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Étude de l'absorption multiphonon dans le fluorure de magnésium

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(1)

HAL Id: jpa-00206996

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Submitted on 1 Jan 1970

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Étude de l’absorption multiphonon dans le fluorure de magnésium

C. Benoit

To cite this version:

C. Benoit. Étude de l’absorption multiphonon dans le fluorure de magnésium. Journal de Physique,

1970, 31 (11-12), pp.1005-1015. �10.1051/jphys:019700031011-120100500�. �jpa-00206996�

(2)

ÉTUDE DE L’ABSORPTION MULTIPHONON

DANS LE FLUORURE DE MAGNÉSIUM

C. BENOIT

Laboratoire de

Physique

moléculaire et cristalline Faculté des

Sciences, 34, Montpellier,

France

(Reçu

le 13 mai

1970)

Résumé. 2014 On utilise un

appareil

I. R. à hautes

performances,

construit au

laboratoire,

pour

mesurer le spectre de transmission du F2Mg du côté haute

fréquence

des bandes

principales d’absorption.

On trouve 11 bandes

d’absorption

à 2

phonons.

On les

interprète,

ainsi que des résul- tats

expérimentaux

obtenus par d’autres méthodes. On donne un critère de validité pour

quelques

résultats. Dans une 2e

partie,

on cherche à

partir

des formules de base

d’absorption

I. R. du cris- tal une formule

semi-empirique

permettant de tirer

quelques

informations de la variation des spectres en fonction de la

température

Abstract. 2014 We use a

high performance

I. R. spectrometer to measure the transmission spectra of

MgF2

on the

high frequence

side of

principal absorption

bands. We find eleven

2-phonons

bands.

We

interprete

them, as well as other

experimental

results. We

give

a criterions for some results.

In a second part we look for an

empirical formula,

from usual

absorption

I. R. formulas of

crystal

to

explains

some informations about the variation of transmission spectra with temperature.

1. Introduction. -

Après

avoir construit un spec- tromètre

infrarouge

à réseau à hautes

performances [1]

nous nous sommes attachés à étudier les effets

opti-

ques dus à l’anharmonicité dans le cristal de

F2Mg.

Nous avions mis en évidence l’existence de bandes dues à des combinaisons de

phonons [2]

dans le

spectre

de transmission de ce

cristal,

étudié la

dyna- mique

de son réseau

[3],

mesuré

l’énergie

de certains

phonons

à l’aide de la diffusion

inélastique

des neu-

trons

[4], [5]

et déterminé les

règles

de sélections pour les cristaux

ayant

ce

type

de

symétrie [6].

Nous avons

repris systématiquement

l’étude du

spectre

de trans- mission du

F2Mg

du côté haute

fréquence

des bandes

principales d’absorption

et cela pour

plusieurs tempé-

ratures. Nous donnons ici le résultat de ces

expériences

et nous

synthétisons

l’ensemble de nos mesures et calculs en fournissant

l’origine

des bandes obtenues et en étudiant leur

comportement lorsque

la

tempéra-

ture varie.

II.

Dispositif expérimental

et résultats. -

L’appa-

reil utilisé est un

spectromètre

à réseau en

montage Littrow,

totalement

symétrique,

permettant une

explo-

ration du

spectre

de

0,8 u

à 30 u. L’échantillon de

F2Mg

utilisé a été tiré d’un bloc monocristallin de 60 mm x 40 mm

synthétisé

au laboratoire par Mme Ribet

[7]

suivant la méthode

Stockbarger.

Nous

l’avons orienté par la méthode Lauë en retour et au

microscope polarisant.

L’échantillon taillé et

poli

avait

0,29

±

0,01

mm

d’épaisseur

et 18 mm x 6 mm

dans ses

plus grandes

dimensions. Au-delà de cette

épaisseur

le cristal se clivait sous l’action du

polissage.

De

plus,

pour des cristaux

plus minces,

nous aurions

pu avoir des

systèmes

d’inférences à ondes

multiples.

Le cristal était

placé

sur la moitié de la fenêtre

percée

dans le

porte-échantillon

d’un

polycryostat

de la

Société des Machines

Cryogéniques.

La

précision

des mesures des

températures

à

quelques degrès près

étant

suffisante,

nous avons

placé

le

thermocouple

directement sur le

porte-échantillon

en étudiant les

contacts

thermiques.

