société en nom collectif en liq.. mécaniciens, Acacias (Garouge, G e n è v e ) .

13 a v r i l 1917. — A. Zimmermann, c o m m e r c e de m o n t r e s et b i j o u t e r i e , Bâle.

14 a v r i l 1917. — « Industria », Aktiengesell- schaft für mechanische U n t e r n e h m u n g e n . Bâle.

B r e v e t s d ' i n v e n t i o n

Les numéros des lirovels dont la publication a été ajour- née et pour lesduete'fljourasineiit n'est pas encore expiré, sont marqués' iliin?* :

I t r e v e l M p r i n c i p a u x .

Gl. 58, n° 73,062. 6 d é c e m b r e 1916, 8 h. p . — I n s t r u m e n t p o u r «la. m e s u r e d e s d i m e n s i o n s l i n é a i r e s e x t é r i e u r e s ou i n t é r i e u r e s d ' u n corps. ^-^Soçiétegenevoise pour la cons- truclioftïya^inslrumètils-de* physique et de mécanique, 8, Ruo des Vieux G r e n a d i e r s , G e n è v e «(Suisse). M a n d a t a i r e : E . Inaer- S c h n e i d e r , G e n è v e .

Cl. 71 d. n« 75,063. 9 d é c e m b r e 1916, 9 '/. h. a.

— E c h a p p e m e n t à n o m b r e r é d u i t d'oscilla- t i o n s . — Théodore Jéquier, F l ë u r i e r (Suis- se). M a n d a t a i r e : A. M a t t h e y - D o r e t , L a C n a u x - d e - F o n d s .

Cl. 71 e, u" 7;5,064-*r H s e p t e m b r e liUtj, 7 h. p.

— D i s p o s i t i f ' d ' a c c o u p l e m e n t d e s d e u x élé- m e n t s d'une tige de remontoir, b r i s é e p o u r mécanisme de. r e m o n t a g e et de mise à l'heure d ' u n m o u v e m e n t d ' h o r l o g e r i e . — Ed. Kummer-A.-G., F a b r i q u e d ' h o r l o g e r i e , Beltlach (Suisse). M a n d a t a i r e : ..H. Chapon- n i è r e , G e n è v e /

Cl. 71 evn ° 75,060. 28 février 1917, 7 h. p . — M o n t r e à r e m o n t o i r . — Fritz Barbezat.

h o r l o g e r - m é c a n i c i e n , 68, R u e du P a r c , La C h a u x - d e - F o n d s (Suisse). M a n d a t a i r e : \ Y . Koelliker, Mienne.

Cl. 71 f, n° 75;066, 26 février j 1917; 7 h. f P - M o n t r e - b r a c e l e l . — lleichenberg & Co. The Talis Wa<c/t_Go,.66^Rue L é o p o l d ; R o b e r t , La Cha.ux-de-Fonds (Suisse). M a n d a t a i r e : A. Mathey-Doret, L a Chaux-de-Fonds.

Cl. 71 f, n« *7S,067. 10 m a r s f917, 1 h. p . — A n s e e x t e n s i b l e de m o n t r e - b r a c e l e t . — C- M.-Doret, 39, R u e D a n i e l J e a n - R i c h a r d , La Chaux-de-Fonds (Suisse). M a n d a t a i r e : A . Mathey-Doret, La Chaux-de-Fonds.

C L 7 3 , n° 75,068, 17 j u i n 1914, S'A h. p . — M a c h i n e à chasser et à r i v e r des o r g a n e s m é c a n i q u e s , p r i n c i p a l e m e n t à l'usage des h o r l o g e r s . — Fabrique suisse de balanciers S. A., La Chaux-de-Fonds (Suisse).

Ki'cvéC a d d i t i o n n e l «

Cl. 94, n° 75,124 (74,235). 28 février 1917, 7. h.

p . — Bracelet e x t e n s i b l e . — Louis Renard, n é g o c i a n t . 10, R u e de la1 G a r e , Mienne (Suisse). M a n d a t a i r e : W. Koelliker, B i e n h e .

M o d i f i c a t i o n .

Cl. 118 a, n« 73,245. 9 d é c e m b r e 1915, 8 . h . p .

—'• A p p a r e i l p o u r t r i e r et c o m p t e r des dis- q u e s d e différents d i a m è t r e s , pièces de mon- n a i e , etc. — Oscar Hamiiz et Oscar Eisner, L a u s a n n e (Suisse). M a n d a t a i r e : L. Fle'sch, L a u s a n n e . T r a n s m i s s i o n d u 9 m a r s 1917, en faveur de «L'Effort» SA., A t e l i o r s de c o n s t r u c t i o n s m é c a n i q u e s de P u l l y , P u l l y ( V a u d , Suisse). M a n d a t a i r e : L . F l e s c h , Lau- s a n n e : e n r e g i s t r e m e n t d u 16 m a r s 1917.

Escompte et change

Taux d'escompte. — Suiuse : B a n q u e; na- tionale, officiel 4 ' / • • / • ; l i b r e 4 à 4 ' / « V « . — F r a n c e 5 °/.. — Befetà-tte —.—, I t a l i e 5 •/..

— L o n d r e s 8 '/»V»- — E s p a g n e ^-.—. — Rétro- grade &"/<>. — A m s t e r d a m 4 '/« '/•• -^- Alle- m a g n e 8 "/•. *4 V i e n n e 5 */•• — N e w - Y o r k ^ - . - ^ .

— S t o c k h o l m 5 '/»'A- — C o p e n h a g u e 5 */••

Changes à vue ( d e m a n d e et oll're) : F r a n c e 89.90/90.90.— Belgique —.—/—.—. « ? I t a l i e 72.25/74.28. — L o n d r e s 24.40/24,70'. — E s p a - gne 111.50/113.50. — P e t r o g r a d « 145.—/147.—.

— A m s t e r d a m 209.50/211.50. — A l l e m a g n e 78.30/80.30. — V i e n n e 48.70/50.70. — N a w - Y o r k 5.04/5.25. — S t o c k h o l m 154.25/156/25.

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