• Aucun résultat trouvé

Programme de colles 26 (3/5 - 7/5)

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Programme de colles 26 (3/5 - 7/5)"

Copied!
1
0
0

Texte intégral

(1)

Programme de colles 26 (3/5 - 7/5)

Cours

Pour chaque définition, il est important de bien comprendre le rôle des quantificateurs utilisés.

L’étudiant doit être en mesure de proposer des exemples (éventuellement à l’aide de figures) pour illus- trer les définitions. Les démonstrations marquées de [?]ne seront demandées qu’aux élèves à l’aise.

— Espaces vectoriels : bases canoniques des EV de référence. Dans un espace de dimension n, les familles génératrices ont au moins nvecteurs, les familles finies en ont au plusn. De plus, une famille libre ou génératrice denvecteurs est une base. Les sous-espaces d’un EV de dimension finien sont également des EV de dimensions finies, leurs dimensions sont inférieures ou égales àn. Cas d’égalité : le sous-espace est l’EV entier.

Formule de Grassmann. Dans un EV de dimension finie, existence (et pas unicité) des supplé- mentaires, dimension d’un supplémentaire.

— Applications linéaires : une application linéaire entre deux EV est une application qui respecte les combinaisons linéaires. Exemples. Les images directes et les images réciproques de SEV par une application linéaire sont des SEV (bien réfléchir de quel EV).Image et noyau d’une appli- cation linéaire.

Endomorphismes remarquables d’un EV : homothéties, projections et symétries. Un endomor- phismeuest une projection si, et seulement si, elle vérifieu◦u=u; ses éléments caractéristiques sont alors keru et Im u. De façon analogue, on caractérise les symétries (parmi les endomor- phismes) par u◦u=Id.

Une application linéaire E→F est complètement définie par l’image d’une base deE.

Deux espaces de dimension finie sont isomorphes si, et seulement si, ils ont même dimension.

Rang d’une application linéaire, théorème du rang.

Equations linéaires, structure de l’ensemble des solutions.

— Démonstrations exigibles :

• Une application linéaire u:E →F est injective si, et seulement si, son noyau est{~0E}.

• [?]Théorème du rang.

• Structure de l’ensemble des solutions d’une équation linéaire.

Exercices

Sur les espaces vectoriels, on utilisera la dimension lorsque c’est possible.

a) Probabilités : modéliser une expérience aléatoire, justifier lorsqu’il y a équiprobabilité, introduire correctement des notations. Probabilités conditionnelles.

b) Trouver le supplémentaires d’un SEV.

c) Décider si une application est linéaire ou non.

d) Déterminer le noyau, l’image d’une application linéaire.

e) Décider si un endomorphisme est une projection, une symétrie. Le cas échéant, trouver ses éléments caractéristiques.

Références

Documents relatifs

CE il faut et suffit que (Γ) soit

Espace euclidien : e.v.de dimension finie muni d’un p.s.. Propriété : Tout ev euclidien admet au moins

3) On montre que F est le noyau ou l’image d’une

[r]

Rappel : Des vecteurs forment une base d’un sous-espace vectoriel E de R n si et seulement s’ils sont dans E, sont linéairement indépendants et engendrent E..

Les exercices marqu´es (∗) sont un peu plus difficiles, mais quelques exercices de ce genre pourront aussi figurer dans les ´evaluations.. Enfin, quelques exercices marqu´es

Les op´erateurs de Fredholm ont donc les propri´et´es des presque-plongements : le noyau est de dimension finie, tout sous-espace ferm´e de X a une image T(X) ferm´ee dans

On souhaite créer un réseau local qui sera raccordé à internet et comprenant :
 - 4 PC fixes tous équipés de cartes réseau Ethernet
. - 1 PC portable équipé d’une