L’ensemble était monté sur un

bâti très

rigide

et

pouvait

être translaté et orienté en

bloc avec une

grande précision.

On

pouvait

alors dans

des conditions

expérimentales identiques

mesurer le

faisceau de référence et le faisceau transmis par le cristal. Un

polarisateur

à lame de

sélénium,

du

type Duverney,

a été monté sur le faisceau. Le

spectre

a été

exploré rapidement

pour

quelques températures

de

8 Il

à 13 Il,

puis repris systématiquement

pour les

polarisations parallèle

et

perpendiculaire

à l’axe

optique,

pour 8

températures depuis

9,DK

jusqu’à

300 OK. Nous avons ainsi mis en évidence l’existence de 3 bandes de

9 Il

à

11 u (E//C)

et de 8 bandes de

10 Il

et

13 u (E

1

C).

La résolution était de 300 dans la

région

de 13 g.

Le calcul du coefficient

d’absorption

a été fait en

tenant

compte

des réflexions

multiples

sur les faces

du cristal

[8].

Cette correction est la même pour toutes les

températures,

le coefficient de réflexion du cristal variant très peu.

Nous donnons les valeurs du coefficient

d’absorp-

tion a en fonction de  pour 3

températures

et pour les

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019700031011-120100500

(3)

deux

polarisations (Fig. 1),

ainsi que le

déplacement

des bandes en fonction de la

température

et la varia-

FIG. 1.

tion du coefficient

d’absorption

pour des

points

carac-

téristiques

du

spectre (Fig. 2).

Enfin nous avons

porté

dans le tableau 1 la

position

des bandes à 9 OK et à

300,DK.

On observe le

phénomène

bien connu d’une

plus grande

transmission à basse

température.

L’intensité des bandes varie moins vite que celle du fond continu

lorsque

la

température

varie. Certaines bandes

(B7, B1o, Bit)

sont même absorbées par celui-ci

lorsque

la

température augmente.

Par

ailleurs,

le

spectre

de réflexion à 300 OK du

FIG. 2.

F2Mg

a été mesuré par Barker

[9]

et par Lalauze

[10].

Si l’on étudie leurs résultats on trouve des zones

d’absorption plus

forte. Etant donné leur intensité

ce sont certainement des processus de combinaisons à 2

phonons qui

interviennent

[22].

Nous avons

porté

leur

position

dans le tableau II. Enfin le

spectre

de diffusion Raman de ce cristal a été très difficile à déterminer

[11], [12], [13], [14].

La

comparaison

des

différents résultats montre l’existence d’un

spectre

de diffusion du 2e ordre. Les dernières attributions

[14]

ayant

été confirmées en

partie

par la diffusion inélas-

tique

des neutrons

[4]

nous avons pu déterminer les raies

appartenant

au

spectre

du 2e ordre. Nous avons

porté

leur valeur dans le tableau II.

TABLEAU 1

(4)

TABLEAU II

III.

Origines

des bandes. - Le fluorure de

magnésium

est un cristal

quadratique qui

cristallise dans le groupe P

42

mn m

(ou D§1)

avec 6 atomes par

maille

(structure rutile). L’activité,

en

infrarouge

et en

diffusion Raman du 2e

ordre,

des modes

appartenant

à des

points

de haute

symétrie

de la 1 re zone Brillouin

a

déjà

été déterminée

[6].

Les résultats de cet article sont basés sur les défini- tions que nous avons

adoptées

pour les

opérations

du

groupe G et la table des caractères pour le groupe

ponctuel D4h.

Ces définitions diffèrent de celles d’au- tres auteurs. Par

exemple

on retrouve bien les résul- tats de

Narayanan [33]

et des auteurs

qui

s’en sont

inspirés

si l’on tient

compte

que notre

Big (T3)

cor-

respond

à leur

B2g

et vice versa. Il en est de même pour

Biu et B2u. Remarquons

aussi que les

représentations Ki

de cet article sont

complexes conjuguées

et non

équivalentes :

elles donneront des valeurs

dégénérées

pour les

fréquences.

En se basant sur les valeurs des

fréquences

des

modes actifs en

infrarouge

et en diffusion

Raman, Katiyar

et Krishnan

[15]

ont calculé les courbes de

dispersions

pour 2 directions de

symétrie.

Le modèle

a été testé par la mesure des constantes

élastiques [16]

et à l’aide de la diffusion

inélastique

des neutrons

thermiques [5].

Les

fréquences

de vibration des modes

optiques

étant

élevées,

il n’a pas été

possible

de tester

le modèle pour toutes les branches des courbes de

dispersion,

mais seulement pour les

plus

basses :

acoustiques

et les

premières optiques.

Bien

qu’il

soit

nécessaire de

l’améliorer,

ce modèle donne en

général

une bonne

interprétation

des

résultats.

Le

type

de

symétrie

de

chaque

mode

put

être déter- miné à l’aide des courbes de

dispersion

de

Katiyar

et Krishnan

[12],

des relations de

compatibilité

don-

nées par Gubanov et Shur

[17]

et des travaux

précé-

dents de l’auteur

[6].

On

peut

alors trouver

l’origine

des bandes et des raies obtenues. Les résultats pour les combinaisons

permises

sont

donnés,

à 2

% près

dans le tableau IV. Etant donné le nombre de modes

assez élevé

qui

interviennent nous les avons

repérés

à

l’aide des lettres

qui

définissent leur

type

de

symétrie

au centre et au bord de la 1 re zone Brillouin

plutôt

que par des notations du

type L;

ou

Ti.

On remarque

qu’en général

l’accord est

plus précis

que 2

%

sauf

pour

B2

et

B12

et que pour les raies de diffusion

Raman,

il est très bon.

Nous avons cherché un critère pour tester la validité de certains de ces résultats. Si on suppose que les combinaisons données sont exactes, on remarque

qu’il sufht,

par

exemple,

de combiner 4 modes du

type MI (voir

tableau

IV)

pour obtenir les 5 bandes

B2, B3, B4, B5, B8. Lorsque

la

température

varie les

déplacements :

(5)

TABLEAU IV de ces 5 bandes seront des combinaisons des varia- tions

des

fréquences

des modes

M; correspondants.

Or les

5 relations doivent être

compatibles.

En

particulier

à

partir

de 4 d’entre elles on

peut

trouver les variations des

M; correspondants

et voir si la dernière relation est vérifiée. Par

exemple,

pour

B2

le calcul à

partir

des autres bandes donne

2,99

au lieu de

2,15,

trouvé

expérimentalement (tableau V).

Ces résultats montrent

que

l’une-au

moins des

explications

est erronée

(proba-

blement

B2

ou

B8).

Il est alors nécessaire de connaître les

fréquences

d’autres modes. Il est

possible

aussi

que les bandes

proviennent

d’autres processus, indi-

qués

ou non, dans le tableau IV. Par

exemple B4 peut provenir

des deux autres processus

indiqués.

Pour lever cette

indétermination,

il serait nécessaire d’effectuer des calculs extrêmement

longs [18].

Or

même

l’approximation

des densités combinées

[19]

est

trop complexe

dans le cas de tels cristaux.

De

plus

ces calculs

devraient,

pour être

valables,

être testés à l’aide

d’expériences plus sélectives,

par

exemple

les mesures

qui

fournissent l’intensité et la

largeur

des

pics

de

phonon

obtenues par diffusion

inélastique

de neutrons lents

(et peut-être

aussi leur variation en fonction de la

température).

IV. Calculs du coefficient

d’absorption.

- RAPPEL

DE LA THÉORIE

[20], [21], [22], [24].

- Dans

l’approxi-

mation

harmonique l’énergie potentielle

de vibration des ions du cristal est

quadratique

en fonction des

déplacements.

Si l’on tient

compte

des interactions

anharmoniques,

on obtient des termes de la forme :

avec :

TABLEAU V

(6)

est le mode normal de

fréquence w°(k)

et

A(Ik) exprime

l’invariance par translation du réseau et est

égal

à 1 si Ik = K vecteur du réseau

réciproque

et 0

dans les autres cas. On

peut

aussi

développer

le moment

dipolaire

M en fonction des

opérateurs Aj(k) :

on

obtient pour la

composante

suivant

l’axe f1 :

On suppose

qu’il n’y

a pas de moment

dipolaire permanent

et

qu’il n’y

a

qu’un

seul oscillateur

dispersif (jo).

C’est exactement le cas, pour le

F2Mg,

pour la

polarisation parallèle

à l’axe

optique.

Pour l’autre

polarisation

il y a 3 oscillateurs

dispersifs,

on

peut

considérer que pour la

région étudiée,

les effets de l’oscillateur de

plus

haute

fréquence

sont

prépondé-

rants. La

réponse

linéaire du cristal au rayonnement

est donnée par la

susceptibilité électrique Xuv(T, Q) [21].

Si l’on tient

compte

des termes

anharmoniques

et de

la

partie

non linéaire du moment, on obtient

[21], [22], [24] :

avec

et

avec :

nous avons tenu

compte

de l’existence d’un centre de

symétrie ;

Q est la

fréquence

de

champ

électroma-

gnétique :

est le nombre

d’occupation

de mode

( jl, kl)

de fré-

quence

(t)jl(kl)

déterminée dans le cadre des

hypo-

thèses de

pseudo-harmonicité.

wJ(o)

est la

fréquence

du mode

dispersif

non per- turbé. Si l’on étudie

l’absorption

de cristal suivant

une direction de

symétrie

v = Il et si e, est la constante

diélectrique

suivant cette direction on a :

alors le coefficient

d’absorption

au est donné par :

où C est la vitesse de la lumière dans le vide.

La

susceptibilité électrique (3)

avec

(4)

et

(8)

est donc

constituée de 3 termes

principaux ;

le

premier

interviennent les termes

anharmoniques seuls,

le

second où intervient la

partie

non-linéaire du moment

électrique

et le troisième où ces deux

quantités

inter-

viennent simultanément.

Szigeti [23], [25]

et

Keating [26]

ont

déjà

discuté

l’ordre de

grandeur

de ces différents termes ; dans un cristal de caractère

ionique

fort on montre que

l’absorp-

tion

provient

surtout des termes

anharmoniques.

Aussi ne tiendrons-nous

compte

que du

premier

terme

(3).

V. Utilisation de ces résultats. - Pour utiliser

l’expression

de la

susceptibilité électrique

donnée

par

(3)

il est nécessaire de connaître la

self-énergie

E (jo,

Q +

ie)

c.-à-d. d’effectuer les sommations inter- venant dans la formule

(6).

De tels calculs n’ont pu être faits que dans des cas

simples :

cristaux

cubiques (LiF

ou de gaz

rares)

avec des

potentiels centro-symé- triques [18], [28], [29].

Le calcul d’une telle

expression

est

pratiquement impossible

dans le cadre de cris-

taux

plus complexes

et avant de les

entreprendre

il

serait nécessaire d’avoir

beaucoup plus

d’informa-

tions au

sujet

de la

dynamique

du cristal. Nous avons

donc cherché une formule

semi-empirique

et compor- tant

quelques approximations

pour la

self-énergie

pour la zone du spectre considérée et

qui puisse

nous

fournir des résultats. On

peut

en effet diviser les pro-

cessus intervenant dans cette zone où les bandes sont presque isolées en deux

catégories :

ceux

qui produi-

sent une bande et l’ensemble des autres. Les combi-

(7)

naisons

qui produisent

une bande donnée

impliquent

certainement des

phonons appartenant

à des zones de haute

symétrie

de la zone Brillouin et donc sont

assez

localisées,

du moins en

fréquence.

Donc pour

une bande

B, donnée,

les

phonons

que l’on combine

ont certainement des

fréquences -W-1, et W2" proches

de celles données dans le

tableau IV ;

de

plus,

on

peut

supposer que pour toutes ces combinaisons les termes de

couplages

sont les mêmes pour les

phonons qui

interviennent au sommet de la bande. On pourra donc mettre :

en facteur dans les sommations intervenant pour

B,.

On

peut

alors supposer formellement que e est fini et

petit (en

se souvenant que l’on a ici e --+

0+

parce

que l’on est dans

l’hypothèse pseudo-harmonique [21] ;

on devrait avoir une

expression

du

type E (( jk,

Q +

ie)

dans le dénominateur des

quantités (6)

et

(8)).

C’est

ce que l’on fait habituellement avec les formules de

dispersion

dans le cas

harmonique, néanmoins,

nous

en donnons en

appendice

une autre

justification.

Si on attribue l’indice « f. c. » aux termes concer-

nant le fond

continu,

« v » pour les termes concernant les

bandes,

on aura :

v

avec :

Les

quantités Dvj

et

Qy

caractérisent à la fois la densité et la force du

couplage

des

phonons qui

interviennent pour la bande

B,.

Nous supposons que les coefficients

Dvj

et

Qv

sont

indépendants

de la

température. Donc,

une fois leurs

grandeurs

déterminées à une

température

donnée ils

doivent

permettre

de retrouver les résultats

expéri-

mentaux pour toutes les autres

températures.

Nous

les avons

adaptés

en basse

température

la forme

des bandes est la mieux déterminée.

- Les formules

(3), (4), (5)

sont calculées dans

l’hypothèse

de

pseudo-harmonicité.

Nous avons donc

introduit dans le calcul pour

chaque température

les

valeurs

wv correspondantes,

trouvées

expérimentale-

ment.

Nous avons choisi par raison de

simplicité

ce

qui

donne pour la

quantité (1 + nl

+

n2)

la varia-

tion minimum en fonction de la

température.

Nous

verrons alors en

comparant

avec

l’expérience

de

combien nous nous écartons de la variation réelle.

- La

quantité E’-’-(jo,

Q +

ic)

a été

adaptée

à

chaque température

afin de donner le meilleur accord

avec

l’expérience.

Nous l’avons choisie de la forme

(9), Zàf.,c.,Df.c.J, Cf.c.

étant

adaptés

pour

chaque température.

- La

région

étudiée est assez loin du centre de la

bande

principale d’absorption (Q - 2 0152j(O)),

aussi

avons-nous

négligé

en lre

approximation,

la variation

de la

fréquence

et de l’intensité des modes

dispersifs

avec la

température.

Nous reviendrons sur ce

point plus

loin.

Nous avons

adopté

pour ces

quantités

les valeurs

données par Barker

[9]

à 300 OK.

- On obtient alors pour

l’expression

de la cons-

tante

diélectrique :

Les résultats des calculs du coefficient

d’absorption

pour diverses

températures

sont donnés par la

figure

3. Nous avons

porté

dans la

figure

4 les valeurs

FIG. 3.

des

parties

réelles et

imaginaires

de la

self-énergie

et

de la constante

diélectrique

pour 2

températures.

Les

valeurs des coefficients intervenant sont données dans le tableau VI.

En

général,

on arrive à un bon accord avec

l’expé- rience,

on

pourrait

améliorer cet accord en

ajoutant

des « bandes cachées » faibles : par

exemple

à 11 Il

pour la bande

B8.

Nous n’avons

cependant pris qu’un

nombre de bandes dans

(9)

strictement

égal

au nombre

visible

expérimentalement,

les autres

appartenant

au fond continu. Enfin le fait de

prendre

e =

Qv revient,

comme on le montre en

appendice,

à

prendre

une

densité combinée de forme

lorentzienne,

ce

qui

est

aussi une

approximation.

De

plus,

on remarque que, d’une manière

générale,

dans le

calcul,

les bandes « ressortent »

trop

vers les hautes

températures.

Par

exemple

l’excès pour la bande

B2

est de l’ordre de 12

%

bien que la variation choisie soit minimum

puisque : ài 1, = -

Une telle différence dans le

comportement

des bandes

provient

des

approximations

que nous avons été amenés à faire. Nous allons discuter le

type

des

(8)

FIG. 4.

différentes

approximations

et essayer de déterminer leur ordre de

grandeur.

Nous considérons

plus parti-

culièrement la bande

B2. Cependant les

résultats

obtenus sont valables pour les autres bandes.

VI. Discussion. - Les

approximations

que nous

avons été amenés à faire

implicitement appartien-

nent à deux

catégories

d’ailleurs liées : nous avons

négligé

les effets des « contraintes

thermiques »

et la

contribution de processus

multiphonons

d’ordre

supérieur

à 2 dans

l’absorption.

Si l’on tient

compte

des effets des contraintes ther-

miques,

il n’est

plus possible

de couper le

développe-

ment de l’hamiltonien du cristal en série de

Taylor

en fonction des

déplacements,

il faut tenir

compte

de tous les termes. Une nouvelle méthode de calcul a

été

développée

et utilisée par Koelher

[27]

et Gillis

[28].

A

partir

d’u n

potentiel supposé

réel on calcule par

une méthode variationnelle les différents termes du

développement

en série de

Taylor

en fonction du

déplacement

des atomes, mesurés à

partir

de leur

position

moyenne. Cette

position

moyenne

dépend

de

la

température

et de la

dynamique

du cristal d’où le

nom de méthode

self-consistante.

On

peut

ainsi déter-

H

ABLEAU

(9)

miner

l’expansion thermique

et la valeur renormalisée des termes. Ainsi :

WJ(O)2

devient

devient

etc... où les crochets ... >

signifient

que l’on

prend

la moyenne

thermique. Remarquons

que les effets de

l’expansion thermique

dus aux termes du 3e ordre et du 4e ordre dans le

développement

de

l’énergie potentielle

sont inclus dans les formules

(3), (5), (7),

mais ils ne suffisent pas et il faut tenir

compte

de tous les autres termes du

développement

de l’hamiltonien.

Cela

signifie pratiquement

que toutes les

quantités

que nous avons

prises

constantes varient en fonction de la

température.

Nous allons essayer de déterminer l’ordre de

grandeur

de leur variation entre 9 OK et

300 OK en

supposant

que les liaisons fortes du cristal du

type F-Mg

obéissent à un

potentiel

du

type

Born et

Mayer

A

e-rlp -

et en

négligeant

l’anharmo-

nicité des termes coulombiens.

EFFET DE LA VARIATION DE LA

FRÉQUENCE

ET DE LA

FORCE DU MODE DISPERSIF. - Si

r,(O)

er

ri(300)

sont

les distances moyennes des ions de la liaison « i » à basse et haute

température

et si on

développe

l’éner-

gie potentielle

en série de

Taylor

pour ces deux

valeurs,

on trouve que les

rapports

des coefficients des termes

quadratiques

à basse et haute

température

sont

égaux

à :

avec :

L’ordre de

grandeur

de cette

quantité peut

être déduit de la valeur du coefficient de dilatation à haute

température [30].

Si l’on suppose que

l’énergie

moyenne du

point

zéro par atome est

égale à -1

hô où M

est une valeur moyenne des

fréquences

de vibration du réseau

( N

6 x

1013 c/s)

et si ai est le coefficient de dilatation dans la direction de la liaison « i », on

obtient

Ari

i

= - 0,75

ai i T. La valeur des coeffi-

ri(300)

cients pi

peut

être déduite du

rapport

des dérivées de

l’énergie potentielle parallèlement

et

perpendiculaire-

ment aux liaisons et à l’aide des valeurs

numériques

données par

Katiyar [15].

On trouve alors que le facteur

(10)

a une valeur

égale

à

1,03 pour la

liaison

située dans le

plan [001] ]

et

1,05

pour la liaison situé dans le

plan [110].

Si on calcule la

quantité àcô/cô

pour les modes dont la

polarisation

est déterminée

par la

symétrie (par exemple Fi, T2, F3, F5, F7

voir

[6]

et

[3])

et dont on

peut

alors déduire la

fréquence

direc-

tement des constantes

élastiques,

on trouve que cette

valeur est de l’ordre de 3

%.

On supposera

qu’elle

est

identique

pour les autres modes avec K = 0 en

parti-

culier pour les modes des

dispersifs.

C’est l’ordre de

grandeur

obtenu par d’autres

cristaux,

par

exemple

LiF : 2

% [24] ; CsCI, CsBr,

CsI

(-

5

%) [31].

Voir aussi

[34].

Si dans les calculs effectués

précédemment,

on avait

tenu

compte

de la variation de la

fréquence

et de la

force du mode

dispersif (nous

avons

pris

cette varia-

tion de l’ordre de 5

%),

on aurait obtenu

globalement

des valeurs 7

% plus

faibles. Comme l’on

ajuste

le

fond continu on aurait eu une variation relative de l’intensité des bandes de l’ordre de 2

%

seulement.

Ces effets ne

permettent

donc pas seuls

d’expliquer

les résultats obtenus

expérimentalement.

EFFET DE LA RENORMALISATION DES TERMES CUBI- QUES. - Dans le cadre d’une

hypothèse

d’interaction axiale entre

plus proches

voisins les coefficients des termes

cubiques

s’écrivent

[32] :

avec

et

avec

et où l’on utilise les notations de Born et

Huang [20]

pour

repérer

les atomes.

En

partant

du même

potentiel

que

précédemment :

on trouve pour le

rapport

des

coefficient,

des termes

du 3e

ordre,

le même

rapport

que

précédemment.

Si

l’on suppose que toutes les variations sont

égales

à

4%

(elles

varient entre 3 et 5

%).

On obtient immédiate- ment que les coefficients :

varient aussi de l’ordre 4

%

donc les coefficients

Dvj

diminuent d’une valeur relative de l’ordre 8

%.

Cette

variation

joue

aussi pour les termes

produisant

le

fond

continu,

mais elle est

compensée

par d’autres

causes que nous verrons

plus

loin.

Dans les calculs que nous avons

effectués,

nous

avons tenu

compte

de ces effets

globalement ajustant

le fond continu. Par contre nous n’avons pas tenu

compte

du fait que l’intensité des bandes

(les

termes

(10)

Dvj)

devenait 8

% plus

faible à 300 OK par

rapport

à 9

OK,

ce

qui

serait

plus

conforme aux résultats

expérimentaux.

L’ensemble des effets des contraintes

thermiques permet

donc

d’expliquer

l’effacement des bandes dans le fond continu. Il y a

pourtant

d’autres facteurs

qui

interviennent que nous allons examiner.

VARIATIONS NON HOMOGÈNES DE FOND CONTINU. -

Les considérations

précédentes

ne

permettent

pas

d’expliquer

la variation

plus rapide

du fond continu par

rapport

aux bandes

lorsque

la

température

varie.

En un

point

donné du

spectre,

le fond continu est certainement le résultat d’un

grand

nombre de proces-

sus de combinaisons

impliquant

des

phonons

d’ori-

gines

très différentes. On obtiendra alors un

comporte-

ment conforme à

l’expérience

en considérant que,

parmi

les processus

présents,

ceux

qui impliquent

des combinaisons de

phonons

de

fréquences

très diffé-

rentes, par

exemple

des

phonons appartenant

à des modes

acoustiques

ou

optiques

de basses

fréquences

et

optiques

de

fréquences élevées,

sont

prépondérants.

Effectivement,

et en tenant

compte

des effets dus

aux contraintes

thermiques,

la valeur moyenne que l’on trouve pour les modes de basse

fréquence

est

130

cm-1 (fin

des

acoustiques

ou

optiques

de basses

fréquences).

Si une telle

explication

est exacte la variation relative du fond continu par

rapport

aux bandes doit être bien

plus rapide

à basse

température, qu’à

haute

température.

Si on caractérise cette varia- tion par la

quantité

on trouve bien un tel

comportement (voir

tableau

VII).

TABLEAU VII

Enfin il se

peut

aussi que le fond continu dû aux processus à 2

phonons

de

fréquences

très différentes n’ait pas la même intensité à

l’emplacement

des bandes.

Par

exemple

il est

possible

que le fond continu dû à l’ensemble des modes autres que ceux

qui produisent

la bande étudiée soit nul. Alors seuls seraient

présents

dans cette

région

les processus

qui produisent

cette

bande et la variation en intensité serait

plus

faible.

Pour que cette

explication

soit

possible,

il faudrait

qu’à l’emplacement

de la

bande,

le fond continu soit de l’ordre de 12

%

de

l’absorption

totale

(au

lieu de

85

%

obtenus dans le

calcul).

Cela semble un peu

faible,

mais c’est

possible.

PROCESSUS D’ORDRE SUPÉRIEUR. - Nous avons aussi

négligé

les termes d’ordre

supérieur

dans le calcul de la constante

diélectrique.

Si l’on tient

compte

de la

présence

d’un fond continu dû à des processus à 3

phonons

et si l’on essaie

d’expliquer

le

comporte-

ment des bandes à l’aide de celui-ci

seulement,

on

trouve que, pour obtenir un résultat conforme à

l’expérience,

il est nécessaire d’avoir une

absorption

due à des processus à 3

phonons

de l’ordre de - 11

%

de

l’absorption

totale à basse

température.

Si l’ordre de

grandeur

est

acceptable,

le

signe -

ne convient pas car il

indique

que ces processus

hypo- thétiques proviendraient

des termes croisés du

type (8) (à

un ordre

plus élevé).

Si un tel terme

existe,

il doit exister les termes

provenant

soit de l’anharmonicité seule

(du type (6)

au 4e

ordre)

soit du moment non

linéaire seul

(du type (4)

au 3e

ordre)

et dont la valeur

serait

plus importante

et

positive.

Au maximum leurs

participations

totales seraient nulles. Une telle

expli-

cation n’est donc pas valable. Inversement si des processus à 3

phonons

sont

présents

ils ne

peuvent expliquer

l’effacement des bandes.

VII. Conclusion. - Nous avons étudié le compor- tement du

spectre d’absorption

dans une zone limitée

lorsque

la

température

varie. Nous avons donné la combinaison de modes

produisant

les bandes « dou- ble

phonon » qui

nous semblent les

plus probables

et nous avons recherché une formule

semi-empirique, permettant

de retrouver les résultats

expérimentaux

en

fonction de la

température.

Dans l’ensemble l’accord est bon. La discussion

approfondie permet

de rendre

compte

de l’ordre de

grandeur

des

approximations

faites et de

suggérer l’importance

d’autres processus

qu’il

faudrait étudier de

plus près.

On a pu ainsi montrer que l’on

pourrait négliger,

dans cette

région,

les effets des contraintes

thermiques

sur la force des modes

dispersifs,

par contre ces effets sont

importants

sur la « force » des bandes. De même le fait que le fond continu

peut

ne pas être

homogène

est

important.

Ces considérations

permettent

de mieux saisir le mécanisme des transformations du

spectre d’absorption lorsque

la

température

varie. Un calcul

complet

demanderait la connaissance d’un modèle cristallin réel

(énergie potentielle

coulombienne et

répulsive) valable, l’évaluation

pour

chaque tempéra-

ture par une méthode variationnelle des

énergies renormalisées,

le vecteur de

polarisation

des termes

du 3e ordre renormalisés et enfin il faudrait effectuer les sommations pour obtenir les

self-énergies.

Ce

travail

dépasse largement

nos

possibilités.

D’autre

part

sur le

plan expérimental

il serait intéres- sant de mesurer simultanément la transmission et la réflexion d’une lame mince de

F2Mg

à

plusieurs tempé-

(11)

ratures. On

pourrait

ainsi obtenir directement à

partir

des données

expérimentales [22]

la forme de la self-

énergie

pour tout le

spectre

à différentes

températures.

Remerciements. - Ce travail est extrait d’une thèse d’Etat

(No

C. N. R. S. AO

3522)

soutenue en

septembre

1969 à

Montpellier.

Je tiens à remercier

particulièrement Mlle

le Professeur A. M.

Vergnoux

pour l’aide dont elle m’a fait bénéficier au cours de ce

travail. Je tiens aussi à remercier les membres du Centre de Calcul de l’Ecole

d’Ingénieurs

Mohammedia à Rabat pour leur aide.

Appendice.

- Comme nous l’avons

dit,

on

peut justifier

la formule

(9)

en disant que l’on

prend

for-

mellement e fini.

Cependant

on

peut

établir cette formule différemment : considérons les modes

( jl ki)

et

( j2 - ki)

de

fréquences côl, et C02v respectivement qui

contribuent à la bande

B,

considérée.

Appelons q,(co’)

dw’ le nombre de

couples

de modes

( jl J2 kl)

tel que

roi v

+

W2v

soit

compris

entre w’ et w’ + dm’.

En tenant

compte

des

approximations

que nous

avons faites pour le nombre

d’occupation

et le coeffi- cient de

couplage,

les sommes sur

(il J2 kl)

se trans-

forment en sommation

sur

w’. Si l’on suppose que

qv(w’)

devient

rapidement

nulle autour de

Wv

on obtient

(4’)

et

(6) :

Posons

et

Nous verrons que

q,(co’)

est une fonction

impaire

de

w’. Aussi :

Si l’on utilise l’identité de Dirac :

où P est la

partie principale

de

Cauchy

et

prenant :

On trouve bien la formule

(9)

avec

Cela est évident pour la

partie imaginaire

après quelques

transformations de

(A2)

il suffit de

rempla-

cer w’ par Q. On vérifie en calculant la

partie princi- pale

que la

partie

réelle de

(A2)

est bien

identique

à

celle de

(9).

C’est-à-dire que le fait de

prendre 8

fini

revient à

prendre

une densité combinée de forme lorentzienne

(A3)

autour de la

fréquence wv.

On

retrouve donc localement

l’approximation

des densi-

tés

combinées ; cependant n’ayant

aucune idée de la

valeur de

A,

nous ne pouvons tirer aucune information de la valeur des coefficients

Dvj

et

Qv

calculés.

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